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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» novembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

La Rochefoucauld-Liancourt.

novembre 20th, 2009

La Rochefoucauld-Liancourt

François Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld, duc de Liancourt, puis duc de La Rochefoucauld (1792), Pair de France, (né à La Roche-Guyon, actuel département du Val-d’Oise, le 11 janvier 1747 et mort à Paris le 27 mars 1827) était un homme politique, scientifique et philanthrope français.
Monarchiste libéral, La Rochefoucauld-Liancourt est député de la noblesse aux états généraux de 1789 et président de l’assemblée après le 14 juillet. Il sera de nouveau député pendant les Cent Jours en 1814.
Épris de progrès technique et membre de l’Académie des sciences, il a notamment fondé la ferme modèle de Liancourt en 1769, l’École d’Arts et Métiers en 1780 et la Caisse d’Epargne et de Prévoyance de Paris (première caisse d’épargne en France) en 1818. Il a également importé en France la vaccine contre la variole (en 1800).

La Rochefoucauld-Liancourt est le fils de François Armand de La Rochefoucauld, duc d’Estissac, grand’maître de la Garde-Robe du Roi, et d’une des filles du duc de La Rochefoucauld. Lui-même porte tout d’abord le titre de comte de La Rochefoucauld, puis, à partir de 1765, celui de duc de Liancourt, nom d’une terre possédée par sa famille.
Après l’assassinat de son cousin, Louis Alexandre, à Gisors, le 4 septembre 1792, il devient duc de La Rochefoucauld.
Officier de carabiniers en 1763, il prend la succession de son père cette même année comme grand’maître de la Garde-Robe, mais ne fait que de très brèves apparitions à la Cour. Il se marie à 17 ans.
En 1765-1766 il emmène dans son “Grand Tour” d’Italie le peintre et graveur lyonnais Jean-Jacques de Boissieu (1739-1810).
Une visite en Angleterre, en 1769, semble lui avoir donné l’idée de construire une ferme modèle à Liancourt, où il élève du bétail importé d’Angleterre et de Suisse. Il met aussi en place des machines à filer et fonde une école d’arts et métiers pour les enfants des soldats, qui devint en 1788 l’École des Enfants de la Patrie sous la protection du roi.
Il poursuit parallèlement sa carrière militaire : colonel du régiment de cavalerie La Rochefoucauld-Liancourt, il est brigadier de dragons en 1781.

Texte de Wikipedia. Y voir…….. la suite.

Ibis sacré.

novembre 19th, 2009

Ibis sacré

Il est l’oiseau sacré des Egyptiens.

Etroitement apparenté aux cigognes, l’ibis est caractérisé par son long bec recourbé vers le bas, en forme de faucille. Il existe une 10ème d’espèces différentes, distribuées sur tous les continents.

Certaines d’entre elles sont devenues rares et se trouvent dans une situation précaire. Il s’agit surtout de l’Ibis chauve, qui vivait autrefois en Europe et dont la régression devient alarmante, car il n’en subsiste que de très petites colonies au Maroc et en Arabie. Un autre Ibis rare, est l’ibis blanc du Japon (Nipponia nippon) qui vit également en Corée et en Chine. Les autres espèces sont relativement communes. L’ibis peut- être solitaire ou sociable, selon son espèce.

L’Ibis sacré, illustré ci-dessus, vit en colonies parfois nombreuses. Son nom résulte du culte que lui portaient les anciens Egyptiens. Il incarnait la divinité Thot et on l’apprivoisait pour le garder auprès des temples et dans les parcs. A sa mort, il était momifié pour le conserver dans les sépultures.

Tous les ibis sont carnivores et se nourrissent de proies diverses : grenouilles, insectes, crustacés et même, s’il le faut, de charogne. Ils construisent en général sur les arbres ; sauf l’ibis chauve, qui préfère élire domicile sur des corniches de rochers. On a aussi observé des nids d’ibis à même le sol, mais c’est là un fait exceptionnel.

