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De l’aurore au crépuscule voir plus … » Tout venant

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Bon samedi

août 2nd, 2013

À L’ombre Du Cœur De Ma Mie:

A l’ombre du cœur de ma mie
Un oiseau s’était endormi
Un jour qu’elle faisait semblant
D’être la Belle au bois dormant

Et moi, me mettant à genoux
Bonnes fées, sauvegardez-nous
Sur ce cœur j’ai voulu poser
Une manière de baiser

Alors cet oiseau de malheur
Se mit à crier ” Au voleur ”
” Au voleur ” et ” A l’assassin ”
Comm’ si j’en voulais à son sein

Aux appels de cet étourneau
Grand branle-bas dans Landerneau
Tout le monde et son père accourt
Aussitôt lui porter secours

Tant de rumeurs, de grondements
Ont fait peur aux enchantements
Et la belle désabusée
Ferma son cœur à mon baiser

Et c’est depuis ce temps, ma sœur
Que je suis devenu chasseur
Que mon arbalète à la main
Je cours les bois et les chemins

Le 1er août ….82 piges…

juillet 31st, 2013

Ermès Walter & Anna .1934

Un anniversaire !!!!

Juste pour vous dire que demain vers 12 heures 15, j’entame une nouvelle années. Le bât commence à peser. 82 “berges… ”

Cette photo ancienne, récupérée au décès de maman, doit être de 1934-35. Je devais avoir 3-4 ans, ma sœur Anna 6 ans et l’ainée Ermes 8 ans 1/2. Toute deux décédées aujourd’hui. Comme vous pouvez le voir avec le corsage, je finissais les affaires de mes sœurs. C’est ma mère qui faisait ce que nous portions. Par la suite, j’ai même eu le droit au “corset” de maintien comme mes sœurs. Il Fallait se tenir droit !!! A partir de 6 ans j’ai commencé à râler et ma mère me traitait de ” tête carrée”, mais toujours en rital . Anna et moi, avons les yeux bleus de la grand-mère maternelle “Eufemia” de Cremona. Et c’est avec Anna que je m’entendais le mieux, elle me couvrait toujours lors de mes bêtises…

La suivante est de ce matin, au retour de notre balade. Près de la station du tram, derrière chez nous.
Bonne journée à venir à vous toutes et tous…. Amitiés et bises

Walter 82 ans

Bon dimanche.

juillet 27th, 2013

Le Petit Joueur De Flûteau:

Le petit joueur de flûteau
Menait la musique au château
Pour la grâce de ses chansons
Le roi lui offrit un blason
Je ne veux pas être noble
Répondit le croque-note
Avec un blason à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Et mon pauvre petit clocher
Me semblerait trop bas perché
Je ne plierais plus les genoux
Devant le bon Dieu de chez nous
Il faudrait à ma grande âme
Tous les saints de Notre-Dame
Avec un évêque à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Je serai honteux de mon sang
Des aïeux de qui je descends
On me verrait bouder dessus
La branche dont je suis issu
Je voudrais un magnifique
Arbre généalogique
Avec du sang bleu a la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Je ne voudrais plus épouser
Ma promise, ma fiancée
Je ne donnerais pas mon nom
A une quelconque Ninon
Il me faudrait pour compagne
La fille d’un grand d’Espagne
Avec un’ princesse à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Le petit joueur de flûteau
Fit la révérence au château
Sans armoiries, sans parchemin
Sans gloire il se mit en chemin
Vers son clocher, sa chaumine
Ses parents et sa promise
Nul ne dise dans le pays
Le joueur de flûte a trahi
Et Dieu reconnaisse pour sien
Le brave petit musicien

NB: Chanson retrouvée sur un des 33 tours ramenés par notre fille !!

Bon samedi !!

juillet 26th, 2013

Un petit retour en arrière…du temps de mes jeunes années. 1950-60…

Bon samedi !! Amitié et bises

Bon dimanche.

juillet 20th, 2013

Heure exquise
Valse de l’opérette “La Veuve joyeuse”

Heure exquise
Qui nous grise
Lentement
La caresse
La promesse
Du moment
L’ineffable étreinte
De nos désirs fous
Tout dit: Gardez-moi
Puisque je suis à vous.

Sanglots profonds et longs
Des tendres violons
Mon coeur chante avec vous
À casse-coeur, à casse-cou
Brebis prends bien garde au loup
Le gazon glisse et l’air est doux
Et la brebis vous dit: Je t’aime loup.

L’ineffable étreinte
De nos désirs fous
Tout dit: Gardez-moi
Puisque je suis à vous.
________________________________________
Paroles: Victor Léon, Léo Stein
Adapt: Robert de Flers, Gaston-Arman de Caillavet
Musique: Franz Lehár

Bon samedi !

juillet 19th, 2013

Brel
Mannick

Tu es venu mourir aux portes de Paris
Avec infiniment de larmes dans ta nuit
Et des millions d´amis
Dans un million d´adieux
Quand les îles ont pris froid
Dans le fond de tes yeux.

