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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» septembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

La Ferrari PC est arrivée !!!!!!

septembre 30th, 2010

Le fiston m’a installé mon nouveau PC , mais je dois me familiariser avec les nouveaux logiciels. J’ai aussi pas mal de réorganisation à faire, comme mes adresses  mail. Alors, c’est sûr je passerai chez vous lundi.

Bonne fin de journée à tous. Amitiés et bises !!

Monsieur 50 euros.

septembre 28th, 2010

Je suis de retour de chez le neurologue. Il avait reçu du CHU un compte-rendu des soins  qui m’ont été dispensé lors de mon séjour. Alors les nouvelles ? Je continue le traitement avec 3 mestinons et 2 immunosuppresseurs et….. “pensez que vous avez 79 berges…….et arrêtez de nous faire des frayeurs”

Donc ordonnance pour 6 mois, et aussi pour une analyse de sang tous les 3 mois.

En plus je dois faire le vaccin pour la grippe saisonnière ainsi qu’un vaccin pour les poumons, compte tenu de l’asbestose. Il envoie un mot à mon médecin traitant. Demain matin je vais chercher l’ordonnance pour le “vaccin poumons” chez mon médecin traitant, elle sera sur une table dans l’entrée .

Nouveau rendez-vous dans 6 mois et s’il y a un “pépin” vous téléphonez ….

Temps de la consultation…..14 minutes !!!

Bonne journée à tous et merci pour vos petits mots. Amitié et bises !!

EN PANNE.

septembre 25th, 2010

Chères amies et chers amis.

Mon PC est en rade, alors je dois attendre que mon fils me fasse un nouveau PC, je vous demande de patienter encore une fois.

Eliane, me dit” ainsi tu seras bien obligé de te reposer.

Comme la dernière fois, je vous demande de ne pas faire de commentaires. Je viendrai sonner chez vous lorsque je serai de nouveau équipé.

salutations et bises à tous .Walter

Mon fils vient de commander le nécessaire par internet.

1859-Jean Jaures-1914

septembre 24th, 2010

1859-Jean Jaures-1914

1859-Jean Jaurès-1914

Jean Jaurès est un homme politique français, né à Castres (Tarn) le 3 septembre 1859 et mort assassiné à Paris le 31 juillet 1914 par Raoul Villain. Orateur et parlementaire socialiste il s’est notamment illustré par son pacifisme et son opposition au déclenchement de la Première Guerre mondiale.

1859-1885 : Jeunesse et formation

Jean Jaurès, de son nom d’état civil Auguste Marie Joseph Jean Léon Jaurès, est né à Castres en 1859 dans une famille de la petite bourgeoisie du Tarn (dont sont issues quelques brillantes carrières comme celle de Benjamin Jaurès, amiral et ministre de la marine en 1889). Son père, Jules Jaurès, négociant, n’a pas réussi et se replie sur une petite exploitation agricole de six hectares dans laquelle son fils passe son enfance et son adolescence jusqu’à l’âge de dix sept ans. C’est une époque où il connaît, non pas la misère, mais peut-être une certaine gêne qui lui fait toucher du doigt les difficultés du peuple. Sa mère, Adélaïde Barbaza, s’occupe de l’éducation des deux enfants du couple : Jean l’aîné, et Louis qui devint amiral et député républicain-socialiste.

Brillant élève, Jean Jaurès fait ses études au lycée Louis-le-Grand. En 1878, il est reçu premier à l’École normale supérieure en philosophie, devant Henri Bergson. En 1881, il termine troisième à l’agrégation de philosophie.

Devenu professeur, Jaurès enseigne tout d’abord au lycée Lapérouse d’Albi, puis rejoint Toulouse en 1882 pour exercer comme maître de conférences à la faculté des Lettres. Il donne également un cours de psychologie au lycée de jeunes filles de cette même ville.

Il se marie le 29 juin 1886 avec Louise Bois (1867-1931), fille d’un marchand de fromages en gros d’Albi, avec qui il a deux enfants :

Madeleine, née le 19 septembre 1889, décédée en 1951, mère de Jean-Jacques Delaporte (1910-1931);

Louis (Paul Auguste Marie Louis Jaurès), né le 27 août 1898 à Nontron (Dordogne). Engagé volontaire en 1915 à 17 ans, au 7e régiment de dragons, il passe aspirant au 10e bataillon de chasseurs à pied. Il est tué le 3 juin 1918 à Pernant (Aisne), village où l’armée allemande est arrêtée lors de Seconde bataille de la Marne et déclaré « mort pour la France ». Une stèle, surmontée du buste de son père, est inaugurée à quelques kilomètres du lieu de sa mort, à Chaudun, le 15 novembre 1936, en présence de Léon Blum, qui prononce un discours.

