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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» avril

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Les animaux malade de la peste..

avril 20th, 2010

Les animaux malades de la peste.

Les animaux malades de la peste.

Ayant gaffé leurs potes dévisser leur billard,
Et clabotter par la pestoche,
Tous les bestiaux du mond’ s’étant filés rencard,
Discutaient en s’tapant la cloche.

Je crois, jaspinait le lion, décarrant du désert,
Que l’ciel nous punit d’nos arnaques;
Et que pour nous r’becqu’ter, au lieu d’fric et d’auber
L’un de nous d’vrait payer d’sa barbaque.
Le preu, je suis tout prêt à sacrifier mon lard;
N’ayant pas été des plus chouettes,
En becqu’tant les bêlants, ainsi que les deux clébards,
Que trimbalait la môm’ Nénette.

Te buter pour si peu, ton gniasse n’est pas marteau ?
Bava l’renard, un p’tit mariol.
Bêlants, bergères, cabots, ça compte pour ballepeau;
Mézigue t’en file sa parole.

Et bibi, dit alors un vioc bourriquot,
D’un bout d’champ, j’ai bouffé l’herbouze
M’en fourrant plein l’buffet sans lâcher un pelot;
Ne trouvez-vous pas ça tartouze ?

Si, bavèrent tous en chœur les bestiaux réunis;
Tu dois te taper la pilule.
Et sans plus de chichis, l’bourriquot fut occis
Pour avoir été trop régule.

moralité
Les gros ont tout l’affur’ «Pognon, perlot, bifteack»
Quant à celui qui trinque, c’est toujours le pauvr’ mec.

PS : fable réduite à sa plus simple expression, en ôtant ‘’la garniture’’…..

50ème anniversaire de l’armistice du Front d’Orient.

avril 19th, 2010

50ème anniversaire de l'armistice Front d'Orient

Armistice ‘’Front d’Orient ‘’.

Le Front d’Orient

Le 28 juin 1914, l’archiduc héritier d’Autriche-Hongrie est assassiné. L’attentat a lieu à Sarajevo, capitale de la Bosnie, province autrichienne peuplée majoritairement de Serbes. Le meurtrier est un jeune étudiant bosniaque, membre d’une société secrète nationaliste serbe.

Depuis dix ans, les relations entre l’empire d’Autriche et le petit royaume de Serbie sont particulièrement tendues. En 1903, un coup d’État a installé sur le trône Pierre 1er Karageorgevitch, qui a aussitôt rompu avec la politique de soumission à l’Autriche menée depuis 1882. Il a donné le pouvoir aux patriotes radicaux, et à leur chef, Pachitch. Russophile et francophile, il a placé résolument son pays du côté de la Triple Entente. La propagande nationale serbe s ‘est développée, réclamant le rattachement à la Serbie des provinces autrichiennes peuplées de Serbes – la Bosnie-Herzégovine et le Banat – et envisageant aussi une union avec les Croates et les Slovènes, eux aussi sous domination de l’Autriche-Hongrie.

Cette dernière, qui lors des précédentes crises balkaniques de 1908, 1912, 1913, a vainement cherché à éliminer le danger serbe, est cette fois décidée à régler définitivement le problème. Assurée du soutien allemand, elle lance à la Serbie un ultimatum inacceptable, qui est rejeté, et lui déclare la guerre. La Russie, puis la France, soutiennent la Serbie. La Première Guerre mondiale est déclenchée.
*
Alors que les opérations s’engagent à l’ouest, sur le front français, et à l’est, sur le front russe, la petite Serbie reste seule face à l’Autriche qui l’attaque. Elle fait face. Entre le 12 et le 23 août, sous la direction du général Poutnik, généralissime serbe, et des généraux Michitch, Stepanovitch, Yourichitch, l’armée serbe résiste à l’offensive ennemie venue du nord-ouest, coupe en deux l’armée autrichienne à la bataille du Tser, et lance une contre-attaque victorieuse qui la mène à quelques kilomètres de Sarajevo.

