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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Baliste-clown.

mars 4th, 2009

Baliste- clown

Tout pour plaire !!! (Photo scannée d’une diapo !)

L’étonnante livrée qui lui a valu son nom de clown à ce baliste, n’annonce aucunement un comportement facétieux, mais bien un caractère particulièrement acariâtre. Il tient ce nom, de sa robe bariolée et de son ‘’maquillage ‘’ sophistiqué. De par sa robe somptueuse, ce baliste clown magnifique et coûteux fait la fierté de son propriétaire aquariophile. C’est le baliste le plus célèbre et le plus coloré. En liberté, il peut atteindre 50 cm, mais en captivité il ne dépasse pas les 30 cm.

Comme les autres membres de la famille des balistidés, ce poisson possède de fortes dents acérées, utiles pour ouvrir les oursins ou découper les carapaces des crustacés. Il peut également broyer le squelette calcaire du corail pour se régaler des polypes. Le premier rayon de la nageoire dorsale est modifié en une épine très dure et mobile derrière laquelle vient se bloquer un deuxième rayon. Elle permet au poisson de résister aux courants en s’ancrant dans les trous des massifs coralliens.

Il fréquente des eaux claires et évolue de préférence le long des tombants externes, jusqu’à une profondeur de 75 mètres. Les jeunes se tiennent à une profondeur inférieure à 20 mètres, dans des zones riches en grotte où ils se réfugient à la moindre alerte. En dehors de la période de reproduction, il est rarissime de rencontrer un couple. Le baliste clown est un solitaire, très territoriale qui ne tolère aucun congénère sur son territoire. On le trouve dans l’Océan -Indien et le Pacifique- Sud.

S’il est attaqué par un prédateur, il dresse deux épines tranchantes comme des lames de rasoir situées de chaque côté de sa queue et il en frappe la bouche de l’adversaire. La plupart des poissons l’évitent prudemment, seuls les grands balistes, comme ‘’l’olivâtre ou le ‘’ponctué ‘’passent près de lui sans s’inquiéter.

Coucou gris.

mars 3rd, 2009

Coucou gris

Il abandonne ses œufs aux soins d’autrui.

Le coucou est probablement l’oiseau de nos bois le plus populaire et qu chacun connaît. En réalité, si nous connaissons son appel mélancolique, lancé à intervalles rapprochés dans la forêt, rare sont, cependant, les amis de la nature qui ont eu la chance de l’observer.

Il est de même taille que la tourterelle des bois, 34cm pour une envergure de 59 à 61 cm, il est gris avec le ventre barré et brun en dessus, et parfois roux uni avec le ventre barré. Très timide et extrêmement méfiant, le coucou se tient caché parmi le feuillage et lorsqu’il se déplace, il vole d’un trait entre les frondaisons, sans prendre de la hauteur. Par sa taille, sa forme et sa coloration, il ressemble à un épervier. C’est un oiseau migrateur, qui va passer l’hiver en Afrique tropical.

Les mœurs et la biologie du coucou ont souvent fait l’objet de controverses vives entre les ornithologues. Depuis quelques années, la vie de cet oiseau commence à être mieux connue. C’est un insectivore, particulièrement friand de chenilles, d’araignées et autres bestioles. C’est le seul oiseau européen qui ne craigne pas de dévorer les chenilles processionnaires, garnies de poils longs urticants.

On sait depuis toujours que le coucou ne prend pas la peine d’élever lui- même sa progéniture. La femelle passe son temps à observer les allées et venues des petits passereaux. Dès qu’elle a repéré un nid contenant des œufs, elle s’empresse d’aller y déposer son propre œuf (1 par nid parasité, avec un maximum de 12 œufs à placer), profitant de l’absence des légitimes propriétaires. Généralement, elle enlève même un œuf de la couvée de ceux-ci. Le petit coucou, orphelin de père et de mère, éclôt rapidement, après quoi, son unique souci est d’éjecter les autres occupants, afin de rester seul dans le nid. Le petit coucou se développe, grâce au nourrissage de ses ‘’parents adoptifs ‘’, qu’il surpasse bientôt en taille !! Son poids adulte va de 90 à 142 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Cuculiformes ; Famille : Cuculidés ; Genre & Espèce : Cuculus canorus.

Mocassin à deux lignes.

mars 2nd, 2009

Mocassin à deux lignes

C’est le seul crotale noir.

