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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» juillet

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Le temps qui reste…..

juillet 31st, 2010

Le temps qui reste………

Demain à l’heure de l’apéro, je fais mes 79 ans et j’aime toujours autant la vie.
D’où ce Reggiani….

J’aurais pu mettre aussi : ‘’Pourtant la vie…’’ de Ferrat
Ou encore : ‘’Merci à la vie’’ de Mouloudji…..

Je préfère ce Reggiani, qui y met toutes les tripes qui lui restent…

Bonne journée à tous pour demain…

Maisons-Laffitte-78

juillet 30th, 2010

Maisons-Laffitte

Maisons –Lafitte.

Maisons-Laffitte est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, situé à 10 km environ au nord-est de Saint-Germain-en-Laye et à 18 km environ au nord-ouest de Paris.

Le nom de « Maisons » vient du latin, mansio, demeure. Avant 1882 , date à laquelle « Laffitte » a été ajouté officiellement après l’urbanisation du parc du château par le banquier Jacques Laffitte, le village était nommé « Maisons-sur-Seine ».
Les habitants sont appelés les Mansonniens et Mansonniennes.

Maisons-Laffitte se situe en bordure de Seine, sur la rive gauche du fleuve, et jouxte à l’ouest la forêt de Saint-Germain-en-Laye. Le territoire communal englobe également une partie d’une île de la Seine, l’île de la Commune. La commune est limitrophe, des communes de Saint-Germain-en-Laye à l’ouest et au nord et du Mesnil-le-Roi au sud. A l’est, elle est séparée par la Seine de Sartrouville et Cormeilles-en-Parisis.

Elle est desservie par la route départementale D308 qui relie Paris à Poissy et par une gare sur la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare-Rouen sur laquelle circulent également les RER A et les lignes J et L du réseau Transilien. La ligne de bus n° 262 la relie à La Défense. Par ailleurs, un bus de nuit, N152, passant à une fréquence d’environ 60 minutes (à la date du 27 juin 2010), relie la ville à la gare de Paris Saint-Lazare.

Les origines

« En décembre 2001, les fouilles archéologiques menées dans le quartier de l’Entrée de Maisons, à l’emplacement de la nouvelle Résidence Hôtelière, ont permis de mettre au jour des débris de poteries gallo-romaines datant des IIe et IIIe siècles siècles : cette découverte atteste pour la première fois des origines gallo-romaines de Mansionis. »)

La première mention du village date de 820 environ, dans le polyptyque d’Irminon.

Ce document, rédigé à l’instigation de l’abbé Irminon, était destiné à recenser les biens de l’abbaye parisienne de Saint-Germain-des-Prés, fondée en 543 par Childebert Ier, fils de Clovis. Mais des incertitudes demeurent à savoir si le Mansionis Villa du polyptyque correspond bien à Maisons-Laffitte. L’inventaire mentionne des cultures céréalières et des vignes. Malgré la présence du fleuve, il semble bien que le village n’ait jamais connu d’activités liées à la pêche. Le village s’est longtemps appellé Maisons-sur– Seine.

L’histoire de Maisons-Laffitte se précise vers le XIe siècle. C’est à partir de cette période qu’il est possible de dresser une généalogie des seigneurs de Maisons. Le premier châtelain fut certainement Nivard de Septeuil. Son fils Geoffroy Ier accorda à l’abbaye de Saint-Wandrille le libre passage devant le port de Maisons vers 1060-1066. Il donna également vers 1087 l’église de Maisons à l’abbaye de Coulombs (proche de Nogent-le-Roi), avec des terres, des vignes, des dîmes et une part du péage.

Le village d’alors était réuni autour de l’église, à son emplacement actuel, entourée du cimetière, du presbytère, de l’ancien prieuré (où se trouve le Centre Ianchelevici) et le château situé alors vers les parterres ouest de nos jardins. De là, les maisons s’élevaient autour de la rue principale, devenue l’actuelle Rue du Mesnil.