En novembre, une nouvelle offensive ennemie, plus puissante, oblige les Serbes à reculer. Le front menaçant de craquer, ceux-ci rompent le contact, abandonnent Belgrade, et s’établissent en défensive sur une ligne de hauteurs, à une centaine de kilomètres à l’intérieur de leur territoire. Ils y arrêtent les Autrichiens, contre-attaquent en décembre, et percent une nouvelle fois les forces ennemies au centre. C’est le victoire du Roudnik.

Les Autrichiens refluent en désordre, abandonnant près de 50.000 prisonniers ; leur chef le général Potorek, est relevé de son commandement. Le front est stabilisé durablement sur la frontière.

Dix mois plus tard, en octobre 1915, une nouvelle bataille s’engage. Les Allemands sont venus renforcer les Autrichiens, et attaquent les premiers. L’offensive se développe cette fois du nord au sud. Les Bulgares, qui viennent tout juste d’entrer en guerre, attaquent par l’est. Les Serbes, toujours seuls, pris en tenaille, submergés par le nombre, luttent pied à pied, mais sont bientôt obligés de faire retraite vers le sud pour éviter l’encerclement. Ils refluent vers la mer Adriatique, à travers le Monténégro et l’Albanie. La marine française recueille l’armée serbe sur ses navires. Le territoire a été complètement envahi en huit semaines.
*
Dès le début de l’année 1915, les Alliés avaient envisagé d’envoyer un corps expéditionnaire renforcer l’héroïque armée serbe. Mais ils ne s’y sont décidés que trop tard. Quelques troupes françaises et anglaises, sous le commandement du général Sarrail, ont débarqué début octobre, dans le port de Salonique, en Grèce, malgré la neutralité de ce pays. Elles se sont portées au secours de la Serbie, dont la frontière sud n’est qu’à 80 kilomètres de Salonique. Mais les franco-anglais sont trop peu nombreux ; et il n’est plus temps. Ils sont obligés de se replier et s’installent en défensive, en territoire grec entre la frontière et la mer.

Le corps expéditionnaire, baptisé «Armée d’Orient», est alors renforcé par de nouvelles troupes françaises et anglaises, par des Russes et des Italiens, et surtout par l’armée serbe embarquée sur la côte adriatique après l’invasion du pays.
En 1916, après avoir contenu en août une offensive germano-bulgare lancée de toutes parts contre la tête de pont alliée, Sarrail attaque sur ordre de Joffre, en septembre : pendant que les Anglais et les Italiens font diversion en Macédoine orientale, face à la Bulgarie, les troupes de Macédoine occidentale s’engagent en direction du nord. Les Serbes percent dans la zone montagneuse qui borde à l’ouest le bac d’Ostrovo ; les Français exploitent avec eux le succès. Ils entrent dans Monastir, à l’extrême sud de la Serbie, le 17 novembre. Malheureusement, le manque de moyens et les intempéries empêchent de poursuivre plus loin l’avantage : le front se fige sur plusieurs mois sur la ligne qui vient d’être atteinte. Un lambeau de territoire serbe a cependant été libéré.

Après l’entrée en guerre de la Grèce aux côtés de l’Entente, à la fin de 1917, l’Armée d’Orient est composée de 650.000 hommes : 210.000 français, 157.000 Grecs, 138.000 Anglais, 120.000 Serbes et 44.000 Italiens. Le commandement est désormais assuré par le général Guillaumat puis, à partir de juin 1918, par Franchet d’Esperey.

Après des retards dus aux réticences britanniques, une offensive est enfin décidée pour le début du mois de septembre. Elle se révélera décisive. Le plan établi par Guillaumat, affiné par Franchet d’Esperey, s’inspire de l’offensive de Sarrail en 1916. Le 15, à l’aube, les Français et les Serbes attaquent dans la zone montagneuse du sud de la Macédoine serbe. En une journée le front est percé. Les Bulgares et les Allemands refluent vers le nord-est. La cavalerie française exploite au plus loin et atteint Uskub le 29 septembre tandis que les Serbes entrent dans Veles. Le même jour, la Bulgarie sollicite l’armistice qui est aussitôt signé.