L’entrée en politique comme républicain (1885-1889)

Jean Jaurès, formé intellectuellement durant la difficile naissance de la Troisième République, entre en politique à 25 ans comme candidat républicain aux élections législatives de 1885. Il est élu[6], et siège à l’assemblée nationale parmi les républicains « opportunistes » où il soutient le plus souvent Jules Ferry. En 1889, Jean Jaurès n’est pas réélu.

La découverte du socialisme

Privé de son mandat de député en 1889, Jean Jaurès reprend son enseignement à la faculté de Toulouse. Il est reçu docteur en philosophie en 1892 avec sa thèse principale De la réalité du monde sensible et sa thèse secondaire en latin, « Des origines du socialisme allemand chez Luther, Kant, Fichte, et Hegel[7] ». Jean Jaurès continue également son activité politique. À partir de 1887, il collabore au journal La Dépêche du Midi de tendance radicale. Il devient conseiller municipal sur les listes radicales-socialistes, puis maire adjoint à l’instruction publique de Toulouse (1890-1893). Ses travaux intellectuels, son expérience d’élu local, sa découverte des milieux ouvriers et des militants socialistes, l’orientent vers le socialisme. Cette évolution s’achève avec la grève des mineurs de Carmaux.

En 1892, quand éclate la grande grève des mineurs de Carmaux, Jean Jaurès est à l’écart de la vie politique nationale. L’origine du conflit est le licenciement de Jean-Baptiste Calvignac, ouvrier mineur, leader syndical et socialiste qui venait d’être élu maire de Carmaux le 15 mai 1892 par “La Compagnie des Mines”, dirigée par le baron Reille (l’homme fort de la droite tarnaise), et par son gendre le marquis de Solages (député de la circonscription). Le prétexte motivant le licenciement est les absences de Jean-Baptiste Calvignac provoquées par ses obligations d’élu municipal. Ce licenciement est considéré par les mineurs comme une remise en cause du suffrage universel et des droits réels de la classe ouvrière à s’exprimer en politique.

Les ouvriers se mettent en grève pour défendre « leur » maire. Le président Loubet envoie l’armée (1500 soldats) au nom de la « liberté du travail ». En plein scandale de Panamá, la République semble ainsi prendre le parti du patronat monarchiste contre les grévistes.

Dans ses articles à la Dépêche, Jean Jaurès soutient, aux côtés de Clemenceau, la grève. Il accuse la République d’être aux mains de députés et ministres capitalistes favorisant la finance et l’industrie aux dépens du respect des personnes. Durant cette grève, il fait l’apprentissage de la lutte des classes et du socialisme. Arrivé intellectuel bourgeois, républicain social, Jean Jaurès sort de la grève de Carmaux acquis au socialisme.

Sous la pression de la grève et de Jaurès, le gouvernement arbitre le différend marquis de Solages-Calvignac au profit de l’ouvrier Calvignac. Solages démissionne de son siège de député. Jaurès est alors désigné par les ouvriers du bassin pour les représenter à la Chambre. Il est élu le 8 janvier 1893 comme socialiste indépendant malgré les votes ruraux de la circonscription.

Assassinat de Jean Jaurès.

Le pacifisme de Jaurès le fait haïr des nationalistes. Le 31 juillet 1914, sortant de son travail à L’Humanité, Jaurès se rend au Café du Croissant où il est assassiné par Raoul Villain, un étudiant nationaliste.

Cet assassinat facilite le ralliement de la gauche, y compris beaucoup de socialistes qui hésitaient, à l’« Union sacrée ». La grève générale n’est pas déclarée.

Le 29 mars 1919, le meurtrier de Jaurès sera acquitté dans un contexte de fort nationalisme.

Source Wikipédia :

PS j’ai beaucoup coupé, car il m’aurait fallu toute une semaine pour tout mettre !!

Aéroport Bâle-Mulhouse.

septembre 23rd, 2010

Aéroport Bale-Mulhouse

Aéroport Bâle-Mulhouse.

