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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2008» septembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Blagounettes du dimanche;

septembre 20th, 2008

Voilà le dimanche qui s’en vient !!!

Un concours de fléchettes est organisé entre 3 super - champions. Le premier lance sa fléchette et pique la mouche qu’il avait visée. Le second lance sa fléchette…
‘’Bravo, dit le président du jury. Vous avez transpercé deux mouches d’un coup !
‘’Attendez, fait le troisième, vous n’avez encore rien vu. Regardez bien cette mouche là bas. ‘’
Il lance sa fléchette. Celle-ci frôle la mouche qui continue à voler.
‘’Et voilà, s’écrit-il d’un air modeste ! ‘’
‘’Voilà quoi ? Questionnent ses rivaux. Vous ne l’avez pas tué cette mouche.’’
‘’Non, mais si l’un de vous l’abat, il pourra constater ceci : tout d’abord que c’est une mouche mâle, et en l’émasculant avec ma fléchette, je lui ai interdit tout espoir de se reproduire un jour !!!’’

Un texan qui a gagné des millions de dollars dans l’exploitation de ses puits de pétrole (non, non, ce n’est pas lui !!), débarque, accompagné de toute sa suite, portant des skis, dans un palace de Dakar.
Le directeur de l’hôtel, interloqué, lui dit : ‘’ Monsieur X, je crains que vous ne soyez atrocement déçu. Nous n’avons pas de neige, ici. ‘’
‘’Je sais, réplique le Texan. Elle arrive avec le reste de mes bagages.’’

Au médecin qui lui conseille de cesser de fumer, un homme réplique, en ricanant :
-‘’ Le tabac me fera peut-être du mal quand j’aurai grillé cinquante mille cigarette. Pour l’instant je n’en suis pas encore là. ‘’
-‘’Ne croyez pas cela, proteste le médecin. Je peux vous citer le cas d’un jeune homme qui a failli mourir d’avoir voulu fumer sa première cigarette. ‘’
-‘’Comment cela ? C’est impossible !! ‘’
-‘’Cette première cigarette, il a eu la fâcheuse idée de l’allumer dans un ascenseur, pour impressionner 6 jeunes femmes. ‘’
-‘’ Et alors ? ‘’
-‘’ Ces 6 jeunes femmes venaient comme délégués à un congrès des partisans de la lutte contre le tabagisme. ‘’

-‘’Allez, Malcolm, dit une écossaise en secouant vigoureusement son mari. Il est l’heure de te lever.’’
L’écossais ouvre un œil, se dresse sur son séant et s’écrit, avec reconnaissance :
-‘’Oh ! Merci, ma chérie, merci. ‘’
-‘’Mais de quoi ? Fait sa femme étonnée ‘’
-‘’J’étais en train de rêver que je téléphonais d’un bureau de poste à notre tante Martha, en Australie. Et tu m’as réveillé au moment précis où j’allais payer le prix de la communication !!’’

On demande à un Israélien :
-‘’ Ca fait longtemps que vous travaillez pour le même patron ? ‘’
-‘’Si ça fait longtemps ! C’est simple, quand j’ai commencé dans cette maison, la Mer Morte commençait tout juste à ne pas se sentir très bien !!’’

Et pour finir !
On demande à un important homme d’affaire de définir le mot :’’Travail ‘’
-‘’C’est, dit-il, l’amusement des gens qui n’ont pas encore appris à jouer au golf !

Le travail qui….tue

septembre 19th, 2008

Productivité !!
Le Travail qui………. Tue ! Tableau de la productivité.

Le travail !!!!! Etymologiquement, ce mot vient du latin ‘’Tripaliare ‘’ qui signifie : ‘’ torturer avec le Tripalium (3 pieux)’’. Depuis une quinzaine d’année, un organisme le ‘’TRIPALIUM ‘’ développe une analyse dans le domaine de la formation en législation sociale. Formation en direction, surtout : des aides et responsables en ressources humaines, managers et DRH.

C’est le cri d’alarme d’un médecin du travail, qui publie demain « Souffrir au Travail », où il dresse un état des lieux plus qu’inquiétant de la santé en milieu professionnel. Il estime que, dans 25% à 50% des suicides, le travail est un élément explicatif direct et essentiel. Cela signifie que 3 000 suicides par an sont liés au travail. Or, depuis 4 ou 5 ans, seuls 5 cas, peut-être 10 cas de suicides ont été reconnus comme des accidents de travail et aucun en maladie professionnelle.

