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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2011» mars

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Basilique Notre Dame de Fourvière.

mars 31st, 2011

Basilique Notre Dame de Fourvière

Basilique de Notre Dame de Fourvière.

La basilique de Notre-Dame de Fourvière domine la ville de Lyon depuis le sommet de la colline de Fourvière, sur l’emplacement de l’ancien Forum de Trajan (Forum vetus, d’où le nom de Fourvière). Son architecture de style néogothique est l’œuvre de Pierre Bossan. Constituant un des repères les plus visibles de l’agglomération au même titre que la tour Part-Dieu, la Basilique Notre-Dame de Fourvière est un des symboles de la ville de Lyon.

Historique

En 1168, une chapelle fut construite à Fourvière par Olivier de Chavannes, chanoine de Saint-Jean, sur les ruines du forum romain. La petite chapelle, dédiée tout d’abord à saint Thomas puis à la Vierge, a connu des destructions et des reconstructions. La forme que nous lui connaissons actuellement date de 1740 et sa dernière rénovation de 2008.

Les pèlerins venant de plus en plus nombreux à Fourvière, le projet d’agrandissement du sanctuaire prend corps. Pour acheter les terrains nécessaires, le cardinal de Bonald crée le 7 mars 1853 la Commission de Fourvière. Cependant, ce n’est qu’en 1866 que la Commission et les autorités ecclésiastiques s’accordent sur un projet non pas d’agrandissement, mais de construction, d’une nouvelle église. Les plans existent dans les cartons de Pierre Bossan, architecte diocésain qui succède à Duboys.

Cependant, le 19 juillet 1870, la guerre éclate entre la France et la Prusse. Les Lyonnais, inquiets, demandent à Monseigneur Ginoulhiac d’exprimer un vœu à Notre-Dame de Fourvière pour éviter l’occupation de la ville. Si ce vœu est exaucé, ils s’engagent à construire à Fourvière une église dédiée à la Vierge. L’archevêque formule solennellement ce vœu le 8 octobre 1870. Lyon est épargnée.

La première pierre est donc déposée le 7 décembre 1872 et la dernière, le 2 juin 1884. La construction est poursuivie par l’architecte Sainte-Marie Perrin, après la maladie de Bossan. Il fallut donc douze ans pour réaliser le gros œuvre de la basilique. Cependant, il faudra attendre 1964 pour que l’intérieur de la basilique soit achevé, avec ses mosaïques, ses sculptures et ses vitraux. En 1897, la nouvelle église est érigée en basilique par un bref du Pape Léon XIII.

Le site accueille depuis 1982 les antennes de Radio Fourvière, devenue depuis RCF Lyon.

La basilique appartient au périmètre du Vieux Lyon inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998[1].

Depuis 2008 et jusqu’en 2012, des travaux de restauration sont en cours pour conserver ce patrimoine, premier site touristique de Rhône-Alpes.

Source: Wikipédia (Extraits)

Robert Doisneau.

mars 30th, 2011

Doisneau

Doisneau.

Robert Doisneau naît à Gentilly le 14 avril 1912. En ce début de siècle, la banlieue offre un paysage constitue de jardins maraîchers, de petits commerces et d’usines, où domine pourtant le sombre. Cet espace, sis entre Paris et la campagne, représente pour cet artisan aux 500 000 négatifs, un terrain de prédilection.

Elève de l’école Estienne, le jeune Robert acquiert une formation de lithographe qui éduque son œil à penser l’image. Muni d’un appareil photo emprunté, Doisneau apprivoise ses premières images: la roue cassée d’une bicyclette, des affiches, des pavés. En 1931, devenu l’assistant d’André Vigneau, il pénètre dans l’univers de l’avant garde. Il s’achète alors son premier appareil: un Rolleiflex 6×6. Tout comme le fait Vigneau, il apprend à dompter la lumière artificielle pour mieux approcher les formes Des modèles humains apparaissent sur ses clichés.

En 1932, le contraste est saisissant qui montre de frêles gamins devant des décors écrasants. Photographe salarié des usines Renault en 1934, il côtoie les travailleurs dont il montre le quotidien avec respect et tendresse. Licencié en 1939 pour “retards répétés”, il devient photographe illustrateur indépendant.