Le mocassin à deux lignes, appelé ‘’cantil ‘’par les mexicains, est l’unique représentant des crotales américains à être entièrement noir, parfois brun extrêmement foncé ; avec pour tout ornement, deux lignes blanches courant de part et d’autre de la tête. Le tour de la bouche est également blanc. Cette coloration, à la fois sobre et très contrastée, fait du mocassin à deux lignes un serpent très beau et fort recherché.

Ce n’est toutefois pas un animal de compagnie avec lequel on peut jouer. Le mocassin, au venin virulent, est dangereux. Néanmoins, on ne déplore que peu de cas de morsures mortelles chez l’homme. C’est avant tout attribué au fait que les humains ne pénètrent guère en son biotope, qui est celui des marécages et lieux humides bordant les cours d’eau, et des lacs, où la végétation est particulièrement dense.

Vivant ainsi en paix, bien à l’écart des activités humaines, le mocassin aime à s’exposer aux rayons du soleil matinal. Lorsqu’il fait trop chaud, il gagne l’eau et s’y tient à demi submergé. S’il nage, c’est vire et de manière très gracieuse, en imprimant à son corps des mouvements ondulatoires.

Les mœurs et les modalités de la reproduction du mocassin à deux lignes ne sont qu’imparfaitement connues, car bien peu de zoologues ont observé ce reptile dans son habitat naturel. Il est vu dans les vivariums et dans les jardins zoologiques où sont aspect spectaculaire fait tout son effet. Son régime alimentaire consiste vraisemblablement en poissons, grenouilles et en rongeurs amphibiens. En captivité, le mocassin s’habitue à dévorer des rats et souris. Sa longueur adulte va de 80 cm à 1 mètre 10.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Crotalidés ; Genre & Espèces : Agkistrodon bilineatus

Grenouille-taureau africaine.

mars 1st, 2009

Grenouille -taureau africaine

Elle beugle comme un bœuf…

La grenouille- taureau africaine est une curiosité de la nature. Il en existe plusieurs espèces, groupées dans le genre ‘’Pyxicephalus ‘’. Les africains connaissent ces grenouilles sous le nom de ‘’Pyxies ‘’ mais aussi de ‘’ Bull- frogs ‘’, la première signification ayant un rapport avec son nom scientifique, la seconde avec l’étrange cri nuptial.

Le pyxicéphale est apparenté au bréviceps avec lequel il forme un groupe d’anoures ayant curieusement évolué pour occuper une niche écologique particulière qui est sèche, caractérisée par de rares pluies espacées par de longues périodes chaudes et sèches. On ne s’attendrait guère à trouver des grenouilles dans ces endroits plus ou moins arides et on est en droit de se demander par quel stratagème ces animaux, si dépendants de l’eau, parviennent à se maintenir et se reproduire.

La plus grande partie de l’existence de la grenouille – taureau africaine se déroule dans le sol, à plus ou moins grande profondeur. L’animal reste pratiquement immobile tant que dure la période sèche. Par un système sensoriel, extrêmement perfectionné, la grenouille ‘’perçoit ‘’la moindre averse et s’éveille aussitôt à la vie active. Elle se dégage rapidement et apparaît en surface.

C’est alors que le mâle enfle son énorme sac vocal (sous la gorge) et se met à émettre des coassements dont la sonorité n’a rien à envier aux beuglements du plus ardent taureau. Le sac vocal peut, distendu, atteindre la moitié du volume corporel de l’animal. Il est facile d’inciter la grenouille- taureau à ‘’faire un solo ‘’, en versant dans un arrosoir d’eau sur le sol à l’emplacement où se trouve enterré l’un de ces étranges amphibiens. L’effet est infaillible et immédiat.

La femelle ovipare pond de 800 à 2500 œufs de 2 mm, l’incubation est de 2 jours. La longueur du têtard est de 7 cm et l’adulte de 15 à 18 cm. La longévité est de 17 ans.

Classe : Amphibiens ; ordre : Anoures ; Famille : Ranidés ; Genre & Espèce : Pyxicephalus adspersa.

De ma boite à “images” . “6″

février 28th, 2009

Primina

Trouvée dans ma boîte à images …..

Jusque maintenant je vous ai montré des photos de l’époque où les ‘’vedettes ‘’ étaient jeunes ou encore dans le ‘’bel’’ âge.

Quand les années s’accumulent et que le physique s’étiole, il reste le principal, le caractère et la beauté intérieure. Malgré les peines, les croches- pieds et les peaux de bananes que la vie balance à chacun de nous, certains savent relativiser et ce dire qu’elle aurait encore pu être pire….la vie.