L’aéroport international Basel-Mulhouse-Freiburg (code AITA : EAP • code OACI : LFSB), couramment abrégé en « Aéroport de Bâle-Mulhouse » ou « EuroAirport » (son nom commercial depuis 1987) est un aéroport binational situé près de la commune de Saint-Louis (Haut-Rhin) , à l’extrême sud de la région Alsace. Il est situé à cinq kilomètres au nord-ouest de Bâle (en Suisse), vingt-cinq kilomètres au sud-est de Mulhouse (en France), et soixante-dix kilomètres au sud-ouest de Fribourg-en-Brisgau (en Allemagne), c’est-à-dire, dans un carrefour entre trois pays. De plus, il est dit binational car il possède une partie suisse (code AITA : BSL • code OACI : LFSB) et une partie française (code AITA : MLH • code OACI : LFSB). Les pistes s’étalent sur les bans communaux de Saint-Louis, Hésingue et Blotzheim.

Les destinations régulières sont surtout situées en Europe de l’Ouest et le long de la Méditerranée mais il dessert aussi l’aéroport de Montréal au Canada. À noter qu’en 2008, la compagnie aérienne à bas prix easyJet assurait 44% du trafic régulier, soit 40% du trafic total à elle seule.

L’aéroport de Bâle-Mulhouse est la septième plate-forme aéroportuaire de France et la troisième de Suisse avec 3,85 millions de passagers en 2009. Son unique aérogare peut accueillir 6 à 8 millions de passagers et on compte aussi trois pistes, une aérogare de fret et une zone d’entretien.

En raison de sa situation trop urbaine, les pistes ne peuvent être prolongées.

En 1929, l’Aérodrome de Bâle-Sternenfeld devenant trop petit, il était obligatoire de trouver un nouvel endroit. Durant la Seconde Guerre mondiale, les recherches furent très dures. Dès mai 1945, la France propose un emplacement à Blotzheim. La Suisse accepte et se charge de la construction.

L’aéroport de Bâle-Mulhouse fut inauguré après seulement deux mois de travaux, le 8 mai 1946. Le projet avait germé pendant les années de guerre. La France a fourni les terrains et la Suisse a construit les pistes et les bâtiments d’origine. Situé à l’origine sur la commune de Blotzheim, l’aéroport passa à Saint-Louis avec le rattachement du quartier de Blotzheim La Chaussée (Neuweg) à Saint Louis en 1958.

Du samedi 17 avril, minuit, au mardi 20 avril 2010, huit heures, l’EuroAirport a dû être fermé au trafic aérien en raison des éruptions du volcan islandais Eyjafjöll. Le nuage de cendres émis a transité par la France et la traversée de ce nuage présente un danger pour les avions. À noter, que l’Euro-Airport était l’un des seuls aéroports du nord de la France encore ouvert le vendredi 16 avril.

Source Wikipédia

1804 Victor Schoelcher 1893

septembre 22nd, 2010

1804-Victor Schoelcher-1893

1804- Victor Schœlcher- 1893.

Enfance

Victor Schoelcher naît le 22 juillet 1804 à Paris dans une famille bourgeoise originaire de Fessenheim en Alsace. Son père est propriétaire d’une manufacture de porcelaine.

Il fait de courtes études au lycée Condorcet, côtoyant les milieux littéraires et artistiques parisiens, faisant connaissance avec George Sand, Hector Berlioz et Franz Liszt.

Son père l’envoie au Mexique, aux États-Unis et à Cuba en 1828-1830 en tant que représentant commercial de l’entreprise familiale. Lorsqu’il est à Cuba, il y est révolté par l’esclavage.

L’engagement

De retour en France, il devient journaliste et critique artistique, publiant des articles, des ouvrages, multipliant ses déplacements d’information. Il adhère à la franc-maçonnerie, à la loge « Les Amis de la Vérité » puis à « La Clémente Amitié ». En 1847 il rédige, pour le compte de la “Société pour l’abolition de l’esclavage” fondée en 1834, la “Pétition pour l’abolition complète et immédiate de l’esclavage” adressée à MM. les membres de la Chambre des pairs et de la Chambre des députés. Il revendra rapidement la manufacture dont il hérite en 1832 à la mort de son père pour se consacrer à sa carrière politique.

