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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» mai

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Sainte Anne d’Auray.

mai 20th, 2010

Sainte Anne d'Auray

L’histoire de Sainte-Anne d’Auray est très liée à la religion chrétienne.

Sainte-Anne-d’Auray (ou Keranna) est le principal lieu de pèlerinage de la Bretagne. On y vient depuis 1625, pour commémorer l’apparition de Sainte Anne, grand-mère maternelle de Jésus-christ, à Yves Nicolazic. Tous les étés, le 26 juillet, un pèlerinage y a lieu : le pardon de Sainte Anne.

On compte une moyenne de 800 000 pèlerins par an à Sainte-Anne-d’Auray.

Jean-Paul II y est venu en pèlerinage le 20 septembre 1996 où il a rassemblé 150 000 personnes, première visite d’un pape en Bretagne.

Sainte-Anne-d’Auray a longtemps fait partie de la paroisse et commune de Pluneret. La paroisse de Sainte-Anne d’Auray est née le 1er août 1937. Elle a été fondée en regroupant le domaine du sanctuaire, l’ancien Keranna et plusieurs villages à la paroisse de Pluneret. D’autres villages ont été pris à la paroisse de Plumergat.

Ce n’est que le 26 février 1950 que Sainte-Anne-d’Auray a également été érigée en commune.

Pour le mémorial, voir le blog de Canelle56 : http://canelle56.over-blog.com/

Notre Dame de Louviers

mai 19th, 2010

Notre-Dame de Louviers

Notre Dame de Louviers

Pour les Lovériens de vieille souche, Notre-Dame, c’est encore « la cathédrale ». En fait, Louviers n’a jamais été le siège d’un évêché bien que la seigneurie de Louviers ait été léguée en dédommagement à l’archevêque de Rouen lors de « l’échange d’Andeli ». Sans doute faut-il plutôt voir dans cette appellation une façon de distinguer la paroisse la plus riche des trois autres.

La pose de la première pierre de l’édifice, extraite des carrières de la rue du Neubourg, remonte à 1197 et dès 1240 il est achevé dans ses parties essentielles (chœur, nef, deux bas-côtés et un transept surmonté d’une tour-lanterne, au-dessus duquel on érige une flèche orgueilleuse de cinquante mètres de haut).

La guerre de Cent Ans endommage l’église, incendiée en 1346. En 1413, avec des préoccupations plus militaires que religieuses, on dresse la Tour-beffroi de l’ouest.

Puis c’est l’époque de l’enrichissement de la ville et de l’industrie textile florissante : on embellit alors l’église, elle est agrandie, les collatéraux sont repris et les façades septentrionale et occidentale sont remaniées (1420).

Au XVIe siècle, avec l’édification du magnifique porche gothique flamboyant, elle se tourne résolument vers le sud et les quartiers qui font alors la prospérité économique de la cité.

C’est sous cette forme que nous pouvons l’admirer maintenant, miraculée des bombardements de 1940 qui soulèvent le porche de 1,50m, à ceci près que les constructions qui la flanquaient au sud-est, pour abriter habitations et boutiques ont disparu et que la flèche, reconstruite en 1379, est définitivement fauchée en 1705 sous la poussée d’un ouragan.

Des périodes fastes des XVe et XVIe siècles, notre église recèle de nombreuses richesses, statues, retables, verrières élaborées par les plus grands maîtres : Arnaud de Nimègue, à l’origine d’une école de Rouen du vitrail au XVe et Enguerrand Leprince, maître de l’école de Beauvais au XVIème (seul le vitrail Est, œuvre du maître Barillé est contemporain et date de 1962).

En haut d’un pilier du chœur (et on le retrouve sous le porche), il faut remarquer le curieux « bonhomme Louviers », baptisé « le maqueu de soupe ». Il symboliserait l’attachement des Lovériens aux plaisirs de la table, en souvenir plaisant de la prise de la ville par Biron, lieutenant d’Henri IV, alors que la garnison dégustait tranquillement sa soupe…

Enfin, on ne quittera pas les lieux sans admirer l’orgue de 3138 tuyaux et de 49 jeux, en provenance de l’abbaye de Bonport et sur lequel, le célèbre Maurice Duruflé, natif de Louviers, exerça ses précoces talents.

Texte de Claude Blanluet.

