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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» juillet

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Demain……

juillet 31st, 2009

Une de plus sur le râble.

Une de plus sur le râble !!

Voilà une photo prise le 26 de ce mois, lors de la fête des ‘’3 anniversaires’’. Pour celles et ceux qui se souviennent de 2004, vous pouvez voir, que je me suis ‘’remplumé ‘’, pas des 16 Kg que j’avais perdus, mais de 5 kg tout de même.

Juste ce mot, pour me permettre de me reposer, aujourd’hui, de toutes les 43 années de labeur que j’ai faites et que je trouve suffisantes, n’en déplaise à ceux qui trouvent que nous avons les capacités physiques de faire durer notre carcasse, quelques années de plus.

Travailler plus pour gagner plus, c’est exactement la même chose, que ‘’travailler’’ plus pour se magnifier. Nous avons pu voir qu’il est très difficile, de papillonner sur tous les fronts, et de faire un travail bâclé, sans aucune étude de fond. Même avec une armada de conseillers, de ministres, de sous ministres, de création de commissions, notre Thuriféraire du pouvoir, s’est fait rappeler à l’ordre par une petite chose de rien du tout…..son corps. Espérons que sa tête aura aussi compris la leçon.

Je vais essayer de prolonger la joie de jouir de cette période que nous avons arraché au patronat ainsi qu’à la droite longtemps au pouvoir et que nous avons, pour certains, largement payé par notre santé. Très peu vont encore pouvoir le faire, dommage d’avoir laisser brader le patrimoine que nous pensions léguer à nos enfants. C’est le retour aux petits vieux qui vont se doper pour travailler, ou alors, comme ça devient le cas, s’exterminer soi-même sans attendre que le travail le fasse sous la pression de patrons de plus en plus voraces et d’un gouvernement de plus en plus aux ordres.

Pensez à vous et aux vôtres !

Chamésaure du Cap.

juillet 30th, 2009

Chamésaure

Un lézard aux membres atrophiés.

Les chamésaures sont des reptiles purement africains et forment l’un des 4 genres d’une famille ne comptant qu’une vingtaine d’espèces. Presque tous vivent en Afrique du Sud. Proche des gerrhosaurinés, les lézards plats, les chamésaures ne le sont, pourtant, pas autant qu’eux. En raison de l’allongement de leur corps, de la petitesse de leurs pattes très réduites, ils ressemblent à des serpents.

Chez deux espèces, les vestiges des membres sont dépourvus de doigts ; chez l’espèce ci- dessus, chaque extrémité porte seulement 2 doigts bien développés, les autres sont vestigiaux. La normalité est bien entendu de 5 doigts comme chez ‘’C. Aeneae ‘’. La queue deux fois plus longue que le corps, contribue à distinguer les chamésaures des autres sauriens. Le chamésaure à grandes écailles ‘’C. Macrolepis, n’a pas de pattes antérieures ; ses membres postérieurs sont, de plus, réduits à un tronçon, muni d’un seul doigt armé d’une griffe.

Le chamésaure vit dans les steppes pierreuses où la végétation se réduit à des plantes herbacées et des broussailles dispersées. Très vif, il avance rapidement, en faisant onduler son corps comme un serpent ; car ses pattes ne pouvant servir à la locomotion, restent collées au corps.

Il se nourrit d’insectes, des orthoptères en particulier, ces sauterelles de la famille des Tettigoniidés. La reproduction a été observée à la fin de l’été austral. Entre autres caractères anatomiques particuliers, on peut signaler que ces chamésaures ont des vertèbres munies d’articulations supplémentaires. Ovovivipare, la femelle va rejeter de 4 à 5 petits, qui font à la naissance de 12 à 15cm. Adultes, ils feront 55 cm environ.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Sauriens ; Famille : Cordylidés ; Genre & Espèce : Chamaesaura anguina. ( Chamésure du Cap)

Varan du Nil.

juillet 29th, 2009

Varan du Nil

C’est le plus grand lézard d’Afrique.

