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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2007» février

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Impala

février 8th, 2007


Impala, originally uploaded by patriarch38.

Symbole de légèreté, c’est l’un des meilleurs sauteurs d’Afrique.

L’impala est l’une des plus gracieuses antilopes connues. Seul le mâle porte des cornes, ce qui n’est pas de règle chez toutes les antilopes. Les cornes de l’impala mâle, en forme de lyre, sont recourbées d’abord vers extérieur, puis en avant dans leur tiers supérieur. Ces cornes en forme de S mesurent de 40 à 90 centimètres. On rencontre cet animal dans diverses régions d’Afrique, mais il se tient toujours dans les zones de savane boisée, où des étendues de graminées alternent avec des fourrés de buissons épineux et des bosquets.

L’impala mesure de 1,15 à 1,45 mètre de long et environ 90 centimètres au garrot pour le mâle et 80 pour la femelle. Le poids du mâle va de 53 à 75kg et celui de la femelle de 40 à 55kg. Sa longueur de vie est de 18 ans environ. Les deux sexes ont une robe d’un brun rougeâtre sur le dos et beige sur les côtés. Le ventre de l’impala, de même que ses lèvres et sa queue, est blanc. Il faut aussi mentionner leurs lignes noires uniques à chaque individu au bout des oreilles, sur le dos de la queue et sur le front. Ces marques noires sont très utiles aux impalas, puisque ce sont ces marques qui leurs permettent de se reconnaître. Ils possèdent, en plus, des glandes sécrétant des odeurs, sur les pattes avant et sur le front, ces odeurs, bien entendu, permettent aux individus de l’espèce de se reconnaître entre eux.

La présence d’eau est indispensable, et on ne voit guère d’impalas loin d’un point d’eau. Pendant la saison sèche, ces antilopes se voient souvent contraintes d’entreprendre de longues marches pour aller s’abreuver. Au contraire, lorsque l’herbe est haute, tendre et succulente, les impalas éprouvent moins le besoin de se désaltérer. C’est un animal diurne.

Pendant une grande partie de l’année, les mâles forment de petites hardes et vivent séparés des femelles, qui se réunissent en troupeaux parfois importants, avec les jeunes qui restent avec leur mère jusqu’au début de leur seconde année. A l’époque du rut, au début de la saison sèche, les mâles rejoignent leurs compagnes pour s’accoupler. La gestation est assez lente, 204 jours environ, ce qui fait que les petits naissent au début de la saison humide, précisément au moment où l’herbe est tendre et abondante. La femelle prendra soin de nourrir et laver son petit pendant 5 mois. Avant l’accouplement, le mâle renifle l’urine de la femelle, pour déceler la présence d’œstrogène. Si le taux est bon : (un vrai toubib ce mâle) et s’il est en forme pour copuler, il commencera à rugir et approchera la femelle, tout en bougeant sa tête du haut vers le bas, pour lui faire savoir ses intentions. La femelle n’a d’autre choix que de se soumettre.

En cas d’alerte, un troupeau d’impalas se livre à une série de bonds désordonnés, destiné à troubler l’ennemi, qui est en général : lion, léopard, guépard, chien sauvage ou hyène.
Il est capable de faire des sauts de 8 à 9 mètres de longs et de 2 à 3 mètres de haut. Jusqu’à ce jour, le record mesuré en longueur est de 12 mètres.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Espèce : Aepyceros melampus.

Chirurgien zébré

février 7th, 2007


Chirurgien zébré, originally uploaded by patriarch38.

Ses dents sont tranchantes comme des rasoirs.

Le chirurgien est un des plus beaux poissons parmi les récifs coralliens des mers chaudes. On en connaît plusieurs dizaines d’espèces, qu’il est extrêmement difficile de classer de façon satisfaisante. En effet, ces poissons changent de couleur au cours de leur vie ; certains chirurgiens présentent même 3 colorations différentes selon leur âge.