Le fief de Maisons-Laffitte reste aux mains des descendants de Nivard de Septeuil (familles de Gaucourt puis de Poissy), jusqu’à ce qu’il tombe en quenouille, aux mains de deux nièces de Jean II de Gaucourt. La famille d’Avesne conserva ses terres, qui passèrent rapidement à la famille de Marseille. Les Fouilleuse cédèrent leur bien dès 1460 à Jean IV de Longueil, juge au Parlement de Paris. L’unité de la seigneurie sera retrouvée en 1602, lorsque Jean VIII de Longueil rachète la part des Marseille.

Source : Wikipédia

L’âne couvert de la peau d’un lion (Esope)

juillet 29th, 2010

L'âne couvert de la peau d'un lion

Ésope
De l’âne couvert de la peau d’un Lion.

Un âne ayant trouvé, par hasard, la peau d’un Lion, s’en couvrit le dos sur-le-champ, et se para de cette dépouille. Les autres bêtes qui le virent en cet équipage, et qui le prirent d’abord pour un véritable Lion, en furent alarmées, et se mirent à fuir de toute leur force. Le Maître à qui appartenait l’âne, le cherchait de tous côtés, et fut tout étonné quand il le vit déguisé de cette sorte. L’âne accourut vers son Maître, et se mit à braire. Sa voix et ses longues oreilles qu’il n’avait point cachées, le firent connaître malgré son déguisement. Son Maître le prit, et le condamna à son travail ordinaire.

Et j’ajouterai volontiers : braire à longueur d’année !!

Dunkerque.

juillet 28th, 2010

Dunkerque

Dunkerque .

Dunkerque (prononciationDuinkerke en néerlandais, prononciationDuynkercke/Duunkerke en flamand occidental) est une ville française de 70 000 habitants, sous-préfecture du département du Nord et de la région Nord-Pas-de-Calais. La ville est baignée par la Mer du Nord et plusieurs canaux. Ses habitants sont appelés les Dunkerquois et les Dunkerquoises.

Historiquement, la ville et ses alentours ont appartenu au Comté de Flandre et ils relèvent de la zone linguistique flamande. De par sa position sur la Mer du Nord, la ville a depuis toujours suscité les convoitises, elle fut le théâtre de nombreuses opérations militaires. Maintes fois détruite, toujours reconstruite, la ville s’est forgé une âme, un « esprit de Dunkerque » qui surgit après l’opération Dynamo.

La ville est aujourd’hui le cœur d’une agglomération de 200 000 habitants. C’est la première plate-forme énergétique du Nord-Pas-de-Calais et l’un des pôles économiques de la région notamment grâce à son port, le 3e de France : trafic minéralier et pétrolier, porte-containers, production d’acier.

La ville est connue notamment pour son carnaval, festivités s’étalant sur une période comprise entre janvier et mars, où les habitants se réunissent dans les rues aux rythmes de la fanfare guidée par le « tambour-major ».

Géologie

Dunkerque se trouve au centre de « Wateringues », ce sont des polders créés par la fermeture au cours du temps du golfe formé par l’Aa. Ainsi peu à peu, le sable s’est accumulé dans le golfe et des îles se sont formées. Ce sable vert, très fin, imbibé d’eau est connu sous le nom de sable pissart. Il est tel qu’on ne peut y creuser un trou sans qu’il ne soit quelques instants après rempli d’eau. Il est recouvert d’entre 1 et 3 mètres de terre et occupe une hauteur de 20 m. L’eau qui se trouve dans cette couche de sable a deux provenances distinctes : dans la partie supérieure de la couche se trouve de l’eau douce qui provient de la pluie et de l’eau des canaux, par contre dans sa partie inférieure, il contient de l’eau saumâtre qui résulte de l’infiltration de l’eau de mer.

Dunkerque est situé sur un promontoire de sable et de terre par rapport aux autres villes du Blootland, par exemple il y a un dénivelé de 1,80 m entre Dunkerque et Bergues. Ceci est dû au fait que Dunkerque est installée en bord de mer, sur les dunes qui empêchent l’eau de mer de rentrer irrémédiablement dans les terres qui sont situées sous le niveau de la pleine mer.

Le sol dunkerquois empêche l’érection de bâtiments de grande taille par des procédés standards, mais il permet la culture de nombreuses plantes, fruits et légumes, comme en témoigne l’activité maraichère de Rosendaël - étymologiquement la « vallée des roses » - au cours de son histoire.