Sa rencontre avec Charles Rado est déterminant: il entre à l’agence Rapho que celui-ci vient de fonder. Pendant la guerre, il met son savoir faire au service de la résistance en fabriquant de faux papiers. L’après-guerre, qui voit l’éclosion de multiples revues, lui offre l’occasion d’exprimer, par ses photographies, un vibrant hommage à la classe populaire.

Ses prises de vues lui permettent de rencontrer Picasso, de se lier d’amitié avec Blaise Cendrars qui est à l’origine de son premier livre: “La banlieue de Paris”, puis avec Jacques Prévert dont il deviendra un compagnon de flânerie, promeneurs complices d’un Paris poétique et mystérieux. Exposé au Museum of Modern Art de New-York dès 1951 où il connaît un succès international.. En couleur parfois, en noir et blanc le plus souvent, Robert Doisneau, “pêcheur d’images” chantre des vies modestes, des amoureux et des enfants nous laisse un témoignage humaniste inoubliable. Il décédé à Montrouge le 1er avril 1994.

Jane Champeyrache.

Source : Collection philatélique de la Poste.
Timbre: Photographie de Doisneau intitulée :” L’information scolaire 1956″ Mise en page par Claude Andreotto. Vente anticipée à Paris le 10 juillet 1999. Vente générale le 12 juillet 1999.

Armada du Siècle- Rouen 1999.

mars 29th, 2011

Armada du Siècle.

Armada du siècle - Rouen 1999.

L’Armada du siècle est un rassemblement de grands voiliers de Rouen qui s’est déroulé du 9 au 18 juillet 1999 et rassemblant une cinquantaine de voiliers et bâtiments de guerre venus de plus de 30 pays.

Cette manifestation faisait suite aux Voiles de la liberté en 1989 puis à l’Armada de la liberté en 1994.

Liste des voiliers
• Antigua, Pays-Bas,
• Aphrodite, Pays-Bas,
• Belem, France,
• Belle Poule, France,
• Capitan Miranda, Uruguay,
• Christian Radich, Norvège,
• Dar Mlodziezy, Pologne,
• Étoile, France,
• Étoile Molène, France
• Europa, Pays-Bas,
• Fryderyk Chopin, Pologne
• Frya, Royaume-Uni
• Iskra II, Pologne,
• Kaskelot, Grande-Bretagne,
• Khersones, Ukraine,
• Libertad, Argentine,
• Lord Nelson, Grande-Bretagne,
• Mary-Anne, Allemagne,
• Mir, Russie,
• Oosterschelde, Pays-Bas,
• Palinuro, Italie,
• Pogoria, Pologne,
• La Recouvrance, France,
• Sagres II, Portugal,
• Sorlandet, Norvège,
• Statsraad Lehmkuhl, Norvège,
• Sawn, Pays-Bas,
• Thalassa, Pays-Bas,
• Zenobe-Gramme, Belgique,

PS: Feuille comprenant 10 timbres verticaux d’un format de 22×36,85 mm.

Conception de Jean-Paul Cousin d’après les photos de A. Komanda pour : Amerigo Vespucci; Iskra; Statsraad Lebmkuhl. L Wiame pour : Cuaubtemoc et Gauthier Marines pour: Asgard II; Belem; Belle Poule; Europa; Sagres; Simon Bolivar.

Vente anticipée le 10 juillet 1999 à Rouen. Vente générale le 12 du même mois.

Source: Collection Philatélique de la poste.

Le Baptême de Clovis 1er.

mars 28th, 2011

Baptême de Clovis

Baptême de Clovis. 25 décembre 498.

Clovis Ier (en francique Chlodwig ou Chlodowech, en latin
Chlodovechus), né vers 466 et mort à Paris le 27 novembre 511[1], est roi des Francs saliens, puis roi de tous les Francs de 481 à 511.

Issu de la dynastie des Mérovingiens, il est le fils de Childéric Ier, roi des Francs saliens de Tournai, et de la reine Basine de Thuringe. Brillant chef militaire, il accroît considérablement le territoire du petit royaume des Francs saliens dont il hérite à la mort de son père pour unifier une grande partie des royaumes francs, repousser Alamans et Burgondes et annexer les territoires des Wisigoths dans le sud de la Gaule.

Le règne de Clovis est connu à travers la description qu’en fit l’évêque gallo-romain Grégoire de Tours, et dont l’Histoire des Francs est riche d’enseignements, bien que ce texte semble essentiellement à visée édifiante.