On ne se lasse jamais d’admirer les évolutions des chirurgiens dans un aquarium, dont ils constituent le plus bel ornement animé. (Mais ce n’est pas mon cas. Je préférais les voir dans leur élément naturel). Il existe des espèces d’un bleu vif, qui se déplacent en bancs offrant un spectacle féerique dans les hauts-fonds de l’ océan Indien et du Pacifique.

Le chirurgien zébré, le « Zebrasoma veliferum », qui est illustré au dessus, est propre à l’Océan indien et aux atolls coralliens du Pacifique occidental. C’est l’un des plus somptueux représentants du groupe. Les chirurgiens ont des dents solides et tranchantes comme des rasoirs. Ils s’en servent pour arracher des fragments de corail. Leur menu consiste en algues et en animalcules, (animal microscopique), qu’ils trouvent dans le corail.

La particularité de ces poissons est la présence de deux sortes de lames, ou lancettes acérées, implantées dans le corps près de la base de la nageoire caudale. Ces lancettes acérées, très tranchantes, ont valu leur nom de chirurgien aux poissons qui les possèdent. Ce sont des armes défensives et offensives, comparables au dard des raies. Le chirurgien sait fort bien s’en servir pour infliger de terribles blessures aux poissons rivaux.

Quelques espèces de chirurgiens sont capables de changer de couleur en l’espace de quelques minutes, c’est pourquoi on les appelle aussi…. « poissons-caméléons ». C’est un ovipare. Biologie, mœurs et reproduction encore inconnue, car si ce poisson vit bien en aquarium, il ne s’y est encore jamais reproduit. Il n’aime sûrement pas la captivité. La longueur adulte, jusqu’à 30 centimètres, il faut alors prévoir un aquarium conséquent.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Acanthuridés ; Espèce : Zebrasoma veliferum.

Ibis à cou de paille.

février 7th, 2007


Ibis à cou de paille., originally uploaded by patriarch38.

Il est l’ibis d’Australie et de Tasmanie.

Beaucoup moins dépendant de la présence de l’eau que son cousin de couleur blanche, le « Threskiornis molucca », l’ibis à cou de paille va souvent loin des marécages pour chercher sa nourriture et on le voit dans les champs et les prairies. Très sociable, il se tient généralement par couples, ou en groupes.

Il niche en colonies installées dans la végétation, au milieu des marais. Le nid est une plate-forme obtenue en courbant des plantes palustres et en y ajoutant des roseaux ou des branches. Les œufs, de 3 à 5, de couleur blanche, mate, sont pondus entre septembre et décembre dans la plupart des cas, mais on en a trouvé aussi toute l’année. L’important est que le plan d’eau ne soit pas à sec. L’ibis à cou de paille prend sa nourriture en enfonçant le bec dans l’eau, la vase ou parmi les touffes d’herbes.

Il mange des criquets et autres insectes, des crustacées, des petits poissons, des amphibiens et plus rarement des mammifères et des oiseaux. Cette alimentation très variée résulte de la fréquentation d’habitats forts différents.

En vol, l’ibis à cou de paille adopte la formation en V, ou se tient sur une ligne. Le bec et le cou sont tendus et les battements d’ailes alternent avec des glissades en plané. L’oiseau dort et se repose dans les arbres. Sa voix est un grognement qu’il fait entendre quand on le dérange ou qu’il se querelle avec ses voisins.

Le plumage de la femelle est semblable à celui du mâle, mais les immatures sont plus ternes et n’ont pas les plumes jaunes et raides, qui ont valu son nom à l’espèce. L’ibis à cou de paille est seulement un visiteur accidentel en Nouvelle-Guinée où il ne niche pas. Longueur adulte 70 cm. Son envergure est de 112 à 120 cm, son poids varie de 1250 à 1500 grammes et sa longévité de 20 ans.

Classe : oiseaux ; Ordre : Ciconiiformes ; Famille : Threskiornitridés spinicollis. Espèce : Carphibis spinicollis

Le Gaur

février 6th, 2007


Le Gaur, originally uploaded by patriarch38.

Le gaur est le plus grand des buffles sauvages.

Le gaur et véritablement un animal sauvage impressionnant et majestueux. Il vit en plusieurs régions d’Asie tropicale et affectionne spécialement les forêts de montagne.