Le varan du Nil est l’un des quelque 30 espèces formant la famille des Varanidés, distribuées dans toutes les régions chaudes du monde, sauf en Amérique. Le varan du Nil est la plus grande espèce africaine. On le rencontre pratiquement partout au sud de la ceinture aride saharienne.

Il vit aussi bien en savane que dans la forêt, mais sa présence est toujours liée à celle de l’eau. Il ne saurait subsister sans eau. Il a des mœurs semi- aquatiques et passe parfois, des journées entières, immergé dans une rivière ou un marécage, tant et si bien que certaines personnes étrangères à la région, le confondent avec un petit crocodile, car il fait tout de même 2 mètres 30 de long.

C’est un animal d’allure assez gauche, marchant lentement en se dandinant et en laissant traîner sa longue queue, qui imprime une trace très caractéristique sur le sable et le sol boueux. Il ne faut pas se fier à cette apparence placide, car ce varan est capable de courir avec une rapidité insoupçonnée. Il nage et plonge à merveille, comme si l’eau était réellement son habitat exclusif.

Comme toutes les autres espèces, le varan du Nil est un carnassier redoutable, qui chasse tout ce qui bouge et dévore tous les animaux dont il peut se rendre maître. Parmi ses aliments préférés figurent les œufs d’oiseaux et de crocodiles. Comme le font les serpents, les varans avalent leur proie entière, ce que permet, leur gueule s’ouvrant très largement et leur cou extrêmement souple, dont la peau peut se détendre pour livrer passage à une proie volumineuse. Le varan du Nil habite dans un terrier qu’il a creusé lui-même, ou qu’il a adopté après le départ du propriétaire. Ovipare, la femelle pond jusqu’à 35 œufs, la durée d’incubation est de plusieurs mois. La longévité est, en moyenne, de 15 ans.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Sauriens ; Famille : Varanidés ; Genre & Espèce : Varanus niloticus.

Problème de connexion

juillet 28th, 2009

Je ne sais quand je pourrai mettre un sujet ou venir vous voir. Normalement, ils ne viendront que le 5 août pour voir chez nous, à moins qu’ils n’arrangent directement de chez eux !!!

Ciao et à Plus !!

Pour égayer un peu la note, voici le chien que nous avions. Ennot à 13 ans. Photo de 2003

Ennot à 13 ans

Fuligule morillon.

juillet 27th, 2009

Fuligule morillon

Il mérite bien son nom que lui a valu son plumage noir.

Le fuligule morillon, ou simplement le morillon, est le plus commun et le plus répandu des fuligules qui passent l’hiver en Europe centrale et méridionale. Plus petit que le colvert, il a, en plumage nuptial, le dessus noir, les flancs blanc éclatant nettement délimités, une fine huppe et le bec gris bleu. Sa queue est courte. La femelle est brune, à flancs sombres et ventre presque blanc. Ils ont les yeux jaunes, les pattes grises et noires.

C’est un canard plongeur, qui a un régime alimentaire plus carnivores que les autres canards. Il se nourrit principalement de mollusques et de petits crustacés. En été, les insectes constituent un appoint important à son alimentation. Le morillon a appris, également, à recueillir toutes sortes de déchets auprès des embouchures d’égouts.

Il plonge bien et descend sans peine jusqu’à 7 mètres de profondeur. La durée d’immersion et de 20 à 50 secondes, après quoi, il remonte à la surface pour se reposer. Très actif, ce petit canard est sans cesse en mouvement. Il est plutôt diurne, mais ne dort pas toute la nuit ; lorsque la faim le tenaille, il entreprend de plongées nocturnes.

Comme tous les canards plongeurs, le fuligule morillon passe un temps considérable à se lisser le plumage. La toilette et les soins corporels semblent très importants pour lui. On rencontre souvent cet oiseau en troupes nombreuses sur les lacs, où il se mêle volontiers aux autres espèces. Il devient rapidement familier et accepte de se laisser nourrir, spécialement dans les villes. Outre les lacs, où on le rencontre le plus souvent, il se tient aussi sur les étangs, les bassins de retenue, les marais inondés et même les eaux saumâtres des lagunes et estuaires.