Topologie

L’espace urbain est extrêmement plat. Hormis les buttes que se trouvent dans le quartier du « Grand Large » et dont la plus orientale est le point culminant de Dunkerque avec 17 mètres, quelques pentes dans le quartier de Malo à proximité de la plage et les dunes, le paysage dunkerquois est nivelé à environ 4 mètres. Ainsi le point culminant des quartiers habités de Dunkerque est situé en plein centre ville à mi-distance entre l’hôtel de ville et la place Jean-Bart.

Le point le plus bas de Dunkerque est situé au niveau de la mer sur la plage. Cependant au moment de la marée haute, le fond du « canal Exutoire » se trouve sous le niveau de la mer, l’écluse Tixier empêche alors l’eau de mer de rentrer dans les terres via le canal.

Source : Wikipédia

1828-Jules Verne-1905.

juillet 27th, 2010

Jules Vergne

Jules Verne.

Jules Verne est né à Nantes, dans le quartier de l’île Feydeau, le 8 février 1828. Il est le fils de Pierre Verne (originaire de Provins), exerçant la profession d’avoué, et de Sophie Allote de la Fuÿe, issue d’une famille bourgeoise nantaise de navigateurs et d’armateurs, mais de descendance écossaise[2]. Jules Verne est l’aîné d’une famille de cinq enfants, comprenant son frère Paul (1829-1897) et ses trois sœurs : Anna, née en 1836, Mathilde, née en 1839, et Marie, née en 1842. Il fait des séjours à Brains.

La légende affirme qu’en 1839, à l’âge de 11 ans, le petit Jules se serait embarqué sur un long courrier à destination des Indes, en qualité de mousse. Son père l’aurait alors récupéré in extremis à Paimbœuf. Jules Verne aurait avoué qu’il était parti pour rapporter un collier de corail à sa cousine, Caroline Tronson, dont il était amoureux. Rudement tancé par son père, il aurait promis de ne plus voyager qu’en rêve. Cependant, c’est probablement une légende enjolivée par l’imagination familiale car, dans ses Souvenirs d’enfance et de jeunesse, il affirme qu’il ne s’est qu’échappé, est monté à bord d’un voilier, qu’il a exploré, tourné le gouvernail, etc., ce en l’absence d’un gardien. Ce qui lui vaudra la réprobation du capitaine.

Les voyages extraordinaires

En 1862, Jules Verne soumet à l’éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son roman Cinq semaines en ballon, qui paraît en 1863 et connaît un immense succès, au-delà des frontières françaises. Il signe alors avec Pierre-Jules Hetzel un contrat qui le lie pour 20 ans avec l’éditeur, dans lequel il s’engage à fournir des romans notamment pour la revue le Magasin d’éducation et de récréation destinée à la jeunesse. C’est dans ce journal que paraîtront les Aventures du capitaine Hatteras avant d’être publiées en roman. En fait, Jules Verne travaille pendant quarante ans à ses Voyages extraordinaires qui compteront soixante-quatre volumes. En 1863, toujours, Jules Verne écrit Paris au XXe siècle, qui ne paraîtra qu’en 1994.

En 1864, Jules Verne consacre un ouvrage à Edgar Poe (Edgar Poe et ses œuvres), il publie les romans Les Aventures du capitaine Hatteras et Voyage au centre de la Terre, quitte son emploi d’agent de change, et déménage à Auteuil. Le 16 mars 1867, en compagnie de son frère Paul, il embarque sur le Great Eastern à Liverpool pour les États-Unis, il tirera de sa traversée le roman Une ville flottante (1870). Jules Verne achète son bateau le Saint-Michel en 1868, chaloupe de pêche aménagée pour la plaisance, il en fera son cabinet de travail.

Mobilisé comme garde-côte au Crotoy pendant la guerre de 1870, Jules Verne continue toutefois d’écrire. Il s’installe à Amiens, ville natale de son épouse, en 1872 :
« Sur le désir de ma femme je me fixe à Amiens, ville sage, policée, d’humeur égale, la société y est cordiale et lettrée. On est près de Paris, assez pour en avoir le reflet, sans le bruit insupportable et l’agitation stérile. Et pour tout dire, mon Saint-Michel reste amarré au Crotoy. (Lettre de Jules Verne à son ami Charles Wallut.)

