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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Poisson-lime et non gorgone !!

mars 24th, 2009

Gorgone

Photo exécutée d’une diapo, grâce au scanner. (Les diapos datent de plus de 40 ans)

Je pense que c’est une gorgone. Voici une description de gorgone prise ( je ne suis pas sur que ce soit celle-ci , dont il est question), sur le net.

La gorgone ou corail corné, corail écorce fait partie de l’ordre des cnidaires polypes coloniaux sessiles. L’ordre compte environ 1200 espèces, qui se rencontrent dans toutes les mers tropicales.

La colonie est en forme d’éventail, souvent de couleurs vives (rouge, jaune, violet ou brun. Le squelette est formé d’une substance, la gorgonine.

La colonie de gorgones ne s’attache pas, à la différence des coraux, aux substrats durs, mais sur un fond de sable ou de boue. Chaque polype possède 8 tentacules qui filtrent les planctons et les consomment.

PS= Aux dernières nouvelles, misent pas Siratus dans les commentaires, ce n’est pas une gordone, mais un poisson-lime, dont on voit la bouche sur la droite !!!!

Je me doutais qu’il y avait comme une erreur monstre dans mon appréciation de la “chose”.

Toutes mes excuses  !!!!!

Grive litorne.

mars 23rd, 2009

Grive litorne

Réunies en colonies, elles se défendent avec efficacité.

Cette visiteuse hivernale parvient en Europe occidentale au mois d’octobre, et nous quitte à la fin de février. Elle niche cependant çà et là, notamment en moyenne montagne, mais semble étendre progressivement son air de distribution. C’est ainsi qu’elles colonisent, depuis quelques années, les collines proches des Vosges. La litorne, vulgairement appelée ‘’tia-tia ‘’, par rapport à son cri le plus fréquent, diffère des autres grives. Elle est de la taille du merle noir (26cm), elle a une couverture tricolore, la tête et le croupion gris- cendré, le dos brun et la queue noire ; la poitrine marron- roux est tachetée de points noirs.

C’est un oiseau sociable qui vient en grandes troupes dans nos campagnes et qui niche en petites colonies formées de 10 à 20 couples environ. Le site adopté par ces assemblées est un bosquet, une ligne de peupliers, une lisière à proximité de prairies ou seront pris les repas.

Alises, baies de genévrier, de houx, d’aubépine et d’églantier sont, avec les pommes tombées, les aliments consommés en hiver. Au printemps, le menu se compose surtout d’insectes, de mollusques et de vers.

Construit pas la femelle au mois d’avril, le nid est situé dans l’enfourchure d’un arbre, entre 6 et 1 mètres de haut La femelle y dépose 5 œufs qu’elle couvera seule pendant 13-14 jours. Par la suite, le mâle participe à la becquée des petits, la durée des petits au nid est de 14 jours. Adultes, ils feront 26 cm pour une envergure de 42 cm et un poids de 100 grammes.

Aux environs du site qu’ils occupent, les membres de la colonie réagissent vigoureusement contre l’intrusion des rapaces diurnes et de la corneille noire. Ils se précipitent sur ces gros oiseaux en lançant sur eux, avec précisions, des déjections qui les mettent en fuite. La grive défend sa nichée contre tout intrus, et les bagueurs le savent très bien !!!

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille Turdidés ; Genre & Espèce : Turdus pilaris.

Couleuvre d’Esculape.

mars 22nd, 2009

Couleuvre d'Esculape

Elle était vénérée des Romains.

La couleuvre d’Esculape, largement répandue dans toute l’Europe méridionale, est l’un des serpents les plus communs dans les régions chaudes lui convenant. Les Romains la vénéraient, car elle symbolisait Esculape, leur dieu de la médecine. On gardait des couleuvres d’Esculape dans les temples, où nombreux étaient ceux venus les questionner sur la nature ou la guérison de leurs maux recevaient les réponses par l’intermédiaire des prêtres. Un serpent a, de toujours, été muet, mais…pas inopérant.

On supposait que la distribution géographique initiale de cette couleuvre a été altérée par les Romains qui auraient emmené dans leurs colonies ces reptiles sacrés en en laissant échapper quelques uns, ici ou là. La répartition géographique se veut à l’heure actuelle, autrement scientifique.

La couleuvre d’Esculape vit dans les endroits ensoleillés, au sol sec, couvert de plantes basses et de broussailles, mais également dans les clairières des forêts de feuillus. Grimpeuse habile quoique un peu lente, elle aime à s’exposer au soleil, sur les buissons et monte parfois assez haut dans les arbres, car elle est endurante.

