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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2012» juillet

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Centre Georges Pompidou….

juillet 5th, 2012

Centre Pompidou
Photo:www.phil-ouest.com

Centre Georges Pompidou. 1977-1997.

Depuis 35 ans, le centre national d’art et de culture Georges Pompidou a pour vocation la diffusion, auprès du plus large public, de toutes les formes de la culture et de la création du XXème siècle et du XXIème.

Il est composé de deux départements: “Le musée national d’art moderne/ centre de création industrielle” qui possède l’une des plus importantes collections publiques existantes au monde en art moderne et contemporain, ainsi qu’en architecture, en design et en communication visuelle; et le “département du développement culturel qui mène une politique novatrice dans les domaines de l’édition, de l’audiovisuel, de la pédagogie et de la formation. Luis sont également associés deux organismes ,”la bibliothèque publique d’information” qui offre à tous, en libre accès, des collections encyclopédiques, multimédia, sur tous les supports imprimés, sonores, visuels, informatiques et numériques, et “l’institut de recherche et de coordination acoustique-musique (IRCAM)”, fondée par Pierre Boulez, qui s’intéresse à toutes les formes de création dans le domaine de l’acoustique et de la musique et inventorie les possibilités offertes par les techniques scientifiques modernes.

Depuis son ouverture, jusqu’en 1997, le Centre a reçu 145 millions de visiteurs, soit 25 000 par jour en moyenne. Son succès l’a amené à repenser le programme du bâtiment et à réaménager ses espaces. Les abords sont aujourd’hui rénovés et l’atelier Brancusi, reconstruit, est à nouveau ouvert au public. D’octobre 1997 à décembre 1999, le réaménagement des espaces intérieurs a constitué l’étape majeure de l’important programme de travaux qui visait à rendre au Centre son rôle de référence sur la place nationale et internationale. Pendant ces deux années de travaux, le Centre, tout en maintenant une partie des activités, a développé un important programme “hors murs” qui s’est déployé à Paris, en région et à l’étranger.

En 1997, pour ses 20 ans, le Centre Georges Pompidou acquiert donc une maturité tant architecturale que fonctionnelle, répondant ainsi aux attentes d’un public toujours plus nombreux et exigeant.

Timbre dessiné par Jean-Paul Cousin et gravé en taille-douce par Jacky Larrivière. Format 22 x36mm. Vente anticipée à Paris le 31 janvier 1997. Vente généralisée le 3 février 1997.

Source: collection philatélique de la Poste.

Ecole nationale des ponts et chaussées 1747-1997

juillet 4th, 2012

Ecole nationale des ponts et chaussée
Photo de:www.phil-ouest.com

Ecole nationale des ponts et chaussées. 1747-1997.

En 1997, la plus ancienne école française d’ingénieurs a fêté son 250ème anniversaire. L’école nationale des ponts et chaussées, à l’époque Ecole royale, a été fondé sous l’Ancien régime, bien avant les “écoles de l’An III” créées par la convention, telles Polytechnique ou Normal Supérieure.

En 747, un arrêt du Conseil du roi institue une formation spécifique pour les ingénieurs d’Etat. La mise en place de cette formation est confiée à Jean-Rodolphe Perronet, un brillant représentant de l’époque des Lumières, à la fois: ingénieur, administrateur rt érudit, qui participa à l’élaboration de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. Ainsi naquit une école qui allait accueillir sur ses bancs d’illustres savants et ingénieurs: le mathématicien Cauchy; Fresnel, qui découvrit les lois de l’optique ondulatoire; Vicat, inventeur du ciment et Freyssinet, celui du béton précontraint…..

Epousant le développement des sciences et technique, l’école des ponts et chaussées a formé des générations de grands ingénieurs, à qui l’on doit la plupart des équipements qui ont marqué le territoire: réseau routier et ferré, voies navigable, ports maritimes, aéroports, barrages, centrales nucléaires. Au service de l’Etat ou de l’entreprise, ces ingénieurs ont participé au premier plan à l’essor économique et à l’unité du pays. On les trouve aujourd’hui à des postes majeurs de responsabilité, en France comme à l’Etranger, dans la plupart des grands secteurs d’activité: industrie, bâtiments et travaux publics, énergie et environnement, réseaux de transport mais aussi banques, conseil….L’Ecole qui les forme a su s’adapter aux évolutions du monde contemporain, en diversifiant ses enseignements, en nouant des contacts étroits avec le monde de l’entreprise et dans la période récente, en créant des centres de recherche et en multipliant les activités de formation continue.

