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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» mars

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Mérou à hautes voiles.

mars 30th, 2009

Mérou à hautes voiles

Photo faite d’une diapo scannée.

Appelait aussi ‘’ Mérou Grâce Kelly ‘’, jeune il vit en groupes et devient solitaire à l’âge adulte.

Le corps fortement comprimé latéralement, la tête petite, étroite et allongée, les pectorales très longues et la dorsale très haute, caractéristiques rappelées par le nom commun et par le nom d’espèce en latin, enfin le profil concave du dessus de la tête n’évoque pas à priori un mérou.

En revanche, la bouche oblique, grande et protractile (pouvant s’allongée par ses propres moyens), le comportement dans la nature et en captivité, suggère davantage cette parenté.

Sa robe claire ornée de taches sombres, très gracieuse, lui a aussi valu le nom commun de mérou à pois ou mérou léopard. L’élégant contraste des taches sombres sur fond clair est particulièrement net chez les jeunes spécimens. Il s’atténue avec l’âge, la couleur de base virant, du blanc presque pur, au beige grisâtre à brunâtre. Outre cette modification de la coloration, la nage ondulante caractéristique des jeunes devient plus régulière chez l’adulte.

Comme certains autres espèces de la faune tropicale, ce poisson présente, lorsqu’il est endormi ou effrayé, une coloration cryptique (camouflage) formée de hachures brunes irrégulières. Les Anglo-Saxons désignent les mérous par le terme de ‘’groupers ‘’, ce qui est approprié pour les petites espèces et les jeunes qui vivent en banc. Pas pour les adultes solitaires et par couples au moment de la ponte qui s’effectue fréquemment en couple, les jeunes regagnant le littoral ou récif après l’éclosion.

Ce superbe mérou peut atteindre la taille de 70 cm dans la nature, mais ne dépasse pas les 35 cm en captivité. En réalité, il ne devient jamais adulte en aquarium.

Comestibles, ils sont recherchés par les pêcheurs et les plongeurs. Leur chair est cependant parfois toxique à cause de la ‘’ciguatera ‘’ appelait communément ‘’la gratte ‘’ par les habitants des îles francophones du Pacifique. Cela se produit lorsque le poisson a ingéré des algues marines microscopiques porteuses de ‘’dinoflagellé gambierdiscus toxicus ‘’.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Serranidés ; Genre & Espèce : Cromileptes altivelis.

“Jardin marin” (4)

mars 29th, 2009

"Jardin marin 4"

Là aussi, photo tirée d’une diapo. Vous la détaillez, m’est impossible !

Je vous la mets, juste pour la vue !!

Bonne journée à tous. Et début de semaine pour les ‘’courageux ‘’.

De ma boîte à “images” “9″.

mars 28th, 2009

Anna -Walter -Ermes 1933

Voici la preuve que le petit garçon finissait bien les effets de ses sœurs.

Cette photo est de 1933, je n’étais pas loin de mes 2 ans, ma sœur Anna- Maria de ses 5 ans et Ermes de ses 7 ans. Elle est prise dans la Rue Du Ru, où nous habitions à ce moment là. Un petit appartement de 2 pièces cuisine en rez- de –chaussée. Les enfants dormaient tous dans la même chambre. Les filles dans le même lit et moi un petit lit avec montant sur les côtés.

Y vivait aussi, dans cette maison, une famille émigrée russe, dont le père était un excellent violoniste. Nous n’avions pas de poste, mais la musique ne nous manquait pas du tout. Ils avaient une fille et un garçon. Nos familles se sont perdues de vue, pendant quelques années et se sont retrouvés après guerre.

Dans cette rue du Ru, il y avait une école que l’on peut voir derrière nous. Le bâtiment à droite, tout en bout de rue est, non pas une église, mais le marché couvert. Dans l’autre sens de la rue, se trouvait la ‘’Maison d’Arrêt ‘’ sur le même côté de l’école et au fin fond de la rue à main droite, l’entrée principale de la citadelle, là où se trouve la salle où a eu lieu le ‘’tirage au sort’’ du Soldat- Inconnu. Nous n’étions pas loin du centre –ville, après le marché couvert se trouve la rue Mazel une des principales rues de la ville à l’époque, avec des magasins de chaque côté. Vers la citadelle se trouvait la piscine militaire. Juste un endroit du Ru, un peu élargi en rectangle, piscine en plein- air était un bien grand mot. C’est là que se disputer les matchs de Water-polo. Maintenant la ville est dotée d’une piscine toute neuve.