C’est un serpent très vif et sa fuite est rapide. Assez peu agressive, elle mord néanmoins cruellement et de manière rapide ; sa morsure est sans danger pour l’homme. Si dans la nature, elle ne vit pas au bord de l’eau, elle peut se baigner, en été, pour se rafraîchir.

La couleuvre d’Esculape se nourrit de rongeurs, d’insectivores et de lézards, parfois de passereaux et de leurs pontes. Elle tue ses proies par constriction, comme les boas ; mais en les avalant toujours, par la tête. La femelle pond de 6 à 20 œufs et l’incubation dure 2 mois. Les œufs augmentent de volume durant l’incubation. La longueur d’un petit à l’éclosion est de 19 à 25 cm. Sa longueur adulte peut atteindre 2 mètres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Colubridés ; Genre & Espèce : Elaphe longissima.

Anecdote………

mars 21st, 2009

Homonyme et homographe

Petite histoire, qui peut arriver à n’importe qui.

En 1974 je crois, je suis allé faire un chantier à la centrale de Pierrelatte. Un autre compagnon m’y accompagnait, Ramon un catalan, mort depuis quelques années de l’asbestose.

Ramon avait retenu nos chambres par téléphone et en donnant nos noms bien sûr. Nous sommes partis de Voiron vers 11 heures, avons déjeuner en cours de route, puis nous sommes rendus directement à la pension.

Quand nous sommes rentrés dans le restaurant, la patronne s’en vient vers moi et me salue par mon nom. J’étais sidéré car je n’avais jamais pris pension en ce lieu. De plus, elle ajoute ‘’ Vous ressemblez beaucoup à votre père.’’ Et moi, je suis là, tout couillon, sans pouvoir sortir quoi que ce soit, tellement j’étais soufflé. Je savais très bien que mon père n’était jamais, en France, sorti de la Meuse, Moselle et Meurthe & Moselle.

Sorti de ma stupeur, je lui demande ‘’ Où avez-vous connu mon père. ‘’Mais pardi, en Afrique du Nord, où il tenait un petit cirque. Il est venu d’Italie et a fondé un cirque. Je pense que vous êtes resté en France, lors d’une de ses tournées ? C’était un gars qu’il ne fallait pas trop houspiller. ‘’

‘’Excusez moi madame, ce n’est pas de mon père que vous me parlez, mon père était dans le bâtiment. ‘’- ‘’Alors là, c’est incroyable vous lui ressemblez comme deux gouttes d’eaux. Excusez moi. ‘’- ‘’Il n’y a pas de mal, madame. ‘’. Nous avons déposé nos valises et sommes partis à la centrale y déposer nos caisses à outils et le matériel de chantier que nous avions dans le break. Le temps de faire les passes d’entrée (On ne rentre pas comme dans un moulin dans ces centrales thermiques), de nous trouver un vestiaire, nous sommes revenus vers l’heure du souper. Quand nous sommes redescendus, après notre douche, pour nous mettre à table, le patron était là.

Il vient nous saluer avec le sourire et me dit ‘’Vous savez, je comprends que ma femme se soit tromper, car vraiment vous ressemblez à cet homme, avec 20 ans de moins. ‘’ J’en ai appris beaucoup sur ces homonymes pendant la semaine de séjour. C’étaient des durs à cuire, paraît- il. N’ayant pas peur de la castagne, car sensibles des pieds.

En 2003, quand j’ai eu un PC, je me suis dit ‘’Aller mon vieux, va voir si tu trouves ce gaillard. Et mon dieu, je l’ai trouvé assez facilement. Aux USA, où un de ses fils, Jean, a pris la suite. Toute la saga de la famille est sur internet. Italiens venus en Afrique du Nord avec un petit cirque, puis lors des événements, ils émigrent aux USA. Le cirque est devenu assez important puisque Jean s’est associé avec d’autres personnes. Le cirque sillonne les USA et le Canada. Cependant, une partie de la famille, avec Alain, a voulu garder un petit cirque traditionnel. Ce qui fait, qu’il y a deux cirques composés des membres de cette famille.

Ci-dessus, avec le lion, Jean à ses ‘’débuts’’ et si dessous Jean producteur, quelques années plus tard, avec sa fille Erika qui présente un numéro de chevaux en liberté. Quand je mets, côte à côte la photo d’Erika et une photo de ma sœur Anna vers le même âge, il y a aussi de la ressemblance.

Lors de mes recherches généalogiques, je me suis aperçu que tous mes aïeuls (4 générations) avaient eu un minimum de 9 enfants, alors…..qui sait….lointains membres de la famille ou…… non !!!

