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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Le joueur de flûte.

décembre 10th, 2010

Le joueur de flûte

Le joueur de flûte .

En l’année 1284, en la ville d’Hamelin vint un joueur de flûte : un dératiseur. En ce temps là, la ville était envahie par les rats et les habitants mouraient de faim. Le maire de Hamelin promit au joueur de flûte une prime de mille écus pour les débarrasser des rats qui infestaient la ville. L’homme prit sa flûte et attira, par sa musique, les rats qui le suivirent jusqu’à la rivière Weser qui arrose la ville, où ils se noyèrent. Bien que la ville fût ainsi libérée des rongeurs, les habitants revinrent sur leur promesse et refusèrent de payer le joueur de flûte en le chassant à coup de pierres.

Il quitta la ville, mais revint quelques semaines plus tard. Lorsqu’il y eut une nuit paisible, il joua de nouveau de sa flûte, attirant cette fois les enfants de Hamelin. Cent trente garçons et filles le suivirent hors de la ville jusqu’à une grotte qui se referma derrière eux. Selon certaines versions, le joueur de flûte aurait aussi emmené les enfants de Hamelin à la rivière ou au sommet d’une montagne.

PS: statuette d’ivoire du XVIIème siècle. (Musée de Dieppe)

Pose d’un cable sous-marin.

décembre 9th, 2010

Pose d'un cable sous-marin.

Pose d’un câble sous-marin.

Un câble sous-marin est un câble posé sur le fond marin, destiné à acheminer des télécommunications ou à transporter de l’énergie électrique.

Les câbles sous-marins sont mis en place et maintenus par des navires câbliers, après reconnaissance bathymétrique pour repérer le trajet idéal (le plus court, mais sans risque pour le câble). Par faibles profondeurs, et lorsque la nature du fond le permet, les câbles sont généralement ensouillés à l’aide d’un outil marin de type charrue à soc creux afin de minimiser les risques de crochages par le train de pêche des chalutiers. Les câbles ont en général un diamètre de 69mm et pèsent environ 10 kg/m, même si des câbles plus légers et plus fins sont utilisés pour les sections en eaux profondes.

Transport d’énergie

Les câbles sous-marins électriques relient souvent les îles au continent, ou interconnectent des réseaux distincts. Ils sont aussi utilisés pour acheminer l’électricité produite dans les parcs éoliens en mer (« parcs offshore »), ainsi que l’alimentation électrique des plates-formes pétrolières. Ces câbles permettent de transporter l’énergie (courant alternatif ou continu) sous des tensions comprises entre 30 kV et plus de 400 kV; ils comportent généralement une ou plusieurs fibres optiques permettant la transmission simultanée d’informations d’exploitation (parcs éoliens) ou de télécommunications.

Les câbles récents permettent de transporter une grande quantité d’énergie (Par exemple jusqu’à 150 MW de circuit dans le cas de la ligne de 138 kV, sous-marine va relier sur 60 km environ Norwalk (Connecticut) à l’île de Long Island à New York (projet de 73 millions €). Ce câble, tripolaire alternatif, à isolant XLPE polyéthylène, posé en tronçons de 19 km et intégrant 24 fibres optiques à diamètre externe de 235 mm, et pèse plus de 100 kg par mètre.

Télécommunications

Les câbles de télécommunications sous-marins installés entre 1850 et 1956 ont servi au réseau mondial de télégraphie, ils utilisaient d’abord une technologie de câbles binaires en cuivre pur isolés à la Gutta-percha, puis coaxiale à partir de 1933 grâce à la découverte du polyéthylène. Les câbles sous-marins téléphoniques coaxiaux apparaissent en 1956 avec TAT-1 (en), grâce à la mise au point en 1955 des amplificateurs répéteurs régénérant périodiquement le signal et grâce à la mise au point de câbles coaxiaux à porteur central permettant un signal modulé en fréquence. Les câbles sous-marins numériques sont apparus en 1988 avec la pose du câble transatlantique TAT-8 (en), contenant 2 paires de fibres optiques. Aujourd’hui la technologie numérique transporte indifféremment sur tous les continents l’interconnexion du réseau Internet, le réseau téléphonique et les réseaux professionnels de télévision numérique.

Source: Wikipédia.

PS: je ne sais si je pourrai vous rendre visite demain. Je m’en excuse. A moins que ma nuit soit meilleure

Nice

décembre 8th, 2010

Nice

Nice.