Il publie Le Tour du monde en quatre-vingts jours, fait l’acquisition du Saint-Michel II (basé au port du Crotoy, Somme), en 1874. Il donne un fastueux bal costumé à Amiens en 1877, avec la participation de son ami Nadar, qui servit de modèle au Michel Ardan, héros de ses romans De la Terre à la Lune et Autour de la Lune. De juin à août 1878, Jules Verne navigue de Lisbonne à Alger sur le Saint-Michel III, puis en Écosse, Norvège et Irlande en 1880. Il fait un grand tour de la Méditerranée en compagnie de son épouse en 1884. Son bateau le Saint Michel III avait son port d’attache au Tréport, Seine Inférieure. Jules Verne donnait de grandes fêtes au casino du Tréport, il a été photographié sur la plage de Mers-les-Bains dans la Somme

Malade de diabète, Jules Verne s’éteint le 24 mars 1905 à Amiens dans sa maison du 44, boulevard Longueville (aujourd’hui boulevard Jules-Verne). Il est inhumé au Cimetière de La Madeleine à Amiens. Plusieurs livres de Jules Verne paraîtront après sa mort, publiés par son fils Michel Verne, qui prendra la responsabilité de remanier certains manuscrits.

Source : Wikipédia.

La Corse

juillet 26th, 2010

Corse

La Corse.

La Corse (Corsica en corse) est une île de la mer Méditerranée et une région française, ayant toutefois un statut spécial (officiellement « collectivité territoriale de Corse »), composée de deux départements : la Corse-du-Sud (2A) et la Haute-Corse (2B). Elle fut indépendante le 30 janvier 1735, puis elle devint française le 15 mai 1768 par le traité de Versailles. Elle avait pour hymne national Dio vi salvi Regina. Elle est aujourd’hui surnommée Île de Beauté. Les grecs l’appelaient Kallisté (en grec ancien Καλλίστη : « la plus belle »).

Site et situation

La Corse est située à 200 km environ au sud-est de la Côte d’Azur, à l’ouest de la Toscane et au nord de la Sardaigne. Île plutôt boisée et montagneuse, sa côte méridionale est formée de hautes falaises (Bonifacio).

La distance la plus courte entre la France continentale et l’ile, de Cap Martin à la pointe de la Revellata (voir La presqu’île de la Revellata, est de 160 km, et l’île est située à moins de 90 km de l’Italie continentale.

La Corse se situe avec la Sardaigne sur une microplaque continentale séparée de celle de la France ou de l’Italie, et appelée bloc corso-sarde.

La distance entre le point Nord et le point Sud de la Corse est de 182 kilomètres.

Le 1er janvier 1976, la Corse a été divisée en deux départements, en application d’une loi de 1975[10] : la Corse du Sud (2A) et la Haute-Corse (2B).
La Corse constitue la Collectivité territoriale de Corse (CTC), statut particulier institué en vertu de la loi du 13 mai 1991. Cette loi a substitué ce nouveau statut de collectivité territoriale de la République, qui lui confère plus de pouvoir, à l’ancien statut de région.

La Corse est donc dotée d’une organisation institutionnelle originale, unique en France métropolitaine, mais comparable à celle de la plupart des autres régions européennes largement décentralisées. La spécificité de la Corse dans la République a en effet été reconnue par le pouvoir national puis traduite dans plusieurs réformes statutaires (1982, 1991, 2002) à partir d’un double fondement : favoriser l’expression du débat politique dans le cadre d’une démocratie locale rénovée, permettre la recherche de solutions adaptées aux problèmes insulaires à travers l’octroi de compétences étendues en matière d’identité et de développement. Ainsi la collectivité territoriale de Corse apparaît à l’avant-garde de la « République décentralisée » : par ses responsabilités accrues mais aussi une organisation rationalisée et des moyens plus importants, parmi lesquels le statut fiscal.