Comme vous pouvez le constater, le petit gnome au mitan, porte des sandales que vous avez pu voir sur une des photos précédentes, une barboteuse que ces gentilles gamines devaient avoir aussi porter. Et quand la mère prenait les ciseaux, la coupe était la même pour tous, le futur ‘’homme’’ aussi. Raie au milieu, et la coupe à faire pâlir de jalousie, les hippys des années 60. Les jupes sont sûrement faites par ma mère et les corsages aussi, dont je porterais certains dans les années suivantes. Plus tard, quand j’eus le droit à la coupe d’homme, je portais la raie….à droite …..bien sûr !!!!

Il paraît que j’avais déjà une tête de mule !!!! (Sourires !!)

Merle noir.

mars 27th, 2009

Merle noir

Cet oiseau timide des forêts est devenu un habitué des parcs.

A l’origine, le merle noir était un oiseau qui menait une vie très discrète dans les bois. Actuellement, on l’y retrouve encore, certes, quoique difficile à observer car il est farouche, mais ce qui est nouveau depuis les années 80, est que ce passereau s’est progressivement habituer à coexister avec l’homme, dans les villages et jusqu’au cœur des villes.

Le phénomène de cette accoutumance à un mode de vie totalement différent de celui qui lui était naturel, ne manque pas de susciter un vif intérêt de la part des ornithologues. Il est difficile d’expliquer pourquoi le merle noir a vaincu sa timidité innée, pour devenir un commensal de l’homme, presque au même titre que le moineau. D’autres cas sont connus, comme par exemple le ramier et même le corbeau qui eux aussi se rencontrent fréquemment dans les parcs en ville.

Le merle noir est bien sûr : noir, avec un bec et cercle orbitaire jaune –orange. La poitrine est tachetée. Le juvénile a des rayures claires sur la couverture et un duvet gris- brun sur la poitrine. Il est l’un des meilleurs oiseaux chanteurs de nos contrées. Son chant mélodieux, qu’il lance en se tenant perché sur une cheminée ou au sommet d’un grand arbre, annonce le printemps.

Dès les premiers beaux jours de février- mars, on peut l’entendre, timidement d’abord et peu assuré, puis à mesure que la saison de nidification approche, le chant s’affermit et devient très beau. C’est surtout à l’aube et le soir que le merle noir chante. D’ailleurs, seul le mâle s’adonne au récital ; la femelle, de couleur brune, très discrète…….écoute. (Peut –être ravie aussi !!)

Le merle noir est sédentaire et vit par couple pendant la belle saison. En automne et en hiver, on peut observer des rassemblements de plusieurs merles en quête de nourriture. Le régime alimentaire, varié, comprend insectes et baies.

Le nid bâti avec des tiges, radicelles secs, et brins d’herbe, mastiqués avec de la terre humide, reçoit de 3 à 5 œufs, couvés par la femelle durant 12 à 15 jours. Les deux parents nourrissent les petits pendants une quinzaine de jours. Le poids d’un adulte va de 73 à 120 grammes, sa longueur de corps est de 24 cm et son envergure 38 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Turdidés ; Genre & Espèce Turdus merula.

Grenouille champêtre.

mars 26th, 2009

Grenouille oxyrhine!

C’est une championne de saut.

La grenouille oxyrhine, communément appelée : grenouille champêtre, est l’une des espèces qui remonte le plus loin vers le nord. On la rencontre encore à plus de 68° de latitude boréale. C’est une habitante des prairies humides et fraîches, et surtout des tourbières. On peut aussi la voir dans les lisières des bois moussus.

Les spécialistes ont subdivisé la grenouille oxyrhine en 3 sous espèces géographique, mais ce sont, malgré tout, des formes très semblables. Contrairement à d’autres espèces, la grenouille oxyrhine ( mot qui veut dire : qui a le nez pointu. C’est aussi l’autre nom du requin- taupe bleu assez commun sur nos côtes qui fait 4 mètres pour 500kg), cette grenouille est absolument terrestre et ne se rend à l’eau que pour se reproduire, ou lorsque sévit une sécheresse tout à fait exceptionnelle.