Quelques années plus tard avec sa fille écuyère

Zancle cornu.

mars 20th, 2009

Zancle cornu

Cette photo est aussi scannée d’une diapo !!

A quoi peut bien lui servir la longue queue ornant sa nageoire dorsale ?
Le zancle est bien l’un des plus remarquables poissons vivant dans les récifs coralliens. Sa forme et ses couleurs ont inspiré beaucoup d’artistes polynésiens. Il mesure environ 20 cm et porte une belle livrée noire, jaune et blanche. Le zancle possède un très long filament au bout de sa nageoire dorsale. Des films documentaires sur la vie sous- marine ont tous montré des zancles et on ne peut que s’extasier de la grâce et de l’effet irréel que produit un banc de zancle (rarement) nageant entre les massifs coralliens.
Ce n’est pas un poisson de surface, il vit à une certaine profondeur, au cœur des lagunes. On le trouve en abondance dans les canaux d’eau vive traversant les barrières de récifs. Même si on le trouve en groupe, il est le plus souvent solitaire, et il fait preuve d’une certaine agressivité envers ses congénères.
Le zancle se nourrit de minuscules particules de corail. Ses mâchoires étroites garnies de très petites dents placées à l’avant fonctionnent à la manière de brucelles.(pinces fines, à ressorts, pour saisir de très petits objets) On appelle ses poissons des microphages, par opposition aux espèces de poissons munies de bouches s’ouvrant largement, qui portent le nom de macrophages, car elles avalent de grosses proies.
Appelé aussi : enseigne, idole maure ou mauresque, en Polynésie, le zanclus cornutus est appelé ‘’para- tore ‘’. Là bas il est vénéré et on le remet à l’eau quand il est pris dans les filets ; alors qu’aux îles Hawaii, où on l’appelle ‘’kihikihi ‘’ il est vendu sur les marchés indigènes, pour sa chair délicieuse. La longue queue qui prolonge la nageoire dorsale est fréquemment sectionnée par un autre poisson vorace ou se déchire lorsque le zancle fuit à travers les aspérités des récifs. Les alevins sont long de 12 mm et ressemblent déjà aux adultes ; adulte, il fait de 15 à 20 centimètres avec une longueur de la nageoire dorsale de 30 centimètres.
Bien que, très apprécié par les aquariophiles pour sa beauté, il leurs est fortement déconseillé, car il est très difficile à conserver en captivité, de plus il ne se reproduit pas en aquarium. Comme toujours, ces espèces exotiques ne devraient jamais quitter leur milieu naturel.
Classe : Ostéichthyens ; ordre : Perciformes ; Famille : Acanthuridés ; genre & Espèce : Zanclus cornutus.

Jardin marin 3

mars 19th, 2009

Jardin marin 3

Voici encore une photo scannée d’une diapo !!

Je ne m’y connais pas assez en flore marine pour vous décrire les éléments qui composent cette photo. Elle est là, juste pour la vue, et elle me permet de me reposer un peu.

Bonne soirée, nuit et journée à venir, à tous .

Ganga tacheté.

mars 18th, 2009

Ganga tacheté

Il transporte de l’eau dans son plumage pour abreuver ses petits.

Le ganga est un curieux oiseau présentant à la fois des caractères communs avec les pigeons et les faisans. On en connaît une dizaine d’espèces. Ce sont des granivores, qui passent le plus clair de leur existence au sol. Toutes les espèces vives dans les zones arides et même désertiques, comme c’est le cas du ganga tacheté ci-dessus.

En dépit de leur adaptation à la vie rude des zones sèches, les gangas éprouvent le besoin de se désaltérer. Ils vont s’abreuver matin et soir. Certains spécialistes avaient affirmé que le ganga couronné ne buvait pas, mais il a été constaté que cet oiseau supportait même de boire de l’eau saumâtre, sans dommage pour sa santé. Le ganga est sociable et vit le plus souvent en bandes nombreuses.

Depuis longtemps les ornithologues connaissent l’histoire du ganga abreuvant ses petits avec de l’eau dont il empreint son plumage. Cette histoire paraissait si invraisemblable que personne n’y accordait foi. Chacun pensait que c’était une légende. En 1968 cependant, les spécialistes Cad et Maclean ont pu établir définitivement, en Afrique Australe, que les gangas mâles abreuvaient leurs petits au nid, en leurs apportant l’eau nécessaire, sous forme de gouttes retenues dans les plumes du ventre.