-Vous réclamez, en cas de suicide, des investigations plus profondes, sur les lieux de travail ?

‘’Les investigations ne doivent pas être, comme le propose un rapport remit au ministre du travail, des ‘’autopsies ‘’psychiques faites pas des non- médecins du travail, dans un système médico- légal. Dans ces cas là, ce sont les médecins du travail qui doivent piocher le dossier et essayer de comprendre. En rassemblant l’ensemble des informations recueillies par un collectif de ces médecins, il sera plus aisé de comprendre les évolutions collectives et faire de la prévention. ‘’

-Pourquoi souffre t-on plus au travail maintenant ?

Avant, l’organisation du travail instrumentalisait la force productive des gens. Les troubles musculo- squelettiques étaient alors les plus importants. Aujourd’hui, les organisations de travail ne prescrivent plus les gestes à faire, mais les résultats à concrétiser. Ce qui fait qu’à présent, avec ce système de management de rendement, plus personne ne prend en compte ce qui fait la difficulté, et cela à un impact dévastateur sur la santé psychique des gens. Certains perdent la capacité d’échanger, sur ce qui fait douleur, avec leurs collègues et ne pensent donc n’être que des bons à rien. (Surtout s’ils n’arrivent pas à suivre les cadences imposées, souvent par la machine.)

-Et les dispositifs d’aide mis en place ?

Les numéros ‘’verts ‘’ fonctionnent comme un confessionnal et n’ont aucune utilité d’un point de vue médical. Ils ne sont là que pour rétablir l’ordre social, et l’observatoire social, comme le reste, n’est que de la communication.

-Quel bilan tirez vous de la pratique de votre métier ?

La médecine du travail est en bout de cycle. On ne peut pas rester avec un système géré et dirigé majoritairement pas les employeurs. Un nouveau cadre doit être défini et il y a urgence. Aujourd’hui, pour exercer ce métier de façon indépendante, il faut être un héros. Et ça, ce n’est plus possible. ‘’Moi, dit- il en conclusion, je suis un héros fatigué. ‘’

Paru dans le journal ‘’ AUJOURD’HUI ‘’

Faucon rieur.

septembre 18th, 2008

Faucon rieur
Il peut s’emparer d’un serpent venimeux.

Voisin des faucons forestiers, du genre ‘’Micrastur ‘’, cet oiseau se distingue des vrais faucons, tel le pèlerin, par son genre de vie, mais aussi par plusieurs détails morphologies. Ses ailes sont courtes, sa grosse tête ressemble à celle d’une chouette et les plumes qui la revêtent peuvent être relevées en une sorte de crête.

Cet étrange rapace se fait entendre au crépuscule et pendant une partie de la nuit. Il lance une sorte de rire de plus en plus rapide et qui porte loin. Plusieurs oiseaux peuvent se mettre à l’unisson et même au diapason et tenir un véritable concert, ou parfois, ce sont seulement deux amoureux qui s’envoient des poèmes enflammés.

Les lisières des forêts, les peuplements de faible densité et le bord de rivières sont quelques uns des milieux fréquentés par ce faucon rieur. Farceur, il se tient aussi, parfois, dans les régions occupées par des broussailles touffues où il se cache pour rire un bon coup.

Spécialiste de la chasse aux reptiles, il capture les lézards, mais aussi les serpents, et cela, même s’ils sont très venimeux. Il s’attaque ainsi au serpent corail ; au moment de la capture, il se défend avec les ailes et saisit l’animal juste derrière la tête avec ses serres. Il dévore les plus grosses proies après les avoir mises en morceaux, mais avale les petites en un seul morceau. Son vol n’est pas rapide, à cause de ses courtes ailes.

La nidification est assez mal connue. Il semble que l’œuf soit pondu dans un trou d’arbre ou de rocher ; dans le premier cas, le site adopté se trouve jusqu’à 30 mètres au dessus du sol. L’œuf est blanc teinté de fauve et tacheté de brun. L’aiglon ressemble à l’adulte, mais les plumes de la face supérieure du corps possèdent des liserés clairs ; en outre, la queue a des barres moins nombreuses. Le faucon rieur passe beaucoup de temps à surveiller le sol et le monde, perché en haut d’un arbre, ou à la cime d’un rocher. Sa longueur adulte est de 50cm pour un poids de 550 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Falconidés ; Genre & Espèce : Herpetotheres cachinnana.

