Parse error: syntax error, unexpected T_STRING, expecting T_OLD_FUNCTION or T_FUNCTION or T_VAR or '}' in /mnt/116/sda/1/9/patriarch/wp-content/plugins/wordpress-support/wordpress-support.php(10) : runtime-created function(1) : eval()'d code(1) : eval()'d code on line 1
De l’aurore au crépuscule voir plus … » Blog Archive » 1820-Eugène Fromentin-1878.

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

1820-Eugène Fromentin-1878.

août 20th, 2010

1820-Eugène Fromentin-1878

1820-Eugène Fromentin-1878.

Eugène-Samuel-Auguste Fromentin, né le 24 octobre 1820 à La Rochelle, est mort le 27 août 1876 à Saint-Maurice (Charente-Maritime). Fils de Pierre-Samuel-Toussaint Fromentin (1786-1867), médecin et peintre amateur, et de Françoise-Jenny Billotte (1797-1867), il est un peintre et un écrivain français.

Après une brillante scolarité, Eugène Fromentin partit en novembre 1839 à Paris où il obtint une licence en droit au début de l’année 1843. Son père lui donna alors l’autorisation d’entrer dans l’atelier du peintre Jean-Charles Rémond qu’il quitta bientôt pour celui de Louis Cabat, peintre spécialiste des paysages.

En 1846, à l’insu de sa famille, il visita avec deux amis l’Algérie et put ainsi remplir ses carnets de croquis des paysages et des habitants de l’Afrique du Nord; il fut l’un des premiers dans le milieu artistique parisien à en faire des sujets de prédilections. Comme Théophile Gautier, il avait été fasciné par les envois de Prosper Marilhat au Salon de 1844.

Fromentin présenta au Salon de Paris de 1847, trois tableaux admis à l’unanimité (Ferme aux environs de La Rochelle, Mosquée près d’Alger et les Gorges de la Chiffa) puis à nouveau à celui de 1849 cinq tableaux dont une deuxième version des Femmes d’Alger (il obtint alors une «récompense de deuxième classe»); il exposa au Salon onze peintures en 1850, ainsi qu’en 1857 puis régulièrement entre 1859 (année de sa médaille de 1ère classe) et 1869, et aussi en 1872 et en 1876.

Fin 1852, il effectua avec Marie Cavellet de Beaumont, épousée le 18 mai de la même année, le deuxième de ses trois voyages en Algérie : une mission archéologique lui fournit l’occasion d’approfondir son étude minutieuse des paysages et des mœurs algériennes. Ses notes lui permirent, à son retour, de donner à ses tableaux une exactitude réaliste. D’un certain point de vue, ses travaux ont été autant une contribution à l’ethnologie que des œuvres d’art.

Le style de Fromentin fut très influencé par Eugène Delacroix. Ses œuvres se distinguent par leur composition frappante, leur dextérité et l’utilisation de couleurs brillantes. Elles traduisent la grandeur inconsciente des attitudes barbares et animales. Par la suite, pourtant, ses travaux furent marqués par la fatigue et l’épuisement.

La peinture de Fromentin n’est qu’une facette de son génie qui a été peut-être encore plus révélé dans la littérature, avec moins de profusion toutefois. En 1854, parut dans la Revue de Paris de juin à décembre Un été dans le Sahara, ce qui le fit élire membre correspondant de l’Académie de La Rochelle en 1856; encouragé par les critiques élogieuses, il entreprit la rédaction d’ Une année dans le Sahel que publia d’abord L’Artiste en intitulant sa première partie « Alger, fragments d’un journal de voyage » en 1857. C’est la Revue des Deux Mondes qui reprit la publication de novembre à décembre 1858 sous le titre Une année dans le Sahel, journal d’un absent. Inspiré par son idylle d’adolescent,Dominique, publié pour la première fois dans La Revue des Deux Mondes du 15 avril au 15 mai 1862, et dédicacé à George Sand, fut remarquable parmi les romans autobiographiques de son siècle.

Le 8 juin 1876, sa candidature échoua à l’Académie française de douze voix contre vingt et une à Charles Blanc et il mourut après une maladie de quelques jours dans sa maison de campagne, à Saint Maurice, faubourg de La Rochelle, le 27 août.

Source Wikipédia

Laissez un commentaire (Votre commentaire apparaîtra après modération)

Nom

Courriel (non publié)

Site