L’église Notre-Dame de Louviers est connue pour son fantastique décor flamboyant, mais elle conserve également de la période faste de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, une importante série de vitraux. Les corporations de la ville, les drapiers, mégissiers ou tanneurs ont rivalisé de générosité avec les familles de l’aristocratie, comme les Le Forrestier ou les Le Roux de Bourghteroulde, afin de donner à l’édifice une parure de verre digne de son écrin de pierre. Les auteurs de ces verrières, aisément lisibles car proches de l’oeil, figurent parmi les meilleurs peintre-verriers du temps : Arnoult de Nimègue, Engrand et Nicolas Le Prince de Beauvais.

Le geai paré des plumes du paon.

mai 18th, 2010

La geai qui se croit Paon

LE GEAI PARE DES PLUMES DU PAON

Un paon muait : un geai prit son plumage ;
Puis après se l’accommoda ;
Puis parmi d’autres paons tout fier se pavana ,
Croyant être un beau personnage.
Quelqu’un le reconnut : il se vit bafoué,
Berné, sifflé, moqué, joué,
Et par messieurs les paons plumé d’étrange sorte ;
Même vers ses pareils s’étant réfugié,
Il fut par eux mis à la porte.
Il est assez de geais à deux pieds comme lui,
Qui se parent souvent des dépouilles d’autrui,
Et que l’on nomme plagiaires .
Je m’en tais, et ne veux leur causer nul ennui :
Ce ne sont pas là mes affaires.

Emission commune pour: N-Calédonie et Wallis & Futuna.

mai 17th, 2010

Nouvelle- Calédonie

Wallis & Futuna .

Il y a 5000 ans (3000 av. J.-C.), des habitants du littoral de la Chine du Sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s’installer à Taiwan. Vers 2000 avant J.-C., des migrations ont lieu de Taiwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Célèbes et Timor et de là, vers les autres îles de l’archipel indonésien. Vers 1500 av. J.-C., un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au-delà, vers les îles du Pacifique. Les Austronésiens sont sans doute les premiers navigateurs de l’histoire de l’humanité.

Nouvelle Calédonie.

La Nouvelle-Calédonie est un archipel d’Océanie situé dans l’océan Pacifique à 1 500 km à l’est de l’Australie et à 2 000 km au nord de la Nouvelle-Zélande, à quelques degrés au nord du Tropique du Capricorne.

Distante de la métropole de près de 20 000 kilomètres et d’une superficie de 18 575 5 km², cette collectivité territoriale de Mélanésie rattachée à la France et créée par l’accord de Nouméa, est dite sui generis (ou « de son propre genre ») car possédant un statut particulier, différent des autres collectivités d’outre-mer (COM). Néanmoins, un référendum local portant sur son indépendance ou son maintien au sein de la République française est prévu entre 2014 et 2019.

Son chef-lieu ou capitale, Nouméa, en est aussi la principale commune et la seule grande ville. Elle compte 97 579 habitants au dernier recensement de 2009. Le Grand Nouméa (avec les communes voisines de Païta, Dumbéa et Mont-Dore) compte 163 723 habitants.

Roussel Albert.

mai 16th, 2010

Albert Roussel 1869-1937

Roussel Albert
[Charles Paul Marie]
1869-1937

Né à Tourcoing 5 avril 1869 — † Royan 23 août 1937. Compositeur. Issu d’une famille d’industriels, il a un an à la mort de son père et huit à celle de sa mère. Son grand-père, Charles Roussel-Defontaine, maire de Tourcoing le recueille. À sa mort ce sera son oncle, Félix Réquillart, qui le prendra en charge. A l’âge de 15 ans, il entre au Collège Stanislas à Paris, passe le baccalauréat, prépare l’École Navale, où il est admis en 1887.

Il suit ses études sur le Borda, navire-école ancré à Brest. Enseigne de vaisseau, il parcourt les mers et fait de la musique pendant ses loisirs.

En 1892, il crée un Andante, Ave Maria pour cordes et orgue à l’église de la Trinité de Cherbourg.
Au retour d’une campagne il prend un long congé et s’installe à la fin de l’année 1893 à Roubaix dans sa famille.

Il suit des cours d’harmonie avec Julien Koszul, directeur de l’École nationale de musique de Roubaix. Plus tard, à Paris, il travaille le piano, l’orgue, l’harmonie, le contrepoint et la fugue avec Eugène Gigout (1844-1925).
Il démissionne de la marine pour se consacrer à la musique et se fixe à Paris en octobre 1894.