La collectivité territoriale de Corse comprend trois organes :
• le Conseil exécutif de Corse
• l’Assemblée de Corse
• le Conseil économique et social de Corse (CESC).

Le Conseil exécutif:

Le Conseil exécutif de Corse est l’organe exécutif de la collectivité. Il comprend 9 membres élus par l’Assemblée parmi ses membres pour six ans.
C’est cet organe qui fait la particularité de la Corse. Alors que dans les autres régions françaises c’est le président du conseil régional qui exerce à la fois l’exécutif et la présidence de l’assemblée délibérante, ces deux fonctions sont séparées en Corse.

L’assemblée peut cependant renverser le Conseil en votant contre lui une motion de censure par 26 voix (majorité absolue).

Source : Wikipédia.

Aix en Provence.

juillet 25th, 2010

Aix-en-Provence

Aix-en-Provence.

Aix-en-Provence est une commune française, ancienne capitale de la Provence, située dans la Communauté d’agglomération du Pays d’Aix, dans le département des Bouches-du-Rhône et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Située au sud-est de la France à 640 km de Paris, 252 km de Lyon, 148 km de Nice, 26 km de Marseille, 295 km de Gênes, elle est localisée entre le massif de la Sainte-Victoire à l’est et la chaîne de la Trévaresse à l’ouest. Les cours d’eaux de l’Arc, de la Touloubre et de la Torse la traversent d’est en ouest. Ses habitants s’appellent les Aixois.

Fondée en 122 av. J.-C. par la garnison romaine de Gaius Sextius Calvinus, la ville s’est développée sous le nom d’Aquae Sextiae, selon un plan gallo-romain. Détruite lors de nombreuses razzias sarrasines, Aix se relève et devient au Moyen Âge une ville rassemblant plusieurs instances politiques.

En 2006, la population totale de la ville d’Aix-en-Provence était de 146 690 habitants d’après le recensement de l’Insee – 143 404 de population municipale et 3 286 pour la population comptée à part. Son arrondissement comptait en 2006 410 355 habitants. L’aire urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, qui est centrée sur les communes de Marseille et d’Aix-en-Provence, comprenait 1 601 095 habitants en 2006, ce qui en fait la troisième aire urbaine de France, derrière Paris et Lyon.

Aix-en-Provence se situe à 30 minutes de Marseille, 2 h 30 des pistes de ski, 30 minutes des plages, 20 minutes de l’aéroport de Marseille Provence, à 3 h 10 de Paris par la Gare d’Aix-en-Provence TGV, près de Vitrolles.

De très grande superficie, avec 18 608 hectares, Aix-en-Provence est la 11e commune la plus vaste de France métropolitaine. Le territoire communal comprend 6 219 hectares de surfaces boisées et englobe par ailleurs de nombreux villages aux alentours de la ville proprement dite, tels que Les Milles, Luynes, Puyricard, Célony, Couteron, Les Granettes, ainsi que des agglomérations récentes, comme La Duranne.

1869-André Gide-1951

juillet 24th, 2010

André Gide

André Gide (1869-1951)

“On a beaucoup ri d’un télégramme que Mauriac a reçu peu de jours après la mort de Gide et ainsi rédigé : ” Il n’y a pas d’enfer. Tu peux te dissiper. Préviens Claudel. Signé André Gide” Julien Green, Journal 28 février 1951

André Gide est né en 1869 dans une famille de la haute bourgeoisie protestante. Son père est un brillant professeur à la faculté de droit de Paris, et sa mère, la fille d’un industriel rouennais du textile. André Gide est élevé dans une atmosphère puritaine. Petit garçon émotif et de santé fragile, il est sujet à des crises nerveuses répétées qui lui valent de nombreuses cures. André Gide est très affecté de perdre, à 11 ans, son père, cet être érudit et généreux qu’il admire. C’est son premier “Schaudern” (”frissonner d’épouvante”). Il sera élevé au milieu de femmes, au premier rang desquelles : sa mère, Anna Schackleton, l’ancienne gouvernante de celle-ci, la bonne, ses tantes et ses trois cousines.

