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De l’aurore au crépuscule voir plus …

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Louis Pasteur 1822-1895

janvier 22nd, 2013

Louis Pasteur 1822- 1895
Photo:www.phil-ouest.com

Louis Pasteur 1822-1895.

Louis Pasteur est né à Dôle, dans le Jura, en 1822. Après avoir fait ses études à Arbois, où son père exploitait une tannerie, il fut reçu à l’Ecole Normale de la rue d’Ulm. Il était aide-préparateur quand il soutint ses thèses de Physique et de Chimie, publiant ensuite ses célèbres travaux sur les cristaux, rappelés ici par ses propres croquis.

En 1849, professeur suppléant de Chimie à Strasbourg, il épouse la fille du recteur de la Faculté, Marie Laurent et poursuit ses recherches de Cristallographie, associée à la Chimie et à l’Optique. Les disques disposés en haut de la figurine évoquent la découverte qu’il fit en faisant le parallélisme existant entre la forme des cristaux, leur constitution moléculaire et leur action sur la lumière polarisée. Doyen de le nouvelle Faculté des Sciences de Lille en 1857, il s’intéresse à des questions posées par les distillateurs de la région, et découvre que les fermentations, rappelées ici par la grappe de raisin, sont le produit de l’activité de micro-organismes.

Dix en après, il est administrateur et directeur des études à l’Ecole Normale. La modeste soupente qui lui sert de laboratoire est le cadre de travaux exemplaires su “les générations dites spontanées”. En observant des milieux putrescibles dans la cornue reproduite au premier plan, Pasteur prouve que tous les ferments proviennent de ferments déjà existants. En 1865, le chimiste Dumas demande à Pasteur d’étudier la maladie du ver à soie. Le chercheur découvre qu’elle est due à l’influence d’un parasite. C’est la confirmation d’intuitions et de recherches antérieures: comme la putréfaction ou la fermentation, la maladie est l’œuvre de la vie, et l’on voit déjà se dessiner les règles de l’hérédité morbide, de la contagion, ainsi que les moyens de prophylaxie.

A défaut de constatation sur les malades, puisqu’il n’est pas médecin. C’est en microbiologie que Pasteur va étendre ses expériences. Il a déjà à ses côtés des collaborateurs de classe: Roux, Calmette, et d’autres plus tard qui continueront son œuvre: Metchnikoff, Ramon, Vincent. Il étudie d’abord le charbon, dont le microscope dressé fait apercevoir le bacille à des stades différents de développement. Il découvrira par la suite de nombreux microbes pathogènes, notamment le staphylocoque, le streptocoque, et, il “voit” le pneumocoque qui illustrera le nom de l’allemand Koch.

Timbre dessiné et gravé en taille-douce par Jacques Gauthier. Format vertical 21x 45,36mm. Vente anticipé à Dôle le 6 juin 1973, et générale le 8 du même mois. Retiré de la vente le 17 mai 1974.

Source: feuillet n°248 S du catalogue CEF, tirage 11 500 exemplaires illustrés par ce tableau ci dessous sur soie. N° de ce feuillet: 1081

Louis Pasteur. Illustration sur soie

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