C’est le plus éclectique des canards plongeurs et celui qui s’adapte le mieux aux altérations du milieu liquide et aux pollutions. La femelle pond de 6 à 12 œufs qu’elle couvera de 23 à 26 jours. Adulte, il fait de 36 à 38cm de long, pour une envergure de 69 à 73 cm. Quant au poids, il varie de 650 grammes à 1065 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anatidés ; Genre & Espèce : Aythya fuligula.

Une belle journée…..

juillet 26th, 2009

Une belle journée.

Nous avons fait un tir groupé avec 3 anniversaires. Pas de photos des personnes, juste ce gâteau très chargé d’années.

38 ans, 40 ans et 78 ans, même si les jours sont le 7 août, le 28 juillet, et le 1 août.

Juste Eliane qui nous dit :’’ dépêchez vous de prendre les photos !! »

Bonne fin de journée à vous, le vieil homme a besoin de repos.

26.07.2009 014

26.07.2009 015

26.07.2009 013

Le Saut du Tarn 2

juillet 25th, 2009

Four électrique à chariot

Toujours le chantier au ‘’Saut du Tarn ‘’. Je vous mets le four en premier. Four à résistances électriques en Molybdène. Avec une sole- chariot. Il reste la porte et le chariot à faire.

Nous sommes restés 2 fins de semaine, nous avions donc le samedi après midi et le dimanche pour nous. Dans une région comme celle-ci, nous faisions toujours recherche des produits du terroir. Nous partions toujours de chez nous, avec nos Cubitainers de 22 litres, pour réapprovisionner nos ‘’caves ‘’. J’en avais toujours 2 dans le véhicule. Et puis, le jambon et les saucissons à la cendre, les tripoux, etc…..Et 15 jours plus tard, je mettais le vin en bouteille !!

Rue de Cordes

Cordes-sur-Ciel dans son décor naturel.

Le premier dimanche, dans notre recherche de la vigne, nous sommes arrivés à ‘’Cordes-sur-Ciel ‘’, cité médiévale et cathare je crois, alors nous avons visité. Certaines bâtisses sont encore pas mal, mais d’autres sont dans un état assez délabrées. Beaucoup d’ateliers d’artistes et d’artisans, des hôtels- restaurants et des magasins de souvenirs évidemment, enfin un lieu à connaître si vous passez à ses pieds.


Rue de Cordes avec ses hôtels- restaurants.

A midi, nous avons déjeuné, un peu plus loin, dans un restaurant agréable et calme. Puis l’après –midi une petite poussée jusqu’à Gaillac, où nous avons couru les chais. Nous avons trouvé l’élixir que nous désirions et annonçons que nous passerions le prochain dimanche.

Maison du Sénéchal

Maison du Sénéchal. (Magasin à souvenirs)

Dans le courant de la semaine, le boss est passé, nous a laissé une petite (non soyons honnêtes) une somme assez conséquente pour que nous allions le dimanche suivant faire un repas, avec les 2 gars de Stein- Roubaix, monteurs de la carcasse du four, qui nous ont servi de manœuvre, plutôt que de chercher un intérimaire. Puis, il nous a demandé : ‘’ Vous avez fait le tour des chais ?’’, (Vous voyez comme il nous connaissait bien !), à notre réponse affirmative, Il nous a demandé les prix et laisser de l’argent pour 50 bouteilles de rouge et autant de blanc. (Oui, lui ne prenait qu’en bouteilles.) Et aussi 5 jambons. Le véhicule que nous avions, un break, appartenait à la boite et jamais, il n’a chipoté sur l’essence que nous consommions hors jours travaillés.

Ecce homo

Ecce Homo. Il aurait peut-être fallu qu’il soit devant la porte du restaurant, pour faire fuir la « volière » du jour. Bien que …..

