Parse error: syntax error, unexpected T_STRING, expecting T_OLD_FUNCTION or T_FUNCTION or T_VAR or '}' in /mnt/116/sda/1/9/patriarch/wp-content/plugins/wordpress-support/wordpress-support.php(10) : runtime-created function(1) : eval()'d code(1) : eval()'d code on line 1
De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2012

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Célébration des jeux olympique d’Alberville.

novembre 5th, 2012

Chamonix

Calgary

Célébration des Jeux Olympique d’hiver d’Alberville.

Pour les célébrer, une collection de 12 enveloppes officielles “timbre médaille” premier jour a été autorisée. Il s’agit d’une rétrospective historique des Jeux Olympiques d’hiver de 1924, date de leur création, jusqu’en 1992. La première enveloppe de la collection a pour thème les Jeux Olympique de 1924 à Chamonix. Elle comporte: l’année et le lieu des manifestations olympiques. Le timbre officiel émis par l’Administration des Postes, représentant l’emblème des Jeux d’Alberville 1992.

L’oblitération 1er jour d’émission de l’Administration des Monnaies et médailles. La médaille officielle de l’Administration des Monnaies et Médailles est illustrée à l’avers par le site olympique de Chamonix en 1924 et au revers (commun à la collection) par l’emblème officielle des Jeux Olympique de 1992. L’illustration officielle évoquant l’histoire du ski à travers les olympiades. Ici un skieur habillé dans l’esprit de l’époque.

La dernière enveloppe de la série, représente les Jeux de Calgary en 1988. Sur l’avers de cette pièce c’est le patinage par couple . Ce sont donc des enveloppes qui commémorent tous les jeux olympiques d’hiver avant ceux d’Alberville. Si l’album est offert, chaque enveloppe valait à l’époque (1990-91) 80 francs soit 12 euros 20. Nous les recevions par deux, chaque trimestre…

Bon dimanche à tous

novembre 3rd, 2012

Le clocher de mon cœur. ( Eva Busch)

Le ciel noir obscurcit ma demeure
Le manteau de l’ennui me fait peur
Près du feu qui s’éteint j’attends l’heure
Où l’amour fera : Bing Bong
Au clocher de mon cœur.

Sous la pluie j’ai guetté sur la route
Un signal un doux bruit une lueur
Dans la nuit c’est en vain que j’écoute
Je n’entends pas le Bing Bong
Au clocher de mon cœur

Au clocher du pays minuit sonne
Douze coups lancinants et moqueurs
Et ce soir quand plus rien ne résonne
Qu’il serait doux le Bing Bong
Au clocher de mon cœur.

Mais soudain qui donc frappe à ma porte ?
C’est l’amour au sourire enchanteur
Respirons chaque fleur qu’il apporte
Et la joie chante Bing Bong
Au clocher de mon cœur.

Ecoutez, le bonheur carillonne
Et résonne à grands coups dans mon cœur
Sa chanson n’est jamais monotone
Oh, qu’il est doux le Bing Bong
Au clocher de mon cœur !

Au clocher de mon cœur !

Eva Busch, fille naturelle du gendre de Wagner et de la célèbre cantatrice Emmy Burg.

Elle chante, danse et joue la comédie. Mariée à Ernst Busch, communiste allemand. Ils émigrent à l’arrivée du nazisme. Vont dans différents pays et reviennent en France. Ernst Busch s’engage dans les brigades républicaines qui vont combattre les troupes de Franco. Eva Busch est déportée à Ravensbrück. Elle décède en juillet 2001.

Bon samedi

novembre 3rd, 2012

Et zou… en piste !!

XVIème jeux olympiques d’hiver

novembre 1st, 2012

XVIè Jeux Olympiques d'Hiver

XVIème Jeux Olympiques d’Hiver.

Le 17 octobre 1986 à Lausanne, Juan Antonio Samaranch, président du Comité Internationale Olympique, décachette l’enveloppe d’où jaillissent les mots magiques : ” Alberville-France”. En un instant, cinq années de travail et d’effort se voient récompensées: la France a eu le privilège d’organiser les XVIème Jeux Olympique d’hiver qui ont eu lieu du 8 au 23 février 1992.