Le discours abolitionniste de Schœlcher évolue au cours de sa vie. En effet, au début de son engagement, il s’oppose à l’abolition immédiate de l’esclavage. En 1830, dans un article de la Revue de Paris, « Des Noirs », il demande ouvertement de laisser du temps aux choses. Cette vision de l’abolition se retrouve en 1833, dans son premier grand ouvrage sur les colonies : De l’esclavage des Noirs et de la législation coloniale. Pour lui, il serait dangereux de rendre instantanément la liberté aux noirs, parce que les esclaves ne sont pas préparés à la recevoir. Il souhaite même le maintien de la peine du fouet, sans laquelle les maîtres ne pourraient plus travailler dans les plantations. Il faut attendre un nouveau voyage dans les colonies pour qu’il se tourne vers une abolition immédiate.

Nommé sous-secrétaire d’État à la Marine et aux colonies dans le gouvernement provisoire de 1848 par le ministre François Arago, il contribue à faire adopter le décret sur l’abolition de l’esclavage dans les Colonies. Le décret signé par tous les membres du gouvernement paraît au Moniteur le 5 mars.

De 1848 à 1850, il siège à gauche comme député de la Martinique et de la Guadeloupe.

L’esclavage avait déjà été aboli en France à l’initiative de l’Abbé Henri Grégoire, pendant la Révolution française (4 février 1794, 16 pluviôse an II), puis rétabli par Napoléon Ier par la loi du 20 mai 1802. Victor Schœlcher, nommé par Lamartine président de la commission d’abolition de l’esclavage, il est l’initiateur du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l’esclavage en France.

Lors du coup d’État du 2 décembre 1851, il fut un des députés présents aux côtés de Jean-Baptiste Baudin sur la barricade où celui-ci sera tué. Républicain, défenseur des droits de la femme, adversaire de la peine de mort, il est proscrit durant le Second Empire par le coup d’État de Louis Napoléon Bonaparte. Il s’exile en Angleterre où il rencontre fréquemment son ami Victor Hugo ; il y devient un spécialiste de l’œuvre du compositeur Georg Friedrich Haendel, rassemble une collection très importante de ses manuscrits et partitions et rédige une de ses premières biographies, mais celle-ci n’est éditée que dans sa traduction anglaise. En 1870, il revient en France suite à la défaite de Sedan. Après l’abdication de Napoléon III, il est réélu grâce aux réseaux maçonniques des Antilles député de la Martinique à l’Assemblée nationale (1871). Le 16 décembre 1875, il est élu sénateur inamovible.

En 1877, Victor Schoelcher dépose une proposition de loi pour interdire la bastonnade dans les bagnes. La commission d’initiatives refuse la proposition, mais les peines corporelles seront abolies en 1880. En 1884 et 1885 il tente de s’opposer, sans succès, à l’institution de la relégation des forçats récidivistes en Guyane.

La fin de sa vie

À la fin de sa vie, comme il ne s’était jamais marié et qu’il n’avait pas eu d’enfant, il décida de donner tout ce qu’il possédait. Victor Schœlcher est mort le 25 décembre 1893 à l’âge de 89 ans dans sa maison au 24 rue d’Argenteuil, devenue depuis l’avenue Schœlcher, à Houilles dans les Yvelines. Enterré à Paris au cimetière du Père-Lachaise, ses cendres furent transférées par décision de l’Assemblée nationale et du Président du Conseil de la République, Gaston Monnerville au Panthéon le 20 mai 1949 en même temps que celles du Guyanais Félix Éboué (premier noir à y être inhumé).

Source : Wikipédia

PS: sujet fait depuis plus d’un mois.

Cabourg .

septembre 21st, 2010

Cabourg

Cabourg (Calvados)

Cabourg est une ville normande située entre Caen et Deauville, elle fait partie de la Côte Fleurie. La ville est située en bord de mer aux portes du pays d’Auge. Cabourg est sous l’influence d’un climat océanique, avec des étés doux et des hivers frais.

En 1793, on recense à Cabourg seulement 165 habitants. Le village se développe alors principalement à proximité de la Dives, au nord de la confluence avec la Divette. L’habitat s’organise autour de deux axes : l’un parallèle au fleuve et l’autre au sud de la route de Caen à Dives, l’église se trouvant légèrement isolée au sud-ouest. Les dunes au nord de la commune ne sont pas peuplées. Au XIXe siècle, la population augmente régulièrement jusqu’à atteindre 718 habitants en 1866.

