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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» juin

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

La reliure….

juin 20th, 2010

La reliure

La reliure est née avec l’apparition du livre tel que nous le connaissons, entre le IIème et le VIème siècle.

Se présentant à l’origine en rouleau, le livre adopte alors la forme actuelle: le codex, compilation de feuilles réunies en cahiers, cousues avec un fil de lin ou de chanvre autour de nerfs de bœuf posés perpendiculairement aux feuillets et retenant deux planches de bois ( Les plats).

Fleurons : D’abord recouverts de plaques incrustées de pierres précieuses, les premières reliures étaient l’ouvre d’orfèvres. Puis, les plats furent recouverts de cuirs, ciselés ou estampés à l’aide de fleurons ou fers, poinçons de métal dont l’une des extrémités gravée et chauffée est posée sur la peau légèrement humidifiée, afin d’y laisser une empreinte.

Fers : Parallèlement, quelques somptueux manuscrits enluminés étaient recouverts de tissus précieux: velours, soie, damas …

Le rangement debout n’étant né qu’au XVème siècle, les ouvrages étaient alors posés à plat sur des pupitres, leurs reliures étant protégées par des cabochons cloués sur les plats.

Couture des cahiers : A la fin du XVème siècle, avec l’invention de l’imprimerie et le remplacement du parchemin par le papier, les livres prirent l’aspect que nous leur connaissons aujourd’hui. Les reliures, sous l’influence de la Renaissance italienne s’inspirèrent du clacissisme grec. Les décors géométriques à entrelacs, dessinés pour Grolier sont célèbres.

‘Les Sonnets’ de Hérédia, reliés Chaque époque a été marquée par de grands relieurs, par exemple les Bozérian au XVIIIè siécle étaient les relieurs de Napoléon Ier.

Avec l’apparition du Livre de Peintre au début du XXè siècle, les ouvrages sont présentés en feuilles sous étui, l’Editeur laissant au bibliophile le choix de les faire ou non relier . Il en est ainsi aux Editions Carrés d’Art.

‘Les Chansons de Bilitis’ reliées

De grands créateurs: Marius Michel, Legrain, Cretté, Paul Bonnet, Kieffer, Mercher…….ont traversé le XXème siècle en étant les héritiers de ces “lieurs de livres” qui ont transformé un besoin en Art.

L’huître et les plaideurs…

juin 19th, 2010

L'huître et les plaideurs

L’Huître et les Plaideurs

En virée sur le bord de la Mare aux harengs,
Deux pescadous jactaient en picolant un litre;
Quand leurs chasses, sur le sable, gaffèrent en même temps,
Ballottée par la flotte, la plus bathe des huîtres.

Pour bibi fit le preu, je vais me la taper.
Et moi bava le seu, je becqu’terai des figues;
Minute papillon, il ne faut pas charrier.
J’ai biglé le premier, cette huitre est à mézigue.
Des clous, c’est à bibi. Et comme deux ballots,
Voilà nos deux mirotons qui se cherchent des rognes,
Prêts à se tabasser, riboulant des callots;
Aucun d’eux ne voulant dans l’coup passer la pogne,

Esgourdant leur raffut, arrive un pouilladin,
Courant aux pescadous, au rif il se rencarde.
Au lieu de vous filer la beigne sur le tarin,
Bonissez-moi pourquoi chacun de vous pétarde.
Nous avons, dit le preu, sur le bord du bouillon,
Affurés de cette huître, une vraie bégalade,
Et chacun d’nous voudrait s’la coller dans l’lampion.

Au lieu de la péter, ou même d’aller au fade,
J’ai trouvé la combin’, pour vous filer d’accord;
Répond le pouilladin. Et devant les deux billes,
Il s’envoie l’huître en douce et met les coudes au corps,
Laissant nos chicandiers se taper les coquilles.

moralité

Dans toutes les combin’s, y a toujours un coquin:
C’est lui qui se bégale et vous qui fait’s tintin.

Charles d’Orléans. 1391-1465

juin 18th, 2010

Charles d'Orléans 1391-1465

Charles d’Orléans 1391-1465.

Charles d’Orléans, né à Paris le 24 novembre 1394 et mort à Amboise le 5 janvier 1465, duc d’Orléans, est un prince français, connu surtout pour son œuvre poétique réalisée lors de sa longue captivité anglaise. Il est le fils de Louis Ier, duc d’Orléans, frère du roi de France Charles VI, et de Valentine Visconti fille du duc de Milan. Il est né à l’hôtel de Saint-Paul, à Paris.

Son enfance est marquée par les rivalités qui opposent son père à Jean sans Peur, duc de Bourgogne, rivalités à l’origine de la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons. Son père est tué sur l’ordre du duc de Bourgogne le 23 novembre 1407. En sa qualité d’aîné, il recueille la plus grande part de l’héritage dont le duché d’Orléans, les comtés de Valois et de Blois, et les seigneuries de Coucy et de Chauny. Il épouse en 1406 sa cousine germaine Isabelle de Valois (17 ans), fille de Charles VI, et veuve de Richard II d’Angleterre. Celle-ci meurt à vingt ans en donnant le jour à une fille. Charles se remarie en 1410 avec Bonne d’Armagnac, fille du comte Bernard VII d’Armagnac, grand féodal du Sud -Ouest, transférant le conflit familial à la maison d’Armagnac.