1997 fut une date hautement symbolique pour l’Ecole nationale des ponts et chaussées. car son 250ème anniversaire a coïncidé avec son installation dans de nouveaux locaux, conçus par les architectes Philippe Chaix et Jean-Paul Morel et tournés vers les formations du siècle actuel, à Marne-la-Vallée. L’Ecole y constitue un élément majeur du pôle scientifique de la cité Descartes.

Timbre dessiné et gravé en taille-douce par Claude Jumelet. Format horizontal: 22 x 36mm. Vente anticipée le 14 février 1997 à Paris et généralisé le 17 du même mois.

Source: collection philatélique de la Poste.

Saint Dié. (Vosges)

juillet 3rd, 2012

Saint -Dié (Vosges)
Photo: www.phil-ouest.com

Saint-Dié (Vosges)

Capitale du massif vosgien, à égal distance de Nancy et de Strasbourg, Saint-Dié est une cité chaleureuse, dont le grès rose des monuments contraste avec le vert sombre des montagnes environnantes couvertes de sapins. les bords de la Meurthe, les jets d’eaux, les fontaines, la profusions d’arbres et de fleurs invitent à une promenade ou se mêlent évocation du passé et animations d’aujourd’hui.

Fondée en 669 par Saint Déodat, à qui les habitants doivent leur nom de Déodatiens, Saint-Dié s’enorgueillit du titre de “marraine de l’Amérique”, car c’est l’un des ses chanoines Vautrin Lud qui proposa le nom ” d’América” pour désigner le Nouveau-Monde, en hommage au navigateur Amérigo Vespucci. Maintes fois confrontée aux durs assauts de l’Histoire, ravagée à plusieurs reprises par les incendie et le guerres, la ville fut entièrement détruite en 1944 par les troupes allemandes en retraite. Reconstruite sur les plans de l’ancienne, la nouvelle ville a su redonner vis à des vestiges du passé tout en s’ouvrant à la création contemporaine. C’est ainsi que la cathédrale du XVème siècle, qui forme avec l’église ” Notre-Dame-de-Galilée et le cloître gothique un remarquable ensemble architectural, s’est forgé, ces dernières années (avant 1998), une nouvelle notoriété en s’ornant de 53 verrières créées par dix artistes rassemblés autour de Jean Bazaine. Au carrefour de l’Histoire et de l’art vivant, il faut citer aussi l’étonnante Tour de la Liberté, érigée initialement à Paris pour le bicentenaire de la Révolution Française et installée depuis 1990 dans le parc Jean -Mansuy.

Ville d’accueil de nombreuses manifestations sportives et culturelles, notamment le Festival international de géographie, Saint-Dié est aujourd’hui une ville de 26 000 habitants qui conjugue qualité de l’environnement et développement économique. Terre d’Industries, elle a su s’adapter aux mutation de ses secteurs traditionnels tout en développant des nouvelles activités, au point d’arriver en tête, au plan national, pour son attraction vis-à-vis des investissements étrangers.

Timbre dessiné et gravé en taille- douce par Claude Jumelet. Format vertical 22 x 36mm Vente anticipé le 3 octobre 1998 à Saint-Dié. vente générale le 5 du même mois.

Source: collection philatélique de la Poste.

P-S: compte rendu de 1998… je ne sais si, vu la crise et la mondialisation, l’état économique de la Ville est toujours identique !

1997-Année du Japon …

juillet 2nd, 2012

Année du Japon
Photo: www.phil-ouest.com

1997- Année du Japon !

Longtemps fermé aux influence extérieures, notamment sous le régime des Tokugawa (1600-1868), le Japon manifeste; au cours du XIXème siècle, une curiosité pour les arts et les techniques d’Occident. La cristallisation de la société japonaise avait entraîné celle de l’art. L’ère Meiji (1868), qui ouvrait le Japon à la modernisation économique et administrative, devait faire naître un engouement pour l’art occidental. Dans le domaine de la peinture, tous les courants et en particulier l’Ecole française eurent leur retentissement parmi les artistes japonais.