En 1897 il présente, sous deux noms différents, 2 Madrigaux à 4 voix. au concours de la SACEM qui sont primés ex aequo. Il dirige leur exécution 1898 à la Salle Pleyel.
En 1898, il s’inscrit aux cours de composition et d’histoire de la musique de la Schola Cantorum. Il y suit les cours d’orchestration de Vincent d’Indy. De 1902 à 1914, il y assure les cours de contrepoint, et a comme élèves Erik Satie, Edgard Varese (1883-1960), Roland-Manuel (1891-1966), Paul Le Flem (1881-1984).

En 1902 il est réformé de la marine pour des raisons de santé. En 1908 il épouse Blanche Preisach, et en 1909, voyage aux Indes et au Cambodge, qui lui inspirent les Évocations (1910-1911).

En 1912-1913, il compose le ballet le Festin de l’Araignée, une de ses œuvres les plus célèbres, sur un argument. G. de Voisins, d’après les Souvenirs entomologiques d’Henri Fabre.
Le ballet est créé le 13 avril 1913, au théâtre des Arts de Paris. La même année, il en extrait Les Fragments symphoniques, créés en 1914.

En 1914 il s’engage dans l’armée de terre, en 1918 il s’installe à Perros-Guirec, achève Padmâvati commencé avant la guerre. En 1922 il achète une propriété en bord de mer à Varengeville

Composé en 1928, le Psaume LXXX est créé en 1929, année de son soixantième anniversaire.

En 1930 il assiste à la création aux États-Unis de sa 3e Symphonie par Koussevitzky.
Août 1936, il va se reposer à Royan à la suite d’une crise cardiaque.

Eglise St Martin de Gigny (St Dizier 52)

mai 15th, 2010

Eglise de St Martin de Gigny

Saint Dizier (52100) Historique
Historique

La ville de Saint-Dizier fut affranchie par une charte en 1228, elle fut rattachée à la couronne royale en 1448. Elle resta une ville frontière jusqu’au rattachement de la Lorraine à la France en 1766; cette situation obligea à maintenir en état les fortifications de la cité. Une grande partie des remparts et du château a disparu aujourd’hui.

On peut néanmoins observer les deux tours qui encadrent l’entrée du château, les pierres les plus anciennes datent du XIIIème siècle. Chaque angle de l’enceinte était terminé par une masse de terre recouverte de gazon et enveloppée de pierre appelée bastion.

L’ensemble des fortifications fut renforcé à partir de 1542 pour assurer la défense de la ville contre les menaces de l’empereur Charles Quint dont l’élection était contestée par François 1er. La ville fut assiégée en 1544 par les troupes de l’empereur: 42000 hommes contre 2500 hommes de garnison et 2000 habitants; elle capitula honorablement après un siège de 40 jours. A la Révolution, le château fut déclaré Bien National. Il fut endommagé par un incendie durant la dernière guerre avant de devenir sous-préfecture en 1955. Belle-Forêt-Sur-Marne est le nom que porta la ville pendant quelques temps après la Révolution de 1789. En 1814, Napoléon gagna la bataille de St Dizier.
L’église Saint-Martin de Gigny (Saint-Dizier)
Son histoire…

L’église primitive dont les origines sont incertaines fut détruite lors du siège de la ville en 1544, reconstruite entièrement en bois puis plus tard en pierres. Sous la Révolution elle servit d’atelier de fabrication de salpêtre (sel) pour les fabriques de poudre.
A découvrir

Le portail gothique (IMH)=( inscrit aux monuments historiques) : une peinture représentant Saint Martin à cheval partageant son manteau avec un pauvre et en dessous une inscription latine : « il m’a couvert de ce manteau ».
Classée monument historique, (je ne sais si elle est toujours condamnée), la commune en faisant ce nouveau quartier, vu d’avion, lui a fait un écrin, de façon que tout automobiliste de passage, soit obligé de la voir, en la présentant en plein milieu du rond point.
NB : c’est dans cette église que fut baptisée, nôtre fille aînée.

St Dizier vu d'en haut ...

Abbaye de Bernay.

mai 14th, 2010

Abbaye de Bernay

Eglise abbatiale Notre-Dame

L’abbaye à laquelle appartenait l’église a été créée dans la première décennie du XIe s.par Judith de Bretagne qui lui avait consacré une partie du douaire constitué par son époux, Richard II, duc de Normandie, et formé de domaines situés en Lieuvin, mais aussi en Cinglais et dans le nord du Cotentin.

