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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2006» janvier

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Nette rousse

janvier 29th, 2006


Nette rousse, originally uploaded by patriarch38.

Le mâle porte un splendide capuchon roux vif.

De tous les oiseaux palmipèdes d’Europe, la nette rousse est sans conteste la plus belle. Ce canard plongeur est remarquable pour ses couleurs contrastées. Mâle et femelle sont dissemblables. Le mâle possède une tête, roux vif avec le dessus jaune. Le cou, la poitrine, et le ventre sont noirs. Les flancs blancs contrastent avec le dos brun-foncé. Une bande blanche barre l’épaule. Le bec est rouge, les pattes rouge-orange. La femelle est plus discrète : dessus de la tête brun, joues blanc grisâtre, dos brun, dessous plus clair. Le mâle en « costume de noce » est magnifique, car rien ne saurait égaler l’effet de sa tête ornée de fines et courtes plumes d’un roux absolument resplendissant. L’étrange splendeur des nettes ou des brantes, comme on les appelle aussi en France, séduit tous les amateurs naturistes. C’est entre fin octobre et juin que les mâles sont parés de leur plus beau plumage. Le reste de l’année, ils sont bien plus ternes.

Lorsqu’elle nage, la nette rousse flotte très haut, à la façon d’une foulque. Malgré son corps ramassé et son apparence lourde, la nette est très agile et vole vite. Son vol est direct, et les ailes larges laissent paraître beaucoup de blanc. C’est un canard plongeur qui recherche sa nourriture en profondeur, évaluée entre 3 et 4 mètres, mais elle se nourrit aussi en surface. L’immersion n’excède pas 15 secondes. Son activité est diurne et nocturne. Son alimentation est composée en grande majorité des algues et autres végétaux aquatiques, dont elle engloutit d’énormes quantités. Il lui arrive cependant de manger des escargots d’eau et autres mollusques, ainsi que de têtards et des insectes.

Elle affectionne particulièrement les eaux douces et calmes, aussi on peut la voit on le plus souvent sur les lacs et les grands étangs. Elle évite les eaux trop froides et l’eau de mer. Les couples se forment tôt au printemps et le mâle fait une cour assidue à son élue, flamboyant et paradant autour d’elle. Malheur à celui qui viendrait à « convoiter » sa femelle, la bataille est souvent assez rude, car les mâles sont en surnombre par rapport aux femelles.
Le nid construit sur terre est fait dans un trou et garni de duvet, puis camouflé par des roseaux. En mai-juin, la femelle pond entre 8 et 12 œufs dont l’incubation dure de 26 à 29 jours. Les cannetons sont nidifuges et prennent leur envol dans un délai de 0 à 50 jours. 40 à 50 jours supplémentaires pour atteindre leur émancipation.

Poids de l’œufs : 48 à 53 grammes ; Poids adultes de 900 à 1200 grammes ; Longueur : 45 à 54 centimètres ; Envergure : 85 à 92 centimètres. Longévité (sans la casserole, bien sûr) 7 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anatidés ; Espèce : Netta rufina .

Humeur du moment…………..tranquillou :razz:

Un bon début de journée !!

janvier 26th, 2006


Un bon début de journée !!, originally uploaded by patriarch38.

Comment bien entamer sa journée !

Ce matin, nous sommes allées (eh oui, toujours en couple !!) au laboratoire médical qui se trouve à quelques dizaines d’encablures de chez nous. Pour la troisième fois en 6 mois, je suis allé faire un test au synacthène. Je ne vais plus vous faire le détail du pourquoi et du comment, mais juste vous raconter le calvaire qu’à subit la petite chose que je suis !

En plus de ce test, j’y allais aussi pour une analyse sanguine détaillée : la totale quoi. Nous avons déjà dû trimbaler les deux flacons plastiques de 2 litres (que tous vous avez dû remplir, au moins une fois, dans votre vie). J’y ai mis 3 litres de « kérosène » (pas mal pour un vieux tacot qui a déjà bien « vagabondé »). Mon rendez vous était pour 9 heures, car le test ne peux être effectuer que par une infirmière confirmée ou un docteur biologiste, alors on vous prie de venir, vers leur heure d’embauche. Et là, on m’a bien « pompé » une ou même deux bonne pinte de raisiné.