L’ibis rouge du Venezuela, des Guyanes et des Antilles est une espèce typique à ces pays. Il niche sur les arbres en groupes si nombreux qu’on croirait les frondaisons couvertes de fleurs écarlates. La coloration rouge de cet ibis pâlit, lorsque l’oiseau ne peut s’alimenter de petits crustacés qui contiennent du carotène.

La femelle dépose de 3 à 5 œufs qu’elle couvera de 20 à 24 jours. La longueur d’un adulte est 75 cm avec un poids entre 1 k 500 et 1 k 900.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ciconiiformes ; Famille : Threskiornithidés ; Genre & Espèce : Threskiornis aethiopica .

Boa des sables.

novembre 18th, 2009

Boa des sables

passe sa vie, enfoui dans le sable.

Le boa des sables est l’unique représentant européen de la famille des boïdés, dont tous les autres membres vivent dans les régions chaudes du monde. Le boa des sables porte bien son nom, car il passe presque toute son existence, enfoui dans le sable et complètement invisible.

Sa tête obtuse et son corps épais et court constituent une adaptation à cette existence de fouisseur qui est la sienne. Il vit dans les régions semi- arides du sud- est de l’Europe, en Asie Mineure et en Afrique du Nord, où il se tient caché sous les pierres, dans des terriers de rongeurs et dans le sable.

En cas de danger, le boa des sables s’enterre rapidement et avec beaucoup de précision dans le sol meuble. Il craint la forte chaleur du milieu du jour, aussi n’émerge-t-il que tôt le matin et le soir pour aller rechercher sa nourriture. Carnivore, il mange des lézards et de petits rongeurs. Il saisit sa proie et l’étrangle entre les anneaux de son corps, pour ne relâcher son étreindre que lorsque l’animal a cessé de respirer. A considérer ce reptile lourd et peu gracieux, on a peine à croire qu’il est capable de mouvements extrêmement rapides en cas de besoin, pour saisir une souris.

On a affirmé, mais à tort, que le boa des sables était venimeux. Aucune espèce de la famille des Boïdés ne possède des crochets à venin ; cela ne veut pas dire que ces serpents soient dépourvus de dents, bien au contraire, ils en ont de longues, recourbées en arrière et leur morsure est douloureuse. On connaît plusieurs espèces de boas de sables, qui se ressemblent et qu’on trouve en Asie. Vivipare, la femelle a de 5 à 12 petits, la longueur adulte va jusqu’à 80 cm.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Boïdés ; Genre et Espèce : Eryx jaculus.

Classe : Reptile ; Ordre : Squamates ; Famille : Boïdés ; Genre & Espèce : Eryx jaculus.

Fou de Bassan

novembre 17th, 2009

Fou de Bassan

Puissant voilier, c’est un bel oiseau océanique.

Le fou de Bassan ne se rend à terre que pour nicher et élever ses petits. Il niche des 2 côtés de l’Atlantique et effectue des migrations saisonnières, qui le rapprochent des eaux tempérées et chaudes de l’océan en hiver, pour le ramener dans les parages subpolaires en été.

Au début du siècle, on massacrait les fous pour leur plumage, largement utilisé dans la confection d’articles de mode. Certaines colonies furent décimées, mais depuis la cessation des prélèvements, les effectifs se sont reconstitués.

Le fou de Bassan est un oiseau très grégaire, qui se rassemble en immenses colonies, comptant 10 000 à 35 000 couples, vaquant à leurs occupations de nidification ou de nourrissage des petits dans un vacarme assourdissant. L’odeur que dégagent de tels rassemblements est insupportable. Les nids sont si rapprochés les uns des autres qu’il est impossible de traverser une colonie sans en écraser.

