décembre 31st, 2006
Que l’An 2007 vous soit une année douce et heureuse, pour vous et les vôtres.
Santé,
Bonheur,
Joie, qui en découlera automatiquement.
J’ai retrouvé une très vieille carte postale de mon grand père, du 8 décembre 52, avec ces simples mots :
Penso sempre
Al nostro avvenire……
En cette Année 2007, il va falloir y penser sérieusement. Il faut oser chambouler les convenances, si nous voulons que tout change et que le monde entier aille mieux. Nous allons avoir la main, par deux fois cette année, alors profitons en !
Amitiés ou Bises ! (Vous prenez ce qui vous convient !)
Catégorie Non classé | 57 Commentaires »
décembre 31st, 2006
Catégorie Non classé | Pas de Commentaires »
décembre 30th, 2006
Le nandou, dont on connaît deux espèces distinctes, est le petit cousin de l’autruche africaine et de l’émeu australien. Comme eux, il est inapte au vol. C’est le plus grand oiseau du nouveau monde. Contraint de vivre au sol où il court à vive allure, c’est un habitant des pampas d’Argentine. L’autre nandou, le nandou de Darwin, vit sur les hauts plateaux andins, en Bolivie, et affectionne les grands espaces découverts.
Bien que la plupart possèdent un plumage brun, quelques rares individus sont blanchâtres. La tête et la nuque sont noirâtres, le ventre blanc. Les pattes tridactyles sont très robustes, il n’a pas de queue. Ses ailes assez grandes sont inaptes au vol. Adulte, sa taille est de 1 mètre 50 pour un poids allant de 12 à 23 kg.
Le nandou est sociable et vit en bandes de 15 à 20 individus. Ces bandes se mêlent fréquemment aux troupeaux de bétail, ou aux hardes de guanacos et de cerfs, avec lesquels ils semblent vivre en bonne harmonie. Pour fuir le danger, le nandou prend sa course, il étend son long cou à l’horizontale et maintient son équilibre en battant des ailes, surtout quand il change de direction. Il peut atteindre la vitesse de 52km / heure. Il saute bien et franchit sans peine les enclos et palissades disposés à l’intention du bétail. Il est omnivore.
Il marque une préférence pour les plantes à larges feuilles et pour le trèfle, cependant il consomme également une large variété de graines, racines, et de fruits. Il complète son régime en dégustant des insectes, en particulier des sauterelles, des petits invertébrés (le lézard par exemple). Il aime aussi les grenouilles, les petits oiseaux et même les serpents.
A la saison des amours, les mâles rivaux se livrent des batailles assez violentes. Les antagonistes s’enlacent mutuellement le cou, cherchent à se frapper des pieds et s’assènent réciproquement de terribles coups de bec. Le vaincu prend la fuite et le vainqueur s’adjuge les femelles, car le nandou est polygame.
En se pavanant devant ses femelles, celui-ci se livre à une parade nuptiale faite de courbettes, de sauts et de postures assez curieuses. C’est le mâle qui joue la sage-femme. Il fait le nid, et ramasse les œufs pondus par les femelles en les poussant délicatement avec ses ailes, vers la cavité qui servira de nid. C’est lui qui se chargera de l’incubation 35 à 40 jours, protégera, de la chaleur du soleil, les poussins avec ses ailes. Puis qui les nourrira et les éduquera pendant les 6 mois où ils atteignent leur taille adulte. Ils seront matures vers 2 à 3 ans.
Classe : Oiseaux ; Ordre : Rhéiformes ; Famille : Rhéidés ; Espèce : Rhea americana.
Catégorie Non classé | Pas de Commentaires »
décembre 29th, 2006
Le chrysochlore est une sorte de taupe qui doit son nom aux reflets métalliques de son pelage ; son nom anglais « goden mole » signifie du reste « taupe doré ». il en existe un petit nombre d’espèces, distribuées à travers l’Afrique équatoriale et australe.
