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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» novembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Irène et Frédéric Joliot-Curie

novembre 30th, 2010

Frédéric & Irène Joliot-Curie

JOLIOT-CURIE

Irène Curie naît en 1897 à Paris de parents Pierre et marie Curie. Elle étudie à la faculté des sciences.

Frédéric Joliot naît en 1900 à Paris. Il fait ses études à l’école supérieure de physique et de chimie industrielle à Paris, ainsi qu’à la faculté des sciences.

En 1926, après s’être rencontrés à l’institut du radium ou ils étaient tous les deux assistants, Irène et Frédéric se marient, formant le couple Joliot-Curie. Ils travaillent dans la physique nucléaire et découvrent la radioactivité naturelle en 1934.

En 1935, ils reçoivent le prix Nobel de chimie.En 1937, Irène devient professeur à la faculté des sciences à Paris. De 1936 à1946, elle occupe les fonctions de sous secrétaire d’état à la recherche scientifique, commissaire au Commissariat à l’énergie atomique et directrice de l’institut du Radium.

Elle meurt en 1956, des suites d’une Leucémie due à l’exposition aux rayonnements.

En 1937, Frédéric est nommé directeur du Laboratoire de physique atomique d’Ivry. Pendant la seconde guerre mondiale, il devient membre du parti communiste. A partir de 1946, il représente la France au CEA des nations unies. En 1956, il succède à sa femme à l’institut du Radium.

Il meurt en 1958.

Source : Wikipédia.

Claude Vasconi.

novembre 29th, 2010

Claude Vasconi

Claude Vasconi.

Cet architecte né en 1940 à Rosheim avait réalisé de nombreux projets importants

L’architecte Claude Vasconi, qui fut l’auteur, avec Georges Pencreac’h, du Forum des Halles au cœur de Paris dans les années 1970, est décédé à Paris, le 8 décembre 2009, où se situe son cabinet. Il avait également conçu les bâtiments de la Filature à Mulhouse, du Nouvel Hôpital Civil ou encore de l’Hôtel du Département à Strasbourg.

L’architecte, né en 1940 en Alsace, a réalisé de nombreux projets importants en région parisienne (le centre culturel et administratif de Cergy-Pontoise, une extension des usines Renault à Boulogne-Billancourt, l’hôpital Paul Brousse à Villejuif, la tour de télécommunications de Romainville…) et dans toute la France (Corum à Montpellier, centre culturel de Mulhouse, Centre République à Saint-Nazaire…). Il s’était rendu célèbre avec la réalisation du Forum des Halles avec Georges Pencreac’h, son associé jusqu’en 1981.

Lauréat du concours pour le Forum des Halles en 1973, Claude Vasconi avait dessiné une place centrale bordée de verrières en cascades dans le “trou” des Halles, entre le RER et le niveau zéro. Il faisait valoir que lorsqu’il avait gagné le concours en 1973, les pavillons Baltard avaient déjà été détruits et le trou des Halles déjà creusé. “Il aurait fallu conserver ces bâtiments magnifiques pour lesquels j’avais manifesté en 1970, mais le crime était consommé”, expliquait-il dans une interview au Journal du dimanche.

En 2004, il avait vivement critiqué les quatre projets pour le réaménagement des Halles. “Je suis étonné de leur radicalité. Ils cassent tout, ou presque, et rebouchent le cratère, ce qui est absurde, il s’agit de la seule arrivée de lumière naturelle dans les sous-sols”, déclarait l’architecte. AFP

Source : F3

Le Mont Mouchet (43)

novembre 28th, 2010

Le Mont-Mouchet

Le Mont-Mouchet (43)

Dans un paysage grandiose et émouvant, au cœur des forêts de la Margeride, à 1335 mètres d’altitude, aux confins des départements du Cantal, de la Haute-Loire et de la Lozère, se trouve le Mont-Mouchet, où fut implanté à partir du 20 Mai 1944, sous l’autorité du Colonel Gaspard, Chef régional des F.F.I de la zone R 6, l’un des cinq grands Maquis de France.

Dès le 2 juin 1944, celui-ci subissait un premier assaut d’un bataillon allemand. Puis les 10 et 11 juin, 2 200 soldats de la Wehrmacht livraient, en ces lieux, contre les maquisards, des combats acharnés. Repliés sur le “Réduit de la Truyère”, ces maquisards subissaient le 20 juin un assaut plus important encore qui les obligeait à rompre le contact. Après les combats du Mont-Mouchet, les compagnies F.F.I. reconstituées, réparties en 20 zones de guérilla, harcelèrent les troupes nazies un peu partout dans les quatre départements d’Auvergne, jusqu’à la Libération de la France. Dans tout ce secteur les pertes furent sévères tant chez les F.F.I que du côté allemand. Plusieurs villages furent détruits.