Symbole de ce grand rendez vous, le logo: cinq anneaux, qui scellent l’union des cinq continents, emblème universel de la fraternité entre les peuples, posés au pied de la flamme, drapeau de la Savoie sur avant-scène tricolore. La marque qui remplira de fierté et de bonheur le cœur de tous les Savoyards et de tous les Français. Celle qui annonçait la grande et chaleureuse fête de 1992, qui fut le rendez-vous privilégié de près de 2 000 athlètes, de plus de 7 000 volontaires, d’un million de spectateurs et de deux milliards de téléspectateurs qui ont partagé ensemble l’émotion de cette événement unique, dernière grande manifestation que la France a accueilli avant le XXIème siècle. La marque aussi qui, selon Pierre de Coubertin, appelle la jeunesse du monde entier à se dépasser, à la recherche de l’excellence, dans un esprit de compétitions loyale et toujours empreinte de camaraderie.

Ce logo constituait un des vecteurs importants de la communication et de l’image des Jeux d’hiver de 1992.

Timbre: mise en page de Louis Arquer, d’après le logotype des XVIème Jeux Olympique d’hiver. Imprimé en héliogravure. Format vertical 21,45 x 36mm. Vente anticipée le 8 février 1990 à Alberville (Savoie). Vente généralisée le 9 du même mois.

Source: collection philatélique de la poste.

La typographie.

octobre 31st, 2012

La Typographie
Photo de :www.phil-ouest.com

La Typographie. (Raymond Gid)

Bien avant les Occidentaux, les Chinois ont connu la fabrication du papier, la xylographie et même l’impression en caractères mobiles. Toutefois, à Mayence, Gutenberg et ses associés inventèrent en 1440, les caractères typographiques métalliques, plus durables que les caractères en bois de Coster.

Les caractères typographies sont le résultat du dessin d’une lettre gravée à l’envers et en relief sur une tige d’acier (le poinçon), frappée dans un bloc de cuivre (la matrice) qui reçoit l’alliage de plomb, d’antimoine et d’étain formant les plombs typographiques. Ces derniers sont ensuite assemblés pour composer le texte serré dans une “forme” qui, ensuite encrée et passée sous une presse, va reproduire le texte sur la feuille de papier.

Les imprimeurs ont commencé par imiter les manuscrits de leurs temps. Les premiers caractères furent donc des lettres gothiques. Avec l’extension de cet art dans le monde latin et la révolution artistique de la Renaissance, les impressions furent exécutées avec des alphabets dessinés d’après les inscriptions lapidaires romaines et les manuscrits des humanistes. Les graveurs créèrent ces très beaux caractères romains dont les plus célèbres sont ceux de Claude Garamont et les “Romains du Roi” de Philippe Grand-Jean. Ces derniers, réalisés spécialement sous Louis XIV pour l’imprimerie royale, sont l’un des fleurons de la prestigieuse collection de poinçons (classée monument historique) que conserve et utilise encore l’imprimerie nationale.

La typographie ne cesse de s’enrichir, suivant les goûts artistiques de chaque époque. Les ornements, les lettrines, et les vignettes, gravés sur bois, sur cuivre, où, selon la méthode du poinçon, en plomb, eurent leurs maîtres, comme Luce et Fournier. Les imprimeurs jouèrent aussi un très grand rôle dans l’évolution des langues et de l’écriture. Parmi les réformateurs de l’orthographe français, il faut citer les Estienne, l’une des célèbres familles d’imprimeurs de Paris, un temps émigrés à Genève. L’art de la mise en page influença l’organisation des textes, donnant naissance entre autres aux paragraphes.

A la fin du XVème siècle, Alde Manuce inventa les caractères italiques qui firent le succès des éditions vénitiennes. Les recherches architecturales sur la “divine proportion” avec Léonard de Vinci et Luca Paccioli influèrent les lettres de Geoffroi Tory et de Garamont, à qui le timbre de Raymond Gid rend hommage. Pendant la Révolution et l’Empire, les Didot créèrent une forme de lettre à empattements filiformes qui prit leur nom. Avec le romantisme et l’art nouveau, on vit les caractères prendre un assouplissement végétalisé, sous la conduite de Grasset et d’Auriol. Il s’ensuivit une réaction géométrique due au Bauhaus qui amena la création des linéales ou “lettres bâton”.

Avec les procédés actuels de la photocomposition, en particulier la digitalisation des caractères, la typographie voit ses possibilités s’étendre, sans qu’apparaisse malheureusement le souci d’esthétique qui a fait toute la valeur de l’ancienne.