Clovis fut considéré dans l’historiographie comme un des personnages historiques les plus importants de l’histoire de France ; le courant républicain en fit le premier roi de ce qui était devenu la France à partir du XIIIe siècle, et la tradition monarchiste vit en lui le premier roi chrétien du royaume des Francs.

Source: Wikipédia ( Extrait)

PS: il y eu encore Clovis II, Clovis III et Clovis IV par la suite…..

Ecole Française d’Athènes.

mars 27th, 2011

Ecole Française d'Athènes

Ecole Française d’Athènes.

L’École française d’Athènes (EfA) ou l’École française d’archéologie d’Athènes (grec : Γαλλική Σχολή Αθηνών) est un établissement universitaire français situé à Athènes (6, rue Didotou), en Grèce, dont le but est de promouvoir l’étude de la langue, de l’histoire et des antiquités grecques.

Statut

Créée en 1846 sous la Monarchie de juillet, l’école est le produit du philhellénisme et de la volonté de la France de se rétablir en Orient. À la fin du XIXe siècle siècle, elle s’illustre en initiant plusieurs grands chantiers archéologiques dont ceux de Délos et Delphes.

Aujourd’hui encore, elle est la principale institution, aux côtés du service archéologique grec, chargée de l’étude et de l’entretien des sites archéologiques de Délos, Delphes, Thasos, Malia, Argos, Philippes, Dikili Tash, en Grèce, et Amathonte à Chypre.

Institution prestigieuse, première de son genre, l’École française d’Athènes a apporté une contribution reconnue à la renaissance et à la sauvegarde du passé antique de la Grèce.

De sa création jusqu’à nos jours, ses chercheurs, recrutés pour un an renouvelable trois fois au maximum (pour un séjour total de quatre ans) et issus d’une sélection rigoureuse, ont dû faire face aux aléas de l’histoire (guerres mondiales, régime des colonels) et au développement du tourisme de masse.

Le décret no 85-1068 du 26 septembre 1985 lui accorde le statut d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel.
Elle est dirigée depuis 2002 par l’épigraphiste Dominique Mulliez.

La Mort……

mars 26th, 2011

L'intempérance

La mort

La mort, reine du monde, assembla certain jour,
Dans les enfers, toute sa cour.

Elle voulait choisir un bon premier ministre
Qui rendît ses états encor plus florissants.
Pour remplir cet emploi sinistre,
Du fond du noir Tartare avancent à pas lents
La fièvre, la goutte et la guerre.

C’étaient trois sujets excellents ;
Tout l’enfer et toute la terre
Rendaient justice à leurs talents.

La mort leur fit accueil. La peste vint ensuite.
On ne pouvait nier qu’elle n’eût du mérite,
Nul n’osait lui rien disputer ;
Lorsque d’un médecin arriva la visite,
Et l’on ne sut alors qui devait l’emporter.
La mort même était en balance :

Mais, les vices étant venus,
Dès ce moment la mort n’hésita plus,
Elle choisit l’intempérance.

De Florian.

Rouletabille….

mars 25th, 2011

Routabille

Rouletabille.

Sans doute Gaston Leroux s’est-il rappelé ses début de journaliste, au Matin notamment, quand il imagina les personnage de Rouletabille, un détective amateur doué d’une perspicacité hors du commun, capable de résoudre les énigmes les plis inextricables, grâce à une méthode très personnelle, consistant à aborder une enquête par le “bon bout de la raison”.

Rouletabille, de son “vrai” nom Joseph Joséphin, n’en était pas à une excentricité près : ce digne successeur de Rocambole avouait un goût immodéré pour la mystification, les substitutions et transformations de tout genre. On l’auras compris: il n’y a rien de commun entre les invraisemblances d’un Rouletabille trop fantasque pour être crédible et la présence quasi palpable d’un Maigret, tellement humain.

Contemporain de Fantômas et d’Arsène Lupin, Rouletabille n’a pas donné lieu comme eux à une abondante production littéraire. A la fois journaliste, feuilletoniste et romancier, intéressé par le genre policier mais aussi pas le fantastique ou la chronique sociale, Gaston Leroux (né à Paris en 1868 et mort à Nice en 1927) a laissé une œuvre bien moins homogène que celle de Maurice Leblanc ou du tandem Souvestre-Allain.