Le fou de Bassan se nourrit exclusivement de poisson, qu’il pêche en plongeant la tête la première d’une hauteur de 25- 30 mètres. Non content de se laisser tomber en chute libre, il accélère la vitesse par de vigoureux coup d’ailes. Il atteint l’eau les ailes repliées et longe jusqu’à 10 mètres de profondeur. Les ornithologues s’étonnent de voir son crâne résister à un tel choc, tout à fait inhabituel pour un oiseau.

L’œuf unique est couvé par les deux parents, qui l’entourent complètement de leurs pieds palmés pour lui assurer une chaleur égale et pour éviter qu’il n’aille rouler au bas de la falaise, et ce…… pendant 39 à 45 jours. Le petit éclos vient au monde nu et n’a son premier duvet qu’entre le 6ème - 8ème jours. Adulte il fait de 84 à 103 cm de haut, pour une envergure de 1 m 50 à 1 m 70.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Pélécaniformes ; Famille : Sulidés ; Genre & Espèce : Sula bassana.

Mamba vert.

novembre 16th, 2009

Mamba

C’est le plus rapide et le plus venimeux des serpents africains.

Le mamba vert est craint à juste titre, car c’est le serpent à la fois le plus venimeux, le plus agressif et le plus rapide de toutes les espèces africaines. Le venin du mamba est le plus souvent mortel et bien peu de personnes mordues par ce reptile ont survécu à cette attaque terrible.

Par opposition au mamba noir, qui habite également les régions chaudes d’Afrique orientale et qui est terrestre, le mamba vert préfère vivre loin du sol et s’est habitué à une existence arboricole. Il habite les forêts, les savanes boisées et les taillis au sein desquels croissent de grands arbres. Sa coloration verte lui sert de camouflage parfait, et il devient invisible lorsqu’il se tient immobile dans le feuillage.

Le mamba noir, qui vit sur le sol ou parmi les broussailles basses, est considéré comme l’un des serpents les plus rapides. Il est capable de ramper à la vitesse de 10- 20 km à l’heure sur de courtes distances et lorsque la nature du terrain le lui permet. Il est particulièrement agressif en raison de sa grande nervosité. La plupart des accidents surviennent lorsque, par mégarde, on lui coupe la retraite alors qu’il tente de gagner son gîte au plus vite.

Les mambas se nourrissent presque exclusivement d’animaux à sang chaud ; le régime alimentaire du mamba vert comporte une majorité d’oiseaux, tandis que son cousin noir (qui soit dit en passant, est brun et non pas noir), dévore de préférence de petits mammifères. Les mambas sont ovipares et leurs petits grandissent très rapidement. Leurs plus dangereux prédateurs sont les aigles et le serpentaire.

Ovipare, la femelle pond de 7 à 13 œufs ovales à enveloppe molle. L’incubation dure 60 à 80 jours, et la longueur des petits à l’éclosion est de 30 à 40cm, il ne mange qu’après la 1ère mue. L’adulte fait entre 1 m 60 et 2 m 70. la longueur des crochets à venin sont de 10-15 mm.

Classe : reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Elapidés ; Genre & Espèce : Dendroaspis viridis.( Mamba vert)

Python royal.

novembre 15th, 2009

Python royal

Il est possible de le manipuler sans trop de risques.

Le python royal qui appartient à la famille des Boïdés, renfermant les plus grands serpents, est, lui, de dimensions modestes (1 mètre 50 à 2 mètres). Son nom anglais de ‘’Ball Python’’ provient d’un comportement de défense particulier à cette espèce. En effet, lorsqu’il est inquiet, il se met en boule, très compacte avec la tête à l’intérieur. Cet assemblage, qui ressemble à une boule de bois et qui peut rouler parfaitement, est difficile à défaire.

Le python royal, inoffensif et peu agressif, se laisse facilement manipuler. Comme les autres pythons, il possède des fossettes dans les plaques supra- labiales antérieures fonctionnant comme des récepteurs thermiques et qui interviennent dans la détermination des proies.