Ils jouissent au maximum de ce que leurs offre encore la vie. Bien sûr, ceux de cette époque ont pu vivre une vieillesse plus heureuse que la génération précédente, grâce à leurs actions et à celles de leurs enfants, ayant arraché au patronat et aux gouvernements successifs, des garantis pour leurs vieux jours, sans être à la charge des enfants. Que n’avons pas entendu ! Le patronat et la droite hurlaient à la mort, à la décadence des institutions et annonçaient des lendemains ardus pour tous.

Et pourtant, leurs avoir ou leurs comptes en banque n’ont jamais autant prospéré que durant les 70 dernières années et puis, pour gagner encore plus, ils se mettent à délocaliser leurs usines bâties, en grande partie, grâce à une classe ouvrière consciencieuse et laborieuse. Ils y avaient, encore par là, d’autres moutons plus dociles à tondre.

Puis voulant s’annexer le monde, ils commencent à jouer, notre fric au bonneteau bancaire, souvent sans autorisation de leurs mandants. Et les manipulateurs, tous sortis de haute écoles, au bout d’un certain temps, sentant venir la banqueroute, commencent à ‘’bidouiller’’ les comptes plutôt que de rectifier immédiatement le tir. Et là ce sont des centaines de milliards qui se sont évaporés du jour au lendemain. Encore heureux que les fonds de pension n’aient pas eu le succès escompté par nos dirigeants de droite et leurs amis les banquiers. (Sans compter les cadavres qu’il doit encore y avoir dans les placards)

Et là, qui est le ‘’dindon de la farce ‘’ ? Encore le salarié, non seulement corvéable à merci ou chômeur ‘’patenté ‘’, mais aussi en tant que contribuable ; il doit payer les pots cassés, et renflouer les comptes des actionnaires, par le licenciement à tout va et l’obligation aux ‘’rescapés’’ de travailler plus pour gagner….moins. Avec les gars qui attendent de l’embauche, le chantage va être de mise. Etc…..

Tout ceci pour vous dire, que vous ne verrez peut-être plus des personnes de 89 ans, comme ci-dessus, témoignant encore de la joie de vivre. Pour le 4 heure, une tasse de café avec quelques morceaux de gâteaux et la présence d’un ou plusieurs membres de la famille ou d’amis, et c’est le bonheur….simple peut-être mais le bonheur. Regardez ce sourire et ces yeux qui pétillent.

C’est ma mère, Primina à 89 ans et 4 années avant de lever le pied.

J’ai peur que la génération, qui nous suit, n’ait plus la garantie d’une vieillesse sereine.

Etourneaux communs ou sansonnets

février 27th, 2009

Etourneaux

Il a rapidement colonisé l’Amérique du Nord.

L’étourneau, autrefois appelé sansonnet, est l’un des hôtes les plus populaires de nos bois et campagnes. C’est un migrateur qui nous arrive d’Afrique dès les premiers jours de février. En maints endroits, on voit les premiers étourneaux en janvier. De plus, il y a certaines régions d’Europe, où cet oiseau montre une nette tendance à la sédentarisation.

Il est plus petit que le merle noir, avec une courte queue. Son plumage est noir avec des reflets, vert métallisé et couvert de points blancs. Peu d’oiseaux ont une faculté d’adaptation aussi grande que l’étourneau. Il modifie sans cesse son mode de vie et s’adapte merveilleusement aux conditions changeantes du milieu naturel, où il va vivre.

C’est un oiseau sociable, qui vit en troupes nombreuses, surtout en automne. Pendant la saison de reproduction, soit dès le début du printemps, les couples ont tendance à s’isoler pour élever leur progéniture. Cet isolement n’est pas obligatoire, comme on peut le constater lorsque ces oiseaux trouvent des conditions adéquates pour nicher, telles qu’arbres creux ou nichoirs disposés les uns près des autres. L’étourneau ne niche que dans des cavités d’arbres ou des nichoirs artificiels.

Après avoir élevé leur nichée, les couples se rassemblent et forment des vols de plus en plus nombreux. Ils se déplacent en communauté, à la recherche de graines et surtout de fruits mûrs. A l’époque des vendanges, les étourneaux constituent un péril pour les vignes, sur lesquelles ils s’abattent par milliers pour faire bombance de raisins. Le soir, ces vols se dirigent vers des roselières ou des fourrés touffus, pour passer la nuit. Depuis le début du siècle dernier, l’étourneau a envahi les Etats-Unis et si est établi avec succès. La femelle dépose dans le creux d’arbre de 4 à 6 œufs, qui seront couvés durant 12 à 14 jours. Les jeunes quittent le nid entre le 16ème et 25ème jours. Adulte, il fera entre 17-18 cm, avec une envergure de 37 cm et un poids de 70 à 90 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Sturnidés ; Genre & Espèce : Sturnus vulgaris.