Le chrysochlore n’a pas les pattes antérieures aussi développées que chez la taupe véritable, ce qui ne l’empêche pas de passer son existence entière sous terre, dans un réseau de galeries qu’il creuse lui-même. Comment creuse t’il ? Tout simplement avec sa tête et son museau, dont la force est proprement herculéenne. On a pu démontrer qu’un chrysochlore adulte, pesant 55 grammes, parvient à soulever un poids de 9 Kg avec sa tête !
Il creuse ses galeries assez près de la surface du sol, dans des terrains meubles et sablonneux, évitant les sols lourds, compacts et trop humides. La technique de fouissage du Chrysochlore diffère de celle de la taupe. Pour forer un tunnel, l’animal effrite le sol à coup de tête, puis repousse la terre sous son corps vers l’arrière, au moyen de ses pattes antérieures munies de quatre griffes et tournées vers l’intérieur.
Généralement les tunnels n’ont qu’un caractère temporaire et le chrysochlore ne les utilise qu’une fois. Ceci revient à dire qu’il est condamné de creuser constamment pour trouver sa nourriture. Car son pelage est couché en arrière, comme chez les autres mammifères, alors que celui de la taupe est dressé verticalement ce qui lui permet de pouvoir se mouvoir indifféremment vers l’avant ou l’arrière, ce que ne peut faire le Chrysochlore.
La longueur d’un adulte est de 9 à 14 centimètres. Je n’ai rien sur ma fiche indiquant sa biologie, mode de reproduction etc… Et je n’ai rien trouvé sur le net ! Pour sa nourriture…c’est un insectivore donc….
Classe : Mammifères ; Ordre : Insectivores ; Famille : Chrysochloridés ; Espèce : Chrysochloris sp.
Catégorie Non classé | 31 Commentaires »
décembre 28th, 2006
Catégorie Non classé | 24 Commentaires »
décembre 27th, 2006
Le Dingo, originally uploaded by patriarch38.
Catégorie Animaux | 29 Commentaires »
décembre 26th, 2006
Catégorie Non classé | 34 Commentaires »
décembre 24th, 2006
Père Noël recherché
Voici décembre, le frimas des branches nous annonce l’arrivée prochaine du temps des fêtes. Dans le centre d’achat d’un secteur cossu, le père Noël, arrivé par hélicoptère, se prépare déjà à écouter les demandes des enfants. Pourtant, à quelques kilomètres de ce coin se trouve le faubourg des démunis souffrant de la misère là où les estomacs crient famine. À l’approche de cette grande fête, le père Noël n’entend-t-il que les enfants de riches et fait-il la sourde oreille aux moins fortunés?
Pierrot, 6 ans, se promène sur la rue comme beaucoup de gamins de son âge laissés à eux-mêmes. En passant devant l’église paroissiale, la curiosité l’incite à pénétrer à l’intérieur de ce saint lieu. Il s’approche de la balustrade, fixe le grand crucifix placé au-dessus de l’autel. «Jésus, trouvez-vous les enfants riches plus sages? Pourquoi le père Noël ne nous écoute-t-il pas dans mon quartier? Mes amis et moi aimerions un père Noël bien à nous qui nous comprendrait mieux. S’il vous plaît, Petit Jésus, envoyez un père Noël pour les enfants pauvres car nous aussi méritons de beaux jouets. J’avoue n’être pas toujours très sage mais je vous promets de faire attention. Aidez papa et maman, la joie n’existe pas beaucoup à la maison. Papa ne travaille pas et maman ne va pas très bien. Noël s’annonce aussi aux gens de mon quartier.
Sur ces dernières paroles, Pierrot se retourne et s’en va. À ce moment, un homme, au physique imposant, sort prestement et se dirige vers le presbytère. Il raconte à monsieur le curé ce qu’il vient de voir. Il obtient de ce dernier la permission d’organiser au sous-sol de l’église le plus beau dépouillement de Noël. Avec l’aide des marchands du coin, des bénévoles ramassent assez de victuailles pour garnir de beaux paniers et des jouets pour tous les enfants.