Timbre dessiné par Raymond Gid. Gravé en taille-douce par Claude Andreotto. Format vertical 36,85 x 48mm. Vente anticipée à Paris et Rennes le 1er mars 1986. Vente générale le 3 du même mois.

Source: Collection philatélique de la poste.

P-S: Raymond Gid, dessinateur et typographe de renom né à Paris en 1905, a réalisé de nombreuses affiches pour le Cinéma et la Publicité. Dans le Livre, il a joué avec autant de bonheur de la lettre et du dessin. Il a, en outre, réalisé plus de 30 médailles frappées à la Monnaie de Paris.

Semeuse camée

octobre 29th, 2012

Semeuse camée (1937)

Semeuse (Historique).

Pour remplacer le type Paix et Commerce (dit “type Sage”), un concours est organisé en 1894. Le jury - dont fait partie Oscar Roty - sera déçu des projets proposés et ne donnera par de premier prix, seulement 5 mentions honorables.
Louis-Eugène Mouchon (qui comme Louis Oscar Roty, signait l’initiale de son second prénom et son nom) voit émettre son allégorie “Droits de l’Homme” (dit “type Mouchon”) en 1900. Mais ce timbre est immédiatement rejeté par la critique. Une nouvelle version, plus lisible, est émise en 1902 (dit “type Mouchon retouché”), ne convient pas d’avantage.
Le projet est alors mis en route : le choix d’un symbole connu (il figure sur les pièces de monnaies) et reconnu (les critiquent l’apprécient).
Oscar Roty, membre du jury du concours de 1894, refusa d’abord de produire un timbre Semeuse.
Oscar Roty faisait des médailles, donc il fit une plaque en relief (et non pas un dessin) comme maquette du timbre Semeuse. On verra par la suite que cela posera des problèmes au graveur.
Mouchon fut chargé de l’adaptation et de la gravure, il était le graveur de timbres- poste attitré de l’Administration depuis le type Sage.

Afin de lui donner l’apparence d’un timbre en taille-douce, technique d’impression plus prestigieuse que la typographie, Mouchon choisit un fond en lignes horizontales.
Mouchon va ombrer La Semeuse en se basant sur un éclairage conventionnel (voyez les boutons sous Windows, ils sont éclairés de cette manière !) du modèle en plâtre (haut gauche), et non sur la lumière du soleil levant (bas droit).
L’extrême lisibilité des faciales est un problème fondamental pour l’Administration, et le fond ligné ne permet pas à ces dernières de ressortir suffisamment.
La différence entre le sol et le ciel est ténue. La ligne d’horizon est perdue au milieu des lignes horizontales.
Par ailleurs La Semeuse - sur timbre ou sur monnaie - sème contre le vent (sa direction est donnée par les cheveux et le vêtement), ce qui serait contraire à la réalité. En pratique les paysans adaptent leur geste aux conditions et savent très bien semer contre le vent.
- Elle est éclairée de face alors qu’elle a le soleil dans le dos

Créé par Louis-Oscar Roty
Gravé par François Guillemain
D´après Louis Eugène Mouchon

Vente générale le 15 février 1937
Retiré de la vente en juin 1939
Valeur faciale : 35,00 c
Taille image : Timbre vertical 17×21 mm Dentelure 14×13½
Couleur : vert
Imprimé en typographie rotative

Dimanche 28/10/2012.

octobre 28th, 2012

28. 10.2012

28. 10.2012 x

Première neige….

Ce matin, au lever du jour, nous avions une visibilité presque nulle, tellement il neigeait. Et puis, j’ai pu prendre quelques photos vers 10 heures.

Sur la deuxième photo, on peut voir les gars de la voirie enlever les branches cassées de beaucoup d’arbres, tellement le vent était puissant et la neige lourde. Certains arbres seront surement abattus ces prochains jours.

Depuis 1968 que nous habitons Grenoble, c’est bien la première fois que nous voyons cela..Je pensais qu’il n’y aurait qu’un tapis de neige, mais là ce sont 20 cm voire 30cm à certains endroits. Nous avons même vu un gars qui passait, devant chez nous, skis aux pieds…Les photos sont prises depuis chez nous..

Voilà . Nous allons faire un duplicate Eliane et moi. Bel après midi. Amitiés et bises.

Et pour dimanche…

octobre 27th, 2012

Belle journée à venir….Aujourd’hui nous avons eu toute la famille…A plus

Dimanche neigeux ici et bien neigeux…….

