De l’aurore au crépuscule voir plus …

Diable de mer. Photo Terra-Nova, originally uploaded by patriarch38.

Un véritable monstre marin, mais inoffensif.

Apparenté aux raies et aux requins, le diable de mer est l’une des créatures les plus impressionnantes existant au monde. On compte une quinzaine d’espèces, distribuées principalement dans les mers chaudes. On appelle parfois les diables de mer par leur nom espagnol de « manta », qui signifie manteau, et qui leurs à été donné en raison de la forme particulière de leurs nageoires, longues et très larges ?

La raie manta est la géante de la famille. Elle atteint de 7 à 8 mètres d’envergure, pour un poids moyen de 1 000 à 2 000kg, (avec un record connu de 3 tonnes) Elle possède un corps aplati dont les fentes branchiales s’ouvrent sur le ventre. Elle a des cornes pointues en avant de la tête et un dard venimeux au départ de la queue, qu’elle n’utilise que comme arme défensive. Elle n’attaque jamais l’homme, mais bien sûr se défend en cas d’agression.

La bouche de ce monstrueux animal est un vaste orifice béant, très large. Comme beaucoup d’animaux marins géants, le diable de mer se nourrit aux dépends de la minuscule faune planctonique : crustacés, alevins, et très petits poissons. L’eau entre par la bouche pendant qu’il nage lentement, et des filtres branchiaux retiennent la nourriture. Sa bouche n’est dentée qu’à la mâchoire inférieure, mais difficile d’expliquer à quoi peuvent servir ces dents, étant donné la petitesse des proies ingérées. Son œsophage est petit, ce qui ne permet le passage que de petites proies. Il se sert de ses 2 cornes incurvées pour diriger vers la bouche la nourriture.

Il nage gracieusement en battant lentement leurs énormes nageoires pectorales. Parfois il reste immobile et se laisse flotter comme s’il prenait un bain de soleil. C’est un animal nonchalant. Il est cependant capable d’effectuer des bonds hors de l’eau qui sont très spectaculaires, surtout quand il retombe à plat soulevant une gerbe d’eau. On pense que ces bonds lui permettent de se débarrasser des parasites ou des rémoras agrippés sous son ventre. Ce serait peut-être la douleur de ces parasites qui provoquerait ces réactions.

La femelle est vivipare (les œufs éclosent en elle et les embryons puisent leur nourriture dans le sac vitallin) mais elle ne met au monde qu’un seul petit par portée. Celui-ci a déjà une envergure de 1 mètre 50 à 2 mètres à la naissance, pour un poids approximatif de 10 kg.

Longtemps, les marins ont cru qu’elle pouvait entraîner les navires au fond des mers. Sur certaines îles, il est dit, qu’elle empêche les plongeurs de remonter à la surface en se positionnant au dessus d’eux. En réalité elle ne représente aucun danger pour l’homme. L’homme et l’orque sont ses seuls ennemis. Le requin lui-même ne s’y attaque que lorsqu’elle est blessée.

Classe : Chondrichthyens ; Ordre : Hypotrèmes ; famille : Mobulidés ; Genre & espèce : Manta birostris.

Molothre à ailes baies, originally uploaded by patriarch38.

Porté au parasitisme.

La grande famille des Ictéridés d’Amérique du Sud englobe les 4 espèces de molothres ou carouges. Le molothre à ailes baies fréquente les zones tropicales et tempérées où son habitat est constitué par des prairies entrecoupées de buissons, ainsi que des forêts claires aux arbres élevés.

Son régime comprend des fruits et des invertébrés et parmi ceux-ci, des insectes. Accompagnant volontiers les troupeaux, l’oiseau captures les bestioles dérangées par les vaches et aussi celles qui les parasitent. Il déguste aussi les tiques qui infectent les bœufs et les chevaux.

