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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» avril

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

1er mai.

avril 30th, 2009

1er mai 1891 à Fourmies.

1er mai 2009……1er mai 1891 à Fourmies.

Depuis des années on appelle ce jour, la fête du travail ou encore la fête du muguet. Mais initialement, cette journée était celle où les salariés faisaient valoir et déposaient leurs revendications. Au fil des temps et peut-être grisés par les avantages acquits, collectifs ou individuels suivant les usines ou les corporations, les ouvriers ont, plus ou moins oublié, que c’est l’unité qui fait la force de la couche sociale qui trime, face à celle qui engrange les bénéfices.

Pendant des années, patronat et gouvernement, n’ont eu de cesse de détruire cette unité. Tout d’abord, par une pression continue sur les militants, et même les licenciant souvent. Puis en jouant un syndicat contre l’autre. C’est assez facile, lors d’une revendication déposée par plusieurs syndicats, le patron cédera à celui qui sera prêt à minima, c’est-à-dire si la revendication est une augmentation de 4%, il cédera à 2% et l’accord sera signé par un syndicat qui souvent est minoritaire. C’est aussi ce syndicat que l’on retrouve dans les organismes paritaires. (SS, ASSEDIC etc…)

Aujourd’hui, nous entendons ces ‘’braves gens ‘’, gouvernements et patronat, se plaindre de l’absence de syndicats puissants en France, encore faudrait-il qu’ils soient associés à l’élaboration des lois. Eh oui, il arrive des périodes comme en 68, ou même maintenant, où la pression à la base est si forte que même en prenant le train en marche, les syndicats n’ont plus la puissance qui étaient la leur il y a un peu plus de 100 ans, alors qu’ils étaient embryonnaires. Ces apprentis sorciers n’ont pas compris que la société est un tout et que lorsque une petite partie de celle-ci se goinfre au détriment de celle, plus importante qui leurs produit leurs avoirs, et que souvent les dès sont pipés, la donne change.

Comment voulez vous que la plèbe puisse comprendre, que déjà grugée de plus en plus depuis quelques temps, on lui demande de renflouer ceux-la même, qui l’ont prise pendant des années, comme machine à fric tout juste bonne à produire, à coût de moins en moins élevé, ce qui gonfle leur bas- de -laine et qui viennent de se casser la gueule, comme de simples grouillots de 1er année.

Le patronat, se montre peu en ce moment aux fenestrons, il laisse au gouvernement le soin de prendre les coups, quelques uns de leurs commensaux s’étant fait un peu houspiller ici ou là. Aussi, nous n’avons jamais vu autant de ministres qu’en ce moment, parfois 3-4 dans la journée, toutes chaînes confondues. Je ne pense pas que les gens soient prêt à supporter seuls les frais des bêtises de ‘’l’élite ‘’ de la Nation. La marmite est sur le point d’explosée et les syndicats n’ont plus la possibilité de soulever le couvercle pour diminuer la pression, trop de salariés ne leurs font plus confiance. Nous l’avons vu ces jours ci, lors de certains conflits. Alors voilà, quand il y une grève en France, personne ne la remarque……paraît-il !! Et oui !!!

Murènes léopards.

avril 29th, 2009

Murènes -léopards

La murène léopard est un habitant de la Mer Rouge, de l’Océan Indien et du Pacifique Ouest.(Photo scannée d’une diapo)

Cette murène, fait dans les 2 mètres de long, il semblerait qu’elle puisse même atteindre 3 mètres, mais rarement. Elle est donc de grande taille, par rapport aux autres murènes indo -pacifiques. Le corps a la forme de celui d’un serpent, de couleur blanche à jaune clair avec de nombreuses taches noires à brun foncé formant un dessin en nid d’abeilles. Au niveau de la tête, les lignes blanches teintées de jaune sont relativement larges, et se dessin se prolonge à l’intérieur de la bouche.

La bouche est grande, avec de nombreuses dents pointues, y compris sur le palais. Les nageoires pectorales et pelviennes sont absentes, alors que les nageoires dorsale, caudale et anale n’en forment qu’une, sans épines ni rayons mous, qui court sur pratiquement toute la longueur du corps. L’ouverture branchiale est réduite à un orifice. Les écailles sont absentes et le corps est recouvert d’un mucus protecteur. Deux petites narines bien visibles sont présentes sur l’extrémité du museau.

