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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» mars

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Zancle cornu.

mars 20th, 2009

Zancle cornu

Cette photo est aussi scannée d’une diapo !!

A quoi peut bien lui servir la longue queue ornant sa nageoire dorsale ?
Le zancle est bien l’un des plus remarquables poissons vivant dans les récifs coralliens. Sa forme et ses couleurs ont inspiré beaucoup d’artistes polynésiens. Il mesure environ 20 cm et porte une belle livrée noire, jaune et blanche. Le zancle possède un très long filament au bout de sa nageoire dorsale. Des films documentaires sur la vie sous- marine ont tous montré des zancles et on ne peut que s’extasier de la grâce et de l’effet irréel que produit un banc de zancle (rarement) nageant entre les massifs coralliens.
Ce n’est pas un poisson de surface, il vit à une certaine profondeur, au cœur des lagunes. On le trouve en abondance dans les canaux d’eau vive traversant les barrières de récifs. Même si on le trouve en groupe, il est le plus souvent solitaire, et il fait preuve d’une certaine agressivité envers ses congénères.
Le zancle se nourrit de minuscules particules de corail. Ses mâchoires étroites garnies de très petites dents placées à l’avant fonctionnent à la manière de brucelles.(pinces fines, à ressorts, pour saisir de très petits objets) On appelle ses poissons des microphages, par opposition aux espèces de poissons munies de bouches s’ouvrant largement, qui portent le nom de macrophages, car elles avalent de grosses proies.
Appelé aussi : enseigne, idole maure ou mauresque, en Polynésie, le zanclus cornutus est appelé ‘’para- tore ‘’. Là bas il est vénéré et on le remet à l’eau quand il est pris dans les filets ; alors qu’aux îles Hawaii, où on l’appelle ‘’kihikihi ‘’ il est vendu sur les marchés indigènes, pour sa chair délicieuse. La longue queue qui prolonge la nageoire dorsale est fréquemment sectionnée par un autre poisson vorace ou se déchire lorsque le zancle fuit à travers les aspérités des récifs. Les alevins sont long de 12 mm et ressemblent déjà aux adultes ; adulte, il fait de 15 à 20 centimètres avec une longueur de la nageoire dorsale de 30 centimètres.
Bien que, très apprécié par les aquariophiles pour sa beauté, il leurs est fortement déconseillé, car il est très difficile à conserver en captivité, de plus il ne se reproduit pas en aquarium. Comme toujours, ces espèces exotiques ne devraient jamais quitter leur milieu naturel.
Classe : Ostéichthyens ; ordre : Perciformes ; Famille : Acanthuridés ; genre & Espèce : Zanclus cornutus.

Jardin marin 3

mars 19th, 2009

Jardin marin 3

Voici encore une photo scannée d’une diapo !!

Je ne m’y connais pas assez en flore marine pour vous décrire les éléments qui composent cette photo. Elle est là, juste pour la vue, et elle me permet de me reposer un peu.

Bonne soirée, nuit et journée à venir, à tous .

Ganga tacheté.

mars 18th, 2009

Ganga tacheté

Il transporte de l’eau dans son plumage pour abreuver ses petits.

Le ganga est un curieux oiseau présentant à la fois des caractères communs avec les pigeons et les faisans. On en connaît une dizaine d’espèces. Ce sont des granivores, qui passent le plus clair de leur existence au sol. Toutes les espèces vives dans les zones arides et même désertiques, comme c’est le cas du ganga tacheté ci-dessus.

En dépit de leur adaptation à la vie rude des zones sèches, les gangas éprouvent le besoin de se désaltérer. Ils vont s’abreuver matin et soir. Certains spécialistes avaient affirmé que le ganga couronné ne buvait pas, mais il a été constaté que cet oiseau supportait même de boire de l’eau saumâtre, sans dommage pour sa santé. Le ganga est sociable et vit le plus souvent en bandes nombreuses.

Depuis longtemps les ornithologues connaissent l’histoire du ganga abreuvant ses petits avec de l’eau dont il empreint son plumage. Cette histoire paraissait si invraisemblable que personne n’y accordait foi. Chacun pensait que c’était une légende. En 1968 cependant, les spécialistes Cad et Maclean ont pu établir définitivement, en Afrique Australe, que les gangas mâles abreuvaient leurs petits au nid, en leurs apportant l’eau nécessaire, sous forme de gouttes retenues dans les plumes du ventre.