C’est un animal très agile, qui compte au nombre des meilleurs sauteurs parmi les anoures. Ses bonds extraordinaires lui permettent d’échapper à ses ennemis sans laisser aucune trace. Le chant nuptial du mâle est assez faible ; lorsqu’on l’entend, il semble parvenir de loin, bien que le chanteur se trouve à proximité.

La ponte a lieu de mars à avril, ainsi cette grenouille est l’une des premières à se rendre dans les mares et ruisseaux au début du printemps. Ses têtards ont la queue plus courte que ceux des autres grenouilles ; leur identification, pour un amateur, est cependant difficile. Ovipare, la ponte est 1000 à 2000 œufs et la durée d’incubation varie selon la température. Le têtard fait 43mm, puis à sa métamorphose, encore moins : 10mm ; pour faire à l’âge adulte de 40 à 80mm. La maturité sexuelle est à 3 ans.

La grenouille oxyrhine n’est pas uniformément répandue dans les différentes régions de son aire de distribution géographique. Elle fait totalement défaut en maints endroits et se montre très localisée, bien qu’abondante dans les zones qui lui conviennent. Les traitements chimiques (engrais et pesticides) lui sont hautement préjudiciable.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Anoures ; Famille : Ranidés ; Genre & Espèce : Rana arvalis.

Poisson-papillon à pincette.

mars 25th, 2009

Poissons  Papillon à pincette

Scannée d’une diapo.

Son nez ferait pâlir de jalousie Cyrano de Bergerac.

Appartenant à la famille des poissons- papillons, il en possède les caractéristiques morphologiques les plus typiques, corps élevé et comprimé latéralement, bouche petite et terminale avec dents en forme de scies, nageoire dorsale unique, colorations très vives.

Il présente également l’ocelle noir, ou faux œil, fréquent dans la famille ; placé chez lui, à proximité du pédoncule caudal, à l’extrémité de la nageoire dorsale. Le véritable œil n’est pas caché par un bandeau foncé transversal, mais par une tache noire triangulaire qui couvre la partie supérieure de la tête et du museau, dont l’extravagante longueur suffit à caractériser l’espèce. Adulte, il mesure dans la nature 22 centimètres.

Il semble cependant, au dire d’éminents scientifiques, spécialistes du groupe, que cette espèce soit facilement confondue avec une espèce très voisine ‘’ Forcipiger longirostris ‘’, au bec encore plus long ; mais au nombre légèrement plus faible de rayons dorsaux.

Quoi qu’il en soit, c’est une espèce très recherchée comme poisson d’ornement d’eau de mer, par les aquariophiles : toute une série de noms communs évocateurs lui sont attribués : Poisson – papillon à long nez, à pincettes, à forceps, poisson de mer jaune à pincette, chelmon à long bec.

Malgré son apparence fragile, il s’adapte parfaitement à une captivité convenable. Grâce à ce museau très spécial, il peut, comme dans la nature, quérir sa nourriture ou capturer une proie, d’une taille surprenante avec une précision étonnante. Il mange facilement, mais sa croissance, en aquarium, semble extrêmement lente. Sa reproduction est mal connue.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Famille : Chaetodontidés ; Genre & Espèce : Forcipiger flavissimus.

Poisson-lime et non gorgone !!

mars 24th, 2009

Gorgone

Photo exécutée d’une diapo, grâce au scanner. (Les diapos datent de plus de 40 ans)

Je pense que c’est une gorgone. Voici une description de gorgone prise ( je ne suis pas sur que ce soit celle-ci , dont il est question), sur le net.

La gorgone ou corail corné, corail écorce fait partie de l’ordre des cnidaires polypes coloniaux sessiles. L’ordre compte environ 1200 espèces, qui se rencontrent dans toutes les mers tropicales.

La colonie est en forme d’éventail, souvent de couleurs vives (rouge, jaune, violet ou brun. Le squelette est formé d’une substance, la gorgonine.

La colonie de gorgones ne s’attache pas, à la différence des coraux, aux substrats durs, mais sur un fond de sable ou de boue. Chaque polype possède 8 tentacules qui filtrent les planctons et les consomment.