Le mode de reproduction de cette espèce est à mi chemin entre le parasitisme et la nidification normale. Car s’il arrive au molothre à ailes baies d’utiliser souvent les nids abandonnés par d’autres oiseaux, il ne répugne pas, au besoin, à en chasser les propriétaires légitimes : les dendrocolaptes, les fourmiliers, les tyrans et d’autres espèces ; il s’installe à leur place pour pondre ses œufs.

Il lui arrive cependant de construire un berceau, mais parfois deux femelles y pondent. Juste retour des choses, il est lui-même parasité par des cousins tels que le Molothrus rufoaxillaris, un peu plus petit et qui vit dans les mêmes paysages.

Il est aussi la victime de son autre cousin, le Molothrus bonariensis qui commence généralement à bâtir son nid, mais ne le finit jamais et ira parasiter un grand nombre d’espèces de passereaux. (Au total plus d’une centaine). Sa longueur adulte est de 20 centimètres. Sa reproduction est mal connue dans les détails.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Ictéridés ; Genre & espèce : Molothrus badius.

Léopard de mer, originally uploaded by patriarch38.

Un phoque à la mâchoire impressionnante.

Le léopard de mer jouit d’une triste réputation. C’est un phoque vivant plutôt solitaire dans les parages antarctiques, et qui se plaît sur les banquises. La particularité de cette espèce est, que chez elle, le femelle est plus grande que le mâle, ce qui constitue l’unique exception à la règle chez les Pinnipèdes.

Le léopard de mer vit généralement au large, parmi les icebergs, et on le voit assez rarement à terre, dont il ne s’approche que pour chasser les manchots ou pour y dormir après un bon repas. Il est rare d’en observer plus de 3 ou 4 réunis. Sur le sol, cet animal se déplace de manière curieuse, en tenant ses nageoires ramenées contre le corps et en rampant sur le ventre, se ramassant et s’étirant alternativement comme le font les chenilles arpenteuses.

La nourriture du léopard de mer consiste en krill (comme les baleines bleues), en poissons et mollusques. Il est, en outre, très friand de manchots, qu’il capture en les surprenant à l’affût lorsqu’ils se jettent à l’eau. Son œsophage extensible lui permet d’avaler d’énormes quantités de nourriture.

On croyait autrefois que les manchots constituaient les principales proies de ce phoque, mais on sait à présent que ces oiseaux sont en fait une nourriture d’apport et complémentaire et que le krill est sa principale source alimentaire. Lorsqu’ils se trouvent sur terre, les manchots ne craignent pas cet ennemi qui ne les dévore que dans la mer.

Les marins craignent le léopard de mer qui, affirment ils, attaque l’homme, mais de tels incidents sont rares et ne semble pas devoir justifier cette crainte. La durée de gestation est inconnue, et la femelle n’a qu’un seul petit de 75 à 95 centimètres à la naissance. La longueur d’un adulte est de 3 mètres maximum pour les mâles et de 3 mètres 60 pour les femelles, le poids du mâle est de 280 kilos maximum, alors que la femelle pèse 450 kilos maximum. La maturité sexuelle dès 3/6 ans.

Classe : Mammifères ; Ordre : Pinnipèdes ; Famille : Phocidés ; Genre et espèce : Hydrurga leptonyx.

Usine de Doniambo., originally uploaded by patriarch38.

Départ pour la Nouvelle-Calédonie.

Nous sommes partis à 4 compagnons pour préparer le chantier, les 3 autres devant venir 3 jours plus tard. Nous sommes donc passés au siège social du Nickel à Paris, prendre nos billets d’avion, pour partir le soir même à 19 heures avec un DC8.