Henri Durand-Morimbau, homme d’affaires et avocat parisien, décide dans les années 1850 de créer une station balnéaire à proximité du petit village de pêcheurs. Pour ce faire, il fonde une Société Thermale. Doté d’un capital de 12 millions de francs par actions au porteur, de 500 francs chacune, l’organisme achète les terrains riveraines de la mer constitués de dunes et d’herbages. On confie à Paul Leroux, jeune architecte de Caen, le soin de tracer un plan d’urbanisme. Celui-ci choisit un plan radio- concentrique rappelant celui des théâtres gréco-romains : Les avenues convergent vers une place centrale sur laquelle est érigée un casino et un grand hôtel composant la scène. La première pierre du casino (en réalité construit en bois,) est solennellement posée le 9 mai 1854 et des centaines d’arbres sont plantés le long des avenues nouvellement tracées. Mais les ressources financières viennent rapidement à manquer et la station souffre de son absence de desserte par les chemins de fer.

En 1861, un grand hôtel est construit en bordure du rivage. Le casino en bois est remplacé en 1867 par un nouveau bâtiment en pierre plus fonctionnel.

En 1879, une ligne de chemin de fer est ouverte entre Dives-Cabourg et Mézidon, permettant ainsi des liaisons directes depuis Paris ; elle est prolongée jusqu’à Trouville-Deauville en 1882-1884. En 1881, une ligne entre Caen et Dozulé-Putot s’embranche sur la ligne Mézidon - Dives, améliorant ainsi la liaison entre la station balnéaire et la préfecture. En 1891 - 1892, la première ligne des chemins de fer du Calvados est ouverte entre Caen et Dives ; trois haltes sont prévues sur le territoire communale : Bas-Cabourg, Cabourg Pépinière, Cabourg (au bout de la rue de la mer).

Après une légère baisse démographique dans les années 1870, la population cabourgeaise s’accroît rapidement quand le village devient une cité balnéaire à la mode. De 1881 à 1936, la population double (de 1 014 à 2 095 habitants), avant d’atteindre son maximum en 1946 avec 3 479 habitants recensés. Elle doit atteindre maintenant plus 4 000 âmes.

Source : Wikipédia.

Les jardins du casino et buste de Charles Bertrand maire de la ville durant 35 ans

37ème Coupe Icare..

septembre 20th, 2010

LA 37ème COUPE ICARE vous donne rendez-vous du 16 au 19 Septembre 2010, sur le site de St Hilaire du Touvet - Lumbin.
Au programme de cette grande rencontre du monde du vol libre du rêve et de l’émotion, de l’audace et de la créativité, de la fantaisie et du frisson, du rire et des couleurs … et toujours le plaisir de voler !

Cette vidéo est de la coupe Icare 2009 !!

Dar es Salaam.

septembre 18th, 2010

Dar es Salaam

Dar es-Salam

La plus grande ville de Tanzanie, dont le nom signifie “port de la paix”, est un ancien village de pêcheurs transformé en port commercial vers 1850 par le sultan de Zanzibar. Aujourd’hui, Dar es-Salam est une gigantesque métropole d’1,5 millions d’habitants où les boutres, petites embarcations arabes, côtoient d’immenses navires de haute mer. Comme dans la plupart des villes africaines, ses différents quartiers offrent un contraste saisissant. Toutefois, si un monde sépare les rues animées du centre, proches du pittoresque marché Kariakoo et de la tour de l’horloge, et les boulevards ombragés du quartier administratif situé au nord, il n’existe pas un seul bidonville. Dar es-Salam est l’endroit idéal pour appréhender le mélange des cultures, sans ressentir l’agressivité latente présente à Nairobi.

Le musée national de Dar es-Salam jouxte les jardins botaniques du centre-ville. Il abrite une importante collection archéologique, notamment des fossiles de Zinjanthrope (Australopithèque), et permet au visiteur de découvrir la sordide histoire du commerce des esclaves à Zanzibar. A environ 10 km du centre-ville, un village-musée très vivant rassemble des demeures typiques des diverses régions de Tanzanie. Des danses traditionnelles y sont organisées le week-end. La plage la plus proche de la ville est Oyster Bay, superbe étendue de rivage tropical.