Nice est une ville du sud-est de la France, préfecture du département des Alpes-Maritimes et deuxième ville de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur derrière Marseille. Située à l’extrémité sud-est de la France, à une trentaine de kilomètres de la frontière italienne, elle est établie sur les bords de la mer Méditerranée, le long de la baie des Anges et à l’embouchure du Paillon.

Avec 348 721 habitants en 2007[1], elle est la cinquième commune de France en termes de population (après Paris, Marseille, Lyon et Toulouse). Son agglomération est également la cinquième de France (après Paris, Marseille, Lyon et Lille) et regroupe 946 630 habitants (2007). Elle est enfin située au cœur d’une aire urbaine de 999 678 habitants (2007) et d’un espace urbain, l’ « espace urbain Nice-Côte-d’Azur » qui compte une population de 1 293 381 habitants (2007). La ville est le centre d’une communauté urbaine, Nice Côte d’Azur, la septième de France, qui rassemble vingt-sept communes et 535 543 habitants. Le Scot de Nice (Schéma de cohérence territoriale), créé en 2003, regroupe vingt-neuf communes. Sa population est estimée à 517 500 habitants en 2005.

Située entre mer et montagnes, capitale économique de la Côte d’Azur, Nice bénéficie d’importants atouts naturels. Le tourisme, le commerce et les administrations (publiques ou privées) occupent une place importante dans l’activité économique de la ville. Elle possède la deuxième capacité hôtelière du pays et accueille chaque année 4 millions de touristes. Elle dispose également du troisième aéroport de France et de deux palais des congrès dédiés au tourisme d’affaires. La ville possède aussi une université et plusieurs quartiers d’affaires. Nice est enfin dotée de certains équipements culturels importants. Elle possède ainsi plusieurs musées, un théâtre national, un opéra, une bibliothèque à vocation régionale, un conservatoire national de région et des salles de concert.

Capitale historique du comté de Nice, elle a appartenu à la Provence avant de rejoindre la Maison de Savoie en 1388 et plus tard le royaume de Piémont-Sardaigne. Nice ne devint définitivement française qu’en 1860. Ses habitants s’appellent les Niçois(es).

La ville est située au fond de la baie des Anges, abritée du vent par un amphithéâtre de collines, dans une étroite cuvette montagneuse appuyée au massif du Mercantour, limitée à l’ouest par la vallée du Var et à l’est par le mont Boron. Le premier site de Nice fut la colline du Château, qui fut entièrement militarisé avant d’être détruit par Louis XIV. Nice s’est développée au pied de cette colline en se limitant à la partie comprise entre le Paillon et la mer, qui constitue aujourd’hui le Vieux-Nice aux ruelles étroites. C’est surtout après le rattachement à la France que la ville s’est étendue au-delà de ce cours d’eau qui est aujourd’hui partiellement couvert.

La plus connue des collines qui dominent la ville est celle de Cimiez, avec ses vestiges antiques et son parc qui abrite le musée Matisse et accueille le Festival de Jazz en juillet. Autre colline importante, celle du Château, qui sépare la vieille ville du port Lympia. Les diverses collines gênent l’extension de la ville : celle-ci s’est faite soit vers le nord, en suivant le cours du Paillon, soit dans la plaine de l’ouest jusqu’à Saint-Laurent-du-Var.

La ville est traversée par deux petits fleuves torrentueux, souvent à sec en été : le Paillon à l’est (34 km), qui naît au-dessus de Coaraze et reçoit les torrents de Laghet et de Saint-André (il reçoit, également, à hauteur du pont de Peille les eaux du Paillon de l’Escarène), et le Magnan à l’ouest, beaucoup plus petit, venu des montagnes d’Aspremont, qui traverse le quartier de la Madeleine avant de se jeter dans la mer, dans le quartier portant son nom. La coupure du Paillon, dont le lit paraissait excessivement large… entre deux crues, marqua considérablement Nice jusqu’à sa canalisation et sa couverture (son embouchure se situait à l’emplacement du jardin Albert 1er)

Source Wikipédia

PS: pas de visite à domicile aujourd’hui, j’ai besoin de repos. Bonne journée à tous.Ciao.

Gravure pour timbre poste.

décembre 7th, 2010

Gravure de matrice pour timbre poste.

Gravure d’un timbre poste.

La taille-douce désigne l’ensemble des procédés de gravure en creux sur une plaque de métal.