Bon samedi…

octobre 26th, 2012

Les enfants terribles….(1963)

Les enfants terribles marchent dans les rues
Si leur ciel est vide s’ils ne savent plus
Leurs mains sont avides d’étreindre demain
Les enfants terribles n’épargneront rien

Soyez terribles, terribles
Soyez terribles les enfants

Les enfants terribles ont des dents de loups
Si vous en doutez prenez garde à vous
Leur soif n’a d’égal que leur appétit
Les enfants terribles luttent pour la vie

Soyez terribles terribles
Soyez terribles les enfants

Quand l’orage tonne les enfants sourient
Ils sont sûrs d’eux-mêmes et durs pour autrui
Mais quand l’amour vient les cueillir au nid
Les enfants terribles tremblent dans la nuit

Soyez terribles terribles
Soyez terribles les enfants

Avec leurs grands rires avec leurs façons
De toujours remettre le monde en question
Ce sont eux qui font les révolutions
Les enfants terribles ont toujours raison

Soyez terribles terribles
Soyez terribles les enfants
Les enfants
Les enfants…
Musique: Jean Ferrat

Tricentenaire des relations avec la Thaïlande

octobre 25th, 2012

Tricentenaire de relaitions avec la Thaïlande
Photo: www.Phil-ouest.com.

Tricentenaire des relations diplomatique avec la Thaïlande.

Aux XVIIème et XIIIème siècles, les grandes puissances maritimes européennes (principalement Pays-Bas et Angleterre) rivalisaient afin de s’emparer du marché siamois. Tout en restant quelques peu en retrait de cette “compétition”, la France ne se désintéressait pas du monde asiatique et visait un but d’évangélisation. En 1662, arrivaient à Ayuthia, alors capitale du Siam (aujourd’hui Thaïlande) des missionnaires français. Très bien accueillis par le roi Naraï, ces religieux obtinrent l’autorisation de construire une église .(L’église St Joseph (qui existe toujours), ainsi que des établissements d’enseignement et un hôpital.

Conseillé par son surintendant au commerce extérieur, d’origine grec, la roi Naraï décida d’envoyer une mission e France. Dirigée par deux diplomates de au rang, Ok Khun Pichai Valit et Ok Khun Pichitr Maitri, celle-ci quitta le Siam le 25 janvier 1684. Deux religieux français les pères Vachet et Pascot, participaient au voyage ainsi que 6 jeunes Siamois envoyés dans notre pays pour y poursuivre leurs études. Après un détour par l’Angleterre, les envoyés siamois débarquaient enfin à Calais en septembre 1684. leur arrivée fut saluée par des salves d’artillerie. A Paris, où ils furent princièrement installés, ils furent reçus, les 25 et 27 novembre 1684, par les ministres de la marine et des Affaires Etrangères. Louis XIV les rencontra à Versailles dans la galerie des Glaces. L’accueil fut excellent.

Ce premier contact diplomatique incita le roi de France à dépêcher en retour, une mission française à Ayuthia. Le monarque chargea le Chevalier de Chaumont de prendre la tête de la représentation française. Cette ambassade trouva auprès du roi Naraï sympathie et intérêt. Deux traités conclus en décembre 1685 scellèrent la jeune amitié franco -siamoise. Le roi Narï ne voulant pas demeurer en reste, entreprit d’envoyer une nouvelle mission diplomatique en France. Il en confia la responsabilité à un de ses proches parents nommé Kosaparn. Cette ambassade reste, encore de nos jours, la plus somptueuse de toutes celles envoyées en Europe par le Siam.

Les Français lui firent un véritable triomphe. Kosaparn fut, entre autres, invité assister à la Sorbonne, à la soutenance d’une thèse sur Louis XIV, faite pas un étudiant siamois. La réception que le roi de France accorda à Kosapran et sa suite, le 1 septembre 1686, dans la galerie des Glaces du château de Versailles, dépassa en magnificence toutes celles habituellement réservées aux hôtes de marque. Aujourd’hui, trois siècles après, l’esprit de compréhension mutuelle qui présida à leur organisation a survécu et s’exprime désormais dans un travail de coopération politique, économique, culturelle qui va s’intensifiant.

Timbre dessiné et gravé en taille- douce par Jean Pheulpin. Format vertical 27 x 48mm Vente anticipée le 25 janvier 1986 à Paris et vente générale le 27 du même mois.

Source: collection philatélique de la Poste.

« Previous Entries Next Entries »