PS= Aux dernières nouvelles, misent pas Siratus dans les commentaires, ce n’est pas une gordone, mais un poisson-lime, dont on voit la bouche sur la droite !!!!

Je me doutais qu’il y avait comme une erreur monstre dans mon appréciation de la “chose”.

Toutes mes excuses  !!!!!

Grive litorne.

mars 23rd, 2009

Grive litorne

Réunies en colonies, elles se défendent avec efficacité.

Cette visiteuse hivernale parvient en Europe occidentale au mois d’octobre, et nous quitte à la fin de février. Elle niche cependant çà et là, notamment en moyenne montagne, mais semble étendre progressivement son air de distribution. C’est ainsi qu’elles colonisent, depuis quelques années, les collines proches des Vosges. La litorne, vulgairement appelée ‘’tia-tia ‘’, par rapport à son cri le plus fréquent, diffère des autres grives. Elle est de la taille du merle noir (26cm), elle a une couverture tricolore, la tête et le croupion gris- cendré, le dos brun et la queue noire ; la poitrine marron- roux est tachetée de points noirs.

C’est un oiseau sociable qui vient en grandes troupes dans nos campagnes et qui niche en petites colonies formées de 10 à 20 couples environ. Le site adopté par ces assemblées est un bosquet, une ligne de peupliers, une lisière à proximité de prairies ou seront pris les repas.

Alises, baies de genévrier, de houx, d’aubépine et d’églantier sont, avec les pommes tombées, les aliments consommés en hiver. Au printemps, le menu se compose surtout d’insectes, de mollusques et de vers.

Construit pas la femelle au mois d’avril, le nid est situé dans l’enfourchure d’un arbre, entre 6 et 1 mètres de haut La femelle y dépose 5 œufs qu’elle couvera seule pendant 13-14 jours. Par la suite, le mâle participe à la becquée des petits, la durée des petits au nid est de 14 jours. Adultes, ils feront 26 cm pour une envergure de 42 cm et un poids de 100 grammes.

Aux environs du site qu’ils occupent, les membres de la colonie réagissent vigoureusement contre l’intrusion des rapaces diurnes et de la corneille noire. Ils se précipitent sur ces gros oiseaux en lançant sur eux, avec précisions, des déjections qui les mettent en fuite. La grive défend sa nichée contre tout intrus, et les bagueurs le savent très bien !!!

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille Turdidés ; Genre & Espèce : Turdus pilaris.

Couleuvre d’Esculape.

mars 22nd, 2009

Couleuvre d'Esculape

Elle était vénérée des Romains.

La couleuvre d’Esculape, largement répandue dans toute l’Europe méridionale, est l’un des serpents les plus communs dans les régions chaudes lui convenant. Les Romains la vénéraient, car elle symbolisait Esculape, leur dieu de la médecine. On gardait des couleuvres d’Esculape dans les temples, où nombreux étaient ceux venus les questionner sur la nature ou la guérison de leurs maux recevaient les réponses par l’intermédiaire des prêtres. Un serpent a, de toujours, été muet, mais…pas inopérant.

On supposait que la distribution géographique initiale de cette couleuvre a été altérée par les Romains qui auraient emmené dans leurs colonies ces reptiles sacrés en en laissant échapper quelques uns, ici ou là. La répartition géographique se veut à l’heure actuelle, autrement scientifique.

La couleuvre d’Esculape vit dans les endroits ensoleillés, au sol sec, couvert de plantes basses et de broussailles, mais également dans les clairières des forêts de feuillus. Grimpeuse habile quoique un peu lente, elle aime à s’exposer au soleil, sur les buissons et monte parfois assez haut dans les arbres, car elle est endurante.

C’est un serpent très vif et sa fuite est rapide. Assez peu agressive, elle mord néanmoins cruellement et de manière rapide ; sa morsure est sans danger pour l’homme. Si dans la nature, elle ne vit pas au bord de l’eau, elle peut se baigner, en été, pour se rafraîchir.