L’essentiel de la notoriété de Rouletabille repose en fait sur le “Mystère de la chambre jaune” et le “Parfum de la dame en noire”, tous deux parus en 1907. On retrouve encore le personnage dans “Rouletabille chez le Tsar” ou “le Château noir”, romans qui n’ont plus le caractère policier des débuts.

Gaston Leroux mit rapidement un terme au cycle des Rouletabille pour se consacrer au nouvel-héros, ou plutôt antihéros, qui hantait son imagination: Chéri-Bibi, un évadé du bagne de cayenne, hors la loi involontaire, accablé par la société et dont les aventures connurent aussi un large succès.

Source: documents philatélique de la poste.

PS: Dessiné par Marc Taraskoff et Imprimé en héliogravure. Vente anticipée à St Nazaire le et Paris le 5 octobre 1996 et vente générale le 7 octobre 1996.

Saint -Emilion.

mars 24th, 2011

St-Emilion

Saint- Emilion.

Saint-Émilion est une commune française, située dans le département de la Gironde et la région Aquitaine. La juridiction de Saint-Émilion est classée au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO. Cette juridiction se compose de huit communes : Saint-Émilion, Saint-Christophe-des-Bardes, Saint-Étienne-de-Lisse, Saint-Hippolyte, Saint-Laurent-des-Combes, Saint-Pey-d’Armens, Saint-Sulpice-de-Faleyrens et Vignonet.

Saint-Émilion

Le territoire de l’ancienne Juridiction de Saint-Emilion se situe dans le département de la Gironde à 35 kilomètres au Nord- Est de Bordeaux, entre Libourne et Castillon-la-Bataille, sur le coteau nord de la vallée de la Dordogne. Il s’étend sur 7846 hectares pour une population proche des 6000 habitants.

L’Aire d’Appellation de Saint-Emilion

En créant le premier syndicat viticole de France en décembre 1884, soit quelques mois après la légalisation des syndicats, les viticulteurs et la commune de Saint-Emilion expriment leur désir de s’unir face aux difficultés. L’association s’est en effet révélée probante dans la lutte contre le phylloxéra en particulier. Mais les viticulteurs veulent aussi par ce biais défendre ensemble l’appellation Saint-Emilion . Toutefois, en 1890, est créé le syndicat groupant sept autres communes. Celui-ci revendique le droit à l’appellation en s’appuyant sur l’argument dont la valeur historique est indéniable : ces sept communes font partie de l’ancienne juridiction de Saint-Emilion (Saint Christophe des Bardes, Saint-Etienne de Lisse, Saint-Hippolyte, Saint-Laurent des Combes, Saint-Pey d’Armens, Saint-Sulpice de Faleyrens et Vignonet). Ce n’est qu’en 1914 que le syndicat de Saint-Emilion fusionne avec ce deuxième syndicat, reconnaissant par là la légitimité de sa revendication.

Depuis 1936, un décret définit l’aire de production des Appellations d’origine contrôlée de Saint-Emilion au nombre de quatre jusqu’en 1989. Depuis 1984, la législation européenne impose que les aires d’appellation soient strictement délimitées entre elles, à moins d’être réduites au nombre de deux. Pour éviter de rendre l’appellation trop rigide, et devant la complexité d’une telle tâche, il a été décidé qu’il n’y aurait plus que deux Appellations d’Origine Contrôlée : Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru.

Histoire

Le site présente des traces d’occupation dès 35 000 avant notre ère. Une villa gallo-romaine a également existé en bas du coteau destinant le site à la culture de la vigne. En attestent divers éléments de mosaïques découverts au lieu-dit Le Palat.

Au VIIIème siècle, un moine breton natif de Vannes nommé Emilion choisit comme lieu de retraite Ascumbas (ancien nom du site de Saint-Emilion). Cet homme de cœur quitta sa famille et sa Bretagne natale pour entrer dans les ordres. Il fut d’abord victime des pires injustices auxquelles il répondit toujours par la plus grande bonté.
Econome dans un couvent bénédictin en Saintonge, comblé de louanges et de respect en raison de sa grande vertu, Emilion finit par se retirer, loin de tous, dans la forêt des Combes qui recouvrait jadis l’actuel site de Saint-Emilion. Par ses miracles et sa générosité, sa renommée rayonna par-delà la vallée et de nombreux disciples le rejoignirent. Durant dix-sept ans, Emilion évangélisa la population, créant ainsi un site monastique auquel fut donné son nom après sa mort. Une communauté de moines bénédictins géra l’accès à ce lieu de pèlerinage jusqu’en 1110, date à laquelle une réforme engagée par l’évêque de Bordeaux permit l’installation d’un chapitre de chanoines augustins.