Avec l’accord et l’appui du général de Gaulle fut érigé dans la clairière le Monument national à la Résistance et aux Maquis de France inauguré le 9 juin 1946, dû au sculpteur parisien Raymond Coulon. Chaque année, fin juin, un important Rassemblement du Souvenir a lieu au pied de ce Monument.

La berline postale…

novembre 27th, 2010

La Berline

La Berline.

La grande diligence

À partir de 1818, les grands services de transports s’organisent. Les diligences deviennent de plus en plus importantes. À son apogée, la grande diligence est divisée en trois compartiments : de l’avant vers l’arrière, le coupé (parfois le cabriolet), la berline ou l’intérieur et la rotonde. D’une manière générale, les voitures composites, à plusieurs compartiments, dont il existait une grande variété de modèles, avaient une nomenclature basée sur les modèles de voitures simples : coupé, cabriolet, berline, landau, etc. La construction de ces voitures tend à se standardiser, autorisant des variations à partir d’éléments de base identiques.

Les bagages sont placés au-dessus, sous une bâche, et des places sont réservées pour les amateurs de plein air, ou les fumeurs, sur l’impériale. L’attelage est mené par un cocher, assisté par un postillon enfourchant le premier cheval de gauche (le timonier).

La diligence disparaît progressivement sur les grands axes de circulation, supplantée par le chemin de fer. Elle survit sur des lignes secondaires, une solution adoptée parfois étant de dissocier la caisse de la diligence au terme d’un trajet routier, et de la placer sur une plate-forme de wagon pour poursuivre le voyage par voie ferrée.

Source :Wikipédia

L’auteur et les souris…

novembre 26th, 2010

L'auteur & les souris

L’auteur et les souris

Un auteur se plaignait que ses meilleurs écrits
Étaient rongés par les souris.
Il avait beau changer d’armoire,
Avoir tous les pièges à rats,
Et de bons chats ;

Rien n’y faisait : prose, vers, drame, histoire,
Tout était entamé ; les maudites souris
Ne respectaient pas plus un héros et sa gloire,
Ou le récit d’une victoire,
Qu’un petit bouquet à Chloris.

Notre homme au désespoir, et, l’on peut bien m’en croire,
Pour y mettre un auteur peu de chose suffit,
Jette un peu d’arsenic au fond de l’écritoire ;
Puis, dans sa colère, il écrit.
Comme il le prévoyait, les souris grignotèrent,
Et crevèrent.

C’est bien fait, direz-vous ; cet auteur eut raison.
Je suis loin de le croire : il n’est point de volume
Qu’on n’ait mordu, mauvais ou bon ;
Et l’on déshonore sa plume
En la trempant dans du poison.

Florian

Roses d’Automne.

novembre 25th, 2010

Rose d'Automne

Roses D’automne.

Je vous fais le présent de ces roses d’Automne,
Pour que le parfum de l’arrière saison,
Sur l’aile de la bise, imprègne la maison,
comme un hôte discret que la présence embaume.

Acceptez le tribut de ces dernières fleurs
Que je cueillis, hier au jardin de septembre,
Pour qu’elles soient, au fond de l’odorante chambre,
Un sourire d’ami qu’auréolent les pleurs….

Roses du paradis aux songes entrouverts,
Chairs d’anges frissonnants, quand l’automne agonise,
Roses de la douceur, dont le temps s’harmonise
A mon cœur las, que fanera le vent d’hiver….

Roses de mon pays, roses de ritournelles,
Que l’on chante en dansant sur un air d’autrefois,
Rose du temps passé, qui laissez à nos doigts
Le fugace parfum des heures éternelles…..

Jean Edouard Michel.

PS: j’espère demain pouvoir vous rendre visite….A plus.

1879-Léon Jouhaux-1954

novembre 24th, 2010

1879-Léon Jouaux-1954

1879-Léon Jouhaux-1954.

Syndicaliste français.

Défendant sans cesse les principes de la charte d’Amiens (1906) qui prônent l’indépendance syndicale vis-à-vis des partis politiques, de l’État et des Églises, il s’oppose aux différentes tentatives de contrôle du syndicat par la SFIO (en 1911) ou par les “bolchéviques” (en 1922). En décembre 1947, face à la mainmise du PCF sur le syndicat, Jouhaux et ses amis (Robert Bothereau, Albert Bouzanquet, Pierre Neumeyer, Georges Delamarre) démissionnent du Bureau confédéral et fondent la CGT-FO pour continuer la « vieille » CGT, fidèle à la charte d’Amiens.