Au sens premier, la taille-douce fait référence à la gravure au burin, premier procédé de gravure, hérité des orfèvres[1]. L’impression se faisait sur une presse à taille-douce.

Par extension, la taille-douce s’est ensuite vu désigner tous les procédés de gravure en creux sur métal, qu’il s’agisse de gravure directe, à l’aide d’un outil (burin, pointe sèche, manière noire) ou indirecte, par morsure d’une acide (eau-forte, aquatinte, manière de crayon).

La taille-douce s’oppose à la taille d’épargne (xylographie, linographie). Dans le premier, l’encre se dépose dans les creux, tandis que dans le second, l’encre est appliquée en surface.

De part l’importance de l’usage des support de cuivre dans la taille douce, celle-ci se confond avec la chalcographie (gravure sur cuivre), bien que cette dernière technique puisse se pratiquer, par extension, sur d’autres plaques métalliques (zinc, laiton).

La grande précision de dessin permise par cette technique l’a particulièrement destinée à la fabrication des billets de banque et des timbres-poste.

Philatélie

Dans le cas des timbres-poste, il faut reproduire le poinçon originel pour composer une feuille complète de timbres. Il faut fabriquer cette feuille de matrices sur une plaque ou un cylindre (impression rotative). Le poinçon original durci va servir de matrice et sera appliqué sur un cylindre de métal mou (molette) pendant une heure en exerçant une forte pression. On crée quelques exemplaires sur molette en vérifiant qu’ils sont identiques.

Après avoir durci les poinçons obtenus par la molette, ils permettent de reproduire selon les mêmes opérations des dizaines de poinçons qui seront organisés en planches ou en cylindres. Une fois ces derniers confectionnés, l’impression commence.

On remarque que par la reproduction par deux fois du poinçon original pour obtenir les poinçons de planches, l’image gravée initialement à l’envers est imprimée à l’endroit sur le timbre.

Les poinçons en métal s’usent progressivement et doivent être régulièrement remplacés, surtout dans l’impression des timbres en grand nombre. Il arrive que l’usure d’une planche de poinçons ne soit pas remarquée à temps et que des défauts s’impriment sur un ou plusieurs timbres de la planche finale.

Les philatélistes parlent de variétés pour ces timbres légèrement différents des autres. Ils peuvent être très recherchés selon le côté spectaculaire du défaut et leur rareté.

Par contre, si la différence n’est pas accidentelle, mais est due à une différence systématique entre deux jeux de poinçons secondaires (ceux issus du poinçon original), les collectionneurs parlent de types puisqu’il y a deux dessins différents existants pour un timbre. Leur valeur philatélique, cette fois-ci, va dépendre du souci du collectionneur de distinguer tous les aléas du processus d’impression et du nombre de timbres tirés des différents types.

Source: Wikipédia.

Tunnel sous la manche.

décembre 5th, 2010

Tunnel sous la manche.

Tunnel sous la manche.

Les projets de réaliser un lien fixe entre l’Europe continentale et le Royaume-Uni ne manquent pas. On peut citer, par exemple, celui de N. Desmarets en 1751, de A. Mathieu-Favier en 1802, de A. Thomé de Gamon,”père du tunnel” entre 1833 et 1867. Les techniques envisagées sont elles aussi variées: immersion, digue avec écluse, pont suspendu, sous-marin sur rail……des forages ont même étaient entrepris: en 1883, ce premier chantier fut abandonné pour des raisons militaires; en 1974, de nouveaux travaux sont lancés et seront interrompus pour des raisons budgétaires.

En 1980, le projet est relancé. A l’issue d’une consultation internationale, le société Eurotunnel est chargée en 1986, par la France et la Grande-Bretagne de: la conception,, du financement, de la réalisation et de l’exploitation de la future liaison fixe transmanche.

Son projet prévoit un creusement sous le fond de la mer et non une immersion. La réalisation de 3 tunnels forés dont 2 de trafic et 1 de service qui permettront le passage de 4 catégories principales de véhicules: Voitures et autocars, poids lourds, trains de voyageurs et trains de marchandises.

Deux terminaux implantés, l’un à proximité de Calais et l’autre de Folkestone, relieront les système de navettes Eurotunnel aux réseaux autoroutiers de la Grande-Bretagne et de la France. Cette réalisation de génie civil présente un immense intérêt économique. Le trafic prévu pour 2003 était de 44 millions de passagers et de 26,4 millions de tonnes de marchandises; quand aux revenus les prévisions étaient de 9,7 milliards de francs. ( Ce ne fut pas la cas).