C’est un animal sociable qui se tient en petits groupes, formés principalement par les femelles accompagnées de leurs veaux. Le gaur est assez sédentaire et reste toute l’année dans son territoire particulier. Néanmoins, on peut observer parfois que des troupeaux voisins se rejoignent de temps en temps pour une courte période. C’est surtout le cas lorsque la pâture est très abondante, dans le fond de vallée par exemple.

Chez le gaur, il semble que ce soit une femelle expérimentée qui dirige le troupeau, du moins en est-ce toujours une qui monte la garde figée sur un monticule, pendant que les autres animaux broutent paisiblement. A la moindre alerte, la sentinelle pousse un bref mugissement, qui provoque aussitôt une débandade générale en direction de la forêt. De robe noire, ayant des cornes larges et un fanon chez les mâles, il a le bas des pattes blanchâtre.

A l‘époque de la reproduction, les mâles, qui vivent isolément dans la forêts, sans trop s’éloigner des troupeaux de femelles, rejoignent celles-ci pour l’accouplement. Il arrive alors que de violents combats se produisent entre mâles rivaux pour la possession d’une femelle. Le vaincu est chassé et doit rechercher un autre troupeau pour y tenter sa chance.

Depuis des temps immémoriaux, le gaur a été domestiqué par les indigènes de l’Assam, en Birmanie septentrionale. Après 9 mois de gestation, la femelle met bas d’un seul petit. La longueur corporelle adulte est de 2 à 3 mètres et la queue est de : 60 à 90 centimètres. Hauteur au garrot : 2 mètres environ, pour un poids pouvant atteindre 1 000 kilogrammes. Le tigre ayant presque totalement disparu de l’Asie, et comme il ne craint aucun autre animal, pas même l’éléphant, son seul et unique prédateur, reste, comme presque toujours, l’homme. Il est chassé, comme le fut le bison, à une certaine époque pas très lointaine.

La forme domestique, bien plus petite, est appelée « gayal » (déjà sur le blog), et les gens l’élèvent à titre de symbole hiérarchique et comme animal de sacrifice, plutôt que pour sa chair et son lait. Ils n’y en auraient plus que 20 000 milles dans tous ces pays d’Asie.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Espèce : Bos gaurus.

Hippocampe moucheté

février 5th, 2007


Hippocampe moucheté, originally uploaded by patriarch38.

C’est le mâle qui porte ses petits dans une poche ventrale.

L’hippocampe est probablement le poisson le plus extravagant et compte parmi les plus populaires habitants de la mer. Il doit cette popularité à son aspect étrange et à sa ressemblance avec un cheval de jeu d’échecs. D’où son nom qui vient du grec : hippos =cheval et kampe = sinuosité.

Il existe de nombreuses espèces d’hippocampes, qui se ressemblent toutes beaucoup par leur forme, mais on note des différences sensibles dans la taille et surtout la coloration. Certaines espèces arborent des couleurs très vives ; d’autres possèdent la faculté de changer de teintes, et comme le caméléon, de s’adapter au milieu environnant. Ce sont des poissons peu mobiles, qui nagent lentement en se propulsant au moyen de leur nageoire dorsale, laquelle se meut en vibrations rapides. La longueur d’un adulte va de 15 à 20 centimètres. L’hippocampe possède une paire de nageoires pectorales et une seule nageoire dorsale.

Leur bouche tubulée ne leurs permet pas de happer de grosses proies, aussi mangent-ils des créatures planctoniques ; il aspire littéralement ces minuscules animaux et cela d’une distance de 3 à 4 mètres.

La reproduction des hippocampes est l’une des plus étranges qui soient. Le mâle parade devant la femelle et le couple s’enlace, tandis que le mâle vide sa poche ventrale de l’eau qu’elle contient, en se contorsionnant. La femelle insère ensuite son long tube de ponte dans la poche paternelle et y dépose ses œufs. C’est donc au mâle qu’incombe le soin d’incuber les œufs, dans son propre corps, jusqu’à leur éclosion.