L’Armée bulgare cessant le combat, les troupes allemandes sont obligées de faire retraite, abandonnant tout le territoire serbe. Franchet d’Esperey, sans perdre un instant, développe son offensive vers le nord, en direction de Belgrade, où les Français et les Serbes entrent le 1er novembre, vers le nord-est en direction de la Roumanie, vers l’est en direction de Constantinople.

La Turquie capitule le 30 octobre. Trois jours plus tard, l’Autriche signe à son tour l’armistice. Les troupes franco-serbes franchissent alors le Danube, entrent en Hongrie et progressent en direction de l’Allemagne. Celles-ci, désormais seule à résister encore, en proie aux plus graves difficultés sur le front français, accepte à son tour l’armistice le 11 novembre.
*
C’est la victoire. Une victoire dans laquelle l’Armée d’Orient, de Franchet d’Esperey, a pris une large part.

Francis Choisel

PS: un peu long comme sujet; mais qui connaissait ce fait de guerre qui s’est passé en même temps que celui qui a ensanglanté la France. Nous pouvons donc dire que presque toute l’Europe était engagée dans ces sanglantes batailles.

Yves Montand.

avril 18th, 2010

Yves Montand

Montand Yves.

Si, à sa disparition en 1991, il a laissé l’image d’un artiste complet, ce fut au prix d’un travail acharné de tous les instants.

Né en Italie en 1921, Yvo Livi était le fils d’émigrés anti fascistes réfugiés à Marseille. Ses imitations de Trenet et de Fernandel et surtout son triomphe à l’Alcazar de Marseille lui vaudront une notoriété régionale. Pour échapper au STO, il ‘’montera’’ à Paris où il rencontre Edith Piaf.

Ce sera le tournant de sa carrière. Avec Edith, il tourne son premier film ‘’Etoile sans lumière (1945), puis ‘’ Les portes de la nuit ‘’. Ce sera un échec, l’artiste ne parvenant pas à se départir d’une certaine rigidité à l’écran. Quelques années passeront avant que Clouzot ne réussisse à révéler le talent de l’acteur dans ‘’Le salaire de la peur’’. Car Montant était avant tout un comédien de la chanson à une époque où chanter demandait une gestuelle théâtrale. Le spectacle passait par sa voix, mais aussi par ses yeux, ses mains, son corps. ‘’Le compliqué de ce métier, disait-il, c’est qu’on doit, à chaque seconde, réinventer l’instinct.’’ C’est grâce à ‘’La Guerre est finie ‘’ et surtout à sa rencontre avec Costa-Gravas que Montand parvint à dissiper le malentendu qui subsistait entre lui et le cinéma.

Après les tournées qui le mèneront des pays de l’Est (1957) à Broadway et Hollywood (1959-60), où Simone Signoret, sa femme depuis 1951, reçoit l’Oscar de la meilleure actrice, du Théâtre de l’Etoile à l’Olympia, il décide de se consacrer au cinéma. Il développe ainsi sa palette de ses nombreux talents dans des films politiquement engagés. (‘’Z’’ 1968 et ‘’l’Aveu 1970’’), des policiers : ‘’Police Python 357 ‘’ en 1976, des fantaisies ( La Folie des grandeurs 1972), des comédies douces –amères ( César et Rosalie 1972). Revenu en 1981 à la chanson, il sera le premier artiste de variétés au monde à se produire au Metropolitan - Opera de New-York en 1982. Viendront ensuite ‘’Jean de Florette’’ et ‘’Manon des Sources’’ en 1986. ‘’Le Papet’’ de Pagnol sera président du Festival de Canne en 1987, consécration d’une longue carrière cinématographique qui s’achèvera avec un dernier film sorti en 1992, après sa mort ‘’IPS ‘’de Beineix.