A treize ans, lors d’un séjour à Rouen, André Gide découvre sa cousine Madeleine (âgée de 16 ans) en pleurs et en prière du fait de l’inconduite conjugale de sa mère, la tante Mathilde. C’est son second Schaudern : “Je sentais que dans ce petit être, que déjà je chérissais, habitait une grande tristesse, un chagrin, tel que je n’aurais pas trop de tout mon amour, toute ma vie pour la guérir…”. Le jeune André Gide prend ainsi conscience du sentiment amoureux qu’il éprouve pour sa cousine.
Très tôt Gide fréquente des cercles littéraires, en particuliers celui des milieux symbolistes. Il publie alors, à compte d’auteur, Les Cahiers d’André Walter . Sa cousine, Madeleine, à qui il a offert le premier exemplaire, refuse le mariage. ” Je protestais que je ne considérais pas son refus comme définitif, que j’acceptais d’attendre, que rien ne me ferait renoncer “.

Gide, du petit garçon fragile qu’il était, est devenu une sorte d’esthète, de Narcisse, très influencé par la littérature contemporaine. Un voyage et un séjour en Tunisie (1893-1895) vont être déterminants : parti pour y soigner sa tuberculose, il y assume pour la première fois son homosexualité et en revient libéré de toutes contraintes.

A son retour, peu après la mort de sa mère, en 1895, Gide épouse sa cousine Madeleine, pour qui il éprouve depuis l’âge de quinze ans, une profonde affection. Mariage blanc et qui le restera : “C’est le ciel que mon insatiable enfer épousait.”
Toute la vie de Gide est aimantée entre le ciel et l’enfer, entre la liberté et la contrainte morale, entre l’ange et le diable; il semble écartelé entre les extrêmes, déchiré entre les contradictions. Ainsi l’austérité de La Porte Etroite répond à l’Immoraliste (1902) et Saül (1903) est un écho aux Nourritures terrestres (1897).

En 1909, Gide fonde la NRF avec Copeau et Schlumberger. Cette revue imposera peu à peu une école de la rigueur et du classicisme, avec des écrivains comme Gide lui-même, Proust, Alain-Fournier, Giraudoux, Martin du Gard, ou Valéry. Puis Gide rompt avec le catholicisme. Les Caves du Vatican (1914), dont le célèbre héros, Lafcadio, cherche à se libérer par un acte gratuit, en est un des éléments tangibles. Paul Claudel est choqué par un “passage pédérastique” du livre. En 1919, Gide publie la Symphonie Pastorale. Puis de 1920 à 1925 Gide va connaître “une triple libération” : “libération du passé dans : Si le grain ne meurt (1926), souvenirs d’enfance et de jeunesse, où il pousse la confession jusqu’à son point extrême; libération de la contrainte morale, dans le Corydon (1924), apologie ouverte de l’homosexualité; libération artistique aussi, la plus féconde, dans les Faux- Monnayeurs (1925)”.

Puis Gide s’engage contre le colonialisme après un voyage au Congo (1925-1926) ; en faveur de la paix (il assiste au congrès mondial de la paix en 1932) , et enfin dans le communisme , qu’il abandonnera dans la douleur suite à un voyage décevant en URSS (1936).

La mort de son épouse en 1938 l’amène à tirer un premier bilan de son existence. Il commence à publier son Journal (1889-1939).

Lors de l’occupation allemande, Gide séjournera sur le continent africain. Au retour de la guerre, il renoue avec un personnage qui le hante depuis longtemps : Thésée, l’aventurier auquel, il s’identifie, malgré ses apparentes allures de moraliste.

En 1947, André Gide obtient le prix Nobel de littérature (sixième écrivain français à être couronné depuis 1901).

Il adapte ensuite le Procès de Kafka que Jean-Louis Barrault mettra en scène, en 1947, au Théâtre Marigny.

André Gide est mort le 19 février 1951 d’une congestion pulmonaire. Il eut ces derniers mots mystérieux : ” J’ai peur que mes phrases ne deviennent grammaticalement incorrectes. C’est toujours la lutte entre le raisonnable et ce qui ne l’est pas …”

La java bleue des préfets…

juillet 23rd, 2010

La java bleue des préfets….