Il est présent dans toute l’Afrique occidentale, mais surtout dans la zone soudanienne. Strictement terrestre, bien que bon nageur, le python royal fréquente des endroits buissonneux et herbeux de la savane arborée jusqu’à la forêt humide.

Il se nourrit surtout de petits mammifères, principalement des rongeurs. Il peut également consommer quelques oiseaux. Ce python qui fait partie des serpents constricteurs saisit ses proies qu’il enserre dans les anneaux de son corps jusqu’à l’étouffement. Les proies, ainsi tuées sont ensuite avalées la tête la première.

Bien qu’il ne soit pas toujours un bon mangeur en captivité, surtout à son arrivée, il finit par s’adapter très bien et peut vivre longtemps avec ce nouveau statut. On a enregistré 22 ans et plus de 28 ans de captivité pour cette espèce. Sa longueur de naissance va de 38 à 43 centimètres.

Classe : Reptiles ; ordre : Squamates ; Famille Boïdés ; Genre & Espèce : python regius.

Une petite place au…….. soleil

novembre 14th, 2009

Comment, sans le chercher, je me suis créé, une petite place au soleil…….

Le premier rendez- vous que j’ai eu avec mon nouveau boss, appelons le, ‘’le Mammouth’’ fut le 4/10/72 à Lanester où il m’avait envoyé en chantier à mon embauche par téléphone. Après les quelques minutes de banalités, j’ai décidé de mettre cartes sur table. Je lui ai donc dis ce que j’espérai comme salaire (j’avais légèrement majoré ce que je touchais chez son prédécesseur) et annoncé la couleur sur mes opinions politiques et syndicales. Je lui demandais de respecter les conventions collectives et nationales, quand à moi, je lui garantissais de faire correctement mon travail. J’ai été surpris de son accord immédiat.

Photo 1

1ère photo : La partie fumisterie du four est finie, vous pouvez voir les entrées (rondes) pour les tubes radians et en face le trou de réception de l’embout du radian. Entre chaque voûtain se trouve une turbine, et en dessous des glissières en carborundum, se trouvent aussi des tubes radians.

Je lui ai aussi demandé s’il était d’accord à ce que je démarche les sociétés où je travaillais sur Grenoble. ‘’ D’accord, me dit-il, si vous avez besoin de fric, vous me demandez.’’ Le chantier fini à Lanester, dès mon retour à Grenoble, je passe signaler à différents clients que j’ai changé de boite et je leurs laisse une carte de visite du Mammouth. Celui-ci m’envoie en chantier à Puy Guillaume, en verrerie. ‘’Vous connaissez le chef qu’il y a, c’est Roger T. Il était dans mon bureau quand vous avez téléphoné, et il m’a conseillé de vous embaucher. ‘’ Je suis monté là bas, le lundi matin, et redescendu le vendredi soir, une des boites de Grenoble, l’atelier où se construisaient les fours, m’avait déjà sollicité.

Dans cet atelier, se trouvait un compagnon Pierre, faisant fonction de chef d’équipe, avec qui je travaillais souvent sur les fours comme celui-ci. Un jour, il me dit : ‘’Walter, je n’ai pas assez d’argent pour acheter le terrain où je voudrais bâtir, pourrais tu voir avec ton boss, s’il peut me faire travailler pendant mes congés payés.’’ Rentré à la maison, je téléphone au boss et lui présente la requête du gars, en ajoutant : ‘’ S’il y a un gars à embaucher, c’est lui, jugez le pendant son séjour.’’

Photo 2

2ème photo : Four avec les radians posés. Tout est automatisé, en tête du four, en bas, vous pouvez voir les petits trous pour le passage de l’axe des poussoirs de paniers, et à l’autre bout du four, se trouvent, à la même hauteur, un palpeur qui touchaient par les paniers, déclanche le processus de toutes les opérations, (ouverture et fermeture des sas, et ainsi de suite ….)