Source :Document philatélique de la Poste

Tricentenaire de l’Académie des Sciences.

avril 17th, 2010

Tricentenaire de l'académie des sciences

Historique:

L’Académie des sciences de Paris doit son origine au projet de Colbert de créer une académie générale. Elle s’inscrit également dans la lignée des divers cercles de savants qui se réunissaient au XVIIe siècle, autour d’un mécène ou d’une personnalité érudite. Colbert choisit un petit groupe de savants qui s’assemblèrent le 22 décembre 1666 dans la bibliothèque du roi, nouvellement installée rue Vivienne, et y tinrent désormais des séances de travail bi- hebdomadaire. Les trente premières années d’existence de l’Académie furent relativement informelles, la nouvelle institution n’ayant pas reçu de statuts.

Le 20 janvier 1699 Louis XIV donnait à la compagnie son premier règlement. L’Académie reçut le titre d’Académie royale et fut installée au Louvre. Composée de 70 membres, elle contribua au XVIIIe siècle au mouvement scientifique de son temps par ses publications et joua un rôle de conseil auprès du pouvoir.

Le 8 août 1793, la Convention supprima toutes les académies.

Deux ans plus tard, le 22 août 1795, fut mis en place un Institut national des sciences et des arts regroupant les anciennes académies scientifique, littéraire et artistique. La première classe de l’Institut (Sciences physiques et mathématiques) était la plus nombreuse (66 membres sur 144).

En 1805, l’Institut national des sciences et des arts fut transféré dans l’ancien Collège des quatre nations.

En 1816, l’Académie des sciences retrouva son autonomie tout en participant à l’Institut de France ; le chef de l’État restait son protecteur.

En 1835, sous l’influence de François Arago, furent créés les Comptes rendus de l’Académie des sciences qui devinrent un instrument de première importance pour diffuser les travaux des scientifiques français et étrangers.

Au début du XXe siècle, l’Académie connut un déclin d’activité et d’influence, déjà amorcé pour des raisons démographiques. Face au développement accéléré de la recherche scientifique en France, l’Académie, pour rester fidèle à sa vocation, a dû adapter ses structures et ses missions. Elle a récemment engagé une profonde réforme de ses statuts, tant sur le plan de ses membres que sur celui de ses missions. Le premier volet de cette réforme, approuvé par décret du 2 mai 2002 (Journal Officiel n° 104 du 4 mai 2002), a permis l’élection de 26 nouveaux membres. Le deuxième volet de la réforme a été approuvé par le décret du 31 janvier 2003 (Journal officiel n° 28 du 2 février 2003).

Feuillet pour la coupe du Monde 2003. Nouvelle-Calédonie.

avril 16th, 2010

Nouvelle- Calédonie

Une distinction internationale pour la philatélie calédonienne

L’office des Postes et Télécommunications de Nouvelle-Calédonie (OPT-NC) participe depuis 15 ans à la prestigieuse coupe du monde des timbres, organisée par « Timbres magazine ». Ce magazine, tiré à 65 000 exemplaires, est leader dans la presse philatélique francophone.

En 2003, Nouvelle-Calédonie a reçu le 1er prix du plus beau bloc du monde avec le bloc feuillet « tortues marines » (édité en 2002), devant la Belgique, la Namibie, la Slovénie et l’Australie. Ce bloc timbre, de forme originale, illustre quatre tortues que l’on trouve dans les fonds marins calédoniens.

Ce titre de champion du monde 2003, attribué pour la première fois à l’Office des Postes et Télécommunications de Nouvelle-Calédonie par l’ensemble des opérateurs postaux à travers le monde, est la reconnaissance internationale de l’OPT-NC par ses pairs. Cette récompense est le fruit d’un travail permanent du service philatélique pour la valorisation des richesses de la Nouvelle-Calédonie, qu’elles soient culturelles, touristiques, sociales, économiques, politiques, sportives ou environnementales.

Feuillet Tortues - Sur notre feuillet nous retrouvons : la tortue à grosse tête “Caretta caretta”, la tortue bonne écaille “Eretmochelys imbricata”,la tortue verte “Chelonia mydas”, la tortue Luth “dermochelys coriacea”. Superbe bloc feuillet de JR Lislak.

Et le savoir- vivre…..Bondiou !!!

avril 15th, 2010

Accident

Un accident pour des …. ‘’prunes ‘’.

