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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» février

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De ma boite à “images” ……

février 7th, 2009

les 3 générations

Comme un gosse…….. eh oui comme un gosse, je me suis encore mis le pif dans ma ‘’boite à images ‘’. J’ai sorti 3 photos et me suis amusé à les mettre côte à côte.

Dommage que l’une ne soit qu’un ‘’médaillon ‘’d’un faire-part de décès celle de mon grand- père paternel et c’est même la seule photo que j’ai de lui. Les deux autres sont des photos prises en pieds. Aucune n’est prise aussi de la même distance. Je n’ai pas trouvé mieux.

Albino : 02/ 09 /1872 – 03/ 01/ 1957. Cette photo est, selon moi, prise quand il avait 70 ans.

Ermene-Gildo : 04/ 04/ 1900 – 11/ 04/ 1979. Fils aîné du précédent et mon paternel. Je situe cette photo vers ses 30 ans, puisqu’il était invalide à 33 ans. Il a volé 46 ans de vie……..selon lui !

Walter : 01/ 08/ 1931….La deuxième date peut attendre. Fils du précédent et petit- fils d’Albino. Photo prise le 23/ 02/ 1952. J’avais 20 ans, 6 mois et 23 jours.

Parfois le matin, quand je suis devant ma glace, je vois mon ‘’daron ‘’au même âge. En 2004, quand je suis rentré en clinique, après avoir passer une semaine sans même pouvoir avaler une goutte d’eau et même plus ma salive (J’avais perdu 14 kilos en 1 semaine), le premier matin, lors de ma toilette, je me suis vu dans la glace du lavabo et à ce moment là, j’ai cru voir mon père sur son lit de mort. C’est la première chose que j’ai dit à Eliane, lorsqu’elle est venue me voir.

Il y a peut-être moins de ressemblance entre mon grand- père et moi, mais il y en a tout de même. Ne serait-ce que les oreilles chez les 3 d’ailleurs ! Et même au point de vue de nos caractères entiers.

Poisson- loup.

février 6th, 2009

Poisson loup

Pas beau, mais des dents solides.

La famille des Anarhichadidés est représentée par 5 espèces dont 3 vivent dans le nord de l’océan Atlantique et les deux autres dans le nord de l’océan Pacifique. Ce n’est pas en vain qu’on les a appelés poissons- loups, car ils possèdent tous des dents très puissantes. Ils s’en servent pour extraire les mollusques fixés sur le fond de la mer. Ils mangent aussi des crabes et des échinodermes tels que les oursins.

Le broyage des carapaces et des coquilles use les dents, qui sont cependant remplacées chaque année. Durant cette période de renouvellement de la denture, ils ne mangent que des proies dépourvues de carapaces ou bien n’en prennent aucune. (Difficile d’avoir une alimentation moulinée dans ce lieu.)

L’absence de nageoires pelviennes est liée à l’allongement de leur corps, qui acquiert ainsi une plus grande souplesse et ondule comme celui des tritons. Bien dissimulés parmi les algues grâce aux rayures foncées de leur corps, les poissons -loups passent inaperçus. Quand ils se reposent dans une crevasse de rocher, ils font remuer légèrement leur corps, dont la ressemblance avec une algue mollement agitée se trouve renforcée. Ils passent l’hiver jusqu’à 450 mètres de profondeur.

La femelle pond entre 600 et 40 000 œufs, de 5 à 6 mm de diamètre. L’incubation dure 2 mois, surveillée par le mâle jusqu’au début du développement des embryons, après quoi, il les laisse à leur sort. Après avoir séjournés entre 2 eaux, les alevins gagnent le fond dès qu’ils mesurent 6 à 7 cm de long. Adulte, il fait 1 mètre 20 (maximum) pour 25 kg (maximum). La chair du poisson loup est bonne et ceci explique qu’il soit pêché régulièrement dans le nord de l’Europe. Il est commun dans l’ouest de la Baltique, autour des îles Shetland et Féroés, le long des côtes de Norvège et d’Amérique du Nord.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Anarhichadidés ; Genre & Espèce : Anarchicas- lupus.

Alouette calandrelle.

février 5th, 2009

Alouette calandrelle

Elle ne se perche pas sur les arbres.

En raison de ses couleurs pâles, qui se confondent avec celles du milieu ambiant (au moins en été) et de sa tendance à se cacher sous les touffes d’herbes, l’alouette calandrelle passe souvent inaperçue. Cependant, quand le mâle chante sur le lieu de reproduction, on le remarque immédiatement, car il s’élève presque verticalement, jusqu’à ce qu’il redevienne presque invisible.

Bien plus petite que l’alouette des champs, elle a le dessous blanchâtre uni, le dessus marron- jaune assez clair et fortement rayé. La queue courte a des rectrices externes blanchâtres. Contrairement aussi, à l’alouette des champs, elle descend comme une pierre et freine seulement à proximité du sol. L’alouette calandrelle aime les lieux secs où la végétation est court, voir clairsemé.