Des actes symboliques ont marqué l’importance historique et économique de cette réalisation. Le 12 février 1986 fut signé le traité franco-britannique décidant de la construction du Tunnel, à la cathédrale de Canterbury. Le 1 décembre 1990, à 12 heures 12 minutes, fut réalisé la première jonction historique sous la manche sous la manche et avec elle, l’un des plus grand carrefour de l’Europe du Nord-Ouest, englobant dans un rayon de 500km, de grandes métropoles: Londres, Paris, Bruxelles, Anvers, Amsterdam etc……

Source :Wikipédia

Le violoneux….

décembre 4th, 2010

Le violoneux

Ti-Jean le violoneux

Un roi qui habite dans un palais est très fier de sa belle et intelligente fille. Il veut lui trouver un époux qui la mérite. Alors, il publie un édit déclarant que celui qui réussit à contrarier la princesse durant son discours à tel point qu’elle ne pourra pas y répondre, se mariera avec elle. Toutefois, celui qui n’arrive pas à l’agacer ira en prison pour un an et un jour.

Un seigneur du voisinage a trois fils dont les deux plus âgés sont instruits et doués alors que Ti-Jean, le benjamin, agit comme serviteur pour ses deux frères. Les deux plus vieux décident de tenter leur chance auprès de la princesse. Par curiosité, Ti-Jean suit ses frères en cachette. Il faut trois jours pour se rendre au palais du roi.

Le premier soir, Ti-Jean demande l’hospitalité dans la maison voisine de celle où ses frères descendent. ll travaille pour les domestiques en échange d’un logis. Satisfait de lui , un serviteur lui donne une serviette qui fait apparaître de la nourriture. Le soir suivant, Il reçoit une petite bouteille qui fait apparaître de l’eau ou du vin. Le dernier soir, un autre domestique lui offre un violon. Échouant auprès de la princesse qui trouve réponse à tout, les deux frères de Ti -Jean se voient emprisonnés.

Ti-Jean essaie à son tour. Au lieu de parler à la princesse, il l’insulte en lui reprochant d’avoir séquestré ses frères. Devant cet affront, elle reste abasourdie et ne trouve rien à répliquer. Le roi lui accorde la main de sa fille. Cependant, Ti-Jean refuse et demande d’aller en prison. Dépité, le roi accepte sa requête.

Au pénitencier, il voit les détenus affamés. Il sort sa serviette et assouvit leur faim. ll utilise également sa bouteille pour leur donner à boire. Le vin coule à flots. Ti-Jean décide de les faire danser au son de son violon. Enivrés, les prisonniers chantent et dansent bruyamment. Le roi entend la musique et se mit à danser lui-même. Finalement, il demande à Ti-Jean d’arrêter la musique. Celui-ci lui répond qu’il le fera s’il vide la prison. Le roi ordonne de libérer les prisonniers. Alors Ti-Jean cesse de jouer au violon. Deux jours plus tard, il épouse la princesse.

PS: Statuette d’ivoire du XVIIIème siècle (Musée de Dieppe)

Caen.

décembre 3rd, 2010

Caen

Caen.

Caen est une ville du nord-ouest de la France, chef-lieu de la région Basse-Normandie, préfecture du département du Calvados, traversée par l’Orne. On la surnomme parfois la « Ville aux cent clochers ». Ses habitants sont appelés les Caennais et les Caennaises .

À 2 heures au nord-ouest de Paris, et reliée au sud de l’Angleterre par la ligne de ferry Caen-(Ouistreham)-Portsmouth, Caen est située au centre-nord de sa région, sur laquelle elle exerce son pouvoir politique, économique et culturel.

Cité de Guillaume le Conquérant, la ville a hérité d’un patrimoine exceptionnel, qu’elle a su préserver au cours des siècles jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, où elle fut d’ailleurs une place-clef de la bataille de Normandie. La ville en a su garder la mémoire en édifiant un Mémorial pour la Paix.

Située à quelques kilomètres du littoral, des plages du Débarquement, des célèbres stations balnéaires de Deauville ou de Cabourg, de la Suisse normande ou encore du pays d’Auge (souvent considéré comme l’archétype de la Normandie), Caen offre tous les services possibles.