Mais c’est la façon dont ces tests ont été pratiqué qui me permet de faire ce post. La première fois, j’ai eu à faire, au biologiste : il m’a prélevé de suite une « pintée », puis repiqué de nouveau pour m’injecter le synacthène. Et à chaque fois, j’ai assez bien senti l’introduction du dard. Une heure après, une « technicienne de l’aiguille » est venue me tirait un dé de mon précieux nectar, et en douceur, car elle a du de nouveau me piquer .

La deuxième fois, ce fut une infirmière, qui elle a pris le temps de m’installer un cathéter. Elle m’a extraite les pintes, puis m’a injecté par le même conduit le synacthène. Puis une heure plus tard, extrait le verre de ligueur. Tout cela, en douceur et gentillesse.

Cette fois ci, ce fût encore le biologiste, qui a procédé tout comme la première fois. Pourquoi pas de cathéter ? C’est si onéreux, la pose d’un cathéter ? Enfin, je suis ressorti avec les saignées des bras d’un drogué, car cette fois ci, il s’est approprié les deux bras, alors que la première fois, il avait fait un tir groupé à gauche !!

Puis nous sommes allés bras-dessous; bras- dessus, nous sustenter d’un bon gros café-crème et croissants (même s’il était déjà plus de 10 heures et demi). Et ce midi, je nous ai fait un petit repas. Il fallait bien que la « petite chose » se reconstitue des forces !! J’espère que ce sera, le dernier test. J’en ai marre de croiser les mots dans tous les sens, pendant plus d’une heure, même si ma douce est avec moi, dans la cabine de torture. Entre nous, je préfère les « vampirettes » aux vampires, elles vous soulagent du nectar, sans que vous vous en apercevez !!:razz::razz::razz:

L’ Acanthiza

janvier 24th, 2006


Acanthiza, originally uploaded by patriarch38.

C’est la populaire « fauvette d’Australie »

Il existe plusieurs espèces d’Acanthizas, qui sont de plus petits passereaux mieux connus sous le nom de « fauvettes d’Australie ». Ils ont l’allure de véritables fauvettes et possèdent un bec fin et allongé. Le plus connu est l’acanthiza à croupion jaune, que vous avez sous les yeux. Quant aux australiens, ils appellent ces oiseaux des « mésanges » sans doute parce que les véritables mésanges dont défaut dans ce continent austral.

L’acanthiza offre en fait de nombreuses ressemblances avec les mésanges, surtout par ses mœurs et son mode de vie. C’est un hôte habituel des forêts, dont il recherche parfois même les zones les plus denses et les moins éclairées. Certaines espèces d’acanthiza préfèrent les savanes boisées et les grands espaces découverts. C’est le cas en particulier de l’acanthiza à dos ardoisé, qui vit dans les régions arides de l’Australie centrale. Il se déplace en petits groupes comme nos mésanges, sauf durant la période de reproduction, où les couples s’installent pour élever leur progéniture. Ces oiseaux volent selon une trajectoire ondulante très caractéristique.

Son régime alimentaire se compose essentiellement de petits insectes et pucerons, qu’il recueille sur et sous les feuilles. Comme la mésange, c’est un acrobate qui peut facilement se tenir la tête en bas. Le nid de l’acanthiza est une construction importante, en forme de coupole entièrement fermée, sauf un trou latéral, ce qui le fait ressembler au nid de notre mésange à longue queue. L’acanthiza, y ménage cependant un compartiment supplémentaire, dont on ignore encore la fonction. La femelle pond de 2 à 4 œufs,et la durée d’incubation est inconnue. C’est oiseau adulte mesure de : 8 à 10 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Muscicapidés ; Espèce : Acanthiza chrysorrhos. ( Acanthiza à croupion jaune)

Humeur du moment………:cool:

Alouate du guatémala

janvier 23rd, 2006


Alouate du guatémala, originally uploaded by patriarch38.