La couleuvre d’Esculape se nourrit de rongeurs, d’insectivores et de lézards, parfois de passereaux et de leurs pontes. Elle tue ses proies par constriction, comme les boas ; mais en les avalant toujours, par la tête. La femelle pond de 6 à 20 œufs et l’incubation dure 2 mois. Les œufs augmentent de volume durant l’incubation. La longueur d’un petit à l’éclosion est de 19 à 25 cm. Sa longueur adulte peut atteindre 2 mètres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Colubridés ; Genre & Espèce : Elaphe longissima.

Anecdote………

mars 21st, 2009

Homonyme et homographe

Petite histoire, qui peut arriver à n’importe qui.

En 1974 je crois, je suis allé faire un chantier à la centrale de Pierrelatte. Un autre compagnon m’y accompagnait, Ramon un catalan, mort depuis quelques années de l’asbestose.

Ramon avait retenu nos chambres par téléphone et en donnant nos noms bien sûr. Nous sommes partis de Voiron vers 11 heures, avons déjeuner en cours de route, puis nous sommes rendus directement à la pension.

Quand nous sommes rentrés dans le restaurant, la patronne s’en vient vers moi et me salue par mon nom. J’étais sidéré car je n’avais jamais pris pension en ce lieu. De plus, elle ajoute ‘’ Vous ressemblez beaucoup à votre père.’’ Et moi, je suis là, tout couillon, sans pouvoir sortir quoi que ce soit, tellement j’étais soufflé. Je savais très bien que mon père n’était jamais, en France, sorti de la Meuse, Moselle et Meurthe & Moselle.

Sorti de ma stupeur, je lui demande ‘’ Où avez-vous connu mon père. ‘’Mais pardi, en Afrique du Nord, où il tenait un petit cirque. Il est venu d’Italie et a fondé un cirque. Je pense que vous êtes resté en France, lors d’une de ses tournées ? C’était un gars qu’il ne fallait pas trop houspiller. ‘’

‘’Excusez moi madame, ce n’est pas de mon père que vous me parlez, mon père était dans le bâtiment. ‘’- ‘’Alors là, c’est incroyable vous lui ressemblez comme deux gouttes d’eaux. Excusez moi. ‘’- ‘’Il n’y a pas de mal, madame. ‘’. Nous avons déposé nos valises et sommes partis à la centrale y déposer nos caisses à outils et le matériel de chantier que nous avions dans le break. Le temps de faire les passes d’entrée (On ne rentre pas comme dans un moulin dans ces centrales thermiques), de nous trouver un vestiaire, nous sommes revenus vers l’heure du souper. Quand nous sommes redescendus, après notre douche, pour nous mettre à table, le patron était là.

Il vient nous saluer avec le sourire et me dit ‘’Vous savez, je comprends que ma femme se soit tromper, car vraiment vous ressemblez à cet homme, avec 20 ans de moins. ‘’ J’en ai appris beaucoup sur ces homonymes pendant la semaine de séjour. C’étaient des durs à cuire, paraît- il. N’ayant pas peur de la castagne, car sensibles des pieds.

En 2003, quand j’ai eu un PC, je me suis dit ‘’Aller mon vieux, va voir si tu trouves ce gaillard. Et mon dieu, je l’ai trouvé assez facilement. Aux USA, où un de ses fils, Jean, a pris la suite. Toute la saga de la famille est sur internet. Italiens venus en Afrique du Nord avec un petit cirque, puis lors des événements, ils émigrent aux USA. Le cirque est devenu assez important puisque Jean s’est associé avec d’autres personnes. Le cirque sillonne les USA et le Canada. Cependant, une partie de la famille, avec Alain, a voulu garder un petit cirque traditionnel. Ce qui fait, qu’il y a deux cirques composés des membres de cette famille.

Ci-dessus, avec le lion, Jean à ses ‘’débuts’’ et si dessous Jean producteur, quelques années plus tard, avec sa fille Erika qui présente un numéro de chevaux en liberté. Quand je mets, côte à côte la photo d’Erika et une photo de ma sœur Anna vers le même âge, il y a aussi de la ressemblance.

Lors de mes recherches généalogiques, je me suis aperçu que tous mes aïeuls (4 générations) avaient eu un minimum de 9 enfants, alors…..qui sait….lointains membres de la famille ou…… non !!!

Quelques années plus tard avec sa fille écuyère

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