Peuplée intra-muros de 112 478 habitants (population totale 2007), et à la tête d’une aire urbaine de 401 741 habitants, Caen est la première ville de la Basse-Normandie. Elle est également la deuxième commune (après Le Havre) et la troisième agglomération (après Rouen et Le Havre) de Normandie. L’aire urbaine de Caen, quant à elle, est la deuxième de Normandie après celle de Rouen, et occupe le 21e rang national.

Caen bénéficie d’un climat océanique avec des étés frais et des hivers doux. Le taux d’humidité s’élève à 83 %.

Les températures caennaises ne sont jamais excessives du fait de la proximité avec la mer. La proximité maritime permet d’un côté d’adoucir les hivers trop rudes et de l’autre de rafraîchir les étés qui seraient trop chauds, grâce à la présence de la brise, vent marin qui rafraîchit les terres dès que la température sur ces dernières devient largement supérieure à celle de l’eau.

Contrairement aux idées reçues, il pleut moins à Caen qu’à Montpellier, Montélimar et même Nice, mais les jours de précipitations y sont plus nombreux. Les mois d’hiver sont les plus arrosés, de plus la pluviosité varie en fonction de l’altitude et de la géographie, il pleut moins sur une région de plaine que dans une région bocagère ; ceci explique ainsi l’absence d’une grande pluviométrie à Caen étant donné que l’agglomération est construite sur la plaine de Caen. En outre, les régions côtières sont généralement moins arrosées que l’intérieur du pays (relief moindre) et sont aussi plus ensoleillées.

Caen, comme toute la moitié orientale de la région Basse-Normandie, fait partie du Bassin parisien.

La ville se situe au centre-nord de la Basse-Normandie au milieu de sa plaine propice à la culture céréalière (plaine de Caen) ; la cité a été fondée dans une vallée alluviale marécageuse à la confluence de l’Odon et de l’Orne, fleuve qui se jette 10 km plus au nord dans la mer de la Manche. L’agglomération caennaise se développe aujourd’hui sur le plateau.

À l’ouest de la ville s’étend le Bocage normand (Bessin), à l’est le pays d’Auge, au sud sa plaine se prolonge jusqu’aux frontières de la Basse-Normandie avec les Pays-de-la-Loire (campagne de Falaise).

Au nord, la mer de la Manche borde l’agglomération caennaise (côte de Nacre), d’ailleurs appelée « Caen la Mer ».

Source Wikipédia.

1885-Henri Mondor-1962.

décembre 2nd, 2010

Henri Mondor

Henri MONDOR (1885-1962)

Élu en 1946 au fauteuil 38

Grand officier de la Légion d’honneur
Commandeur des Arts et des Lettres
Commandeur des Palmes académiques
Commandeur de l’Ordre de la Santé publique

Chirurgien, médecin, historien de la littérature et historien des sciences
Né à Saint-Cernin (Cantal), le 20 mai 1885.

Fils d’instituteur, Henri Mondor fit ses premières études à l’école de Saint-Germain, puis au lycée d’Aurillac. Après ses humanités et malgré une précoce attirance pour les lettres, il entama, poussé par sa mère, des études de médecine.

Après la Première Guerre mondiale, qu’il effectua comme infirmier, il obtint la médaille d’or de l’internat et fut nommé, en 1920, chirurgien des hôpitaux. Agrégé en 1923, il obtint en 1938 le titre de professeur de faculté, et en 1941 celui de professeur de clinique. Chirurgien de premier ordre, Henri Mondor publia plusieurs ouvrages consacrés à la chirurgie des viscères, parmi lesquels : Quelques vérités premières en chirurgie abdominale, Les Avortements mortels, Diagnostics urgents, ainsi que quelques monographies consacrées à l’histoire de la médecine : Paul Lecène, Grands médecins presque tous, Pasteur, Dupuytren, Anatomistes et chirurgiens, René Leriche.

N’ayant cependant jamais renoncé à sa vocation de jeunesse pour la littérature, Henri Mondor sut, en marge de ses activités de médecin, se montrer un éminent historien des lettres, consacrant en particulier à Mallarmé de nombreux ouvrages. On citera dans son œuvre littéraire : L’Amitié de Verlaine et Mallarmé, Vie de Mallarmé, Mallarmé plus intime, Propos de Mallarmé sur la poésie, Valéry et Gide, Entretien au bord du fleuve avec Georges Duhamel, L’heureuse rencontre : Mallarmé et Valéry, L’Histoire d’un faune, L’Affaire du Parnasse, Alain, Rimbaud ou le génie impatient, Maurice Barrès avant le Quartier latin, Précocité de Valéry, Claudel plus intime.