Le 30 septembre 2009, un gars qui roule en scooteur avec un passager, se fait renverser par une voiture, à la hauteur de la porte d’Auteuil. Les pompiers vite arrivés, s’activent auprès du blessé. Si le pronostic vital n’est pas engagé, le pilote n’en est pas moins très touché.

Les radios révéleront 14 fractures : 11 au péroné, une au tibia, une au poignet et une à l’épaule. Quelques instants après l’arrivée des pompiers, s’en vient la ‘’la cavalerie’’ du périphérique. Le chef de patrouille prend sur le champ la direction des opérations. La Cheftaine ordonne à ses deux acolytes de déplacer le blessé toujours sur le bitume, bien sûr les pompiers s’interposent, mais force doit rester à la loi.

Puis elle s’approche du gisant dans les vapes, et lui demande : ‘’ avez-vous les papiers du véhicule ‘’. Une voix pâteuse lui répond :’’oui, dans ma poche arrière du pantalon’’_ ‘’Pourriez vous me les donner ?’’ Le pauvre se tord de douleur sur la chaussée. Avec la fracture à l’épaule, il n’arrive pas à atteindre son portefeuille. Un pompier intervient : ‘’l’administratif après, pour l’instant on soigne Monsieur, vous pourrez avoir tout ça à l’hôpital.’’ Mais la cheftaine : ‘’Veuillez souffler dans le ballon ! ’’ Test négatif.

Les pompiers peuvent alors immobiliser le gars dans une coque rigide, puis morphine, perfusion, il est alors fin prêt pour Ambroise-Paré. C’est le moment que choisit la cheftaine en revenant à la charge :’’Monsieur, veuillez signer le procès- verbal !’’ Complètement shooté le pauvre y appose une griffe.

Avant de laisser partir l’ambulance, l’ange en bleu dresse délicatement sur la couverture de survie 3 PV : 11€ pour non présentation immédiate, par le conducteur, du permis de conduire de catégorie A ; 11€ pour non présentation de la carte grise ; 135€ pour non présentation d’assurance d’un véhicule terrestre à moteur.

Le jour même son passager, pendant que les chirurgiens rafistolent 4 heures durant son ami, faxe tous les documents demandés. Mais les PV ne sont pas annulés. Le Canard- Enchainé qui relate ce fait, a reçu comme réponse à son interrogation, cette réponse de la préfecture de police :’’ c’était la procédure !’’ Et la justice suit son cours….

Il y a peu, nous avons tous entendu le Président, vantait devant les étudiants américains, notre système de sécurité social, en ce terme :’’ Si vous tombez dans une de nos rues, on vous transporte immédiatement à l’hôpital, sans vous demander si vous avez une carte de crédit ! ‘’ Mais il a oublié d’ajouter : ‘’mais attention, pour un accident sur la route, même la langue et les deux bras coupés, il faudra répondre à nos force de l’ordre et présenter tous les papiers demandés !!! ‘’
Comment peut-on avoir ce degré d’impéritie, dans le service qui doit être rendu aux citoyens par ceux qui vivent de nos impôts, même lorsque l’on est au sommet de l’échelle !!

La bande des 6 timbres des fables.

avril 14th, 2010

Fables de La Fontaine

Les Fables de Jean de La Fontaine.

Après vous avoir mis la carte imageant la fable, je vous mets le timbre qu’il y a au verso de chaque carte, et comme vous pouvez vous en apercevoir, ils sont identiques à l’image des cartes. Voici donc la bande de format horizontal 235 x 57,2 composée de 2 vignettes et de 6 timbres- poste de format vertical 22 x 36.

Dessinée par Claudine et Roland Sabatier.

Mise en page de Charles Bridoux.

Imprimée en héliogravure 6 bandes par feuille.

Vente anticipée (1er jour) le 10 juin 1995 à Château-Thierry (Aisne)

Vente générale le 12 juin 1995 ;

Ce qui demande une grande dextérité aux graveurs qui en font les matrices. J’ai tenu à vous les montrer tous ensembles, pour honorer ces ouvriers.

La réforme des retraites…..

avril 13th, 2010

La réforme des retraites

La réforme des retraites…..