Serpent- corail africain.

février 26th, 2009

Serpent -corail africain
Il passe sa vie, caché dans le sol.

Le serpent- corail africain ne le cède en rien aux différentes espèces de serpents –corail sud –américains, sur le plan de la coloration. C’est en effet un très beau serpent, paré de couleurs vives, disposées en dessins variés. En fait, il en existe plusieurs espèces, qu’on désigne sous ce même nom collectif. Ces serpents appartiennent à la famille des Elapidés, et sont apparentés aux cobras, aussi bien qu’aux serpents- corail du Nouveau- Monde.

La biologie des serpents – corail est encore imparfaitement connue, du fait que ces reptiles ont la curieuse coutume de vivre constamment cachés dans le sol. On ne les voit jamais et les rencontres ne sont que le fruit du hasard. C’est principalement lorsque, pour une raison ou une autre, on fouille le sol ou que l’on défriche un bout de terrain pour y faire des labours, qu’il est possible d’apercevoir un serpent- corail africain.

La tête arrondie et le museau obtus permettent au serpent –corail africain, tout comme à ses cousins américains, de creuser des galeries dans le sol meuble. Il aime à se tenir dans les souches pourries d’arbres tombés de vieillesse ou abattus. C’est surtout dans ces endroits qu’il faut le chercher.

Lorsqu’il est inquiet ou irrité, le serpent- corail redresse la tête et le cou à la manière des cobras. Non agressif, son tempérament placide en fait un animal peu dangereux, en dépit de la toxicité de son venin. Sa bouche est trop petite pour qu’il constitue un danger pour l’Homme. Il est surtout actif la nuit et se nourrit de lézards et de petits rongeurs. Adulte, sa longueur va de 35 à 50 cm.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Elapidés ; Genre & Espèce : Aspidelaps scutatus.

Chaetodon empereur ou ange de mer impérial.

février 25th, 2009

Chaetodon empereur ou ange de mer impérial

L’aristocrate des récifs coralliens. (Déjà mis sur blog, le 2/12/2007, mais cette photo est scannée d’une diapo !)

Le chaetodon empereur a hérité de plusieurs noms, tels qu’Ange de mer impérial, Empereur du Japon ou poisson couronné. C’est l’un des représentants les plus spectaculaires du monde coloré des poissons de récifs. Largement distribué dans les eaux tropicales de l’océan Pacifique, il habite la majorité des récifs coralliens de ces régions. On l’a aussi trouvé en mer Rouge.
Juvénile, il a la robe : bleu foncé à noire ornée de cercles concentriques de couleur branche.
Adulte : le museau est bleu clair et entouré de bleu foncé. L’œil est masqué par une bande noire, elle aussi entourée de bleue et qui descend jusqu’aux joues. Le front est jaune et une bande verticale de la même couleur descend sur l’opercule. L’arrière de l’opercule, les pectorales et le ventre sont noirs, tout l’arrière du cou est bleu à bleu turquoise et strié de rayures jaunes parallèles et obliques, qui remontent progressivement vers le dos du poisson. La caudale est jaune et l’anale est noire avec des stries de couleur bleue.
Dans la nature, c’est un excellent nageur qui vit sur le versant exposé à la mer, dans la zone soumise à l’influence de la houle et des courants marins. C’est un poisson territorial, qui vit solitaire ou par couples dans une caverne ou anfractuosité de rocher. Il est actif de jour comme de nuit et nage souvent en pleine eau. A la moindre alerte, il regagne son petit territoire, dont il défend l’accès à ses congénères et aux autres poissons. On a remarqué qu’il se prête avec une satisfaction évidente aux soins corporels prodigués par les poissons- barbiers du genre Labroïdes (Espèce déjà présentée sur ce blog.)
Sa nourriture consiste en polypes de corail, qu’il broute sur la roche des récifs. C’est un grand mangeur, assez facile à nourrir avec des moules, des crevettes et des vers en aquarium. Car en Europe, il est surtout connu comme poisson d’aquarium, qui est pourtant onéreux à l’achat et aussi difficile à maintenir en captivité. Il ne s’y reproduit d’ailleurs pas. De plus, certains individus ne passent pas de la couleur juvénile à celle d’adulte en aquarium.
Comme tous les poissons anges, il est hermaphrodite. C’est-à-dire que tous naissent femelles, puis certains gros individus dominants se transforment en mâles. Ils se reproduisent en couples, bien sûr, et émettent des œufs pélagiques. Hors aquarium, ils peuvent atteindre la taille respectable de 40cm.
C’est aussi l’une des plus grandes espèces de la famille, qui est d’ailleurs pêchée par les indigènes pour sa chair succulente, comparable à celle du saumon.
Classe : osteichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Chaetodontidés ; Genre & Espèce : Pomacanthodes imperator.