Elle se rencontre dans les trous et les crevasses des lagons et sur les pentes externes de 1 à 45 mètres de profondeur. Elle peut-être confondu avec la murène à tache noires, plus petite 75cm et qui ne se trouve que dans l’océan indien. Les taches sont plus grosses et de forme plus irrégulière.

Classe : Actinopterygii ; Ordre : Anguilliformes ; Famille : Muraenidés ; Genre & Espèce : Gymnothorax favagineus.

Jardin marin n°8

avril 28th, 2009

Jardin marin n° 8

Encore une photo scannée d’une diapo !!

Juste pour le plaisir, car je ne sais vous dire ce que c’est !!

Le Merle bleu.

avril 27th, 2009

Merle-bleu

Il n’y a pas que le merle –noir !

Le merle- bleu ou merlebleu de l’Est est un oiseau de petite taille de 16 à 21 cm et d’une envergure de 25 à 32 cm pour un poids de 28 à 32 grammes. Il a un bec fin et de courtes pattes. Ses couleurs sont resplendissantes. Le dessus est bleu, la poitrine rouge et le ventre blanc. Le mâle possède des ailes et une queue bleue avec des pointes noires ou grises. La couleur bleue de la tête légèrement plus claire se fond dans le rouge orangé de la gorge et du haut de la poitrine. La femelle a les mêmes couleurs, mais ‘’le costume’’ est plus terne. Le dos est nuancé de gris- brun.

Il fréquente les contrées ouvertes, avec des arbres isolés qu’il utilise comme : perchoir, habitat et même pour se nourrir. Et comme ses cousins Européens, il aime les poteaux et les fils électriques. Ils sont répandus à l’est des Rocheuses. De l’Est du Canada jusqu’au Golfe du Mexique. Certaines populations vivent aussi à Cuba et dans les Grandes Antilles, pendant les mois d’hiver. Très grégaires, ils se regroupent en larges bandes qui peuvent atteindre 100 individus, parfois encore plus.

Ils sont généralement monogames, bien qu’il ait été remarqué des dérogations à cette règle. Des observateurs ont remarqué que parfois, plusieurs mâles et femelles sont impliqués dans la même couvée. C’est le mâle qui fait le manœuvre, en apportant à la femelle les matériaux pour la construction du nid, toute en faisant valoir sa prestance, en ondulant des ailes pour aguicher la femelle.

Le nid se trouvera dans un arbre, dans un trou abandonné d’un pic ou toute autre cavité assurant une certaine sécurité, assez haut du sol. La femelle qui a mis une dizaine de jours pour le bâtir et le rendre douillet avec des herbes, des plumes, des tiges végétales et du crin, y déposera de 3 à 7 œufs, qu’elle couvera pendant 13-16 jours. Les oisillons nidicoles y séjourneront de 15 à 20 jours. Comme la femelle, souvent, fait une seconde ponte, les jeunes de la première couvée, restent à proximité du nid, pour aider les parents au ravitaillement de la seconde couvée.

Le merle bleu chasse à partir d’un perchoir et se laisse tomber à terre pour capturer sa proie, il en intercepte aussi en chassant dans les airs à la manière d’un gobe-mouche ou en glanant dans les feuilles. Pendant les mois d’été, il consomme des criquets, chenilles, sauterelles et autres insectes. Pendant l’automne et la saison hivernale, lorsque les insectes sont plus rares, il ingurgite des fruits et des matières végétales, telles que les mûres, du chèvrefeuille, du cornouiller, les fruits du cèdre rouge et du raisin sauvage. Il se désaltère dans les réservoirs, les cours d’eaux et les mares. Avec une préférence cependant, pour les eaux courantes et même agitées.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Muscicapidés ; Genre & Espèce : Sialia sialis.

Boa canin

avril 26th, 2009

Boa canin ou Boa émeraude

Capable de rester immobile pendant des semaines.

Voilà un animal favori des amateurs de reptiles. Il est très spectaculaire en raison de sa taille, 2 à 3 mètres, et de sa coloration d’un beau vert clair.

La principale caractéristique du boa canin reste cependant son immobilité légendaire. En effet, c’est l’un des très rares serpents capables de rester des jours et même des semaines absolument immobile dans un attitude qui leurs est particulière. Enroulé sur lui- même, laissant pendre librement ses anneaux de part et d’autre de la branche où il a élu domicile, le boa canin place sa tête au centre de ce berceau et s’endort pour ne s’éveiller que lorsque la faim le tenaille.