Barasingha.

septembre 17th, 2008

Barasingha

Se raréfiant dangereusement, il risque de s’éteindre.

Le barasingha, mieux connu sous le nom de cerf de Duvaucel, est une des espèces de mammifères les plus menacées de disparition de Inde. Ce beau cerf ne survit plus que dans quelques rares endroits propices et dans trois réserves naturelles, où on tente de le préserver.

C’est un animal vulnérable, car il a l’habitude de vivre en communauté te donc de se trouver en hardes assez nombreuses de 10 à 20 individus. Celle-ci est toujours conduite par une femelle expérimentée et elle se compose presque uniquement de biches et de faons d’âges différents, ce qui explique peut-être le matriarcat de cette espèce. Les mâles se tiennent généralement à l’écart et formes des groupes de célibataires.

Il a un comportement qui facilite et même encourage la chasse, car son biotope de prédilection est trop facilement accessible. Au lieu de se cacher et de trouver refuge au plus profond de la jungle, cette espèce préfère vagabonder toute la journée, sur les grandes prairies humides dans les marécages et même en lisière de forêts. Grâce à ses larges sabots, le barasingha peut facilement se déplacer dans ceux- ci en marchant sur les touffes d’herbes sans se soucier du sol instable.

A la saison du rut, qui n’est pas la même d’une région à l’autre, les mâles rejoignent les hardes de femelles et s’accouplent, en se livrant malgré tout, de furieux combats pour la possession d’une biche. Puis ils reprennent leur vie de célibataire comme si de rien n’était. Les femelles se retrouvent donc de nouveaux ensembles. Mais au moment de la mise bas, elles se dispersent pour ne se regrouper que lorsque leur petit est capable de marcher et de suivre sa mère sur les terrains marécageux. C’est un animal diurne qui se nourrit de préférence à l’aube et au crépuscule. Au mitan de la journée, il se couche dans un endroit calme et tranquille pour ruminer.

La femelle met bas d’un seul petit (rarement 2) après 6 mois de gestation. Adulte sa hauteur au garrot va de 1 mètre à 1 mètre 35, son poids de 170 à 170 kilos. La longueur des bois de 75cm à 1 mètre.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Cervidés ; Genre & Espèce : Cervus duvauceli.

Salamandre tachetée.

septembre 16th, 2008

Salamandre tachetée

Sa coloration très vive incite à la prudence.

La salamandre tachetée est sans doute l’un des amphibiens les plus remarquables d’Europe, de par sa coloration vraiment insolite. Les taches jaune vif ressortent sur un fond noir. La grandeur de ces taches est d’ailleurs sujette à d’importantes variations : tantôt elles fusionnent pour devenir de larges bandes jaunes, tantôt au contraire, elles sont petites et bien séparées les unes des autres.

Que signifie cette couleur jaune vif ? Tout simplement un signal d’alerte pour tous. Dans la classe des amphibiens, il est prudent de se méfier des belles couleurs, car celles-ci signifient généralement que l’animal qui en est paré est venimeux.

C’est précisément le cas pour la salamandre tachetée, dont la peau secrète une substance hautement toxique. Ce sont les glandes parotides, situées en arrière des yeux, qui sont les organes producteurs du venin. Aucun animal n’ose attaquer la salamandre tachetée après avoir subi les effets caustiques du liquide laiteux qu’elle sécrète en cas de danger.

Créature apathique, cette salamandre recherche les endroits sombres et humides pour y vivre en paix. On la rencontre sous la mousse et les troncs pourris, sous les pierres et dans les grottes. Très sensible au soleil et à la chaleur, elle succombe dès que la température s’élève trop au-dessus de 20° C. On peut la voir le matin, par jour de pluie, dans les bois et forêts de montagne. Ce n’est pas un animal rare, mais on ne le trouve pas partout. En automne, il arrive que des dizaines de salamandres tachetées se réunissent en des lieux propices, où elles s’entassent pour passer l’hiver en léthargie profonde. La femelle ne se rend à l’eau que pour y pondre des ses œufs.
Ovipare, elle pond de 10 à 70 œufs. La larve à la naissance fait entre 2-3 cm. Les jeunes commencent leur vie terrestre dès 3-4 mois et adultes ils atteindront entre 12 et 28 cm. La longévité est de 24 ans maximum.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Urodèles ; Famille : Salamandridés ; Genre & Espèces : Salamandra salamandra.