Richard II confia l’achèvement de l’église à l’abbé italien Guillaume de Volpiano († 1028), réformateur du monastère de Fécamp où il avait été appelé en 1001. Après une période de ralentissement des travaux, il semble que cet achèvement sera en fait l’œuvre du premier l’abbé de l’abbaye devenue autonome, Vital de Creully (nommé vers 1060, † 1082), à qui cette réalisation vaudra d’ailleurs le privilège considérable de devenir abbé de Westminster en 1076, en considération du fait qu’il “avait élevé considérablement l’abbaye de Bernay à partir de peu de chose “.

La chronologie du déroulement des travaux et des différentes parties est un problème très complexe et controversé, mais l’ensemble date majoritairement des trois premiers quarts du XIe s.

Malgré une histoire très mouvementée et des mutilations irréversibles (notamment la façade et l’abside), cette église longtemps méconnue a conservé une grande part de son intérêt exceptionnel dont l’essentiel réside dans ses caractères novateurs qui seront appelés à devenir des caractéristiques de l’architecture romane anglo-normande : un chevet à plan échelonné, de type bénédictin (au lieu du déambulatoire ou du simple chevet plat), unique vers 1020 en Normandie (avec Lonlay-L’Abbaye), et qui trahit sans doute une influence de Guillaume de Volpiano.

Ce modèle sera repris plus tard par les abbayes caennaises ; des piles composées, apparues à la même époque, vers 1030, à Auxerre, Nevers, Saint-Benoît-sur-Loire ; un passage dans l’épaisseur du mur, au niveau supérieur du mur oriental du transept, influence venue de Sainte-Bénigne de Dijon.

Le décor est encore très abondant, varié et de qualité. Trois ateliers de sculpteurs ont pu être individualisés : l’un puisant ses sources dans l’art de la vallée du Rhône et de Bourgogne (chapiteaux à palmettes et entrelacs ornant les baies du deuxième niveau du chœur et du transept ; bases à entrelacs), un second d’inspiration ottonienne (décors végétaux et animaux raffinés sur des corbeilles tronconiques à tablettes) et un troisième, dans la nef (corbeilles dérivées du corinthien).

Source: Pascal Vipard

Le coche et la mouche…..;

mai 13th, 2010

le-coche-et-la-mouche

LE COCHE ET LA MOUCHE

Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, Vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait, soufflait, était rendu.

Une Mouche survient, et des Chevaux s’approche ;
Prétend les animer par son bourdonnement ;
Pique l’un, pique l’autre, et pense à tout moment
Qu’elle fait aller la machine,
S’assied sur le timon, sur le nez du Cocher ;
Aussitôt que le char chemine,
Et qu’elle voit les gens marcher,

Elle s’en attribue uniquement la gloire ;
Va, vient, fait l’empressée ; il semble que ce soit
Un Sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.
La Mouche en ce commun besoin
Se plaint qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin ;
Qu’aucun n’aide aux Chevaux à se tirer d’affaire.

Le Moine disait son Bréviaire ;
Il prenait bien son temps ! une femme chantait ;
C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait !
Dame Mouche s’en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.
Après bien du travail le Coche arrive au haut.
Respirons maintenant, dit la Mouche aussitôt :
J’ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
Ca, Messieurs les Chevaux, payez-moi de ma peine.

Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S’introduisent dans les affaires :
Ils font partout les nécessaires,
Et, partout importuns, devraient être chassés.

PS : Je ne fais aucune comparaison avec qui que ce soit
…..en réalité….juste une toute petite…comme l’est la mouche !!

2004 Année du singe jouant dans l’arbre..

mai 12th, 2010

Nouvelle- Calédonie 2004

L’Année du Singe Jouant dans l’Arbre :

Le 22 janvier 2004 commença la nouvelle année chinoise Jia Shen (Kia Chen) du « Singe jouant dans l’arbre », parfois également nommé « Singe insatisfait » ou singe d’influence céleste de Bois et d’influence terrestre de Terre/Métal, également placée sous le signe cosmique du Feu Impérial (Shao Yang).

Cette année du Singe de Bois s’est inclue dans le soixante dix neuvième cycle sexagésimal depuis que l’Empereur Jaune Wangdi (Houang Ti) ait créé ce calendrier en 2699 avant notre ère, chaque cycle de soixante ans se composant de cinq périodes de douze années, chacune d’entre-elles représentant une rotation complète des 12 signes du zodiaque animal.