À la mort de sa mère, le 4 décembre 1408, il hérite du comté d’Asti et de quelques terres lombardes.

En 1415, survient la reprise de la guerre, Charles d’Orléans fait partie de l’armée française poursuivant Henri V retraitant dans le nord de la France. À la débâcle d’Azincourt, le 25 octobre 1415, Charles d’Orléans est fait prisonnier et emmené en Angleterre. Sa libération est conditionnée par le paiement d’une rançon. Il reste 25 ans en Angleterre, années pendant lesquelles il développe son œuvre.

Charles d’Orléans reçoit l’hommage d’un vassal

En effet, il ne se trouve personne pour payer sa rançon. Sa seconde épouse est décédée fin 1415, son beau-père, le comte Bernard VII d’Armagnac, a été massacré par les partisans de Jean Sans Peur en 1418 et, en 1420, a disparu son frère cadet, Philippe, comte de Vertus. Son duché d’Orléans est laissé sans défense et les Anglais assiègent Orléans sans même songer à demander au duc, leur prisonnier, de leur ouvrir les portes ; siège auquel mit fin Jeanne d’Arc.

Il est enfin libéré le 5 novembre 1440, contre une rançon de 220 000 écus, représentant partiellement la dot de sa nouvelle épouse, car le 26 novembre 1440, à 46 ans, il épouse Marie de Clèves, âgée de quatorze ans, nièce du duc de Bourgogne, Philippe le Bon, et petite-fille du meurtrier de son père Jean sans Peur. En 1447, il récupère son comté d’Asti et rentre en France l’année suivante pour finir sa vie retiré à Blois. En 1457, le 19 décembre, alors qu’il a 63 ans, son épouse accouche d’une fille, Marie d’Orléans, et, le 27 juin 1462, alors qu’il a 68 ans, Marie de Clèves accouche cette fois d’un fils, Louis, le futur roi Louis XII. En 1464, elle est de nouveau enceinte, pour la troisième fois, et donne naissance à une fille, Anne d’Orléans, quelques mois avant la mort de son mari.

Charles d’Orléans meurt à Amboise le 5 janvier 1465, sur le chemin du retour, alors qu’il venait d’assister à Poitiers à une assemblée des princes du Sang et des grands féodaux. Il est inhumé en l’église du Saint-Sauveur à Blois.

Charles d’Orléans est l’auteur d’une œuvre considérable : 131 chansons, 102 ballades, sept complaintes et pas moins de 400 rondeaux.

1890-Centenaire de sa naissance-1990

juin 17th, 2010

1890-Centenaire de sa naissance-1990

Charles de Gaulle (1890 - 1970)

Le général de Gaulle a donné de lui deux images : celle de l’homme du 18 juin 1940 et celle du fondateur de la Ve République en 1958.

Charles de Gaulle est né à Lille le 22 novembre 1890 dans une famille catholique et patriote. A sa sortie de l’Ecole militaire de Saint-Cyr en 1912, il choisit l’infanterie qu’il juge “plus militaire”. Pendant la Première Guerre Mondiale, blessé, il est fait prisonnier en 1916. Après plusieurs tentatives d’évasion, il est enfermé dans la forteresse d’Ingolstadt.

Dans l’entre-deux-guerres, il réfléchit à une réforme de l’armée. Dans son ouvrage, Vers l’armée de métier, publié en 1934, il préconise l’usage d’un corps de blindés.

Colonel en 1937, général à titre temporaire à la fin mai 1940, de Gaulle est appelé par Paul Reynaud, président du Conseil, comme secrétaire d’Etat à la Défense nationale et à la Guerre, le 5 juin. Le 16 juin, de retour de mission en Angleterre, il apprend la demande d’armistice. Il repart aussitôt pour Londres afin de poursuivre la guerre, et lance un appel à la résistance, sur les ondes de la BBC, le 18 juin.

P-P : Je n’ai pas choisi ce jour pour ce sujet, c’est vraiment un hasard de l’album !!

Napoleon Bonaparte & sa maison natale.

juin 16th, 2010

Napoléon & sa maison natale

Napoléon Bonaparte.

Napoléon Bonaparte naît à Ajaccio, le 15 août 1769, un an après le traité de Versailles par lequel Gênes cède l’île à la France. Il a pour nom de baptême Napoleone di Buonaparte (acte du 21 juillet 1771, mais sur son acte de mariage avec Joséphine de Beauharnais, il signa Napoleone Buonaparte). Issu d’une famille faisant partie de la noblesse de robe italo-corse dont la présence sur l’île est attestée depuis le XVIe siècle (Maison Bonaparte d’origine toscane, il est le quatrième enfant (second des enfants survivants) de Carlo Maria Buonaparte, avocat au Conseil supérieur de l’île, et de Maria Letizia Ramolino. Son prénom, Napoleone (ou Nabulione selon la graphie corse), lui est donné en mémoire d’un oncle mort à Corte en 1767.