Depuis quelques temps, lorsque, dans un département se passe un évènement, qui énerve notre président, pas d’analyse de la situation, du pourquoi de cet évènement, on cherche la soupape de pression et ce sont les préfets qui….sautent. Jamais la valse des préfets, n’a autant ressemblé à la java bleue qui en somme, est une valse saccadée, dansée à petits pas courus, sur la pointe des pieds pour rehausser l’éclat, sans presque pivoter. Surtout pas chalouper, car ce mouvement amplifie l’air malhonnête du meneur.

On se fait chahuter en Manche, le préfet est viré, ainsi que le directeur départemental de la police. Lorsque que l’on voit les bains de foule, actuels on est en droit de penser : ‘’ ils sont passés à la trieuses’’, les pommes un peu véreuses sont exclues du panier offert.

Seine-St-Denis, une cité s’enflamme, le préfet est viré et remplacé par un des anciens collaborateurs de l’ancien ministre de l’intérieur. Hier, c’est celui de l’Isère qui est jeté en basse-fosse et il est aussi remplacé par un fidèle du château. Petit à petit, tout l’échiquier sera bleu- président. Je me souviens aussi d’un préfet, celui du Var, qui lui l’a été, pour une histoire d’un tout à l’égout, je crois, au Cap-Nègre, me semble t-il.

Pour ceux qui subissent ces désagréments et sont objectifs, sans vouloir excuser cette violence dans les quartiers, ils se souviennent de la police de proximité qu’un certain ministre de l’intérieur a supprimé, car dans sa ville à lui, il n’y en a pas besoin, puisqu’il y a peu de logements sociaux, et ceux existant sont à un tel prix, que seuls, les salariés a bon revenu, peuvent si loger. Au lieu de taxer les communes qui ne respectent pas la loi sur le bâti social, il faut incarcérer ces élus. Il y en a plus que marre de les voir balancer de cette façon, les ouvriers ou employés bas salaires dans les communes qui sont déjà surpeuplées de logements sociaux.

J’ai entendu un locataire de ce quartier dire :’’ de mon temps, quand j’allais à l’école ici, ils y avaient des Mathieu, Alain, Philippe, où sont-ils maintenant. De ces cités vous en avaient fait des ghettos, même si les logements sont confortables, même si les lieux qui l’entourent sont agréables. Nous avons un taux de chômage important, nous avons besoins de plus d’aide pour l’enseignement, car 60% sont des enfants de migrants. Même les parents ont besoin d’aide pour mieux s’insérer dans la société. Pourquoi croyez vous que nous participons peu à la vie du quartier, sauf ceux de la 2ème génération qui ont atteint le niveau intellectuel et social qui le leurs permet.’’
Je ne pense pas que tout se réglera par la force, bien au contraire, si le social ne progresse pas, à la moindre étincelle, cela repart et quelque soit le préfet.
Cette java des préfets n’est qu’un trompe l’œil et rien d’autre. C’est la mise en place d’une écurie pour les élections de 2012 et une façon de leur faire porter les insuffisances de nos élus.

1066-Bataille d’Hasting…

juillet 22nd, 2010

1066-Bataille d'Hasting.

Bataille de Hastings au Moyen-Âge

La Bataille de Hasting en 1066 a scellé le destin de l’Angleterre. Découvrons la bataille médiévale de Hastings et les conséquences importantes qu’elle a eu, du Moyen-Âge à nos jours.

Bataille de Hastings : la succession d’Angleterre

Edouard le Confesseur décède le 5 janvier 1066. Le 6 Janvier 1066, Harold Godwinson, gendre du roi et héritier d’une puissante famille féodale est élu Roi par les barons d’Angleterre. Mais deux autres familles prétendent aussi au trône :

1) Guillaume le Bâtard, Duc de Normandie, conteste le trône. Il prétend qu’Edouard en a fait son héritier et qu’Harold est venu assurer Guillaume de sa fidélité par serment. Cette version est de plus en plus sujette à caution.

2) Hardrada, roi danois, a aussi l’intention de conquérir le trône d’Angleterre avec l’aide de Tostig, frère honni d’Harold Godwinson.