Balbuzard pêcheur.

septembre 15th, 2008

Balbuzard-pêcheur.

Il est pêcheur par besoin ……

Le balbuzard est un cousin des aigles. Il est de taille moyenne, avec de longues ailes étroites. De tous les oiseaux de proie, il a le contraste le plus important entre son dos brun foncé et la poitrine blanche, presque immaculée. Sa tête et pâle avec un bandeau noir sur l’œil. Des pattes dénudées, équipées de doigts très puissants, eux même armés de longues griffes.

De par son alimentation spécialisée, presque exclusive, le balbuzard a élu domicile, là où se trouve son réservoir alimentaire, soit : les bords de lac, fleuves, grands étangs, rivières, mais aussi côtes maritimes. Il a une assez grande aire de répartition. Il niche en Europe, Asie, Afrique, Australie et Amérique du Nord. En hiver, il quitte les régions nordiques et migre vers les climats plus cléments. Les Européens vont hiverner en Afrique subsaharienne ; les Américains du Nord vont eux, en Amérique Centrale et du Sud ; Ceux du nord de l’Asie préfèrent le continent Indien et l’Asie du Sud-Est. Il n’existe qu’un seul continent où il est absent, c’est l’Antarctique.

Lui aussi exécute une parade nuptiale spectaculaire, lui servant à attirer une femelle. Etant monogame, cette parade est effectuée aussi bien par un jouvenceau qui cherche sa ‘’dame ‘’ de cœur, que par un couple déjà constitué, pour consolider leur attachement. Le mâle s’élève alors, en un vol rapide à plus de 300 mètres de hauteur, en tenant dans ses serres un poisson de bonne taille. Il effectue un vol stationnaire en exhibant celui-ci, avant de plonger, comme une pierre, ailes fermées. (Je ne sais pas s’il va jusqu’à l’offrir à sa belle, ensuite, mais un ‘’sauret ‘’ pour une belle, remplace bien une rose !)

Il se nourrit uniquement de poissons capturés à la surface de l’eau. Il a une technique de pêche unique pour un rapace. En survolant l’eau d’une hauteur de 10 à 20 mètres, ou en pratiquant un vol stationnaire, il repère sa proie. Il plonge alors, tête la première, ailes repliées, serres tendues et saisit sa proie avec les serres en ne mouillant même pas son ‘’ plastron ‘’, c’est à peine s’il prend un bain de pied. Ses serres incurvées et de petites aspérités entre les doigts lui permettent d’agripper sa proie même si elle est très glissante. Il transporte celle-ci jusqu’à son perchoir ou son nid, où il la dévore. Il lui faut avant, bien souvent, défendre son bien, contre des corneilles ou d’autres rapaces, qui le harcèlent tout le long du parcours.

Son nid est toujours construit sur un promontoire, un grand arbre, un pylône électrique ou un rocher escarpé. Et, en absence de prédateurs, à même le sol. Il est construit avec des branches. Comme il est souvent utilisé d’année en année, il arrive à avoir une dimension assez impressionnante. En avril- mai, la femelle y dépose 3 œufs qu’elle couvera pendant une période de 35 à 40 jours. Les jeunes prennent leur envol entre 51 et 54 jours après l’éclosion. Adulte il fera de 55 à 60 cm, pour une envergure de 1 m 45 à 1 m 70. Le poids du mâle est de 1 kg 200 à 1 kg 600, et celui de la femelle de 1 kg 600 à 2 Kilos. La longévité va de 18 à 20 ans. La maturité sexuelle est entre 3 à 4 ans.

Espèce protégée car ils sont peu nombreux en France. Une dizaine de couple sur l’île de la Plâtrière et au Val de Drôme et 25 couples en Corses.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Accipitriformes ; Famille : Pandionidés ; Genre & Espèce : Pandion haliaetus.

Requin vrille

septembre 14th, 2008

Requin vrille

Il est occasionnellement dangereux pour l’homme.

Encore appelé grand requin à pointe noire pour le distinguer du requin à pointe noire commun avec lequel il est souvent confondu, mais ses dents inférieures lisses, ses yeux très petits, ses longues fentes branchiales, l’absence de sillon dorsal, le différencie nettement.