Trouver à se loger à Dar es-Salam est une entreprise difficile car les hôtels, quelle que soit leur catégorie, affichent fréquemment complet. La ville est bien desservie : les compagnies aériennes internationales sont largement représentées puisque la plupart des vols à destination de la Tanzanie atterrissent à Dar es-Salam. La compagnie ferroviaire TAZARA assure en outre une liaison avec Kapiri Mposhi (Zambie). Il n’existe pas de gare routière centrale, mais des bus partent de divers points de la ville pour desservir la plupart des régions du pays.

En 1859, Albert Roscher de Hambourg est le premier Européen à débarquer dans Mzizima (« ville saine »). En 1866, le sultan Seyyid Madjid de Zanzibar a donné le nom actuel de la ville, qui signifie « demeure de la paix » en arabe. Après la mort de Madjid en 1870, la ville décline jusqu’à l’établissemnent en 1887 d’un comptoir de la compagnie allemande de l’Afrique de l’Est. La croissance de la ville a été facilitée par son rôle de centre administratif et commercial de l’Afrique de l’Est allemande et de l’expansion industrielle résultant de la construction de la ligne ferroviaire qui dessert toute la région au début des années 1900.

L’Afrique de l’Est allemande a été conquise par les Anglais pendant la Première Guerre mondiale et est désignée sous le nom du Tanganyika. Dar es Salam a été maintenu comme centre administratif et commercial du territoire. Selon le règlement britannique, les secteurs européens et africains séparés se sont développés à une distance du centre de la ville. La population de la ville comprend aussi une grande quantité d’immigrés d’Asie du Sud.

Après la Seconde Guerre mondiale, Dar es Salam a bénéficié d’une période de croissance rapide. Les développements politiques, y compris la formation et la montée en puissance de l’union nationale africaine du Tanganyika (Tanganyika African National Union ou TANU), ont mené le Tanganyika a l’indépendance de la couronne britannique en décembre 1961.

Dar es Salam a continué à servir de capitale après la fusion entre le Tanganyika et Zanzibar en 1964 qui crée l’État moderne de Tanzanie. Cependant, en 1973 des dispositions ont été faites pour relocaliser la capitale à Dodoma, une ville plus centrée à l’intérieur de la Tanzanie. Le processus de relocalisation n’est pas encore achevé, Dar es Salam reste la ville la plus importante de la Tanzanie.

Source : Wikipédia.

Carte postale envoyée pas le compagnon ‘’Celou’’ (Marcel) lors d’un chantier en Tanzanie.

Très peu de mots derrière la carte : ‘’ Un bonjour de Tanzanie, où il fait très beau, mais où il manque, le vin et le Ricard ……Amitiés’’

PS: j’espère pouvoir venir vous visiter à partir de jeudi prochain. Merci pour votre patience. Amitiés Messieurs et bises Mesdames ….

Surprise……

septembre 17th, 2010

Surprise....

Surprise….

Hier, Eliane remonte avec le courrier. Il y avait une grande enveloppe et dedans, juste une grande photo de 28 cm x 21, celle-ci.

C’est mon fils aîné 57 ans fin novembre. Un vrai gosse !! Comme l’école ne lui plaisait pas, il est entré à l’usine à 14 ans, comme jeune-ouvrier (apprenti), il est encore dans le seul service restant de cette grande usine où j’ai aussi travaillé, alors qu’il y avait plus de 4 000 salariés. Ce service est la forge industrielle, avec presses plutôt que pilons.

Je lui ai téléphoné hier, l’après midi, pour le mettre un peu en boite, avant qu’il ne parte prendre son poste de nuit. Cette moto n’est pas à lui, mais à un de ses amis. Il ne roulait pas sur la route nationale, mais à l’intérieur du village qui jouxte la cité où il habite. Je suis sûr qu’il me l’a envoyé pour me faire râler.

Je l’ai un peu houspillé, car lui devrait pouvoir prendre sa retraite à 60 ans. Il a commencé jeune à travailler, toujours en 3/8, avec un horaire, qui pour ‘’la bête ‘’ de somme, ne doit pas arranger la santé : 2 jours d’après midi et 1 jours de repos, 2 jours du matin et un jour de repos, puis 2 jours de nuit et 3 jours de repos, y compris dimanche et jours de fête. J’espère qu’il va se démerder, car il est un peu nonchalant, étant célibataire.
Cela nous permettrait de le voir plus souvent.

Bon après midi à tous !!

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