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Louis Armand.

décembre 28th, 2009

Louis Armand

Louis Armand, né à Cruseilles (Haute-Savoie), le 17 janvier 1905 et mort le 30 août 1971 à Villers-sur-Mer (Calvados), est ingénieur,haut fonctionnaire et résistant français. Il est dirigeant d’entreprises publiques, dans le domaine ferroviaire et de l’énergie atomique.

Fils d’un couple d’instituteurs, enfant doué pour les études, il est dispensé des classes de sixième et de cinquième, pour entrer directement une classe de quatrième au lycée Berthollet à Annecy, puis au lycée du Parc à Lyon, avant de poursuivre ses études supérieures à l’École polytechnique (promotion 1924). Il en sort deuxième et choisit le corps des Mines, et en 1926, il sort major de l’École des mines.

En 1928, il épouse Geneviève Gazel, fille d’un enseignant de Cruseilles.

À partir de 1929, il est ingénieur aux Mines de Clermont-Ferrand et il se consacre à des travaux sur les eaux minérales, puis entre en 1934 à la Compagnie du chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée (PLM), dont il sera directeur général adjoint. En 1938, il devient ingénieur en chef de la SNCF nouvellement créée.

En février 1943, il organise le groupe « Résistance-fer » avec le soutien de Jean-Guy Bernard du réseau Noyautage des Administrations Publiques. Après l’arrestation de Jean-Guy Bernard en janvier 1944, il prend la direction du réseau secondé par Jean Marthelot. Le 25 juin 1944, Louis Armand est arrêté par la Gestapo. Il sort de la prison de Fresnes grâce à la libération de Paris et reçoit la Croix de la Libération par décret du 18 novembre 1944.

En 1945, il est nommé directeur général adjoint de la SNCF, puis directeur général en juin 1949. De 1951 à 1959, il est président de l’Union internationale des chemins de fer. En 1957, il crée la Société du tunnel sous la Manche et relance les études, qui n’auront pas de suite, avec des Britanniques. En 1958 et 1959, il préside aussi la communauté européenne de l’énergie atomique (Euratom).

A la tête de la SNCF, il attache une grande importance à la recherche industrielle et est responsable d’innovations capitales dans le domaine de la traction ferroviaire. Il améliore le système de traitement des eaux d’alimentation des locomotives à vapeur et est à l’origine du choix de la traction électrique alimentée en courant alternatif à fréquence industrielle de 50 Hz. La locomotive intègre un transformateur abaisseur de tension qui alimente soit des moteurs directs (système abandonné par la suite),soit un convertisseur mono- triphasé suivi de moteurs triphasés,soit un redresseur (ou un convertisseur) suivi de moteurs à courant continu . La tension efficace, à la caténaire a été fixée à 20 puis 25 kV. C’est le système d’électrification le plus récent, le plus performant, et le plus économique, utilisé dans le monde entier, et sur les lignes à grande vitesse.

En 1960, il est un des rédacteurs du plan Rueff-Armand. Ce plan, préfigurant le Marché commun, alors en formation, et rédigé en collaboration avec Jacques Rueff, à la tête d’un comité d’experts ad hoc, recommande l’ouverture à la concurrence et la suppression des obstacles à l’expansion économique.En décembre 1960, il est élu à l’Académie des sciences morales et politiques, en décembre 1962, il est nommé président de l’AFNOR, avant d’être élu à l’Académie française le 13 juin 1963.

Source : Wikipédia.

PS : Jusqu’à vendredi soir, je serai souvent absent sur le net. Eliane est à la clinique, et ne sera opérée que demain vers 11 heures 30. Ciao.

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