Le requin vrille a mauvaise réputation. Bien que n’étant pas spécialement connu pour attaquer l’homme, un certain nombre de cas sont cependant signalés. Les traces laissées par les dents sur le corps de la victime permettent en effet de confirmer l’identité de l’agresseur et même d’estimer sa taille avec une bonne approximation ! Souvent chez le requin, la morsure est typique.

Bien que la gueule soit en position très inférieure et nettement en arrière de l’extrémité du museau, la bouche se retrouve pratiquement en position terminale au moment de la morsure. La mâchoire inférieure est, en effet, littéralement projetée en avant, pendant que le museau se retrousse vers le haut, au contact de la proie.

Les dents très acérées sont plantées dans les chairs et un mouvement tourbillonnant du corps du requin permet de découper et d’arracher un morceau laissant une plaie béante et caractéristique. (D’où son nom !)

Le requin vrille est connu comme prédateur des bancs de poissons, parmi lesquels il s’enfonce, la gueule ouverte, en une nage tourbillonnante. Il se rencontre aussi en bandes dépassant parfois la centaine d’individus à la traîne d’un chalutier. C’est là que l’on peut constater leur boulimie frénétique. Malheur à l’homme qui tombe à la mer, il sera alors happé comme le sont les déchets.
Il peut atteindre 2 mètres 50 de long pour un poids de 140 kg.

Classe : Chondrichthyens ; Ordre : Pleurotrèmes ; Famille : Carcharhinidés ; Genre & Espèce : Carcharhinus maculipinnis

Rire c’est…….vivre !

septembre 13th, 2008

Rire c’est vivre…… 

  

Un jeune représentant de commerce en habillement se marie. Après six semaines de lune de miel torride, il doit reprendre le collier. Mais la fougue de sa jeune épouse lui pose problème. Il va donc voir son cousin et lui dit :

‘’Voilà, je te mets les adresses des hôtels et les dates où j’y logerai. Si tu remarques quelques  ‘’incartades ‘’ de ma belle, fais le moi savoir par télégramme. Mais sois discret dans les termes que tu y mettras. ‘’
La première semaine, tout se passe bien, mais le mercredi suivant, il reçoit un télégramme ainsi rédigé :

‘’Hausse dans la chemise. Baisse dans le pantalon. Va et vient dans la fourrure. ‘’

  

Un représentant part à l’étranger quelques jours avant Noël. L’avant-veille de Noël, sa femme reçoit un cadeau par la poste. Elle l’ouvre et trouve un magnifique pantalon de pyjama, brodé, avec écrit sur la jambe droite ‘’Joyeux Noël ‘’et sur la jambe gauche ‘’Bonne- Année ‘’. Folle de joie, elle se précipite à la poste et lui envoie ce télégramme ‘’J’espère que tu viendras me voir entre les fêtes !!! ‘’.

  

C’est un gars dans un avion qui se trouve à côté d’une fille superbe, qui ne lève pas le nez de son livre. Il cherche donc à engager la conversation.

‘’Il a l’air intéressant votre livre. Quel sujet aborde t’il, ‘’ La fille lui répond :

‘’ Oh, c’est très intéressant, en effet. C’est un livre sur la sexualité, mais vu sous l’aspect statistique….par exemple, il est dit que ce serait les Indiens d’Amérique qui auraient le diamètre de pénis le plus élevé…..Tandis que les Polonais seraient les hommes dont le sexe est le plus long…….En ce qui concerne l’activité sexuelle, ce sont les médecins qui sont censés avoir la vie la plus active….

-‘’Oh, excusez moi, j’ai oublié de me présenter. Je m’appelle : Géronimo Kowalski, docteur en médecine ! ‘’

  

Un amateur de poker est complètement plumé, après 5 heures de jeu. Soudain son grand vainqueur lui dit :

‘’Je vous demande la permission de m’absenter quelques instants pour uriner. Cela ne vous ennuie pas ? ‘’

‘’Pas du tout ! Ce sera la première fois de la soirée que je saurai avec certitude, ce que vous avez en main !’’

  

Et pour clore ces histoires, vu sur une de mes fiches,……. même si vous en doutez :

‘’ Le pucelage est un oiseau qui s’envole….. quand lui vient la queue !!!!’’

Lagotriche à queue jaune.

septembre 12th, 2008

Lagotriche à queue jaune

On l’a redécouvert, il y a un peu plus d’une trentaine d’années. .