La femelle montre sa réceptivité par des mouvements de la langue.

L’Alouate du Guatemala habite les forêts tropicales pluvieuses d’Amérique centrale, avec un léger débordement au nord et au sud de l’aire. Le corps est trapu, la tête grande, le front fuyant et le museau saillant. Le pelage est doux et soyeux, d’un noir uni quelque soit l’âge et le sexe. Chez les autres espèces, le pelage varie de diverses manières et va jusqu’à former un manteau, au point que l’un des hurleurs porte ce nom. Tous les hurleurs vivent en petits groupes, sans hiérarchie bien définie, formés en moyenne de 3 mâles, 8 femelles, 3 petits encore nourris pas leur mère et 4 à 5 immatures.

Ces groupes, exclusivement arboricoles, se déplacent régulièrement sur un territoire bien délimité, dans lequel ils nomadisent sans arrêt, en partie par suspension. La femelle « réceptive » (en oestrus) le signale surtout pas des mouvements rythmiques de la langue qu’elle tire et rentre rapidement de sa bouche tout en l’agitant verticalement. Le mâle répond de même en des mouvements semblables. L’accouplement rapide peut avoir lieu successivement avec plusieurs mâles. Les hurleurs se reproduisent pendant toute l’année avec des variations saisonnières.

Lors de la naissance, la femelle nettoie son petit en le léchant. Le nouveau né s’accroche alors au ventre ou au cou de sa mère, puis plus âgé, grimpe sur son dos et s’y tient jusqu’à l’âge d’un an. Dès l’âge de 2 à 3 semaines, il mange des fruits, tout en tétant encore. Les déplacements se font d’une façon coordonnée, les mâles en tête, suivis des femelles, celles portant les petits en queue. En cas de nécessité, les mâles, à l’ordinaire assez indifférents envers les jeunes, apportent leur aide.

Nombres de petits : 1 (rarement 2) ; Gestation : 140 jours environ. Durée de lactation : 18 à 24 mois ; Maturité sexuelle : 3 ½ à 4 ans. Considérable dimorphisme de taille et de poids. Poids adultes : de 5,7 à 8 Kg ; Corps longueur : mâle 47 à 72 cm, femelle de 39 à 58 cm ; Queue longueur : mâle de 49 à 75 cm , femelle de 47 à 70 cm.

Classe : mammifères ; Ordre : Primates ; Sous-Ordre: Platyrhiniens ; Famille : Cébidés ; Espèce : Alouatta villosa.

Humeur du moment: un peu “flagada”, d’où repos ce jour.

21.01.2006 Petits enfants

janvier 22nd, 2006

21.01.2006 Petits enfants, originally uploaded by patriarch38.

Après s’être fait du soucis, pour l’avenir de nos enfants,nous sommes encore plus soucieux de celui de nos petits enfants. Quel avenir vont ils avoir, dans ce monde qui perd tous ses repères, et où ne compte que le profit des banques et des rapaces. (Pardon à ceux qui figurent dans ma “panoplie” animale,mais pour eux,c’est une raison vitale). Souvent, lorsqu’ils viennent, devant l’insouciance de leur âge,je me pose la question.

Demain que sera ce monde, quel attrait va t’il avoir pour ces très jeunes enfants ? Méritera t’il d’être vécu ? Comment peut on vivre le présent sans penser à celui que les nôtres vont vivre ? Il m’arrive souvent d’avoir peur pour eux. Sauront ils et même auront ils la volonté de se battre comme nous l’avons fait, pendant des années, alors qu’ils s’aperçoivent que si nôtre combat fut utile, en quelques années, le pouvoir économique (car c’est bien de lui qu’il s’agit) a réduit à néant toutes les espérances. Comment monsieur Galouzeau de Villepin et Chirac peuvent ils demandaient à ceux ci la confiance ?

Plus ça va, plus je me pose de questions !!