Il se décide alors à bouger et s’en va explorer les alentours en quête de quelque nourriture. Serpent exclusivement arboricole, il ne supporte pas de se trouver au sol. Il présente un remarquable exemple de camouflage naturel, car sa coloration verte, se confond avec le feuillage, et son immobilité le rend, pour ainsi dire, invisible et introuvable. C’est la raison pour laquelle ce boa atteint des prix élevés, bien qu’il ne soit nullement rare dans ses pays d’origine, c’est-à-dire, la flopée des petits pays qui font la jonction entre les USA et l’Amérique latine, ainsi qu’en Colombie et Venezuela.

Sa nourriture consiste en petits animaux en tous genres, qui partagent son habitat dans la cime des forêts tropicales. Il avale indifféremment rongeurs, lézards et iguanes, oiseaux, qu’il sait fort bien dénicher la nuit, ses mœurs étant nocturnes.

Un autre membre de la famille des Boïdés, mais qu est un python, le Chandropiton viridis ou python vert habite en Nouvelle-Guinée et constitue l’homologue parfait de notre boa canin. Il lui ressemble par la taille, la couleur et les mœurs.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Boïdés ; Genre & Espèce : Boa canin ou boa émeraude.

De ma boîte à “images” “13″

avril 25th, 2009

Les grands-parents maternels.

Mes grands- parents maternels.

Cette photo date de 1931. Mon grand- père, Massimino avait donc 60 ans et ma grand- mère, 58. A droite, le 7ème de la fratrie : Massimo 23 ans. Je pense que la jeune fille près de la grand-mère était une nièce. A ce moment, ils restaient 5 garçons à la maison, de 39 ans à 29 ans. Alberto , le 8ème étant décédé très jeune en 1918 à l’âge de 7 ans. Tous ces oncles sont restés célibataires et avec les parents, jusqu’à leurs décès en 51 pour la grand-mère, et quelques mois plus tard en 52 pour le grand-père.

Les seuls mariés de la fratrie étaient mes deux oncles Giulio et Mario, ainsi que ma mère, et tous trois vivaient en France. Mario encore célibataire, car il venait juste d’émigrer. Le seul frère de mon grand-père, habitait à Salsomaggiore – Terme, à quelques kilomètres de Chiaravalle où habitaient mes grands- parents. Lui aussi avait une fratrie de 9 enfants, mais mieux équilibrée : 5 garçons et 4 filles. Certains de ces garçons sont aussi venus en France et sont, de pères en fils et filles, artisans- forains. Ils habitent à 80 kilomètres de chez moi.

Bien sûr, pour vous exposer ceci, je suis allé voir mes ‘’archives ‘’ et je me suis aperçu que de tous mes aïeux, un seul n’a eu que 5 enfants : 3 filles et 2 garçons, mon arrière grand- père. J’ai été assez surpris, car aussi loin que j’ai pu ‘’remonter’’, le minimum était de 8 enfants. Alors je me suis penché sur les dates pour m’apercevoir que, Antonio né en 1822 s’est marié avec Angela née en 1841. 19 ans d’écart, et qu’ils ont eu leur premier enfant, Camilla le 04.05.1866, à 44 ans pour le père et 25 ans pour la mère.

Comme vous pouvez le voir, c’étaient de petits fermiers qui avaient tout juste de quoi vivre, mais c’était le cas pour beaucoup, dans ces années. Ma grand- mère avait des yeux d’un bleu très clair. Je n’ai jamais connu ma grand-mère, puisque je ne suis jamais allé en Italie. J’ai connu mon grand- père, qui après le décès de sa femme en 51 est venu à Verdun et a séjourné chez mes oncles. Il avait 79 ans et j’étais étonné de le voir enfourcher la bicyclette de Mario, en courant à côté et sauté dessus, comme sur le dos d’un mulet. Il n’était pas fait pour la vie en ville, malgré les soins que ses 3 enfants lui prodiguaient, il a préféré retourner sur son lopin de terre, pour y mourir quelques mois plus tard. J’ai aussi connu le 4ème frère, Adolfo, sourd- muet et bottier. Il est venu plusieurs fois chez ses frères et même plus tard chez ma sœur Anna. D’ailleurs c’est là que je l’ai rencontré pour la dernière fois.