Quelques temps après, il me chope et me dit : ‘’ Pierre ? Pourquoi me l’aviez-vous recommandé ?’’_ ‘’ Tous ces grands fours thermiques qui se font à l’atelier et qui sont livrés à des boîtes comme : Carterpillar, Renault, PSA ou encore Ford à Bordeaux, c’est lui qui va y faire l’installation et la mise en route, il est donc connu de tous les responsables de ces sociétés, de plus il est au parfum des prix pratiqués par sa boite. ‘’- ‘’ je ne peux moi, me dit-il, faire le premier pas, voyez avec lui, et nous pouvons discuter des conditions, avant qu’il ne prenne une décision. ‘’ Le ‘’deal’’ se fit peut après, et rapidement nous avons commencé à travailler chez Renault et Ford en premier. Pierre fut donc mon premier chauffeur avec voiture particulière. Lui préféra un trafic qui lui rendit d’énormes services, lorsqu’il bâtit sa maison.

Par la suite, Pierre avait trop de travail : (Devis, commandes des matériaux, visites de la clientèle, organisation des chantiers etc, etc. ) Mr Mammouth vient me voir et me dit ‘’Ecoutez, je vous paie le permis de conduire, vous alloue une voiture de service et vous prenez les chantiers.’’- ‘’ Non, ça ne me dit vraiment rien, vous avez des jeunes qui ne demandent que ça et qui en sont capables. Alors mettez un jeune. ‘’ Et c’est ainsi que j’ai eu un nouveau chauffeur, nouvelle voiture (un break), et un nouveau chef qui trouva en moi, un compagnon des plus dociles. (Hum !!! Rires) Jean-Paul un ch’ti venu s’établir à Voiron. Nous avons roulé ensemble jusqu’au jour où j’ai arrêté le travail. Sauf bien sûr, les chantier sur Grenoble où j’étais souvent seul.

Voici des photos d’un four à traitement thermique, que Jean-Paul m’a fait parvenir. C’est sur un chantier PSA à Metz- Borny. Ces fours partaient de l’atelier de Grenoble, par convoi –spécial.

Casse- croûte

Le casse- croûte journalier, vers 8 heures. De droite à gauche : Jean – Paul, chef –fumiste ; Jean –Claude, fumiste ; Jean- Louis – aide mécano ; Marcel- notre scieur de briques et aide fumiste ; Bernard, le mécano ; Moi et ….mes mains ; Robert- fumiste qui par la suite prendra la place de Jean-Paul et Aldo –fumiste.

Comme vous pouvez le voir, travail de tout repos. Et d’après ‘’la couleur de nos tenues ‘’, c’était pendant la période de démolition du four, je pense.

Fulgence Bienvenüe.

novembre 13th, 2009

Fulgence Bienvenüe

Fulgence Bienvenüe - Biographie

Fulgence Bienvenüe
Ingénieur
Constructeur du Métro de Paris
Né le : 1852
Décédé en 1936
Lieu:
1870 Il entre à l’école Polytechnique
1872 Il étude à l’École des Ponts et Chaussées et devint ingénieur. A Alençon, il s’occupe de la construction des chemins de fer. Après un accident, il est amputé de son bras gauche.
1886 il participe à la percée de l’Avenue de la République et la construction du funiculaire de Belleville
1895 A l’occasion de l’Exposition universelle de 1900 il reprends le projet de la construction d’un chemin de fer métropolitain, dont les travaux commencent en 1898.
1900, le 19 juillet Fulgence Bienvenue a inaugurée la première ligne du Métro parisien, la ligne Maillot - Vincennes.
1911 Bienvenüe fait des travaux concernant le service et le nettoiement de la voie publique.
1917 Comme directeur du Service du port de Paris, il a dirigé les projets des travaux à faire sur les canaux municipaux et la région parisienne.
1932 Il prends sa retraite et est décédé peu après en 1936.
Repose au Cimetière du Père Lachaise
Source Wikipedia.

pigeon des rochers d’Australie.

novembre 12th, 2009

Pigeon des rochers d'Australie

Ne s’identifie bien qu’en vol.