Le 4 août 1914, lors des obsèques de Jean Jaurès, Léon Jouhaux prononce un discours dans lequel il affirme : « au nom de ceux qui vont partir et dont je suis, je crie devant ce cercueil que ce n’est pas la haine du peuple allemand qui nous poussera sur les champs de bataille, c’est la haine de l’impérialisme allemand ». Il veut alors exprimer ainsi le sentiment de « la classe ouvrière au cœur meurtri ». Jouhaux se résigne alors à rallier la CGT dans l’Union sacrée.

L’Union sacrée et les socialistes.

En 1918, Léon Jouhaux présente un projet de Conseil national économique chargé d’examiner tous les problèmes posés par le retour à la paix, et dont le rôle ne serait pas que consultatif. En 1936 il contribue aux reformes concernant les conventions collectives, les congés payés les semaines de 40heures et la nationalisation. En 1940, il est mis sous résidence surveillée par le régime de Vichy, arrêté par les nazis en novembre 1942 lors de l’occupation de la zone libre. Le 1er mars 1943, il est transporté en voiture au KL Buchenwald où il est installé dans un baraquement réservé et chauffé, à la périphérie du camp proprement dit. Il rejoint Léon Blum, Édouard Daladier et le général Gamelin arrivés la veille en avion.

Un mois plus tard le 1er mai 1943, il est transféré au château d’Itter, dans le Tyrol autrichien, dépendant du camp de concentration de Dachau (mais aux conditions de détention sans communes mesures), en compagnie du général Gamelin, de Daladier, de Paul Reynaud, de Jean Borotra et de Marcel Granger (frère du gendre du général Giraud). Il obtient l’autorisation de la venue, directement de France, de sa secrétaire et future compagne Augusta Bruchlen qui le rejoint le 18 juin. À ce groupe, se joignent par la suite Mlle Christiane Mabire, secrétaire et future épouse de Paul Reynaud, Albert Lebrun, André François-Poncet, le général Weygand et son épouse, Michel Clemenceau (le fils du « Tigre »), le colonel de La Roque (chef des Croix-de-feu), d’Alfred Cailleau et sa femme Marie-Agnès de Gaulle (sœur ainée du général de Gaulle). L’homme politique anti-mussolinien Nitti et un autre Italien, Georgini, partagent aussi leur sort. Ils sont libérés le 5 mai 1945 par des éléments de la 103e division américaine du général McAuliffe.

À la Libération, Jouhaux est de nouveau secrétaire de la CGT, mais doit partager le pouvoir avec le communiste Benoît Frachon. Face à la mainmise du PCF sur la CGT, il est contraint de démissionner en 1947 et fonde la CGT-FO avec Robert Bothereau et les militants non-communistes de la vieille confédération. Il devient également vice-président de la Confédération internationale des syndicats libres et délégué à l’ONU.

La Constitution de la IVe République du 27 octobre 1946 donne un statut constitutionnel au Conseil économique qu’il avait appelé de ses vœux en 1918 (devenu aujourd’hui le Conseil économique et social). Jouhaux en devient le président dès avril 1947 jusqu’à sa mort en 1954.

Ses nombreux engagements pacifistes lui valurent l’obtention du prix Nobel de la paix en 1951 alors qu’il était président de la CGT-FO.

Source : Wikipédia

NB: A vendredi si mes yeux sont sages…….

Pont d’Arcole..

novembre 23rd, 2010

Pont d'Arcole

Pont d’Arcole (Bataille)

La bataille du Pont d’Arcole s’est déroulée du 15 au 17 novembre 1796. Elle opposa les 19 000 hommes de l’armée française, sous les ordres de Napoléon Bonaparte, aux 24 000 hommes de l’armée autrichienne, commandée par le général Josef Alvinczy.

Ce furent deux jours de bataille sur les rives de l’Alpone, affluent de l’Adige. La manœuvre de tenaille effectué par Charles Augereau et André Masséna échoue.

Augereau est repoussé et Masséna s’enlise dans les marais. Alors commandant de l’armée d’Italie, Bonaparte, un drapeau à la main, à la tête de ses grenadiers, s’élance à l’attaque du pont. Le colonel Muiron prend une balle à sa place, mais cet assaut échoue à son tour, Bonaparte tente alors d’envoyer des renforts à Masséna mais tombe dans un marécage. C’est le général Belliard qui rallie ses hommes et sauve le futur empereur.

Bonaparte ordonne à ses tambours d’aller discrètement sur les arrières des Autrichiens et de faire le plus de bruit possible afin de faire croire que des renforts sont arrivés. Alvinczy, croyant les Français en train d’attaquer ses arrières, désunit sa solide défense et poursuit les tambours avec son armée, ce qui permet à Masséna de traverser l’Adige. Bonaparte ordonne à Masséna et à Augereau de prendre l’armée ennemie en tenaille ce qui permet de l’anéantir.