30 heures plus tard, nous arrivions à Tontouta, aéroport de Nouvelle- Calédonie à 53 kilomètres de Nouméa. Un véhicule de la société Nickel, nous y attendait. Les 3 compagnons furent dirigés vers la garçonnière, deux grands bâtiments en bois, où chaque ouvrier y avait une chambre assez grande, avec les commodités voulues, à l’exception des douches qui se trouvaient dans une baraque adjacente. Ces bâtiments étaient limitrophes avec l’usine de Doniambo. En ce qui me concerne, j’eus le droit à un studio, dans un hôtel à 2 Km de l’usine, légèrement en contre bas. Nous avions 3 jours de repos, pour évacuer le décalage horaire.

En temps que responsable, je me suis rendu le lendemain à l’usine, me présenter à l’ingénieur d’Alsthom, société fabriquant et vendant ces chaudières thermiques. Ma première surprise fut de voir, en premier, 2 compagnons fumistes d’une autre société métropolitaine que je connaissais déjà. Ils m’indiquèrent où se trouver le bureau PC du chantier. L’ingénieur me dit, « vous allez avoir vos 6 compagnons, plus 6 autres compagnons d’une autre société dont vous venez de parler avec 2 de ceux-ci, ils sont là, pour construire un four rotatif à la mine de Poro et 4 compagnons du Nickel que vous allez devoir former, car ils ne connaissent que les fours fusions de nickel. »

« Faites moi la liste des matériels qu’il vous faut pour effectuer les travaux, et du nombres de manœuvres dont vous aurez besoin, c’est la société le nickel qui les fournit. »-« Ca je peux vous le dire tout de suite, 1 manœuvre ½ par compagnons, soit 24 gars. »- « Prenez en plutôt 30 à 35, car il y a souvent des absents, repassez demain matin, pour me remettre la liste du matériel que vous désirez. »

Le lendemain matin, l’ingénieur du nickel qui s’occupait des travaux était présent. Il me saute tout de suite dessus, bille en tête. « D’ici 2 mois ½, c’est la période de sécheresse, et cette 1ère chaudière nous en avons besoin à ce moment. » (Je ne me souviens même pas s’il m’a salué !) « Vous allez donc devoir faire un poste de jour et un poste de nuit. 8 compagnons de jour et 8 de nuit. Nommez un responsable par équipe, quand à vous, vous chapeautez les deux équipes. »-« Ca va vous revenir cher ! »-« Comment ça ? »-« Notre convention collective stipule que les heures effectuées de 22 heures à 6 heures sont payées à 100% , si vous voulez, demain je vous montrerez ce paragraphe. »-« Ecoutez, nous compenserons cela, par une prime, car nous ne pouvons pas créer un précédent. Ca vous va comme cela ? »-« Bien obligé ! »

« Avez-vous faites la liste du matériel nécessaire ? » Je la lui tends et ce qu’il me dit me fiche sur le cul ! « Pour les 2 treuils électriques que vous demander, ce sera 3 poulies et 3 cordes, la force motrice sera fournie par nos manœuvres. Comptez en conséquence. Pour les seaux et les auges à coulis, vous allez à l’atelier de ferronnerie, ils ont reçu des ordres pour faire tout ce que vous demanderez. »-« Des seaux en fer ? Vous n’en avez pas en gros caoutchouc ? Vous voyez les gars monter toute la sainte journée, les matériaux, avec un tel poids en plus ? » -« Ils sont payés pour ça. »- « Comme vous voulez, mais en plus des manœuvres, je veux un gars de chez eux, comme chef d’équipe sur chaque poste. Je ne vais pas avoir le temps, d’être derrière tout le monde, de plus, je prends aussi mes clous pour travailler avec les gars, quand c’est possible. »- « Chez nous les chefs ne travaillent pas manuellement. »-« Vous faites ce que vous voulez chez vous, une fois le chantier démarré, je suis chez moi !! Et pour le reste : mètres, truelles, niveaux, marteaux, cordeaux etc. »- « Nous avons un compte, chez Ballande, prenez un véhicule de chantier avec son chauffeur et achetez ce que vous avez besoin. »-« Il y a sûrement des seaux et des auges de chantier en caoutchouc chez Ballande ? »-« Pas questions, vous les faites exécuter par les gars de chez nous. Le chauffeur me rapportera les factures ! »-« Pour le studio, j’ai besoin de vaisselle et de quelques « gamelles ! »-« Pourquoi ? Vous allez faire vos repas ? »-« Oui, je viens de faire 3 repas en restaurant, et il faut avoir une tuyauterie en inox, pour supporter la bouffe d’ici. Très peu pour moi. »-« Prenez ce qu’il vous faut chez Balande. De plus, regardez si vos deux bouteilles de gaz (douche et cuisinière) sont pleines, quand elles sont vides, le chauffeur du chantier ira vous les changer à votre demande. Ca vous va comme ça ? »-« Bien sûr ! »