Nous voilà devant l’épineuse réforme des retraites. Vont se trouver dans l’arène, par ordre décroissant par le pouvoir : l’Etat, le patronat, les syndicats et en derniers…les intéressés. Nous pouvons aussi inverser l’ordre, à l’occasion par le poids : le peuple, les syndicats en remorque, le patronat avec ses casseroles, et l’Etat avec les siennes.

Pour Me Parisot, c’est bien sûr…. retarder l’âge de la retraite, ne pas augmenter les charges sociales ce qui supprime, selon ses vues, un nouveau prélèvement pesant sur les très ‘’aisés’’. Elle préconise de développer le développement d’une partie de la retraite par capitalisation. (Nous avons vu ce qu’il en a coûté aux américains et anglais qui avaient déjà ce système avant la crise boursière.) Et puis, ce prélèvement se fera t’il à la source (salaires) par le patronat lui-même. (On ne la voit guère aller prôner l’identité française à ses amis qui délocalisent à tout va !!)

Les syndicats ? Pour bien les connaître, chaque ‘’église’’ va défendre sa paroisse. Pas de mise à la retraite retardée pour certains, alors que lorsque les classes des années 53 à 60 seront passées, plus personne ne totalisera les 41,42 voire 43 années de cotisation à 60 ans, et ceux qui prendront leur retraite tout de même à 60 ans, celle-ci subira une décote par année manquante. Certains, (tous je pense) vont demander que l’âge du départ soit aussi basé sur la pénibilité physique du travail. (Les 3 postes et les travaux en sidérurgie, raffinerie et autres, comme par exemple les services hospitaliers.)

L’Etat va chercher à aligner les retraites du public sur celles du privé. La moyenne, je dis bien moyenne, est de 1 689€ par mois pour le public et 1 065€ pour le privé. De plus, il y a les retraites de certains ‘’privilégiés’’ : les aiguilleurs du ciel : départ légal à 57 ans, voire 50 ans, après 15 ans d’activité et la bonification du ‘’cinquième’’ (une année de cotisation supplémentaire leurs est offerte, par 5 années travaillées). Les hauts fonctionnaires qui perçoivent 75% (hors primes) de la rémunération des 6 derniers mois. ETC…

Et les parlementaires en moyenne : 2 700€ pour les députés et 4 442€ pour les sénateurs. La durée du séjour dans ces assemblées est aléatoire, mais en ayant le droit de cotiser 2 fois plus pendant 15 ans les retraites montent en flèches. Un mandat de 5 ans à l’assemblée et de 6 ans au sénat, permet ainsi une pension de 1 550€ mois pour un député et de 1 900€ pour un sénateur. Viennent aussi si ajouter les membres du conseil économique et social (syndicalistes, responsables patronaux et associatifs…etc, qui eux aussi ont le droit à la double cotisation. Résultat : « pour 1€ cotisé, ils récupèrent 6€18 à la retraite » calculent les experts de l’association Sauvegarde Retraites.
Croyez vous qu’ils vont aussi mettre sur table, celles des présidents, des ministres ? Et aussi le cumul de retraite allant de paire avec le cumul de mandats ? Le Père Noël est peut-être une ordure……mais je doute qu’il le soit pour tous !!!

Tout cela nous promet de belles foires d’empoigne !!!!!

PS : Pour les 4 louches de jargon, vous allez être servi, le gouvernement débloque 5 millions d’Euros pour convaincre l’opinion. Pleines pages dans la presse, d’abord. Puis spots télé à partir du 21 avril et messages radios. C’est l’agence BBDO qui a décroché le marché. Je ne vais pas vous dire quels en seront les slogans, vous les connaissez tous ; (L’espérance de vie, la nécessité d’une réforme qu’ils vont annoncée « juste » ….. Le ministère rétorque que ‘’ C’est le même budget qui avait été consacré au Grenelle de l’environnement ‘’ Et où en est le résultat pouvons lui demander…….