Lors de la naissance des alevins, après 30 à 38 jours d’incubation, la poche qui s’était refermée entre-temps, s’ouvre et livre passage à une nombreuse progéniture de 100 à 200 alevins de 1,2 centimètre de long. Le premier souci des petits hippocampes est de monter à la surface pour aspirer de l’air et en emplir leur vessie natatoire.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Gastérostéiformes ; Famille : Syngnathidés ; Espèce : Hippocampus guttulatus.

Les tribulations….d’un métallo.

février 5th, 2007

Délégué…….( Il faut être fou, pour le faire !!!)

Les élections de délégués du personnel ont eu lieu. Nous avons sur les 20 sièges de titulaires et les 20 sièges des suppléants : 12 titulaires élus et 11 suppléants. Fo et la CFDT se partageant les autres sièges.

Me voici donc élu, avec tous les droits afférents à la charge. 15 heures de délégation et 10 autres, comme membres du CHS (comité d’hygiène et sécurité). Le travail sur le tas peut commencer. Dans tous les services, les revendications se déposent et les gars du bureau vont aider les nouveaux délégués à les déposer. Certaines sont réglées ou du moins débattues directement avec l’ingénieur du service.

Dans mon propre service, nous avions mis, uniquement, 3 revendications sur le cahiers prévu à cet effet. 1er : attribution d’un vestiaire digne de ce nom, en remplacement de notre baraque en tôle toute pourrie. Depuis plus de 6 mois, nous avions abordé la question avec le chef de tout le service entretient, qui était, d’ailleurs, le délégué des cadres. Je lui ai donc demandé une entrevue pour débattre de ce problème. Il y avait, à quelques mètres de notre baraque, un bâtiment en dure sur deux étages, désaffecté, et qui pouvait être adapté à nos besoins.

Je suis donc allé avec le délégué suppléant du service, à ce rendez-vous. (Je ne suis jamais allé seul à un rendez vous avec un chef de service ou un membre de la direction. Un principe recommandé à tous nos délégués). Et là, nous avons eu la surprise de voir, que non seulement, ce bâtiment nous avez été alloué, mais qu’en plus, les plans étaient déjà tirés. Au rez-de-chaussée : Bureaux, magasin outillage collectif, une pièce avec de petites armoires pour y déposer notre outillage personnel, ainsi que les sabots et les vêtements de récupération de l’armée (pour les travaux à la chaleur). A l’étage : Vestiaire spacieux, salle de douches et lavabos. W-C. Et un réfectoire avec lavabos, le coin avec réchauds à gaz pour les gars voulant faire une omelette ou un steak pour le casse croûte, sans oublier quelques bains-marie pour ceux qui apportaient la gamelle. Ce fut le plus beau vestiaire de toute l’usine. Les transformations furent faites par des compagnons du service, et faites moi confiance, le travail y fut soigné.

2ème revendication : la prime de condition de travail. Prime qui nous était alloué, comme son nom l’indique, lors de travaux très..très pénibles. Décrassage des fours Pits ou de la chambre à crasse des fours Martin, ou encore pour la réfection d’un trou dans la voûte d’un de ces fours, alors qu’il était toujours en service. Et aussi pour la démolition des fours. Uniquement en ces cas là.

Comme ce fut, ma première « grosse bataille », je vous la raconterai la prochaine fois. Peut-être demain, si je n’arrive toujours pas à mettre de photo sur le blog.

En construction

février 3rd, 2007

Pendant quelques temps le blog sera en construction, mise à jour oblige…

Soyez patient, il vous reviendra encore plus beau et tout pimpant!

Oie ou Ouette d’Egypte

février 3rd, 2007


Oie ou Ouette d’Egypte, originally uploaded by patriarch38.

Elle vole, nage et plonge, mais sait aussi grimper aux arbres.