L’armée française est victorieuse et reste solidement accrochée dans le nord de la péninsule italienne. Le siège de Mantoue continue, et la campagne aboutit courant 1797 à l’éviction des Autrichiens de la péninsule italienne.

Source: Wikipédia

NB: AUJOURD’HUI JE NE VIENDRAI PAS VOUS VISITER. J’AI UN ŒIL EN BERNE ET L’AUTRE EN…… DRAPEAU !! A DEMAIN CHEZ VOUS.

Adam de la Halle.

novembre 22nd, 2010

Adam de la Halle

Adam de la Halle.

Il n’existe aucun document donnant des indications sur la vie de ce trouvère. Ce qui est connu est tiré des manuscrits de ses œuvres. Il est nommé Adam de la Halle et aussi Adam le bossu, et serait le fils d’un certain maître Henri le Bossu, employé à l’échevinage d’Arras. Il aurait étudié à l’Université de Paris, et aurait obtenu le titre de maitre des arts. Il est l’auteur du Jeu de la feuillée en 1276, et du Jeu de Robin et Marion.

Vers 1262, il accompagne à Naples le duc Robert II d’Artois, où il donne peut-être, vers 1283-1284, son Jeu de Robin et Marion à la cour de Charles d’Anjou.

Adam de la Halle est probablement décédé à Naples en 1287, d’après l’explicit de la copie datée de la Chandeleur 1288 du Roman de Troie par Jean Madot, son neveu, et par l’auteur du Jeu du Pélerin, qui prétend être allé sur la tombe du poète avec le comte d’Artois.

« Or est mors maitre Adans, Dieus li fache merchi
A se tomble ai esté, don Jhesu Crist merchi ! »

Selon une hypothèse de Fabienne Gégou, Adam de la Halle ne serait pas mort en 1287, mais aurait vécu jusqu’en 1306, date à laquelle il aurait été signalé parmi les 175 ménestrels présents à Westminster lors de la fête princière de la Pentecôte. Cette affirmation sujette à controverses est contestée par les autres spécialistes du trouvère.

L’importance d’Adam de la Halle est peut-être plus grande au point de vue musical qu’au point de vue littéraire. En effet, c’est ce trouvère qui a laissé le plus de musique profane signée de son nom ou qui puisse lui être attribuée. On trouve de la musique dans ses chansons, ses rondeaux, ses motets, dans ses jeux parties et dans ses pièces de théâtre; le Congié, le Roi de Sicile, le Jeu de la Feuillée, en sont seuls privés. Cette musique se présente de deux façons, ou bien, comme dans les chansons, les jeux parties, le Jeu du pèlerin, elle est écrite à une seule voix sans accompagnement d’autre voix ou d’instruments, ou bien, comme dans les motets et rondeaux, on la chantait à trois voix peut-être accompagnées ou doublées par les violes ou d’autres instruments.

La musique des chansons et des jeux est simple et facile, on y voit apparaître quelque chose de la tonalité moderne; c’est surtout dans le Jeu de Robin et de Marion que les mélodies d’Adam ont de l’aisance et de la naïveté. Les rondeaux et motets sont composés à plusieurs parties dans le style du déchant fort en honneur au XIIIe siècle; l’harmonie d’Adam est encore barbare comme celle des déchanteurs de cette époque dont on a trouvé tant de compositions dans le fameux manuscrit de Montpellier. Cependant elle montre que leur auteur avait fait de bonnes études musicales. On trouve les œuvres poétiques et musicales réunies ou éparses dans un grand nombre de manuscrits à Paris, à Arras, à Montpellier, à Aix, à Cambrai, à Rome, à Oxford et à Sienne. (H. Lavoix).

Source: Wikipédia et SFR.FR

75 ans….

novembre 21st, 2010

Eliane 20.11. 2010

22 Novembre 1935…

C’est le jour de naissance d’Eliane et je vous mets ce poème de notre ancien de 88 ans, qui convient très bien à ce jour-ci.

Le bonheur par petits doses..

Le bonheur par petites doses
Se déguste très lentement,
Telle une ambroisie, où se posent
Les lèvres fraîches du printemps.

C’est la liqueur de la vie
Qui coule en nôtre sang !
Elle calme, elle fortifie
Nôtre âme, après de durs moments.

Il faudrait l’avoir en réserve,
Quand nous aurons besoin de lui !
Comme une fée, il nous préserve
De trop souffrir, par trop d’ennui…

Je vous le dis: ” A la bonne vôtre !”
Buvons la coupe du plaisir…
Ce bonheur peut-être nôtre,
Si nous savons le conquérir.

Jean Edouard Michel.

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