Petit Gravelot.

février 24th, 2009

Petit- Gravelot

Il tire son nom des grèves où il niche.

Le gravelot fait partie de la nombreuse sous- famille des Charadriinés, ou pluviers, on l’appelle aussi ‘’pluvier à collier ‘’, en raison de la bande caractéristique qui orne son cou. Parmi les espèces connues en Europe, citons le grand gravelot ‘’Charadrius hiaticula ‘’, qui fréquente surtout les bords de mer, et le petit gravelot (ci-dessus), qui préfère les rives des eaux douces.

Le petit gravelot apprécie particulièrement les îles à galets des grands cours d’eau. Outre sa petite taille, (45 cm pour une envergure de 34 à 36 cm), les teintes de son plumage le camouflent admirablement et il est vraiment difficile de déceler la présence d’un gravelot dans son habitat typique.

Très vif, il se déplace en sautillant parfois sur ses deux pattes, parfois à cloche- pied, de façon comique. Il se tient au repos sur une seule patte. C’est un oiseau sociable, qui vit en bandes comptant de dix à cent individus. A l’approche d’un intrus, les gravelots prennent leur essor en groupe compact pour aller se poser plus loin.

Rien n’est plus drôle que d’observer une bande de gravelots se nourrissant en bord de mer ; à chaque vague qui vient mourir en s’étalant sur la plage, les oiseaux reculent prestement, pour revenir en suivant le flot, répétant le mouvement des dizaines et des dizaines de fois.

Le petit gravelot se nourrit d’insectes divers et de larves, qu’il sait admirablement découvrir entre les galets ; il avale aussi des vers et de petits mollusques. Il ne construit pas de nid et se contente d’une simple cuvette moulée dans le sable pour y déposer ses œufs (3 à 5). La couvaison est assurée par les deux parents pendant 22 à 26 jours. Les jeunes commencent à voler à 20 jours. Le poids d’un adulte est de 40 à 45 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Charadriiformes ; Famille : Charadriidés ; Genre & Espèce : Charadrius dubius

Crocodile à front large.

février 23rd, 2009

Crocodile à large front

Il vit dans les cours d’eau Forestiers d’Afrique tropicale.

Le crocodile à front large est l’un des plus petits représentants de l’ordre des crocodiliens. (Maximum, 1 mètre 80). Il n’existe qu’une seule espèce appartenant au genre Osteolaemus, caractérisée par la tête très courte et large, au museau à peine plus long que large au niveau des yeux. Comme les autres crocodiles, celui-ci, a la partie dorsale du corps entièrement recouverte d’écailles osseuses, qui forment une solide cuirasse protectrice. La peau n’est mince que sous le ventre, à la gorge et à l’aisselle des membres.

La coloration de ce crocodile est variable. Les adultes sont noirs au dessus, avec seulement quelques petites taches jaunâtres sur les côtés de la queue et le ventre gris foncé. Les jeunes sont brun jaunâtre avec le corps parsemé de taches noires et de bandes transversales foncées.

Le crocodile à front large est un animal placide, pacifique et très lent dans ses mouvements. Il ne cherche presque jamais à mordre, ce qui est vraiment inhabituel chez ces reptiles. Ils vivent dans les petits ruisseaux à courant lent et dans les marais ombragés. Moins aquatique que les autres crocodiles, il ne craint pas de s’éloigner de l’eau pour entreprendre des randonnées terrestres. Il se cache dans un terrier situé à quelques distances de l’eau et on le rencontre parfois en plein jour, somnolant la gueule ouverte, sur des branches basses dans des endroits ombragés.

Il aime moins le soleil que les autres espèces africaines. Son mode de vie est assez mal connu. On pense qu’il se nourrit de petits animaux, notamment de batraciens et de poissons. Certains zoologues pensent qu’il mangerait aussi des fruits, mais le fait est incertain.

Classe : Reptiles ; Ordre : Crocodiliens ; Famille : Crocodilidés ; Genre & Espèce : Osteolaemus tetraspis.

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