Espèce apparemment très prospère, l’oie d’Egypte porte un nom quelque peu trompeur ; car en réalité, sa distribution dépasse largement le cadre qu’il évoque. On la trouve au bord de toutes les eaux douces : lacs, rivières, marais, étangs, où elle réside par couple ou en famille.
L’oie ou l’ouette d’Egypte a la tête, le cou et l’abdomen gris chamois. Une ligne brune par du bec et entoure l’œil en une large bande foncée. Une autre ligne brune va de la base du cou en remontant vers la nuque. Les couvertures sous-caudales sont couleur cannelle. Les parties supérieures sont en général brun foncé. Les scapulaires sont brunâtres, la queue et le croupion sont noirs. Le bec et les pattes sont rose foncé, les yeux sont bruns. L’oie d’Egypte présente deux phases de coloration, l’une où le dos est brun-gris, et l’autre où il présente une couleur brun-roux. Son maintient est plus droit que chez la plupart des anatidés.
Combative, bruyante, cette oie se dispute souvent avec ses congénères et ne passe pas inaperçue. L’oie d’Egypte vit dans les zones humides tropicales et subtropicales, dans les milieux ouverts, prairies, terrains herbeux, incluant des hautes terres jusqu’à 4000 mètres. Elle est plutôt sédentaire, mais on note quelques mouvements dépendant de la disponibilité de l’eau. Occasionnellement, elle peut migrer vers le nord du Sahara pour hiverner en Algérie et en Tunisie, parfois par troupe de plusieurs centaines d’oiseaux.
Son genre de vie est en majeur partie terrestre ; mais elle est en fait très bien douée sur le plan locomotion, elle nage habilement, peut plonger, et vole très correctement, bien que semblant pesant, plus à la façon d’une oie que d’un canard. Elle est, de plus, capable de grimper aux arbres, et d’ailleurs y passe la nuit.
La saison de nidification commence au printemps du lieu où elle se trouve, ou à la fin de la saison sèche. Son nid se trouve fréquemment dans un trou d’arbre, ou dans une fente de rocher, on l’a également observé dans d’anciennes aires de rapaces et à l’intérieur de la grosse boule construite par l’ombrette. Enfin, il est, parfois, installé tout simplement par terre dans les joncs. Il se compose d’herbes et de morceaux de roseaux rembourrés avec du duvet.
La femelle y dépose de 5 à 11 œufs couleur crème. L’incubation dure environ28 à 30 jours assurée par la femelle. Les naissances sont synchronisées. Les poussins sont élevés par les deux parents. Ils ont leur plumage complet au bout de 60 à 75 jours et restent avec leurs parents quelques semaines (6 à 8 ). Quand le nid est en hauteur, les poussins doivent avoir le courage de sauter dans le vide. Les parents ne les y aident pas, mais se tiennent en bas et les exhortent par leurs cris à faire le saut, parfois vertigineux. Adulte, sa taille est de 71 à 72 centimètres avec une envergure de 138 à 155 centimètres pour un poids maximum de 2 kilogrammes. La longévité étant de 25 ans.
Elle se nourrit d’herbes et de semences, feuilles et tiges de plantes, de graines, pommes de terre et autres légumes. Elle consomme aussi des vers et des criquets. Ses principaux prédateurs sont : les milans, grands lézards, serpents, mammifères divers et même tortues, qui mangent les œufs et captures les oisons. Les crocodiles le sont pour les adultes. Prolifique, elle n’est pas en danger de disparition.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anatidés ; Espèce : Alopochen aegyptiacus.

Ours brun

février 2nd, 2007


Ours brun, originally uploaded by patriarch38.

C’est l’animal le plus populaire d’Europe, enfin…presque !