Encore un que j’allais beaucoup aimer !!

Tangara à tête violette, originally uploaded by patriarch38.

On l’appelle aussi tangara à dos doré.

Le monde des oiseaux, en général, mais particulièrement certains groupes forestiers sud-américains n’ont pas encore livré tous leurs secrets. Si des espèces disparaissent et s’éteignent ; d’autre, en revanche, existantes sont découvertes, ce qui tend à maintenir, si nous ne voulons voir que cela, le nombre total des espèces et sous- espèces.

Il ne faut cependant pas se tromper, les espèces nouvellement découvertes n’en sont pas moins des oiseaux qui existent bel et bien depuis des temps immémoriaux. L’exploitation ornithologique du monde touche néanmoins lentement à sa fin. Les derniers îlots reçoivent la visite de spécialistes qui fouillent minutieusement tous les biotopes qui offrent quelque chance de découvrir, si ce n’est l’oiseau rare, celui encore inconnu.

C’est ce qui est arrivé en octobre 1973 à des ornithologues américains, dans les jungles les plus inaccessibles du Pérou central, dans la chaîne Acomayo- Carpish du département de Huanuco. Parmi les oiseaux découverts, à la suite d’expéditions successives, le tangara à tête violette est peut-être le plus remarquable. Il est étroitement apparenté au tangara eximia qui vit dans les Andes du Pérou septentrional et du sud de l’Equateur.

Chez cette espèce, comme d’ailleurs chez la plupart des Thraupidés, le mâle ne se distingue pas de la femelle. Il faut réellement être un tangara pour s’y retrouver. Le tangara à tête violette a une aire très restreinte, il se trouve cantonné dans les îlots forestiers de haute altitude. Le zoologue péruvien Manuel Villar, qui l’a observé en liberté, a écrit que cet oiseau aime à se percher, bien en évidence sur des arbres élevés. Adulte, il mesure 12 centimètres. Mais je n’ai rien trouvé sur sa biologie et sa reproduction.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Thraupidès ; Genre & Espèce : Buthraupis aureodorsalis.

Faux nettoyeur, originally uploaded by patriarch38.

Déguisé en « nettoyeur »

Tout amateur de poissons d’aquarium d’eau de mer sait le rôle bénéfique d’un poisson nettoyeur. Mai l’amateur averti n’ignore pas que ce dernier possède un mime ou « sosie » qui profite de sa ressemblance avec les vrais nettoyeurs et de l’intérêt manifesté par les poissons à leur égard, pour s’approcher de sa victime sans l’effrayer et….lui arracher un morceau de nageoire. (Il me fait penser à un personnage qui squatte continuellement nos fenestrons en ce moment !!)

Le faux nettoyeur, imitateur parfait, appartient à la famille des Blenniidés ; le vrai, à celle des Labridés. Les hôtes des récifs apprennent rapidement et à leurs dépens, à savoir, lequel est le faux et le vrai nettoyeur ; c’est une loi de la nature. Mais il apparaît important que le revendeur spécialisé et l’aquariophile apprennent à faire la différence. Du point de vue morphologique, la position de la bouche est un critère infaillible d’identification : dans le prolongement du corps chez le vrai, inférieure chez le faux.