Grand prix de la critique de l’Académie française, membre de l’Académie de médecine en 1945, et de l’Académie des sciences en 1961, membre également de l’académie de chirurgie, Henri Mondor fut élu à l’Académie française le 4 avril 1946, par 17 voix contre 8 à Fernand Gregh, au fauteuil de Paul Valéry.

La Compagnie avait d’abord songé à offrir la succession de l’illustre poète à André Gide, désireux de prononcer son éloge ; cependant, inquiets de la publicité que l’événement apporterait à Corydon, ouvrage dont Gide annonçait la réédition et dans lequel il exposait complaisamment son homosexualité, les Académiciens préférèrent soutenir cette candidature, plus discrète.

Henri Mondor fut ainsi élu dans cette séance du 4 avril 1946 où la Compagnie pourvut à la vacance de six fauteuils le même jour. Reçu le 30 octobre 1947 par Georges Duhamel, Mondor était un esprit attachant, qui captait l’attention par le tour souvent insolite de ses propos.

François Mauriac devait lui rendre hommage en ces termes, dans son Bloc-notes : « J’admirais et j’aimais dans un esprit comme celui-là l’hommage que la science rend à la poésie. Il ne parlait presque jamais de ce qui l’avait rendu éminent dans sa spécialité ni des ouvrages qui, dans cet ordre, lui assureront une place durable. La poésie a besoin d’érudits d’une certaine race… »
Mort le 6 avril 1962.

Source Wikipédia.

De mon balcon ce matin..

décembre 1st, 2010

V O Sous la neige

De mon balcon…

Voila le paysage que je découvre, en ouvrant mes volets, au retour de notre ballade matinale. Je n’avais pas pensé à prendre mon appareil et je vous assure qu’il y avait de quoi saper sous tous les angles.

Ces arbres, avec leur tenue de “mariée” tout de blanc vêtus,  leur multitudes de coursons, ployant sous le poids immaculé qui les pare, vu d’en bas, nous font scintiller les yeux. Parfois, un pigeon les frôle, et une foule de confettis parsème mon bonnet de velours noir de moujik. Ce n’est rien , peu de chose, mais c’est la vie…..

Je n’aime guère la neige maintenant, mais j’apprécie la voir lorsqu’elle a encore toute sa virginité. Nous avons fait notre balade comme les autres jours, plus lentement, mais le temps ne nous est plus compté, alors autant en profiter.

Je sais que certains de chez eux doivent se penser” qu’ils sont cons ces vieux. S’ils devaient sortir par ce temps pour aller travailler, ils râleraient!” Et le pire est que c’est sûrement vrai !!! Mais le jour où je ne pourrai plus sortir comme cela le matin, plus d’une semaine, c’est que je commencerai à sentir…..le sapin enneigé ou non !!!!

Bonne journée…..

Irène et Frédéric Joliot-Curie

novembre 30th, 2010

Frédéric & Irène Joliot-Curie

JOLIOT-CURIE

Irène Curie naît en 1897 à Paris de parents Pierre et marie Curie. Elle étudie à la faculté des sciences.

Frédéric Joliot naît en 1900 à Paris. Il fait ses études à l’école supérieure de physique et de chimie industrielle à Paris, ainsi qu’à la faculté des sciences.

En 1926, après s’être rencontrés à l’institut du radium ou ils étaient tous les deux assistants, Irène et Frédéric se marient, formant le couple Joliot-Curie. Ils travaillent dans la physique nucléaire et découvrent la radioactivité naturelle en 1934.

En 1935, ils reçoivent le prix Nobel de chimie.En 1937, Irène devient professeur à la faculté des sciences à Paris. De 1936 à1946, elle occupe les fonctions de sous secrétaire d’état à la recherche scientifique, commissaire au Commissariat à l’énergie atomique et directrice de l’institut du Radium.

Elle meurt en 1956, des suites d’une Leucémie due à l’exposition aux rayonnements.

En 1937, Frédéric est nommé directeur du Laboratoire de physique atomique d’Ivry. Pendant la seconde guerre mondiale, il devient membre du parti communiste. A partir de 1946, il représente la France au CEA des nations unies. En 1956, il succède à sa femme à l’institut du Radium.

Il meurt en 1958.

Source : Wikipédia.

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