Bataille de Hastings : prélude au conflit

Le règne d’Harold Godwinson commence difficilement. Deux puissantes familles du Moyen-âge d’alors menacent son royaume, risquant de le prendre en étau : A l’Est les Danois, et au Sud-Ouest l’armée médiévale de Guillaume.

Harold Godwinson redoute beaucoup l’arrivée de Guillaume, qu’il sait grand combattant. Son armée l’attend tout l’été sur les côtes du Sud, en vain. Harold doit démobiliser à l’approche de la saison froide, période normalement calme pour les campagnes militaires au Moyen-Âge.

Le 15 Septembre 1066, Harold Godwinson est surpris par le débarquement d’Harald Hardrada près de York. Son armée marche pour repousser l’envahisseur : ce sera chose faite le 25 Septembre 1066 lors de la bataille de Stamford bridge.

Guillaume le Bâtard débarque le 28 Septembre 1066. Il commence à piller allègrement les campagnes, contraignant Harold Godwinson à se diriger à marche forcée vers le Sud pour l’intercepter. Les deux armées médiévales se rencontrent le 14 Octobre sur la colline de Senlac. La Bataille de Hastings bouleversera bientôt la donne du Moyen- Age.

Bataille de Hastings : deux armées en présences

Pour la Bataille de Hastings, Harold Godwinson positionne au mieux son armée au sommet d’une colline, profitant des pentes abruptes et des marécages. L’armée médiévale d’Harold est exclusivement à pied. Les Huscarls, troupes d’élite, armés de lourdes haches, sont le fer de lance de l’armée d’Harold à la bataille de Hastings. Ils sont appuyés par quelques milliers de paysans, le Fyrd. Les archers sont rares au sein de la plus puissante infanterie du Moyen-Âge.

Face à Harold Godwinson, Guillaume le Bâtard oppose une armée solide. Organisée en trois batailles, une normande, une française et une flamande, elle est composée de chevaliers, de fantassins et d’archers. Guillaume le Bâtard dispose de la plus puissante chevalerie de cette époque du moyen-âge.

Bataille de Hastings : vers une panique normande

La Bataille de Hastings débute le matin du 14 octobre 1066. Les troupes médiévales d’Harold Godwinson sont solidement campées derrière leurs murs de boucliers. Les premières salves des archers normands sont sans effet sur la première ligne farouchement tenue par des Huscarls équipés de mailles, cervelières et boucliers.

Devant l’inefficacité des tirs, Guillaume le Bâtard lance une charge de fantassins, qui se brise sur le mur de boucliers et de haches. La cavalerie normande du Moyen-Âge n’obtient pas plus de succès.

Guillaume, affaibli par les échecs, se trouve à deux doigts de perdre la bataille de Hastings. Il doit lui-même intervenir pour faire taire une rumeur annonçant sa mort. Seuls son courage et ses qualités de chef sauvent ce seigneur médiéval de la déroute.

Bataille de Hastings : vers l’équilibre des forces

Alors qu’une nouvelle tentative d’assaut contre les troupes médiévales saxonnes échoue, l’aile droite des Anglais brise les rangs pour poursuivre l’ennemi. Prise en tenailles par la puissante chevalerie normande de ce Moyen-Âge du 11ème siècle, elle est anéantie.

Pressentant une ruse efficace, Guillaume le Bâtard renouvelle cette stratégie à plusieurs reprises. La technique affaiblit considérablement l’armée saxonne, permettant même la mort des deux frères d’Harold Godwinson. Les deux armées sont de nouveau sur un pied d’égalité dans cette Bataille de hastings, le sort de l’Angleterre du Moyen-Âge est encore incertain.

Bataille de Hastings : l’inattendue victoire normande

Guillaume Le Bâtard a considérablement affaibli les rangs de l’armée médiévale saxonne. Afin d’emporter l’avantage décisif, il fait tirer les archers en cloche : les flèches tombent drues et déciment le Fyrd.

Une flèche finit par atteindre Harold Godwinson. A l’article de la mort, il se bat vaillamment mais ne peut résister aux assauts normands : il décède en grand guerrier. Guillaume le Bâtard est vainqueur, et prend le titre de Conquérant.

Source: Wikipédia

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