Les gangas effectuent de très longs voyages quotidiens, de l’ordre de 60 km, aller et retour, pour s’abreuver. Ils se rassemblent en grand nombre et s’interpellent constamment pendant qu’ils volent. Les mœurs de la plupart des espèces de gangas sont encore assez mal connues. La femelle pond de 2 à 3 œufs, qu’elle couvera 25 jours. Adulte le ganga fait 35 cm pour une envergure de 54 à 62 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Columbiformes ; Famille : Ptéroclididés ; Genre & Espèce : Pterocles senegallus.

Protée.

mars 17th, 2009

Protée

Il vit dans l’obscurité éternelle des cavernes.

Le protée est sans doute le plus singulier animal vertébré d’Europe. Il mène une existence exclusivement cavernicole et n’apparaît jamais à la lumière du jour. Depuis sa découverte, en 1689, cet animal a posé bien des problèmes aux zoologues.

Son corps est entièrement dépigmenté, de couleur rose clair. Seules les branchies externes sont rouge vif. Le protée est un cas de néoténie : c’est une larve qui devient adulte sans se métamorphoser et sans perdre ses branchies externes. Le protée est peu actif et se tient presque constamment dissimulé sous une pierre, dans l’eau froide des cavernes.

Il nage cependant très bien et très vite. Il respire par ses branchies, mais se trouve néanmoins dans l’obligation de monter de temps à autre à la surface pour absorber une gorgée d’air. Sa nourriture consiste en petits crustacés et autres bestioles cavernicoles, ainsi qu’en très petits poissons, qui parfois viennent se perdre dans le labyrinthe souterrain. Le protée est très sensible aux vibrations de l’eau, et ce moyen de détection lui permet de repérer ses proies.

Le cycle de vie du protée est considérablement allongé par rapport aux animaux de même taille mais vivant à la lumière. Le jeune n’atteint sa maturité sexuelle qu’après 10 ans. Ce qui est curieux chez cet animal, est que les larves naissent avec une peau pigmentée. Elles perdent rapidement leur coloration, mais si on les élève à la lumière, elles restent grises ou brunes. Cette particularité démontre que le protée était autrefois un animal de surface et qu’il s’est progressivement adapté à la vie souterraine. Les œufs sont pondus isolément sur des pierres, et leur incubation dure 3 mois. La longueur d’un adulte est de 25 à 30 cm et leur longévité est de plus de 20 ans.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Urodéles ; Famille : Protéidés ; Genre & Espèce : Proteus anguinus.

“Jardin marin”

mars 16th, 2009

Jardin sous-marin

Photo scannée d’une diapo !!

Juste pour la vue, car je ne sais pas le nom exact de ces ‘’machins’’ !!!

Diagrammes plectorhynque.

mars 15th, 2009

Poissons  Diagramme plectorhynque

Sa livrée se modifie avec l’âge. (Photo scanné sur diapo) Sujet déjà mis le 15 décembre 2008, mais avec photo de la fiche (Tout à fait autre !!!)
Encore appelé clown à grosses lèvres, loche ou happeur à grosses lèvres, ce poisson des récifs coralliens possède en effet, une bouche protractile armée de dents tranchantes (d’où le nom de happeur auquel fait allusion la signification du nom du genre.
Le terme ‘’clown ‘’ se justifie par sa nage ondulante, très curieuse, de ces poissons, des jeunes individus surtout, et qui rappelle celle des poissons- clowns. Une autre caractéristique à retenir est la modification importante du dessin de la robe au cours de la croissance. Jeune, le poisson a la robe brune, parsemée de grosses taches claires liserées de bruns foncé, comme ci-dessus. Avec l’âge, par extension des zones blanches et fractionnement des zones brunes, la robe prendra un aspect, de plus en plus, mouchetée. Sans pouvoir rivaliser avec les véritables métamorphoses que subissent certaines autres espèces, ces modifications de la robe sont suffisamment spectaculaires pour être soulignées.
C’est un gros mangeur, et il va se transformer en quelques mois en un beau poisson de 30cm. Atteignant jusqu’à 50cm dans la nature, ils sont activement pêchés et consommés par les autochtones, même si pour certains, ce n’est qu’un met de 2ème choix.
En ce qui concerne le classement de ces poissons, l’unanimité n’est pas réalisée parmi les scientifiques, le genre lui-même étant contesté. Aussi, on les retrouve tantôt parmi les happeurs (Lutjanidés), tantôt parmi les loches (Pomodasyidés), tantôt ils forment un groupe à part !!
Classe : Ostéichthyens ; ordre : Perciformes ; Famille : Lutjanidés ; Genre & Espèce : Plectorhynchus chaetodonoïdés

De ma boite à “images” “8″

mars 14th, 2009

Photo prise en 1930

De ma ‘’boîte à images ‘’ ‘’ 8 ‘’

J’ai cherché une photo de Walter 1er et je ne l’ai trouvé que sur celle-ci.