Une semaine avant Noël, toutes les familles reçurent une invitation à la grande fête. Le monsieur au physique imposant et au cœur d’or se présente ce jour-là dans son beau costume rouge et sous sa barbe blanche, un sourire démontre la satisfaction du devoir accompli. Il porte sur son dos une immense poche pleine de joujoux qu’il distribue à tous les enfants. Un grand buffet est préparé. Tout le monde s’amuse ferme; enfin la joie renaît. Cette belle journée terminée, parents et enfants retournent à la maison paniers de provisions et joujoux pleins les bras. Ils entonnent avec joie les chansons populaires de Noël.
Pierrot, passant devant l’église, s’y arrête de nouveau. Il s’avance vers la balustrade et lance un clin d’œil vers le crucifix. « Petit Jésus, je savais que vous ne nous laisseriez pas tomber. Maintenant, nous aussi aurons notre père Noël des pauvres. Merci Jésus ».
Marie Fourneaux
Catégorie Non classé | 41 Commentaires »
décembre 24th, 2006
Catégorie Non classé | 18 Commentaires »
décembre 23rd, 2006
Je viens d’entendre que l’enterrement religieux de l’italien Welby a été interdit par l’église romaine. Welby est cet homme qui depuis des années végétait sur son lit de souffrance. Il a demandé plusieurs fois le droit de partir dans la dignité.
Comment cette église, soit disant si miséricordieuse, peut elle refuser à cet homme de partir dignement et selon sa volonté dans le sein de cette église qui était la sienne. « Pas de service religieux disent ces saints hommes à celui qui se donne la mort ! » Ne connaissez vous pas, un cas ou même plusieurs, où ces malheureux ont eu le droit au service religieux ? Moi si et plus d’un !
Il aura donc un service civil, et je souhaite que ces concitoyens le lui fassent le plus joyeux et humain que possible, avec toute la dignité que requiert sa dernière volonté, en se substituant à une église qui n’évolue que contrainte et forcée.
Voici un poème que j’ai trouvé sur le net et je m’excuse au près de celui qui l’a créé de l’utiliser en cette circonstance. Je n’ai trouvé qu’un nom : « Eucalion » Je suppose donc, qu’il en est l’auteur. Merci à vous, pour ce poème.
Qui êtes-vous donc pour me refuser ma mort,
Imposteurs de l’amour qui vous croyez plus forts ?
N’êtes-vous pas capables d’un peu de compassion,
Vous qui pouvez encore vivre toutes les passions ?
Ne voyez-vous donc pas que vivre m’est un enfer
Dont vous vous proclamez les plus grands des cerbères,
Et si étiez humains, si vous vouliez mon bien,
M’aideriez-vous enfin à finir mon destin ?
Qui êtes-vous donc pour me refuser ma mort,
Imposteurs de l’amour qui vous croyez plus forts ?
Faut-il que j’éternise et subisse mille maux
Sans espoir de pouvoir un jour trouver les mots
Qui pourraient vous convaincre de perdre ces certitudes
Et cette bonne conscience qui rendent vos vies moins rudes ?
Quand tous les sens du corps me restent interdits
L’idée de les quitter me semble le paradis.
Qui êtes-vous donc pour me refuser ma mort,
Imposteurs de l’amour qui vous croyez plus forts ?
Mon corps inanimé d’où sortent tous vos tuyaux
N’est qu’une pièce de prison empêtrée de boyaux
Dont je ne puis sortir sans votre permission,
Condamné à souffrir par votre démission !
Imaginez seulement, l’espace d’un instant,
De ne pouvoir pas même espérer le néant.
Catégorie Non classé | 47 Commentaires »