Le deuxième dimanche, nous sommes donc retournés au petit restaurant si calme et sympa. Nous étions à l’apéro, quand sont arrivées plusieurs voitures et un quart complet…rien que des femmes. Elles venaient faire là, un repas de fin de retraite ou de congrès, ou autre chose…… Et bien, nous avons mangé en accéléré, car c’était vraiment une volière. Toutes en train de caqueter à qui mieux- mieux.

Nous avons donc eu notre temps, pour aller chercher les ‘’dives bouteilles’’ et faire le plein de nos Cubitainers du côté de Gaillac, et au retour, nous sommes passés par Ambialet, (Presqu’île dans les boucles du Tarn), pour les jambons, saucissons et les boites de tripoux. Que nous avions commandé, la semaine précédente.

Le vendredi suivant vers 16 heures, chantier fini, nous sommes rentrés chez nous en passant par Montpellier. Le break chargeait, car nous avions aussi dedans le petit matériel de chantier et nos caisses à outils. A la maison vers 3 heures.

Le Saut du Tarn.

juillet 24th, 2009

Le ‘’Saut du Tarn ‘’était le nom que portait l’usine où nous avons fait un four à chariot. Elle se trouvait à St Juéry. Je pense que ce chantier fut en 74.

Dans cette usine, était fabriqué des : limes, râpes, lames de faux et sûrement d’autres pièces. Pendant la guerre en 14-18, même des obus y ont été fabriqués, à l’époque, il devait y avoir dans les 2000 salariés des deux sexes. L’usine a été fermée en 1983, mettant sur le carreau plus de 1000 salariés.
En 1995, des anciens et anciennes de l’usine ont décidé d’y créer le ‘’Musée du Saut du Tarn ‘’. L’avantage de cette usine était qu’elle produisait elle-même son énergie, grâce au Tarn.

Le Saut du Tarn

Avec le compagnon qui était avec moi, oui le même, ‘’le parieur’’, nous avons un peu visiter la région. En premier, la ville d’Albi. Voici la première photo que j’ai prise en y arrivant. Pas formidable, mais ce bâti en hauteur, m’impressionnait. Bien sûr, j’en ai prise d’autres, mais, je suis tombé en admiration de la cathédrale de cette ville.

Albi

A première vue, de loin, elle ne paie pas de mine, toute en briques rouges, elle fait plus château fort que cathédrale, jusqu’à ce qu’on atteint son portail principal, et là…. On admire le travail.

Cathédrale d'Albi Portail

La Nef.

Quand je suis rentré, j’ai retenu mon souffle, de peur que ce “mirage” s’évanouisse, c’était si beau .

Ses peintures où sont représentés certaines images bibliques, comme l’Annonciation, l’apparition au Cénacle ; le Couronnement de la Vierge et bien d’autres, ont été exécutés par des peintres italiens qui sont restés inconnus, sauf un je crois. Ils n”étaient pas des peintres de grands renoms, mais des artistes qui connaissaient leur métier sur le bout des doigts. C’est la cathédrale d’Europe avec le plus de surface peinte. 15 000 mètres carrés.

La voûte Peinte.

Je pense que cette partie devait être réservé au chapitre des chanoines, pour certains ‘’Le promenoir ‘’, mais je ne le pense pas. Plutôt l’endroit de débat entre les membres du chapitre.

Pour le chapitre

Je vous en mets une tout de même du vieil Albi. Le gars devant la vitrine, est justement le compagnon, dans le temps, j’aurais écrit ma coterie. Ce terme était donné aux compagnons susceptibles de travailler en hauteur : maçons, tailleurs de pierres, charpentiers, zingueurs etc, qui devaient s’appuyer parfois sur l’entraide de ses coteries.

Rue du vieil Albi

Rat des bois.

juillet 23rd, 2009

Rat des bois

Il pullule en Amérique du Nord.

Il existe quelques 22 espèces distinctes de rats des bois, connus généralement sous le nom de néotomes, mot découlant de leur nom scientifique. Ces rats vivent dans tout le continent nord-américain ; de la Colombie britannique au nord, jusqu’au Nicaragua et au Guatemala en Amérique centrale.