En Asie centrale, elle fréquente même les déserts comme ceux du Kyzylkoum, au nord du lac Balkhach et de l’Oust- Ourt. Au Kazakhstan, c’est l’oiseau le plus abondant de ces zones arides. Dans ce pays, elle niche dans les lieux couverts d’armoises, mais elle manque au dessus de 1600 mètres. Elle évite les terrains salés, mais ne craint pas de s’installer dans les dunes, à condition qu’il y ait des végétaux même clairsemés.

Le nid est placé dans un creux gratté par l’oiseau. Il se compose d’herbes et de tiges sèches, l’intérieur est tapissé de duvet végétal (Bourre de chardons, par exemple), de cocons d’araignées et même de mues de lézards. Les œufs sont blanchâtres ou verdâtres, tachetés de brun et de gris. Il y a deux pontes annuelles, l’une en avril mai et l’autre en juillet.

La calandrelle peut se passer d’eau, mais en profite s’il y en a dans le voisinage. Elle prend des bains de poussière sur les chemins. En Europe, elle migre au mois d’octobre pour gagner le nord de l’Afrique ; les sujets asiatiques se rendent en Inde, en Afghanistan, et en Iran.

La femelle pond de 4 à 5 œufs, l’incubation dure 13 jours. Les petits restent au nid de 9 à 11 jours et sont nourris par les deux parents. Adulte, elle fait : 13,5 cm, pour une envergure de 27 cm et un poids de 22 à 25 grammes. La vitesse en vol est de 40 à 50 km/H.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Familles Alaudides ; Genre & Espèces :
Calendrella brachydactyle.

Galago de Demidov.

février 4th, 2009

Galago de Demidov

Un hôte minuscule de la forêt vierge.

Le galago de Demidov représente une ses plus petites espèces du sous- ordre des prosimiens. Il occupe la zone forestière tropicale qui s’étend de l’Afrique occidentale au cœur de l’Afrique orientale.

De la taille d’un rat, il possède une large tête pouvant effectuer une rotation de 180%, un museau court et des yeux particulièrement développés. Les oreilles minces et nues peuvent être repliées à volonté, comme les ailes d’un scarabée, en se plissant soit par leur base, soit en se rabattant par la pointe. A peine visible alors, elles peuvent être redressées au moindre bruit.

Comme tous les galagos, l’animal utilise ce moyen pour atténuer le bruit provenant de l’environnement et pouvoir dormir lorsqu’il fait jour. (Pourquoi pas nous ?) Arboricole et très actif, il vit généralement à l’étage supérieur de la voûte forestière, alors que les autres galagos préfèrent l’étage inférieur. Ses déplacements dans les arbres se font verticalement et ce petit animal grimpe même plus rapidement que les écureuils. Il utilise aussi la manière érigée et progresse alors comme les kangourous, par bonds. Certains sauts peuvent même atteindre les 1 mètre 80, voire 2 mètres

Bien qu’essentiellement nocturne, le galago de Demidov peut être actif durant les heures diurnes. Au repos, ces animaux dorment en petits groupes, serrés les uns contre les autres, dans un creux d’arbre, un nid abandonné ou confections par leurs soins et garni de matériaux les plus divers. Leur vocabulaire semble assez étendu et les cris variés qu’ils émettent ont des significations différentes selon leur comportement.

La femelle après 4 mois de gestation, met bas de 1 à 2 petits et faire une portée ou deux par année. Adulte, il fait 13 à 16 cm de longueur de corps et 18 à 20 cm de queue ; le tout, pour un poids de 100 grammes.

Classe : Mammifères ; Ordre : Primates ; Sous –Ordre : Prosimiens ; Famille : Galapidés ; Genre & Espèce : Galago demidovi.

Grenouille- verte.

février 3rd, 2009

Grenouille verte

Elle représente un casse- tête pour les zoologues.

La grenouille verte, que tout un chacun connaît bien, et qui anime les étangs et les petits lacs de ses coassements sonores, est en réalité un des animaux d’Europe des plus controversés. La classification et l’identité même de cette espèce ont été et étaient encore sujettes à controverses dans les milieux scientifiques, en 1975. La théorie la plus récente veut que la grenouille verte soit un hybride naturel stable entre la grenouille rieuse (eh oui !!) (Rana ridibunda) et la grenouille de Lesson (Rana lessonae).

Ainsi, ‘’Rana esculenta ‘’ ne serait pas véritablement une espèce propre, mais bien le produit de ‘’mésalliances ‘’dans le monde crépusculaire des marécages. Quoique en pensent les spécialistes, nous connaissons cette belle grenouille verte et nous apprécions la vie qu’elle nous apporte, dans les zones humides si menacées à l’heure actuelle ; avant d’en apprécier les cuisses dans nos assiettes.