La littérature japonaise est l’une des plus riches du monde, non seulement par le nombre de ses œuvres produites, mais aussi par le développement de ses recherches esthétiques. C’est dans le domaine de la musique que le Japon fit valoir son génie et sa facilité d’assimilation en se faisant l’intermédiaire entre la musique la plus ancienne de l’Asie et la musique la plus moderne de l’Occident.

La culture japonaise est aujourd’hui à portée de main. En bordure de la Seine, près de la tour Eiffel s’élève le maison de la culture du Japon, sur un terrain offert par le gouvernement français. On doit sa naissance à une initiative conjointe, en 1982, du Président de la République Française François Mitterrand et du Premier Ministre du Japon Zenkô Susuki. Son but ? Être un lieu d’échange, de rencontres, de débats et de manifestations afin de faire connaître la cultures japonaise non seulement aux français mais aussi aux Européens. Conçue par l’architecte Kenneth Armstrong et ses coéquipiers, Masayuki Yamanaka et Jenifer Smith, la maison de la culture du Japon présente une surface totale de 10 000 mètres carrés dont 4 500 seront ouverts au public. celui-ci a accès à une salle de spectacle de 400 places, à des salles de cinéma, de cours et d’exposition, à un espace audiovisuel et à une bibliothèque….. sans oublier le salon de cérémonie du thé.

L’échange d’œuvres d’art entre le Japon et la France a marqué l’année 1997. La statue de la déesse “Kudara Kannon” (VIIème siècle), œuvre maîtresse de la statuaire japonaise fut exposée au Louvre, tandis que “La Liberté guidant le peuple” d’Eugène Delacroix le fut au musée national de Tokyo.

Timbre dessiné et gravé en taille-douce par Claude Jumelet. Format vertical de 26 x 36,85mm. Vente anticipée à Paris le 4 octobre 1997 et vente générale le 6 du même mois.

Source: Collection philatélique de la Poste.

Celle du dimanche….

juillet 1st, 2012

A la Une….

C’est une émission formidable
Sur les problèmes de société
Où des héros et des minables
Vous parlent en toute liberté
Sont-ils victimes sont-ils coupables
Ce soir voici pour commencer
Quelques racketteurs redoutables
Qui font la sortie des lycées
Ils vont pour vous se mettre à table
A condition d’être masqués
Un témoignage inoubliable
Un grand moment de vérité

Ce soir ce soir
Après la roue de la fortune
Les racketteurs les racketteurs
Sont à la une

C’est une émission fantastique
Où vous avez un rôle à jouer
Un rôle moral un rôle civique
Pour nous aider à retrouver
Tous ceux dont on est sans nouvelles
Disparus volatilisés
Ce soir je vous lance un appel
Vous seuls pouvez nous renseigner
Dans quels bas-fonds la malheureuse
A-t-elle un jour pu s’égarer
A quelles manœuvres très douteuses
A-t-elle fini par se livrer

Ce soir ce soir
Après la roue de la fortune
La main d’ma sœur la main d’ma sœur
Est à la une

C’est une émission fracassante
Sur les tréfonds d’la société
Une tranche de vie saignante
Que vous ne pouvez pas manquer
Un homme qui a payé sa dette
Vingt ans de prison mérités
Reconstituera en direct
Le crime qu’il a perpétré
Tout ce qui s’passait dans sa tête
Combien de fric il a touché
En appuyant sur la gâchette
Pour refroidir un député

Ce soir ce soir
Après la roue de la fortune
Les assassins les assassins
Sont à la une

C’est une série faramineuse
De grands débats télévisés
De controverses fabuleuses
De face à face sans pitié
Entre qui saigne et qui charcute
Entre bourreaux et torturés
Entre un ripou et une pute
Un délateur un dénoncé
Entre un para et un fellouze
Entre un violeur et des violées
Et puis comme une apothéose
Entre SS et déportés

Ce soir ce soir
Après la roue de la fortune
Un PAF obscène un PAF obscène
Est à la une

P-S :Chanson peu connu du grand public.

Et pour nous ….. journée grands -parents…….

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