Si par inadvertance un faux est introduit dans un aquarium en même temps qu’un vrai, sa façon de se comporter le trahira. Alors que le vrai se déplace constamment en pleine eau et pratique la nage « papillon », caractéristique des Labridés (saccadée, pelviennes surtout actives alors que la partie postérieure du corps semble paralysée), le faux, quoique là aussi imitateur, présente cependant une nage d’aspect plus normal, et sitôt son forfait accompli va se réfugier dans une cachette.

Ce remarquable exemple de mimétisme a été découvert en 1955. La règle générale, selon laquelle le modèle est beaucoup plus fréquent que le mime, est ici également respectée. Leur taille respective étant sensiblement la même :12 centimètres.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Blenniidés ; Genre & espèce : Aspidontus taeniatus

Céphalophe à flancs roux, originally uploaded by patriarch38.

La forêt assez dense est son habitat.

Le céphalophe à flancs roux est l’une des nombreuses espèces de ce genre de petites antilopes qui sont, à la fois, les plus intéressantes et les moins bien connues. Comme la plupart de ses congénères, le céphalophe à flancs roux se tient exclusivement dans la forêt d’Afrique équatoriale, même si on estime parfois qu’il est moins inféodé à elle, que la plupart des autres.

Cette petite antilope de 60 à 70 centimètres de long, et d’une hauteur de 35centimètres au garrot, pour un poids de 11 à 14 kilos, se distingue aisément de toutes les autres antilopes. On le surnomme « biche-cochon ». il est trapu, avec des flancs au pelage brun orangé lustré et une large bande plus foncée le long du dos. Le bas des courtes pattes est de la même couleur ainsi que les épaules. Une crête noire sur la tête est très développée, mais est quelques fois inexistante chez la femelle.

On le trouve aussi dans les îlots de jungle isolés dans la savane boisée guinéenne. Mâle et femelle possèdent des cornes ; celles du mâles sont bien développées, elles atteignent une dizaine de centimètres, la femelle n’a que des moignons dépassant à peine le pelage, il arrive parfois que certaines femelles en sont dépourvues. Les sabots peuvent s’écarter largement et les ergots latéraux ont un développement remarquable, ce qui lui facilite la locomotion en terrain marécageux. Il ne craint pas l’eau, un peu près omniprésente dans son milieu naturel, très humide et ombragé. Il nage et s’immerge même en cas de besoin.

Presque exclusivement brouteur, son alimentation se compose de feuilles, de jeunes pousses, d’écorces, de bourgeons, et graines et surtout de fruits variés. Le céphalophe à flancs roux a une large gueule adaptée à saisir et à écraser les fruits trop gros et trop durs pour les primates et autres frugivores. Herbe et petits invertébrés constituent un complément d’alimentation.

Cette petite antilope timide a des mœurs partiellement nocturnes, tant et si bien qu’on ne la voit presque jamais. Des colons vivant dans la jungle, affirmaient ne pas en avoir connaissance, alors qu’elle coexiste pourtant bel et bien avec eux, et dans les mêmes parages. Les indigènes prennent parfois des céphalophes dans les lacets qu’ils savent tendre dans les coulées et sentiers de ce gibier de choix. On peut aussi le trouver avec un bon chien, mais on le cherchera en vain, seul, dans la forêt.

Ils vivent généralement en solitaire ou en couples, ils seraient donc vraisemblablement monogames. Il est probable qu’ils aient un territoire qu’ils marquent et qu’ils défendent. Ce territoire est marqué par frottement sur les arbres et autres objets d’une sécrétion huileuse provenant d’une glande proche des yeux. On ne connaît pas le temps de gestation, mais on sait, que les jeunes restent cachés et que les parents les nourrissent pendant quelques semaines, bien qu’ils soient aptes à courir en quelques jours.

Classe : Mammifères ; ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Genre & Espèce : Cephalophus rufilatus.