La ville se construisit au long du Moyen Âge, elle fut fermée par des remparts dès le début du XIIIème siècle

Source : Wikipédia ( Extraits) Graveur: J Jubert

ARMAN

mars 23rd, 2011

Arman

Arman.

Arman, né Armand Fernandez le 17 novembre 1928 à Nice et mort à New York le 22 octobre 2005, est un artiste français, peintre, sculpteur et plasticien, célèbre pour ses « accumulations ». Il fut l’un des premiers à employer directement, comme matière picturale, les objets manufacturés, qui s’apparentaient pour lui à des extensions de l’humain, à croissance et multiplication continues.

Fils unique d’Antonio Fernandez, marchand de meubles et d’antiquités, d’origine espagnol, et de Marguerite Jacquet, issue d’une famille de fermiers de la Loire, le jeune Armand montre très tôt des dispositions pour le dessin et la peinture. Après son baccalauréat, il étudie à l’école des Arts décoratifs de Nice, puis à l’école du Louvre. Il rencontre Yves Klein et Claude Pascal à l’école de judo qu’ils fréquentent à Nice en 1947. Avec ces deux amis, il s’intéresse un temps aux philosophies orientales et à la théorie rosicrucienne.

Fin 1957, Arman, qui signe ses œuvres de son prénom en hommage à Van Gogh, décide d’abandonner le « d » d’Armand et officialise sa signature d’artiste, en 1958, à l’occasion d’une exposition chez Iris Clert.

En octobre 1960, il fait l’exposition « Le Plein » où il remplit la galerie d’Iris Clert d’objets de rebut et du contenu de poubelles sélectionnées. Cette exposition est le contrepoint de l’exposition « Le Vide » organisée deux ans plus tôt à la même galerie par son ami Yves Klein.

Toujours le même mois, sous la houlette du critique d’art Pierre Restany, Arman devient, avec Yves Klein, l’un des membres fondateurs du groupe des Nouveaux Réalistes (proclamés par lui « nouvelles approches perceptives du réel »), aux côtés notamment de François Dufrêne, Raymond Hains, Martial Raysse, Daniel Spoerri, Jean Tinguely et Jacques Villeglé, rejoint plus tard par César, Mimmo Rotella, Niki de Saint Phalle, Christo et Gérard Deschamps.

À partir de 1961, Arman développe sa carrière à New York, où il réside et travaille la moitié de son temps, en alternance avec sa vie à Nice jusqu’en 1967, puis à Vence jusqu’à sa mort. À New York, il a d’abord séjourné à l’hôtel Chelsea jusqu’en 1970, puis dans un loft du quartier de SoHo et, à partir de 1985, dans son immeuble à TriBeCa, où il est décédé en 2005.

Toute sa vie, Arman fut aussi un collectionneur passionné d’objets usuels (montres, armes, stylos…) et d’objets d’art, en particulier d’art africain traditionnel dont il était un connaisseur, spécialiste apprécié et reconnu.

Source: Wikipédia (Extrait)

Paul Gillon.

mars 22nd, 2011

Paul Gillon

Paul Gillon.

Paul Gillon, né le 11 mai 1926 à Paris, est un auteur de bande dessinée français

Illustrateur et caricaturiste, il s’intéresse à la mode, au théâtre et au cinéma, c’est un peu par hasard qu’il fait une carrière d’auteur de bande dessinée. Dans l’hebdomadaire Vaillant, il reprend la série Lynx Blanc puis crée Fils de Chine et Cormoran. Il entre par la suite à France-Soir (13, rue de l’Espoir, de 1959 à 1972) et au Journal de Mickey (Teva, La déesse d’or, Le temps des copains, Notre-dame de Paris, etc.).

Amateur de science-fiction, il crée Les Naufragés du temps sur un scénario de Jean-Claude Forest. Il tâte aussi de la veine érotique avec La Survivante et Jehanne, dans L’Écho des savanes.

Paul Gillon est le lauréat du Grand Prix de la Ville d’Angoulême en 1982.

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