J’espère qu’ils ne vont pas se servir des officines téléphoniques délocalisées, pour nous émouvoir ? Nous sommes déjà assez emmerdés par celles-ci, sans en rajouter. Dans le fond, si encore ils se servent de celles en France, cela pourrait donner quelques heures de travail à des chômeuses, même si au bout du fil…… ‘’Vous êtes bien gentille, mademoiselle, mais je n’ai pas une oreille, à écouter des sornettes ! Au revoir Mademoiselle.’’

Coluche….

avril 12th, 2010

Coluche

COLUCHE de son nom Michel Colucci.(1944-1986)

Fils d’un père émigré et d’une mère fleuriste, Michel Colucci naît à Paris en 1944.Il rencontre très tôt le succès. A peine a-t-il participé, à 20 ans, à la création du Café de la Gare, puis créé sa propre troupe, qu’il est repéré par l’imprésario Paul Lederman, au ‘’ Vrai chic Parisien’’. Il fait alors cavalier seul, remplit pendant 2 ans le Gymnase à Paris, puis les plus grandes salles de province. A Europe n°1, il bat tous les records d’audience. En 1980, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle. Les sondages le créditent de 16% des intentions de vote, mais il ne réunit pas le nombre de ‘’parrains ‘’imposés.

Bête de music-hall, il crève aussi l’écran. Il a tourné pas moins de 13 films : ‘’Le Pistonné’’ de Claude Berry ;’’Les vécés étaient fermés de l’intérieur’’ de Patrice Leconte ; ‘’l’Aile ou la cuisse’’ de Claude Zidi ; ‘’Vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine’’ qu’il réalise lui-même et ‘’Tchao pantin’’ qui lui vaut le César du meilleur acteur en 1983.

« L’argent ne fait pas le bonheur des pauvres….. »

Comme souvent, le grand provocateur était un grand humaniste. En 1985, il lance « Les restos du cœur ». En une seule émission de télévision, il glane 20 millions de francs. De quoi distribuer 8 millions de repas gratuits pendant tout l’hiver- et offrit le reliquat des dons à l’abbé Pierre. Il ne connaitra pas l’hiver suivant : le 19 juin 1986, ce passionné de grosses motos, recordman sur circuit du kilomètre lancé, percute un camion au détour d’un virage, sur une petite route des Alpes-Maritimes. Il est tué sur le coup. 24 ans après, les restos du cœur nourrissent toujours des milliers d’exclus.

Un timbre pour Coluche : il aurait sans doute été le premier à en rire, lui dont la dérision n’épargnait personne, surtout pas lui-même. Ne s’était-il pas proclamé : « Gros dégueulasse » ? Ce personnage qu’il incarnait, cette image qu’il réfléchissait sur son public, c’était lui, disait-il : ‘’la connerie dont je parle, je la sens en moi….’’. Il était un bouffon de génie, au naturel absolu, au langage tout droit sorti de la zone des banlieues. Un clown dont la grossièreté « soulage tout le monde », expliquait-il.

Source : Document philatélique officiel de la Poste.

1980. Année du Patrimoine.

avril 11th, 2010

Année du patrimoine

1980. Année du patrimoine…….

Issu du vocabulaire juridique, le mot « patrimoine » a été utilisé au début des années 1970 pour désigner les productions humaines à caractère artistique que le passé a laissées en héritage et on n’a pas fini d’explorer le contenu du terme dans son acception récente. Pour en limiter, en fait, l’emploi aux seuls beaux-arts, les utilisateurs entendaient néanmoins écarter d’autres expressions jugées trop restrictives dans leur contenu, ou limitées au seul contexte français : « Monuments historiques », notamment.

À la fin des années 1970, il était entendu qu’en adoptant le mot « patrimoine », on insistait sur la dimension collective de l’héritage : on parla progressivement de « patrimoine européen », puis de « patrimoine mondial » pour désigner des monuments, des objets et des lieux.

Introduit dans le discours quotidien français en 1980 à l’occasion de l’Année du patrimoine, le concept n’a cessé d’évoluer ; on peut même dire qu’il est encore en voie de formation. Dès le début des années 1990, en France, le ministère de la Culture s’efforça, avec une constance variable et un succès inégal, de vivifier par l’esprit des sciences sociales une administration traditionnellement cantonnée dans la région même !

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