Les gangas effectuent de très longs voyages quotidiens, de l’ordre de 60 km, aller et retour, pour s’abreuver. Ils se rassemblent en grand nombre et s’interpellent constamment pendant qu’ils volent. Les mœurs de la plupart des espèces de gangas sont encore assez mal connues. La femelle pond de 2 à 3 œufs, qu’elle couvera 25 jours. Adulte le ganga fait 35 cm pour une envergure de 54 à 62 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Columbiformes ; Famille : Ptéroclididés ; Genre & Espèce : Pterocles senegallus.

Protée.

mars 17th, 2009

Protée

Il vit dans l’obscurité éternelle des cavernes.

Le protée est sans doute le plus singulier animal vertébré d’Europe. Il mène une existence exclusivement cavernicole et n’apparaît jamais à la lumière du jour. Depuis sa découverte, en 1689, cet animal a posé bien des problèmes aux zoologues.

Son corps est entièrement dépigmenté, de couleur rose clair. Seules les branchies externes sont rouge vif. Le protée est un cas de néoténie : c’est une larve qui devient adulte sans se métamorphoser et sans perdre ses branchies externes. Le protée est peu actif et se tient presque constamment dissimulé sous une pierre, dans l’eau froide des cavernes.

Il nage cependant très bien et très vite. Il respire par ses branchies, mais se trouve néanmoins dans l’obligation de monter de temps à autre à la surface pour absorber une gorgée d’air. Sa nourriture consiste en petits crustacés et autres bestioles cavernicoles, ainsi qu’en très petits poissons, qui parfois viennent se perdre dans le labyrinthe souterrain. Le protée est très sensible aux vibrations de l’eau, et ce moyen de détection lui permet de repérer ses proies.

Le cycle de vie du protée est considérablement allongé par rapport aux animaux de même taille mais vivant à la lumière. Le jeune n’atteint sa maturité sexuelle qu’après 10 ans. Ce qui est curieux chez cet animal, est que les larves naissent avec une peau pigmentée. Elles perdent rapidement leur coloration, mais si on les élève à la lumière, elles restent grises ou brunes. Cette particularité démontre que le protée était autrefois un animal de surface et qu’il s’est progressivement adapté à la vie souterraine. Les œufs sont pondus isolément sur des pierres, et leur incubation dure 3 mois. La longueur d’un adulte est de 25 à 30 cm et leur longévité est de plus de 20 ans.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Urodéles ; Famille : Protéidés ; Genre & Espèce : Proteus anguinus.

“Jardin marin”

mars 16th, 2009

Jardin sous-marin

Photo scannée d’une diapo !!

Juste pour la vue, car je ne sais pas le nom exact de ces ‘’machins’’ !!!

Diagrammes plectorhynque.

mars 15th, 2009

Poissons  Diagramme plectorhynque

Sa livrée se modifie avec l’âge. (Photo scanné sur diapo) Sujet déjà mis le 15 décembre 2008, mais avec photo de la fiche (Tout à fait autre !!!)
Encore appelé clown à grosses lèvres, loche ou happeur à grosses lèvres, ce poisson des récifs coralliens possède en effet, une bouche protractile armée de dents tranchantes (d’où le nom de happeur auquel fait allusion la signification du nom du genre.
Le terme ‘’clown ‘’ se justifie par sa nage ondulante, très curieuse, de ces poissons, des jeunes individus surtout, et qui rappelle celle des poissons- clowns. Une autre caractéristique à retenir est la modification importante du dessin de la robe au cours de la croissance. Jeune, le poisson a la robe brune, parsemée de grosses taches claires liserées de bruns foncé, comme ci-dessus. Avec l’âge, par extension des zones blanches et fractionnement des zones brunes, la robe prendra un aspect, de plus en plus, mouchetée. Sans pouvoir rivaliser avec les véritables métamorphoses que subissent certaines autres espèces, ces modifications de la robe sont suffisamment spectaculaires pour être soulignées.
C’est un gros mangeur, et il va se transformer en quelques mois en un beau poisson de 30cm. Atteignant jusqu’à 50cm dans la nature, ils sont activement pêchés et consommés par les autochtones, même si pour certains, ce n’est qu’un met de 2ème choix.
En ce qui concerne le classement de ces poissons, l’unanimité n’est pas réalisée parmi les scientifiques, le genre lui-même étant contesté. Aussi, on les retrouve tantôt parmi les happeurs (Lutjanidés), tantôt parmi les loches (Pomodasyidés), tantôt ils forment un groupe à part !!
Classe : Ostéichthyens ; ordre : Perciformes ; Famille : Lutjanidés ; Genre & Espèce : Plectorhynchus chaetodonoïdés

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