Il est difficile de situer avec précision l’habitat de ces rongeurs, car on peut en fait, les rencontrer partout, dans les biotopes les plus variés : de la jungle humide tropicale, au dessert le plus sec. Dans toutes les situations, les néotomes préfèrent vivre parmi les rochers. Indépendamment de son aspect physique plaisant, (donné à la fois par la douceur de son pelage, et la queue assez bien fournie en poils), ce rat offre une biologie digne d’intérêt.

Il a, en effet, pour habitude de construire un nid géant : c’est une véritable forteresse, au cœur de laquelle il est parfaitement à l’abri de ses ennemis naturels. Aucun carnivore ne peut déloger un rat des bois terré dans son nid. Cette construction circulaire, dont le diamètre peut atteindre 2 mètres, est faite de branchettes, de rameaux, d’épines et de raquettes de cactus. Tout objet digne d’intérêt est porté ou traîné jusqu’au nid.

La composition des matériaux de ce nid diffère, bien entendu, chaque fois, en fonction de la production végétale du milieu naturel où réside l’animal. Les nids, les plus ‘’terrifiants ‘’ sont ceux que construisent les néotomes des déserts du sud- ouest ; ils sont entièrement bardés de parties de cactus. Il y a là de quoi décourager le plus affamé des coyotes. Un certains nombres de rats des bois vivent dans les arbres et construisent leur nid dans les branches.

Après une gestation de 30-37 jours, la femelle met au monde de 1 à 4 petits. Qui adultes feront 17 à 22 cm de long pour le corps et de 10-19 cm pour la queue. La maturité sexuelle est à 1 ans.

Classe : Mammifères ; Ordre : Rongeurs ; Sous- Ordre : Myomorphes ; Famille : Cricétidés ; Genre et Espèce : Neotoma lepida

Anaconda

juillet 22nd, 2009

Anaconda

On affirme qu’il atteint 15 mètres de long, mais ce n’est qu’une légende.

L’anaconda, le plus grand serpent du Nouveau- Monde est apparenté aux boas et aux pythons. Si ce n’est le plus long serpent du monde, il surpasse cependant la majorité des boïdés par le diamètre de son corps. Par son poids et son volume, il figure parmi les plus gros reptiles actuels. On prétend souvent que l’anaconda atteint et dépasse même largement les 10 mètres, mais il me semble que les 8 mètres sont déjà un métrage plus juste.

On connaît bien certains spécimens longs de 6 et même 7 mètres, et ce sont déjà des géants. Depuis le début du siècle dernier, la Société zoologique de New- York promet ne récompense de 5 mille dollars à qui lui montrerait un anaconda de 9 mètres. Il semblerait que le pari tient toujours, personne n’ayant, autant que je sache, trouver un tel monstre. Outre l’anaconda illustré ici, il existe une seconde espèce plus petite, ‘’l’Eunectes notaeus ‘’ qui vit au Paraguay.

L’anaconda a des mœurs amphibies, pour ne pas dire franchement aquatiques. Il passe en effet la majeure partie de sa vie à demi ou entièrement immergé dans l’eau, et il serait vain de le chercher ailleurs que dans les marécages ou au voisinage immédiat des cours d’eau amazoniens.

Il se nourrit d’animaux les plus divers, mais ce sont les cabiais (de gros rongeurs à pattes légèrement palmées) et les pacas (gros rapace aussi, voisin de l’agouti.), de même que les petits cervidés qui forment l’essentiel de son alimentation. Comme les boas et les pythons, l’anaconda étrangle sa proie en la broyant entre ses anneaux. Il ne relâche son étreinte que lorsque la victime a cessé de vivre. Ses mâchoires reliées entre elles par des ligaments élastiques peuvent se distendre de façon incroyable pour livrer passage à des proies volumineuses. La femelle vivipare a de 20 à 40 petits de 60 à 90cm à la naissance. Adultes, ils feront au maximum, 8 mètres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous Ordre : Ophidiens ; Famille : Boïdés ; Genre & Espèce : Eunectes murinus.

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