Ce n’est pas un coup de gueule, mais un coup de coeur !!

Humeur du moment : dubitative:?:

Guêpier à queue d’hirondelle

janvier 20th, 2006

Guêpier à queue d’hirondelle, originally uploaded by patriarch38.

Il dort en boule avec plusieurs congénères, au sommet d’un arbre.

C’est un oiseau au plumage assez coloré. Ce joli guêpier, a la queue largement fourchue comme celle des hirondelles et des martinets, alors que la forme de ce gouvernail est généralement bien différente chez ses cousins ; en effet, les rectrices (grandes plumes) centrales dépassent largement toutes les autres qui sont beaucoup plus courtes.

Le guêpier à queue d’hirondelle affectionne les paysages de parc où poussent des acacias, les forêts sèches et les savanes boisées. A la différence des autres guêpiers, même s’il dort en leur compagnie, il ne niche qu’en couple isolé. Le nid lui-même est du type classique chez les Méropidés. Il s’agit d’un tunnel creusé dans la paroi d’une sablière, d’une berge de rivière, et mesurant environ 1 mètre de long. Les œufs blancs, au nombre de 3 sont déposés dans la chambre qui se trouve en son extrémité. La ponte a lieu entre septembre et novembre dans le sud ouest africain.

Largement répandu mais assez dispersé, cet oiseau est partiellement migrateur ; ainsi, en Afrique du Sud il quitte les régions où il gèle en hiver pour gagner celles où il y fait chaud. Perché en haut d’un mimosa ou de toute autre observatoire, le guêpier attend le passage d’une proie sur laquelle il se précipite. Généralement des guêpes (bien sûr), des orthoptères, et autres insectes volants. Il recherche aussi des insectes sur les inflorescences. Il revient toujours à son poste d’observation, où il assomme sa proie contre son perchoir, avant de l’avaler.

Le plumage du mâle et de la femelle ne présente aucune différence, mais les jeunes sont entièrement verts à l’exception d’une tache bleue sur le croupion. La tache jaune de la gorge et la barre bleue qui la cerne font défaut chez eux, en revanche, la queue est déjà fourchue, mais l’échancrure reste peu profonde. Il mesure 23 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Coraciadiformes ; Famille : Méropidés ; Espèce : Dicrocercus hirundineus.

Humeur du moment : taquin:razz:

Le Paca

janvier 19th, 2006


Le Paca, originally uploaded by patriarch38.

Le Paca est un étrange cobaye de l’Amazonie.

Il est inutile de décrire le Paca, qui est somme toute un très grand cobaye revêtu d’un somptueux pyjama. C’est un rongeur forestier, qu’on trouve en Amérique tropical où il vit dans les fourrés les plus impénétrables au voisinage de l’eau. La présence d’une rivière, d’un ruisseau, ou d’un étang semble indispensable au paca, qui nage et plonge à merveille.
Lorsqu’il est inquiet, ou surpris par un ennemi arrivé à l’improviste, il n’a qu’un réflexe : se précipiter au plus vite dans l’eau, où il trouve son salut. Le Paca court et galope à vive allure, et il est même capable de marcher et de trotter au fond l’eau. Son adaptation à la vie amphibie est très poussée, et il peut rester immergé durant plusieurs minutes sans être contraint de venir respirer à la surface.

D’ordinaire, le Paca vit en famille, mais il est aussi parfois solitaire. Il établit son territoire dans les sous bois et le parcourt sur des sentiers, desquels il ne se départit guère. C’est un végétarien qui broute les pousses tendres de différentes plantes. Il creuse un terrier profond dans un talus au voisinage immédiat de l’eau, pour le faire, il fait usage de ses dents et de ses griffes. Le terrier a généralement deux entrées, dont l’une est fermée par un amas de feuilles mortes (En somme, une porte dérobée !!) On Voit rarement le Paca pendant la journée, mais en revanche il entre en activité dès la tombée de la nuit.