La grenouille verte a des mœurs essentiellement aquatiques et on ne la rencontre jamais loin de l’eau. Elle se tient généralement posée au bord, ou sur quelque objet flottant ou émergeant de l’eau, d’où elle plonge dès la moindre alerte. Sa fuite est rapide et elle nage en zigzag sous l’eau pour aller se cacher dans la vase. Un temps plus ou moins long s’écoule, avant qu’elle ne re-pointe le bout du nez à la surface.

Elle se nourrit de toutes sortes de proies vivantes, qu’elle capture en les happant brusquement, avec sa bouche garnie de nombreuses dents pointues. En automne, la grenouille verte se retire dans la vase où au fond de quelque trou de la berge, entrant en hibernation jusqu’en mars. Il arrive cependant, durant des hivers cléments, d’apercevoir des grenouilles vertes en activité, mais c’est exceptionnel.
Ovipare, la femelle pond de 2 000 à 6 000 œufs, qui éclosent au bout de 5 à 7 jours. L’œuf fait de 1 à 1,5 millimètre. Le têtard de 4 à 4,5 centimètres, et l’adulte de 7 à 12 centimètres. Le mâle est plus petit que la femelle. La maturité sexuelle vers 3 ans et la longévité de 6 ans, si l’homme lui prête vie.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Anoures ; Famille : Ranidés ; Genre & Espèce : Rana esculenta.

Nautile.

février 2nd, 2009

Nautile.

Photo scannée d’une diapo prise en Nouvelle- Calédonie.

Les nautiles sont des céphalopodes tétrabranchiaux marins.

Leurs nombreux tentacules (environ 90) ne comportent pas de ventouses. Leur coquille est développée et enroulée vers l’avant, en forme de spirale. L’intérieur est cloisonné en différentes loges. Le corps du nautile occupe la dernière loge qui est la plus grande.

Un siphon traverse les cloisons. Les loges que n’occupe pas l’animal contiennent un mélange de gaz et de liquide. (2 à droite et 2 à gauche.) Il se déplace par réaction en projetant de l’eau via un entonnoir. Ils peuvent également ramper lorsqu’ils se trouvent sur un sol solide.

Leurs yeux sont constitués de simples chambres noires ouvertes par une pupille étroite. Chaque œil est équipé de deux tentacules ophtalmiques.

Ils se trouvent près de certaines îles du Pacifique, et au large des côtes australiennes. Ils abondent à environ 400 mètres de profondeur. Ils se nourrissent de déchets organiques. Ils craignent la lumière, et ne supportent pas une température supérieure à 24°C. La longévité est de 6 ans.

Classe : Céphalopodes ; Ordre : Nitilida ; Famille : Nautilidae ; Genre & Espèce : Notilus pompilius.

PS : article de Wikipédia.

Traquet bleu.

février 1st, 2009

Traquet bleu

Le mâle cherche un domicile puis on choisit à deux.

Mois vivement coloré que le ‘’Western bluebird ‘’ des américains, (Sialia mexicana), ce passereau est un montagnard typique. Il vit dans les près- bois à partir de 2 000 mètres et va jusqu’à 4 000 mètres. En hiver, il effectue une petite migration qui le conduit dans les vallées, mais ce n’est valable que pour les oiseaux nichant à partir du Colorado et de l’Oregon. Plus au nord, l’espèce est en effet franchement voyageuse.

Les mâles arrivent au printemps quelques jours avant les femelles. Ils cherchent tout de suite un emplacement de nidification et le font visiter à leur future compagne. Si celle-ci trouve l’endroit agréable, ils construisent tous les deux le nid à l’intérieur de la cavité choisie dans un tronc d’arbre, une souche à moins qu’ils ne squattent un nichoir. Ils y installent des tiges d’herbes et la femelle y pond des œufs bleu pâle (4 à 6). Le mâle couve un peu, mais de façon irrégulière ; en fait sa tâche consiste à nourrir la femelle, pendant les 14 jours d’incubation. La longueur d’un adulte est de 17 cm.

Quand les petits sont éclos, les deux parents se relaient pour donner la becquée. Ils effectuent ainsi, chaque jour, de 200 à 300 allées et venues. La nourriture du traquet bleu se compose d’insectes : (carabes, cicindèles, coccinelles, charançons, fourmis, guêpes et abeilles, punaises, mouches, chenilles et orthoptères), auxquels il ajoute de petits fruits.

En automne, cet oiseau de tempérament plutôt solidaire forme néanmoins de petits groupes qui partent vers le sud. De nature paisible, le traquet bleu sait défendre avec énergie l’endroit où il niche et il repousse les compétiteurs comme les pics et les moineaux. Son principal prédateur est la buse de Cooper. La femelle est brunâtre avec un peu de bleu sur le croupion, la queue et les ailes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : turdidés ; Genre et Espèce : Sialia Currucoides.

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