Grand Jacques
Tu vas retrouver la Mathilde
Ou bien Karieke et ses vingt ans
Sûr que maint´nant elle va te dire :
“Je t´attendais depuis longtemps!”
On aurait pu comme un seul homme
Te chanter : “Ne nous quitte pas.”
Tu as voulu revoir l´automne
Tu es venu mourir aux portes de Paris

Grand Jacques
Y a pas que les marins qui meurent
Quand il fait nuit sur Amsterdam
C´est pour de bon qu´tu pars aux fleurs
Comme tu disais la paix dans l´âme
On aurait pu comme un seul homme
Te chanter : “Ne nous quitte pas.”
C´est dur de mourir en automne
Quand on croit que tout finit là.
Tu es venu mourir aux portes de Paris

Grand Jacques
On ira pécher la tendresse
Dans tes chansons de mal-aimé
Tous les soleils que tu nous laisses
N´ont pas fini de se lever
On aurait pu comme un seul homme,
Te chanter : “Ne nous quitte pas.”
Tu t´es sauvé de tes automnes
Sans prendre ton dernier repas.
Tu es venu mourir aux portes de Paris

Bon dimanche….

juillet 13th, 2013

En hommage …. en piste mesdames …..

Bon samedi

juillet 12th, 2013

Le chant des marais.

Loin dans l’infini, s’étendent
Les grands prés marécageux.
Et pas un seul oiseau ne chante
Dans les arbres secs et creux.

Ô ! Terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher
Ô ! Terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher

Bruit de pas et le bruit des armes
Sentinelles jour et nuit
Et du sang, des cris et des larmes
La mort pour celui qui fuit

Ô ! Terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher
Ô ! Terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher

Mais un jour dans notre vie
Le printemps refleurira
Libre alors. Ô ! Ma patrie
Je dirai : tu es à moi !

Ô ! Terre d’allégresse
Où nous pourrons sans cesse
Aimer
Ô ! Terre d’allégresse
Où nous pourrons sans cesse
Aimer!

Ô ! Terre d’allégresse
Où nous pourrons sans cesse
Aimer, aimer

Cette chanson est une chanson qui nous vient des premiers allemands internés et qui bâtirent les 1ers camps dans des marais. Le premier fut le camp de Bôrgermoor. Les paroles sont du mineur Johann Esser et de l’acteur et metteur en scène Wolgang Langhoff. Musique de Rudy Boguel, employé de commerce. elle fut créée en 1933. Quelques uns furent libérés et s’exilèrent. Ils firent connaître ce chant en Angleterre où Hanns Eisler en fit une adaptation pour le chanteur Ernst Busch. Les volontaires allemands dans les brigades internationales, durant la guerre d’Espagne, en firent leur chant. Et elle se répandit dans les camps en Allemagne et en Pologne et même à Auschwitz La version française et d’un auteur inconnu.

Une quarantaine de camps furent construits de 1933 à 1936. Plus d’un million d’allemands y furent internés. Au début, les militants politiques du KPD (parti communistes, SPD (socialiste) et SAP (Parti socialiste ouvrier) etc, ainsi que les militants syndicalistes. Puis vinrent les homosexuels, les “asociaux” (clochards, chômeurs etc…) Les témoins de Jéhovah, Les tziganes et à partir de 1940, les juifs.

Quand aux députés de l’époque, 62 députés SPD (socialistes) furent assassinés et 54 s’exilèrent. Le KPD (communistes) en eut 57 assassinés et 20 s’exilèrent.

Venir nous dirent aujourd’hui qu’aucun homme politique, qu’aucun pays n’ait vu venir ce qui allait suivre s’est vraiment nous prendre pour des imbéciles. Bien sûr au début, ce “n’étaient” que des syndicalistes, des hommes de gauche, des asociaux, des tziganes… etc, ceux qui étaient souvent honnis par les classes au pouvoir. Après le 1936 en France, on peut comprendre que ces gens aient peurs pour leurs acquits , leurs pouvoirs. Et une “petite guerre” était la bienvenue. Mais voilà que le peuple résiste et après guerre , pleuvent les revendications : plus de social, de reconnaissance des ouvriers, de congés etc etc…. Aujourd’hui, plus besoin de guerre, tout se règle économiquement. La mondialisation, qui permet de faire travailler ailleurs pour moins cher, et de réduire les salaires et les avantages acquits en Europe. Celle-ci aidant les financiers à faire leur beurre….Car nous avons bien une Europe capitaliste…..