La distribution de cet oiseau est extrêmement limitée, on ne le trouve que sur le plateau d’Arnhem et ses rebords où il fréquente les falaises, les collines rocheuses et les forêts clairsemées. Une autre espèce très proche, ‘’P. Albipennis ‘’ en diffère par la tache blanche de ses ailes et sa taille légèrement inférieure. Ces deux oiseaux sont considérés, par certains spécialistes, comme formant une super- espèce.

Le pigeon des rochers est difficile à observer quand il ne bouge pas, car son plumage se confond avec le milieu ambiant. De plus il se tient souvent caché sous les rochers. On ne l’a jamais vu percher sur un arbre.

En vol, on le reconnaît aisément, car la bande rousse de ses ailes devient apparente. Son régime alimentaire comprend des graines d’herbes et autres plantes non ligneuses qu’il ramasse par terre. Son vol est rapide et se compose d’une alternance de battements d’ailes et de glissades ; il est assez bruyant.

Peu craintif vis –à vis de l’homme, le pigeon des rochers reste mal connu ; sa reproduction n’a pas été étudiée en détail. On sait que les œufs sont de couleur crème. Le nid est probablement place sur une surface rocheuse. Celui de l’espèce jumelle se trouve dans un creux du sol et est tapissé d’herbes sèches. En général, un buisson l’abrite.

La ponte comprend deux œufs, blanc crème, déposés entre juillet et octobre. On ignore encore l’aspect des jeunes pigeons des rochers et les observations de l’espèce sont de plus rares, il en est de même pour son cousin (Les renseignements relatifs à la nidification datent de 1904 et 1912.) Le genre Petraphassa contient quatre autres espèces dont l’une est remarquable par la longue huppe qu’elle porte dressée. Sa longueur adulte est de 32 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Columbiformes ; Famille : Columbidés ; Genre & Espèce : Petrophassa rufipennis.

Vipère cornue.

novembre 11th, 2009

Vipère cornue ou Aspic égyptien

Elle s’enfonce dans le sable à une vitesse étonnante.

Assez commune au Sahara, cette vipère ne se tient pas en permanence dans les ergs (région des dunes), il leur préfère les oueds à sec, les endroits caillouteux et les palmeraies. Très active, elle est capable de parcourir plusieurs kilomètres en une nuit pour trouver des proies à sa convenance.

Elle chasse surtout de petits rongeurs qu’elle va chercher jusque dans leurs terriers. Dans la journée, elle s’enfouit souvent dans le sable, ne laissant émerger que sa tête ; c’est dans cette position qu’elle attend le passage d’une proie. De plus, en raison de sa coloration qui s’harmonise bien avec celle des lieux qu’elle fréquente, elle passe souvent inaperçue et n’attire pas l’attention de ses victimes

Elle doit son nom à la présence, au dessus de chaque œil, d’une écaille, plus ou moins longue, dressée verticalement, mais elle peut exceptionnellement manquer. Parmi les autres caractères morphologies, on peut citer la brièveté de la queue, qui se distingue nettement du tronc par son diamètre.

La vipère cornue avance en zigzaguant, les différentes parties de son corps formant, en général, des angles de 40 à 60° par rapport à la direction suivie. Elle peut s’enfoncer très rapidement dans le sable et on l’a vue disparaître en l’espace de 10-20 secondes. Les traces qu’elle a pu laisser à la surface sont bien vite effacées par le vent, ce qui lui permet de sortir la tête très tôt pour surveiller les environs. L’incubation des 10 à 20 œufs dure environ 48 heures quand la température ambiante est d’au moins28°C. Les jeunes vipères se nourrissent de criquets et de lézards.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Vipéridés ; Genre et Espèce : Cerastes cerastes. (Vipère cornue ou Aspic égyptien.)

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