De tous les mammifères de notre continent, l’ours est sans doute le plus populaire. Chacun le connaît bien et sa disparition de nos contrées est déplorée par les amis de la nature. Il subsiste encore dans les Pyrénées et dans les Alpes d’Italie, les Carpates et la Russie.
C’est avec l’ours polaire le plus grand carnivore au monde. Sa taille varie cependant dans de larges mesures selon les régions, et c’est en Alaska qu’il atteint son plus grand développement (2 mètres 50). L’ours brun est un animal solitaire, qui vit tout au plus par couples. Nomade, il se tient rarement au même endroit, mais occupe un vaste territoire englobant plusieurs vallées, il se déplace sur des distances considérables en une seule journée.
Le régime alimentaire de l’ours brun est très varié et consiste aussi bien en végétaux les plus divers qu’en proies animales. Il chasse et pêche adroitement, mais se repaît aussi de charogne, et il sait fort bien déterrer les taupes et les campagnols. Il s’attaque parfois au petit bétail et détruit les ruchers pour se régaler en miel.
Bien qu’il est l’air débonnaire et bon diable, l’ours brun est un animal extrêmement dangereux, qui peut changer d’humeur d’une seconde à l’autre sans trahir ses sentiments par une quelconque mimique perceptible.
La femelle met bas de 2 à 3 petits, après une gestation de 7 à 8 mois. Les oursons ouvrent les yeux entre le 28ème jour et le 35ème. La durée de l’allaitement est de 3 à 4 mois. Les jeunes deviennent indépendants à 2 ans, et atteignent leur maturité sexuelle entre leur 3ème et 4ème années. Adulte, la taille varie de 1 mètre 50 à 2 mètres 50 selon les régions, la queue est de 6 à 14 centimètres. La hauteur au garrot de 90 à 110 centimètres, pour un poids variant de 90 à 350 kilogrammes. La longévité est de 30 à 35 ans.
Lorsque survient la mauvaise saison, l’ours brun se retire dans un abri sous une roche, dans une caverne, ou même dans la souche creuse d’un grand arbre, pour s’y assoupir et hiberner. Il ne tombe pas en léthargie comme le loir ou la marmotte, mais dort calmement tout en consommant les fortes réserves de graisse accumulées en été.

Classe : Mammifères ; Ordre : Carnivores ; Famille : Ursidés ; Espèce : Ursus arctos.

Grue à cou blanc

février 1st, 2007


Grue à cou blanc, originally uploaded by patriarch38.

Commune, il y a 130 ans, aujourd’hui elle se raréfie. Elles ne seraient plus que 5 000.

Répandue en Transbaïkalie et du nord-est de la Mongolie jusqu’au pays de l’Oussouri ainsi que dans la région traversée par le fleuve Amour, cette grue est migratrice et va passer l’hiver en Chine orientale (jusqu’au Yang-tseu-kiang), au Japon (où elle arrive à la fin octobre pour en repartir en mars) et en Corée. La zone démilitarisée entre les deux Corée étant une réserve dite (Réserve de la paix), qui permet à toutes une variété d’espèces animales ( mammifères,comme oiseaux) d’avoir un lieu protégé (Je dirai même militairement d’un côté comme de l’autre), inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Au printemps, cet oiseau arrive sur ses lieux de nidification alors que le sol est encore couvert de neige et que règnent des froids intenses. D’abord en petits groupes de 5 à 15 sujets, elles se répartissent en couples vers la mi-avril, au moment où la glace commence à fondre.
Elle ne recherche pas toujours les grandes étendues où la vue est bien dégagée comme le font les autres grues, mais va en des vallées dont le fond est occupé par une vallée riveraine au sous-bois épais.
On considère actuellement que c’est l’une des plus rares (il en resterait actuellement 5 000) parmi les grues asiatiques, en raison de sa distribution limitée et de ses effectifs réduits. Il y a encore 130 ans, elle passait pour commune aux yeux des premiers explorateurs de la Sibérie orientale.
Moins craintive que la grande grue blanche, elle se laisse approcher, à moins de quelques centaines de mètres en terrain découvert. Sa voix ressemble à celle de la grue cendrée et, elle « danse » de la même façon, surtout au lever et coucher de soleil. Plusieurs couple se réunissent pour ces cérémonies, mais seul, l’une d’elle, saute en l’air devant les autres qui la regardent. La femelle pond 2 œufs qu’elle couvera 31 jours. La taille d’une adulte est de 1 mètre 10 cm pour une envergure de 2 à 2métres 3o

Classe : Oiseaux ; Ordre :Gruiformes ; Famille : Gruidés ; Espèce : Grus vipio.

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