Bon dimanche.

juillet 6th, 2013

Les prénoms de paris

Jacques Brel

Le soleil qui se lève
Et caresse les toits
Et c´est Paris le jour
La Seine qui se promène
Et me guide du doigt
Et c´est Paris toujours
Et mon cœur qui s´arrête
Sur ton cœur qui sourit
Et c´est Paris bonjour
Et ta main dans ma main
Qui me dit déjà oui
Et c´est Paris l´amour
Le premier rendez-vous
A l´île Saint-Louis
C´est Paris qui commence
Et le premier baiser
Volé aux Tuileries
Et c´est Paris la chance
Et le premier baiser
Reçu sous un portail
Et c´est Paris romance
Et deux têtes qui tournent
En regardant Versailles
Et c´est Paris la France

Des jours que l´on oublie
Qui oublient de nous voir
Et c´est Paris l´espoir
Des heures où nos regards
Ne sont qu´un seul regard
Et c´est Paris miroir
Rien que des nuits encore
Qui séparent nos chansons
Et c´est Paris bonsoir
Et ce jour-là enfin
Où tu ne dis plus non
Et c´est Paris ce soir
Une chambre un peu triste
Où s´arrête la ronde
Et c´est Paris nous deux
Un regard qui reçoit
La tendresse du monde
Et c´est Paris tes yeux
Ce serment que je pleure
Plutôt que ne le dis
C´est Paris si tu veux
Et savoir que demain
Sera comme aujourd´hui
C´est Paris merveilleux

Mais la fin du voyage
La fin de la chanson
Et c´est Paris tout gris
Dernier jour, dernière heure
Première larme aussi
Et c´est Paris la pluie
Ces jardins remontés
Qui n´ont plus leur parure
Et c´est Paris l´ennui
La gare où s´accomplit
La dernière déchirure
Et c´est Paris fini
Loin des yeux loin du cœur
Chassé du paradis
Et c´est Paris chagrin
Mais une lettre de toi
Une lettre qui dit oui
Et c´est Paris demain
Des villes et des villages
Les roues tremblent de chance
C´est Paris en chemin
Et toi qui m´attends là
Et tout qui recommence
Et c´est Paris je reviens.

Bon samedi !!

juillet 5th, 2013

Chéri tu ronfles !!!

Moi j’aurais jamais cru
Que j’penserais au divorce
Mais l’idée m’est venue
Vers la fin d’la nuit d’noces
C’est pas que j’te déteste
Ou que j’veux t’voir mourir
C’est juste que tu m’agresses
Chaque fois qu’tu respires !
Non c’est pas qu’tu m’écœures
Ou que j’peux plus t’sentir
Mais essaie de dormir
Dans la pelle d’un tracteur !
C’est pas qu’t'es pas gentil
C’est qu’t'as dû avaler
Lorsque t’étais petit
Un moteur de Harley

Chéri, tu ronfles

J’t'ai donné des coups d’genou
J’t'ai secoué, j’t'ai tourné
J’t'ai roué de coups d’pied
Ça n’a rien changé du tout
Quand t’es près d’étouffer
Là je guette en silence
Presque entrain d’espérer
E puis “rrron” tu recommences
J’me suis mis des bouchons
Et des bonnets d’grand-mère
Mais y a tes vibrations
Mesurables sur “Richter”
J’t'ai acheté toutes les marques
D’humidificateur
Pour calmer tes horreurs
D’amygdales qui claquent
Et puis j’ai bâillonné
Ta grosse face de limace
En osant prétexter
Que c’était un fantasme
Quand j’te pince les narines
Jusqu’à c’que ça fasse mal
C’est au tour des babines
De faire “ppfff” comme un cheval
Y aurait l’opération
Qui nous sauverait la vie
Mais monsieur l’étalon
A peur du bistouri
Pourrais-tu m’expliquer
Me confier ton secret
Dis, t’es-tu fait greffer
Entr’la gorge et le nez
Un broyeur à déchets… ?
Y a sûrement une façon
Une potion miracle
A donner aux cochons
Pour ne plus qu’y renâclent
Moi j’t'aimerais ma grenouille
Si c’tait pas qu’tu coasses
Si j’ramonais ta face
A grand coup de quenouilles
Au début j’me disais
Que j’allais m’habituer
Mais alors j’ignorais
Que t’allais empirer !!!
Là, j’comprends le bonheur
Le bonheur de ta mère au mariage
Elle rêvait qu’son enfant
Qu’son enfant-pas-d’muffler déménage !
J’vais te tirer d’affaire
Si tu veux que j’me charge
De t’trouver un garage
Ou un vétérinaire
Sinon, r’tourne chez ta mère
Avec ton vice caché
J’vais lui dire de t’refaire
Et puis de s’appliquer !!!
Paroles et Musique: Lynda Lemay 1998

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