Le lagotriche à queue jaune (appelé aussi couramment le lagotriche de Humboldt) et à la fois le plus rare et le plus mystérieux de tous les primates. Il doit cette double particularité à sa distribution géographique extrêmement réduite. Ce singe est resté si énigmatique qu’aucun zoologue ne l’avait jamais vu, en chair et en os, avant le 27 avril 1974 !

La véritable découverte en revient à Alexandre de Humboldt, qui l’a décrit en 1812, sous le nom scientifique de ‘’Lagotricha flavicauda ‘’. En fait cet auteur n’a jamais aperçu ce singe vivant et il en fit la description d’après des peaux apprêtées, utilisées par les muletiers de Jaen, aux confins du Pérou et de l’Equateur. Ce singe laineux à queue jaune s’éclipsa totalement pendant 113 ans. Cependant, en 1925, un collecteur (personne qui jadis recueillait les impôts) parvint à se procurer deux peaux de ce singe invisible ; il les envoya au Musée de New- York, mais, inconnu des ‘’savants ‘’, personne ne s’y intéressa. Elles ne furent finalement identifiées qu’en 1963 !!!!!

L’année suivante, le voyageur anglais R .W. Hendee acheta 3 peaux près de Chachapoyas, le 26 janviers 1926 et les remit au Bitish Museum, à Londres, où le zoologue O. Thomas entreprit leur étude et baptisa l’espèce ‘’Lagothrix hendeii ‘’. Il fallut attendre 1963, pour voir l’américain J. Fooden revoir le genreLagothrix ; il reconnut alors que le singe laineux de Hendeii n’était autre que le singe découvert en 1812 par Humboldt.

En avril 1974, des zoologues américains et péruviens entreprirent une expédition dont l’unique objectif était la recherche de ce singe oublié. Un exemplaire put être ramené vivant à Lima, où il fit sensation. (Ma fiche étant de 1978, je n’ai aucune d’information, sur les us et coutumes de ce gentil personnage et je n’ai de plus rien trouvé sur le net en langue française. Si ce n’est que sa longueur de corps est de 60 cm et celle de sa queue de 65 cm.)

Classe : Mammifères ; Ordre : Primates ; Sous- Ordre : Plathyrhiniens, Famille : Cébidés ; Genre & Espèce : Lagothrix flavicaudata.

Acanthodactyle

septembre 11th, 2008

Acanthodactyle

Il est le plus vif des lézards.

L’acanthodactyle est un membre de l’immense famille des Lacertidès, mais pas n’importe lequel. On paraît que de tous les lézards, c’est lui qui détient le record de vitesse à la course. L’acanthodactyle porte un nom qui fait allusion aux épines, ou peignes, dont son munis ses membres postérieurs. Il a une vaste distribution géographique, à travers tout le désert du Sahara, mais il remonte aussi dans la péninsule Ibérique.

Il est extrêmement variable dans sa coloration, ainsi que dans les dessins, points et taches, qui ornent son corps. Il n’y a donc rien d’étonnant que dans le passé, les zoologues aient considéré chaque variété comme étant une autre espèce. On sait présentement que tous les acanthodactyles appartiennent à une seule grande espèce. Pour ce qui est de l’acanthodactyle ibérique, il ne fait aucun doute qu’il se nomme Acanthodactyle erythrurus.

Ce lézard n’est pas étroitement lié à la vie dans le désert, aussi le rencontre- t-on en des biotopes variés ; mais c’est avant tout dans les régions sèches, chaudes et au sol couvert de touffes végétales et de buissons épars qu’il se tiendra de préférence. Dans le Sahara, il affectionne les terrains pierreux où croissent des graminées. Il se cache parmi les fourrés de palmiers nains, ou dans les buissons de jujubiers sauvages.

Il n’a pas bon caractère, il est très agressif et mord avec un certain acharnement si l’on essaie de le saisir à main nue. Ce saurien belliqueux est sans cesse en train de houspiller ses congénères pour des raisons d’ordre territorial. Chaque mâle défend âprement son domaine vital. La femelle ovipare pond de 3 à 7 œufs et elle aura jusqu’à 3 pontes annuelles en Afrique du Nord. La longueur d’un adulte varie de 18 à 20 centimètres.

Classe : Reptiles : Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Sauriens ; Famille : Lacertidés ; Genre & Espèce : Acanthodactylus erythurus.

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