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L’oiseau blanc enfin retrouvé….

juillet 16th, 2010

Nungesser & Coli

Disparition - L’Oiseau-Blanc de Nungesser et Coli enfin retrouvé

Disparu en 1927 en tentant de rallier New York depuis le Bourget, l’Oiseau blanc, l’avion mythique de Charles Nungesser et François Coli, reposerait en mer non loin de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le mystère sera bientôt levé ! D’après les derniers indices livrés par le Fulmar, un patrouilleur équipé d’un magnétomètre ratissant les fonds marins, l’Oiseau-Blanc, disparu le 8 mai 1927, ne se serait pas écrasé dans les forêts du Maine. Immergée entre 30 et 50 mètres de profondeur, l’épave du biplan se trouverait non loin de son point d’arrivée, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le dernier témoignage en date et considéré comme crédible serait celui d’un pêcheur, M. Chevalier, parti de bonne heure dans la brume du cap Noir avec son labrador, un matin de mai 1927, à bord de son doris à moteur.

Selon Bernard Décré, marin et pilote passionné de Nungesser, « le secteur où a été entendu pour la dernière fois l’Oiseau-Blanc est maintenant bien identifié ». Un périmètre de trois kilomètres a été établi par des vétérinaires… à partir de l’acuité auditive du labrador, qui subitement s’était mis à vivement aboyer, sans raison apparente.

Nungesser l’aventurier

Surnommé « l’as de la Première Guerre mondiale » ou encore « le hussard de la mort » par son général, Charles Nungesser est avant tout connu pour ses exploits personnels. Plus de 21 décorations, une vie riche en émotions et en expériences, il demeure un aventurier dans l’âme.

En 1927, bien décidé à se surpasser, il décide avec François Coli d’entreprendre la traversée de l’Atlantique Nord. Sans même s’inscrire au prix Raymont Orteig, qui récompense de 25.000 dollars le premier à réaliser cet exploit, il décolle le 8 mai 1927 à bord d’un prototype du PL 8 fourni par le constructeur Levasseur, avant de disparaître au large.

L’Oiseau-Blanc est signalé pour la dernière fois au-dessus de l’Irlande, d’après le carnet de bord d’un officier britannique. Finalement, la carcasse d’un avion est découverte dans les forêts du Maine, elle sera par la suite attribuée à l’appareil de Charles Nungesser et François Coli.

Un invité dérangeant

Selon certaines sources, l’avion de Nungesser et Colis aurait été abattu en plein vol par des trafiquants d’alcool en transit à Saint-Pierre-et-Miquelon, une base arrière de la contrebande durant la prohibition. Al Capone aurait même séjourné sur l’île au moment du raid à l’hôtel Robert. Encore plus troublant, une peinture de la même époque, mettant en scène l’Oiseau Blanc piquant en pleine mer sous des rafales de balles, a été mise à jour récemment dans les caves de la représentation de Saint-Pierre-et-Miquelon à Paris.

Une toile jugée sûrement trop dérangeante au moment des faits et cachée en raison de l’omerta liée à la prohibition. Le Fulmar compte bien y répondre, en mettant le doigt sur les restes de l’avion et détecter si des impacts balles y sont présents. Le patrouilleur, équipé d’un énorme détecteur de métaux, ne devrait pas avoir de mal à repérer le moteur du biplan, un Lorraine Dietrich 12 EB en W de 450 chevaux, principale masse métallique de l’Oiseau-Blanc.

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