L’empereur Jaune précisa lors de la création de ce calendrier « Ce qui est en haut (le Ciel donc l’influence céleste) donne ; ce qui est en bas (la Terre donc l’influence terrestre) reçoit ». Dans le cas de cette année le Bois (influence céleste et Tronc Céleste) donne, la Terre (influence terrestre) reçoit et le Feu Ministériel (influence cosmique) opère la médiation tandis que le Métal (Rameau Terrestre secondaire) permet de récolter.

C’est donc une année assez équilibrée si on excepte toutefois un mouvement de l’Eau parfois en déficit et parfois en excès.

Cela est dû au fait que l’année du Singe de Bois correspond au vingt et unième pilier, lié à Mercure, à « L’eau des sources et des puits ».
L’Eau en déficit de la source a tendance à monter (évaporation) lorsqu’il fait trop chaud, tandis que l’Eau en excès du puits a tendance à descendre (précipitations) comme quand on renverse un seau trop plein posé sur la margelle. Pleuvoir comme des seaux qu’on verse, donc pleuvoir à verse.

Il est donc possible qu’il existe des conflits, au printemps et en automne, entre le Bois (Vent) et le Métal (orages et pluie). Il s’agit d’une année « double Yang » puisque le premier « Tronc Céleste » (Tian Gan) Jia est de tendance énergétique Yang et que le neuvième « Rameau Terrestre » (Di Zhi) Shen est également de tendance énergétique Yang.

Jia représente originellement un bourgeon fermé (Elément Bois Yang) et Shen la maturité de ce qui doit être récolté (Elément Métal Yang).
L’image est celle d’un bourgeon encore fermé qui parvient rapidement à maturité et qui doit néanmoins être récolté si la chaleur devient trop forte.

Cela correspond à certains thés chinois dont on ne récolte que le bourgeon, ce qui produit une boisson de très grande qualité mais ce qui exclut la quantité lors de la cueillette.

Ce qui est quantitatif et subtil devra donc être privilégié par rapport à ce qui est quantitatif et grossier.

Il est à noter que, justement, une légende raconte que certains thés rares et précieux poussant dans les montagnes escarpées de l’Ouest de la Chine ne peuvent être cueillis que par des singes élevés et nourris au sein même de la famille des récoltants.

Des singes simplement dressés bâcleraient le travail ou en profiteraient pour s’enfuir.

Daniel-François Auber 1782-1871

mai 11th, 2010

Daniel-Francois Auber 1782-1871

Daniel –François Auber 1782-1871.

Auber (François Daniel Esprit), compositeur né à Caen en 1782, mort en 1871. Fils de commerçants, et destiné au commerce, il y renonça pour se consacrer à la musique et se fit l’élève de Chérubini. Il composa d’abord des romances, des concertos, des morceaux de musique religieuse, enfin quelques opéras-comiques pour des théâtres de société. Les premiers essais qu’il donna au théâtre Feydeau (1813) n’eurent pas de succès; mais il ne se découragea pas, et la Bergère châtelaine (1820) commença une période de succès; Leicester (1823) réunit pour la première fois deux noms qui devinrent désormais presque inséparables, ceux de Scribe et d’Auber.

La réputation de ce dernier fut définitivement consacrée par le Maçon 1825), et enfin il donna en 1828 à l’Opéra, son chef-d’œuvre la Muette de Portici, dont le duo, Amour sacré de la patrie, devint une sorte de Marseillaise. Il a encore donné à l’Opéra le Philtre (1831); l’Enfant prodigue (1850) Zerline (1851), et à l’Opéra-Comique Fra Diavolo (1830), le Cheval de bronze (1835), l’Ambassadrice (1836), le Domino noir (1837), les Diamants de la Couronne (1841), la Part du Diable (1843), la Sirène (1844), Haydée (1847), Marco Spada (1883), la Fiancée du roi de Garbe (1864) et le Premier jour de bonheur qui fut sa dernière œuvre.

Auber est le plus fécond et le plus populaire des compositeurs français; sa musique est vive, gaie gracieuse, facile, et ne manque pas d’originalité : il donne plus à la mélodie qu’à l’orchestration. Auber fut appelé à l’Académie des beaux-arts en 1829; il fut, sous Louis-Philippe, directeur des concerts de la cour, et, sous Napoléon III, directeur de la musique de la chapelle impériale. Il succéda, en 1842, à Chérubini comme directeur du Conservatoire de musique.

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