Je crois que je tiens un peu deux, même si je n’ai jamais eu de ‘’ lopin de terre ‘’.

En rade

avril 23rd, 2009

Salut à tous.

                 Le gars de free est passé et il semblerait que ce soit bien ma ligne TELECOM. Donc, ils font des contrôles avant de faire intervenir TELECOM. Je vais voir avec mon fils s’il peut me faire un dépannage d’occasion. Sinon, il y en a pour plus d’une semaine.

Voilà! ne noyez pas ce post de com !! Salut à tous.

Pomacanthus arcuatus.

avril 22nd, 2009

Pomacanthus arcuatus

Encore une photo d’une diapo scannée.

Ce poisson a comme nom scientifique : Pomacanthus arcuatus et en Français : Poisson –ange, demoiselle blanche. Les anglais l’appellent : Gray angelfish.

Je ne vais pas vous mettre sa biographie et son mode de vie, ce sont sensiblement les mêmes que tous les poissons- anges.

Classe : Actinopterygii ; Ordre : Perciformes ; Famille : Pomacanthidae. ; Genre & Espèce : Pomacanthus arcuatus.

Jardin N°7

avril 21st, 2009

Jardin marin n°7
Dans ce jardin n°7, vous pouvez apercevoir 3 poissons ‘’faux –nettoyeur’’.

Ils se tiennent tous verticalement, deux dans le mitan de la photo, et l’autre à droite de celle-ci. Très fins et allongés vêtus d’un habit de domestiques noir et blanc, sont de faux nettoyeur. (Je les ai ‘’dénoncé’’ dans un post du 3 mai 2007. Pour le trouver, si vous le désirez, il suffit de taper dans le rectangle de recherche : Faux nettoyeur, et lire ‘’la main courante’’ sur ce faux cul.

Jouant de sa ressemblance, quoique bien plus mince et plus allongé que le vrai nettoyeur, il s’amuse à leurrer les poissons qui le prennent pour leur ‘’barbier habituel ‘’. Il les laisse venir vers lui et se jette sur eux, pour leurs enlever un morceau de ‘’barbaque’’ ou de nageoire, enfin tout ce qu’il peut attraper à la sauvette, avant que le ‘’pigeon ‘’ puisse se faire la tire à tire- d’aile (pardon de nageoires s’il lui en reste !!)

Encore et surtout pour la vue !!!

Jacana africain.

avril 20th, 2009

Jacana -africain

Il paraît marcher sur l’eau.

Le jacana est un oiseau des marais qui constitue un curieux mélange de foulque, de râle, d’avocette et de bécassine, mais qui est en réalité un parent assez proche du courlis. Il en existe plusieurs espèces qui sont distribuées dans toutes les régions tropicales et subtropicales du monde. Le nom de jacana est dérivé du nom indien sud-américain de cet oiseau.

On ne trouve le jacana que dans les marais, les lacs et les grands étangs riches en végétation aquatique. Grâce à ses doigts démesurément allongés, il semble littéralement courir sur l’eau sans s’enfoncer. C’est du moins l’impression qu’il donne. En réalité, l’oiseau prend appui sur des feuilles flottantes et sur des tiges, qui lui permettent de se déplacer en donnant l’illusion parfaite de marcher ou de courir sur l’eau.

Une seule tige fine suffit au jacana pour poser le pied et avancer un pas jusque sur une prochaine plante. Les très longs doigts répartissent le poids de l’oiseau, ce qui l’empêche de sombrer. Si cela devait lui arriver, le mal ne serait pas grand, car il nage à la perfection, bien qu’il ne le fasse que très rarement et toujours lorsqu’il s’y trouve contraint.

Dans la nature, le jacana mène une existence discrète et plus ou moins solitaire. Il vit par couple à l’époque de la reproduction. Le reste de l’année, il arrive que les jacanas d’une région tiennent des ‘’jamborées’’ et s’assemblent en troupes parfois nombreuses, réunissant plusieurs centaines d’individus.

Le jacana construit un nid peu élaboré, assez fragile, qui flotte librement sur l’eau. La femelle y déposera 4 œufs. La longueur d’un adulte est de 30 cm. Son régime alimentaire consiste en végétaux et en petits animaux aquatiques.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Charadriiformes ; famille : Jacanidés ; Genre et Espèce : Actophilornis africana.

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