Cette photo est de fin 1930 – début 1931. Déduction que j’ai faite compte tenu de dates que je possède. Mes parents et mes deux sœurs sont venus en France le 09-08-1930 et je suis né le 01-08-1931. Quand cette photo a été prise je n’étais pas né et Walter 1er toujours vivant.

A gauche : mon oncle Giulio frère puîné de ma mère : 15.06.1894- 12.08.1969.
Sa femme : Daphné : 15.04.1900- 10.12.1981
Et devant, leurs 3 enfants :
Walter : 1er Février 1923 – Avril 1931.
Albert : 28.07.1926- Novembre 2006.
Anita : 10.01.1928. Toujours en vie.

A droite : Ma mère : Premina : 28.12.1904 – 06.11.1997.
Mon père ! Ermene-Gildo : 04.04.1900- 11.04.1979.
Mes sœurs : Ermes : 28.12.1926 – 08- 07- 1996.
Anna Maria : 09.05.1928 – 10- 03- 2003.

J’aime bien détailler les photos. Les hommes avec la pochette et l’éternel stylo. Le borsalino vissait sur la tête de mon oncle. (Et oui, comme moi, la calvitie menaçait déjà.) ‘’ Le petit ruban noué ’’ au cou de ma marraine et ce long collier. Le col ‘’jeune fille’’ de ma mère avec une robe toute simple. Le gilet de mon ‘’vieux ‘’ et ses ………guêtres.

Quand aux enfants, ce devait -être les tenues du moment. Walter, déjà plus âgé, a la coupe homme. Albert, comme les 3 filles, la coupe Jeanne- D’Arc.
Du côté de mon oncle, tous bruns aux yeux noirs. Du côté des miens, mitigé : une brune aux yeux noirs et la blonde aux yeux bleus. En regardant mieux, je peux dire que les sandales de mes sœurs, c’est moi qui les ai finies, je dois même les avoir aux pieds sur certaines photos.

Et tout ce monde était venu pour la photo. Tous sages comme une image, à peine un soupçon de sourire chez les parents, pour le petit moineau.

Je pense que pour Walter 1er , ce fut sa dernière photo.

Garrulax à huppe blanche.

mars 13th, 2009

Garrulax à huppe blanche

Un oiseau fièrement huppé.

Le garrulax s’est beaucoup popularisé depuis les années 70, car on l’a importé en nombre considérable d’Asie tropicale. Le garrulax le plus répandu est celui à huppe blanche, le garrulax leucolophus, (ci-dessus), mais il en existe une quinzaine d’autres espèces, qui proviennent toutes du Sud- Est de l’Asie.

Par son aspect et son comportement, le garrulax offre des analogies avec le geai d’Europe. Il est originaire de l’Himalaya, de l’Assam, du Népal, et du Sikkim. Mâle et femelle sont très semblables, sauf en ce qui concerne la huppe, plus courte chez la femelle ; cette curieuse huppe, caractérisant le garrulax, est composée de douze petites plumes fines.

Le garrulax est un habitant des forêts de montagne. Oiseau sociable, plutôt grégaire, il ne se rencontre jamais isolément mais toujours en volées composées de quelques couples et de leur progéniture.

Le garrulax est un oiseau bruyant et il convient d’en être pleinement conscient avant de faire l’acquisition d’un couple pour peupler une volière. Très remuant, il requiert un espace suffisamment vaste pour s’y ébattre à l’aise. Imitateur, il contrefait tous les bruits qu’il entend et parvient même à reproduire certains mots.

Il est frugivore avant tout, mais il mange aussi des graines, des insectes et également des oisillons, qu’il déniche pendant la saison de reproduction des passereaux. Le nid est toujours construit très haut dans un arbre. C’est un amas peu soigné de rameaux et de chaumes, disposés en forme de coupe profonde. La femelle y dépose de 4 à 6 œufs. Le garrulax a été importé pour la première fois en Europe en 1876. La longueur d’un adulte est de 30 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Timalidés ; Genre & Espèce : Garrulax leucoloptus.