Le crâne du Paca offre une particularité : les joues très volumineuses sont ossifiés et constituent deux caisses de résonance, qui amplifient les sons bourdonnants que l’animal émet assez fréquemment. La chair du Paca est très fine, donc appréciée, ce qui fait que dans certaines régions, on lui fait une chasse abusive.

Son poids adulte est de 5 à 12 Kg ; Longueur du corps : 75 cm ; De la queue : 2 à 3 cm ; Nombres de petits : 1 et quelques fois 2 ; Gestation de 120 à 140 jours.

Classe: Mammifères; Ordre: Rongeurs; Sous-Ordre: Hystricomorphes; Famille: Dasyproctidés; Espèce: Cuniculus paca

Humeur du moment: …….tranquilou:razz:

Le Méliphage à oreilles bleues.

janvier 18th, 2006


Méliphage à oreilles bleues., originally uploaded by patriarch38.

Il est toujours en mouvement, et il a un tempérament batailleur.

Localement, il se rend indésirable en mangeant les pêches, les prunes, les abricots et les bananes. Bien adapté aux changements que l’homme apporte à son milieu naturel, il s’est habitué à profiter des nouvelles nourritures qui lui sont « offertes ». Cependant, la plus grande partie de son alimentation se compose de nectar, d’insectes et de fruits sauvages.

Le méliphage à oreilles bleues n’a pas une voix harmonieuse, mais on le remarque surtout en raison des coups de sifflet qu’il lance, en particulier à l’aube et au crépuscule ; on dirait alors un homme qui en appelle un autre. (Comme nous le faisons tous avec deux doigts en bouche) ; je ne vous parlerais pas de son plumage qui compense son ramage, tellement il saute à l’œil !!
Dans le sud de son aire de distribution, cet oiseau fréquente le voisinage des cours d’eau ; ailleurs, comme en Nouvelle-Guinée, on le voit en savane. C’est dans le nord de l’Australie qu’il se montre le plus communément, il se déplace dans les arbres, par groupes de six à huit individus. Il doit son nom à la Zone de peau nue, de couleur bleue, qui s’étend autour de chaque œil. Mâle et femelle sont identiques.

La nidification a lieu généralement en août et en septembre ; des nids ont été signalés entre juin et janvier. Volumineux, construit avec des rameaux sur lesquels sont placées des herbes sèches, le nid comporte aussi des morceaux d’écorce et de racines. Il mesure environ 35 cm de diamètre et se trouve dans un arbre entre 3 et 6 mètres de haut. Celui-ci utilise fréquemment aussi, d’anciens nids d’autres espèces. La couleur des œufs varie, du fauve au rose saumon, avec des taches pourprées à brunes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Méliphagidés ; Espèces : Entomyzon cyanotis

La Chouette lapone

janvier 17th, 2006


La Chouette lapone, originally uploaded by patriarch38.

C’est l’un des plus grands rapaces nocturnes.

Par sa taille, la chouette lapone s’approche du hibou grand duc, ce qui fait de ce rapace nocturne une créature fort impressionnante. Le domaine de cette chouette s’étend tout autour du Cercle polaire boréal et sa distribution couvre aussi bien l’Eurasie que l’Amérique du nord.

La chouette lapone se reconnaît donc à sa grande taille, son énorme tête ronde, sans aigrette aux larges disques faciaux et aux yeux d’or. Le bec crochu est souligné par une tache noire sous le menton et par des plumes blanches rappelant une moustache. L’épais plumage est de couleur gris cendré, nuancé de taches brunes. La queue est longue. Chose curieuse, la tête peut pivoter selon un angle surprenant pouvant atteindre 270 degrés.

Oiseau forestier, elle est étroitement liée à la taïga, cette immense zone de conifères et de bouleaux ceinturant le bord méridional de la toundra boréale. Elle vit solitaire ou par couple, occupant un territoire de chasse très étendu. La vie du grand nord étant très difficile et ne connaissant pas les secrets de l’hibernation, elle doit donc se nourrir en conséquence et chasser une grande quantité de rongeurs pour se garder en forme et en vie. En principe elle est sédentaire, mais si le « garde-manger » est vide, elle n’hésite pas à faire une courte migration. Elle vole généralement à faible hauteur, et ses plumes épaisses et souples lui permettent de le faire silencieusement. Un promeneur peut être saisi par le passage de ce grand oiseau à vol silencieux .Grâce à sa vue perçante, elle repère ses proies de très loin.

