Le Saut du Tarn 2
juillet 25th, 2009Toujours le chantier au ‘’Saut du Tarn ‘’. Je vous mets le four en premier. Four à résistances électriques en Molybdène. Avec une sole- chariot. Il reste la porte et le chariot à faire.
Nous sommes restés 2 fins de semaine, nous avions donc le samedi après midi et le dimanche pour nous. Dans une région comme celle-ci, nous faisions toujours recherche des produits du terroir. Nous partions toujours de chez nous, avec nos Cubitainers de 22 litres, pour réapprovisionner nos ‘’caves ‘’. J’en avais toujours 2 dans le véhicule. Et puis, le jambon et les saucissons à la cendre, les tripoux, etc…..Et 15 jours plus tard, je mettais le vin en bouteille !!
Cordes-sur-Ciel dans son décor naturel.
Le premier dimanche, dans notre recherche de la vigne, nous sommes arrivés à ‘’Cordes-sur-Ciel ‘’, cité médiévale et cathare je crois, alors nous avons visité. Certaines bâtisses sont encore pas mal, mais d’autres sont dans un état assez délabrées. Beaucoup d’ateliers d’artistes et d’artisans, des hôtels- restaurants et des magasins de souvenirs évidemment, enfin un lieu à connaître si vous passez à ses pieds.
Rue de Cordes avec ses hôtels- restaurants.
A midi, nous avons déjeuné, un peu plus loin, dans un restaurant agréable et calme. Puis l’après –midi une petite poussée jusqu’à Gaillac, où nous avons couru les chais. Nous avons trouvé l’élixir que nous désirions et annonçons que nous passerions le prochain dimanche.
Maison du Sénéchal. (Magasin à souvenirs)
Dans le courant de la semaine, le boss est passé, nous a laissé une petite (non soyons honnêtes) une somme assez conséquente pour que nous allions le dimanche suivant faire un repas, avec les 2 gars de Stein- Roubaix, monteurs de la carcasse du four, qui nous ont servi de manœuvre, plutôt que de chercher un intérimaire. Puis, il nous a demandé : ‘’ Vous avez fait le tour des chais ?’’, (Vous voyez comme il nous connaissait bien !), à notre réponse affirmative, Il nous a demandé les prix et laisser de l’argent pour 50 bouteilles de rouge et autant de blanc. (Oui, lui ne prenait qu’en bouteilles.) Et aussi 5 jambons. Le véhicule que nous avions, un break, appartenait à la boite et jamais, il n’a chipoté sur l’essence que nous consommions hors jours travaillés.
Ecce Homo. Il aurait peut-être fallu qu’il soit devant la porte du restaurant, pour faire fuir la « volière » du jour. Bien que …..
Le deuxième dimanche, nous sommes donc retournés au petit restaurant si calme et sympa. Nous étions à l’apéro, quand sont arrivées plusieurs voitures et un quart complet…rien que des femmes. Elles venaient faire là, un repas de fin de retraite ou de congrès, ou autre chose…… Et bien, nous avons mangé en accéléré, car c’était vraiment une volière. Toutes en train de caqueter à qui mieux- mieux.
Nous avons donc eu notre temps, pour aller chercher les ‘’dives bouteilles’’ et faire le plein de nos Cubitainers du côté de Gaillac, et au retour, nous sommes passés par Ambialet, (Presqu’île dans les boucles du Tarn), pour les jambons, saucissons et les boites de tripoux. Que nous avions commandé, la semaine précédente.
Le vendredi suivant vers 16 heures, chantier fini, nous sommes rentrés chez nous en passant par Montpellier. Le break chargeait, car nous avions aussi dedans le petit matériel de chantier et nos caisses à outils. A la maison vers 3 heures.