Agame aquatique.

mars 12th, 2009

Agame aquatique

Il peut rester plusieurs heures immergé.

Le physignathe est l’un des sauriens les plus singuliers, car c’est un amphibie au vrai sens du terme. Il constitue en quelque sorte l’équivalent des basilics australiens. Etroitement lié à la présence de l’eau, le physignathe même une existence paisible sur les arbres surplombant la rivière.

Il se tient le plus souvent immobile, mais peut courir avec rapidité sur les branches, s’agrippant fermement à l’écorce avec ses longues griffes. A la moindre alerte, l’animal s’élance vers le vide et tombe dans l’eau où il nage vers le fond. Son immersion peut durer plusieurs heures, mais c’est généralement après quelques minutes seulement qu’il refait surface, par….curiosité, sûrement.

Le régime alimentaire est varie, et se consiste principalement en insectes habilement capturés à la course et même en vol. Il dévore aussi des grenouilles et des têtards, et à l’occasion, il ajoute à son régime, des baies et des fruits mûrs pour agrémenter son repas de tous les jours.

En dépit du fait qu’il soit assez commun dans les régions occidentales de l’Australie, le physignathe est encore imparfaitement étudié et on sait rien de sa reproduction. Il semblerait qu’il dépose des œufs dans le sable des plages, mais rien ne l’infirme.

On a observé pour la première fois, en 1977 que cet igame est capable de régénérer sa queue, ce qu’on ne croyait possible que chez les vrais lézards. Ils une ou deux autres espèces de physignathe, apparentés à l’espèce si dessus. L’un deux est la physignathe de Timor, dans deux spécimens seulement sont connu. Le Physignathe de lesueur, ici décrit, aurait été capturé sur le Mont Arfax, en Nouvelle- Guinée. L’adulte a une longueur de 13 à 20 cm avec une queue de 20 à 30 centimètre. Les plus grands spécimens peuvent atteindre 75 à 80 cm de longueur totale (corps et queue).

Classe : Reptiles, Ordre ; squamates ; Sous Ordre Sauriens ; Famille : Agamidés ; Genre et Espèces. Physignathus lesueurii.

Requin-tapis orné.

mars 11th, 2009

Requin-tapis-orné

Très beau requin –tapis ! (Photo prise sur le net, sur ma fiche, il est presque invisible, car dans son élément naturel.)

Parfaitement homochromique (ses couleurs se confondent avec celles de son environnement) et mimétique (tête, nageoires et dessins paraissent appartenir au substrat), grâce à sa robe où alternent bandes sombres et claires et de marbrures, le requin –tapis est l’une des plus belles espèces de cette famille qui en compte un peu lus d’une vingtaine. Il mérite bien son nom commun et rivalise de beauté avec son cousin ‘’ Orectobus agilbyi ‘’ mais dont les appendices cutanés qui bordent la tête sont encore bien plus nombreux.

Comme ce dernier, le requin –tapis orné fréquente les zones côtières, peu profondes, des mers tropicales et tout particulièrement les prairies d’algues et les substrats diversement colorés par les organismes qui y croissent : homochromie oblige. Carnassier, il se tient immobile sur le fond pendant la journée et s’active, dès la tombée de la nuit, à la recherche de sa nourriture. Essentiellement composée de crustacés, de mollusques et autres invertébrés benthiques (relatives aux fonds des mers), mais aussi de petits poissons.

Malgré sa relative petite taille (2 mètres maximum), comparée par exemple à celle du requin –nourrice, appartenant à la même famille, il a la réputation d’être relativement dangereux à cause de ses morsures. Sa bouche est en effet bien garnie d’une multitude de petites dents acérées qui peuvent occasionner de sérieuses blessures. Il ne demande qu’à éviter toute rencontre, mais il se défend quand il est attaqué.

Sa livré très colorée, surtout quand il est jeune, son caractère indolent, sa relative petite taille, font qu’il est recherché et apprécié des amateurs de poissons d’ornement. ……(Tiens donc !!)

Classe : Chondrichthyens ; Ordre : Pleurotrèmes ; famille : Orectolobidés ; Genre et Espèce : Orectolobus ornatus.

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