Elle se nourrit de petits rongeurs : souris, campagnols, musaraignes et taupes. Mais elle peut aussi avaler des lièvres, mouflettes, rats musqués, corbeaux faisans, tétras. Elle avale tout rond et rejette, comme tous ses congénères des boulettes de peaux, poils et os. Chasseur nocturne par nature, la chouette lapone est obligé de s’adapter à la région et quand la nuit n’existe plus en été, elle est bien obligée de s’activer le jour et s’adapté au cycle d’activité des rongeurs qui s’en trouve aussi modifié.

La majorité des chouettes lapones n’atteignent la maturité sexuelle qu’à 2 ou 3 ans. Elle niche dans d’anciens nids de corneilles ou de rapaces auxquels elle n’apporte peu de modification (même pas la tapisserie !!) La femelle pond 3 à 5 œufs qu’elle couve elle-même, nourrit par son compagnon durant la couvaison de 28 à 30 jours. Les jeunes quittent le nid bers l’âge de 30 à 40 jours.

Poids adultes : 700 à 1200 grammes ; Longueur : 63 à 66 centimètres ; Envergure : 130 à 142 centimètres.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Strigiformes ; Famille : Strigidés ; Espèce : Strix nebulosa.

Humeur du moment………..chouette :razz:

Le singe Moustac

janvier 16th, 2006


Le singe Moustac, originally uploaded by patriarch38.

Après la Guifette Moustac, voici le Singe Moustac .

Ses moustaches sont imprimées sur ses joues.

Le moustac est l’un des membres de la nombreuse famille des cercopithèques, qui sont largement distribués dans les forêts tropicales. Les cercopithèques comptent parmi les singes les plus brillamment colorés, chez lesquels les variations de teintes et la disposition des couleurs offrent une incomparable variété, unique dans le monde des mammifères. Le moustac doit son nom au dessin noir en forme de moustache qui lui orne le visage. Il est assez étroitement localisé dans le Cameroun, où il habite les forêts et les galeries forestières bordant les cours d’eau traversant la savane.

Il ne se tient guère au sommet des arbres, où ils deviendraient facilement la proies des grands rapaces mangeurs de singes, aussi préfère t’il évoluer au cœur même des frondaisons, entre 5 et 12 mètres de hauteur. Là, l’ombre et l’humidité ambiante lui conviennent, et il y trouve une nourriture végétale abondante. Il est avant tout, végétarien, et se délecte de bourgeons, de feuilles tendres et surtout de graines et de fruits variés. Il chasse adroitement les lézards arboricoles et gobe les œufs des oiseaux.

Le Moustac vit en petites bandes réunissant une dizaine de sujets, guidés par un vieux singe expérimenté. La vie sociale de ce primate est très évoluée, et les spécialistes ont pu établir tout un répertoire de signaux, de mimiques et d’attitudes dont il fait usage pour communiquer et se faire comprendre, tant de ses semblables que des autres espèces et même de ses ennemis. Il existe une quinzaine d’espèces de cercopithèdes dont le Grivet, le singe vert, le mone et celui de Brazza sont les plus connus.

Nombre de petit : 1 ; Gestation de 175 à 180 jours ; Poids à la naissance : 80 à 90 grammes et Adulte : 3 à 4,8 kilogrammes. Longueur du corps selon l’âge : de 32 à 64 cm ; Longueur de la queue : 48 à 109 cm ; Pelage très clair chez les jeunes.

Classe : Mammifères ; Ordre : Primates ; Sous Ordre : Catarhiniens ; Famille : Cercopithèques ; Espèce : Cercopithecus cephus.

Humeur du moment :….Toute ressemblance avec une personne ne serait que fortuite !!!

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