La formation militaire

En 1777, Charles Bonaparte, représentant la noblesse, fait partie de la députation que l’Assemblée générale des États de la Corse envoie à Versailles auprès du roi Louis XVI. À cette occasion, le comte de Marbeuf, gouverneur de l’île, fait obtenir, auprès du ministre de la guerre le prince de Montbarrey, une bourse pour faire entrer le deuxième fils de Charles à l’école militaire, son frère aîné Joseph étant destiné à suivre une carrière ecclésiastique.

Le 1er janvier 1779, Charles Bonaparte fait entrer provisoirement ses deux fils Joseph et Napoléon au collège d’Autun. Napoléon y reste trois mois, le temps pour son père de faire les démarches pour le faire admettre à l’école militaire, devant pour cela fournir les preuves de sa noblesse et de quatre degrés d’ancienneté pour obtenir la bourse du roi. Le dossier fut examiné par le juge d’armes Antoine-Marie d’Hozier de Serigny. Charles Bonaparte ayant fourni les preuves de noblesse de la famille, Napoléon est agréé par le ministère de la guerre pour entrer au collège militaire de Tiron, mais, suite à des défections, il est finalement admis à l’École royale militaire de Brienne-le-Château (Aube).

Napoléon y entre le 15 mai 1779 en classe de septième. C’est l’un des douze collèges de France qui accueillent les enfants de la petite noblesse. Il va y rester cinq ans. Considéré comme bon élève, particulièrement doué pour les mathématiques, Bonaparte n’aurait pas été très apprécié de ses camarades notamment à cause de son admiration pour Pascal Paoli (Patriote corse : Morosaglia 1725-1807 à Londres.) Il montre déjà une propension à l’art du commandement, en organisant des jeux militaires dont il prend la tête. Une bataille de boules de neige, qu’il aurait dirigée un hiver, fait partie de sa légende. Son frère Joseph, ayant abandonné son projet d’entrer au séminaire, étudie le droit, Lucien entre au séminaire d’Aix-en-Provence et ses sœurs sont éduquées par Mme Campan.(Paris 1752- Mantes 1822 Educatrice –Française ….(sic) )

La Gastronomie..

juin 15th, 2010

La gastronomie

La gastronomie

La gastronomie est l’ensemble des règles (fluctuantes, selon pays, classes sociales et modes) qui définissent l’art de faire bonne chère.

Selon l’Académie française, « faire bonne chère », qui signifiait « faire bon accueil », fut utilisé dès le XIXe siècle au sens de « faire un bon repas » — un bon repas étant un élément d’un bon accueil. Dans ce sens, “chère” comprend tout ce qui concerne la quantité, la qualité et la préparation des mets.

Cet art englobe ceux, créatifs dans certains cas, consistant à recueillir, adapter ou inventer des recettes, à sélectionner des produits, à préparer des plats, des mets et à les déguster.

Un gastronome est un gourmand avisé, fort d’une culture de table.

Étymologie

Du grec gaster, le ventre, l’estomac, et de nomos, la loi, la gastronomie est littéralement « l’art de régler l’estomac ».

Le terme est attesté de façon isolée dès le XVIIe siècle. Certains supposent qu’il renverrait au titre d’un traité culinaire rédigé par le Grec Archestrate (IVe siècle av. J.-C.). Le dérivé gastronome est devenu d’un usage courant depuis la parution de l’ouvrage de Brillat-Savarin, Physiologie du goût.

Selon Brillat-Savarin: « La gastronomie est la connaissance raisonnée de tout ce qui a rapport à l’homme en tant qu’il se nourrit. Son but est de veiller à la conservation des hommes, au moyen de la meilleure nourriture possible ». Au XXIe siècle, le sens de ce terme a progressivement évolué vers « La gastronomie est la connaissance raisonnée de tout ce qui a rapport à la bonne chère ».

Définitions actuelles de la gastronomie

La gastronomie est un ensemble de connaissances et de pratiques concernant l’alimentation, lorsqu’il n’est plus indispensable d’avoir faim pour manger. Le mot se prête à de nombreuses définitions, pouvant différer sans se contredire.

Au XXe siècle

Au XXe siècle, on définit généralement et vaguement la gastronomie comme une manière particulièrement attentive, souvent considérée comme élitiste, de cuisiner et, surtout, de déguster des aliments, « avec pour piliers l’art de la cuisine et l’épicurisme.» ( ce n’est pas la morale d’Epicure, mais celle que lui ont attribuée ses adversaires, notamment les ‘’Pères’’ de l’église, qui luttaient contre toutes les formes de matérialisme. (Hum, c’est peut la raison qui fait qu’aujourd’hui, ils mettent de l’eau dans le vin tous les matins)

Son objectif étant de « satisfaire les papilles » plus que de répondre à un besoin vital, la gastronomie suit ou édicte des règles variables d’un pays à l’autre et dans le temps. Elles sont basées sur des techniques culinaires éventuellement très élaborées et des principes de dégustation faisant aller au-delà du plaisir immédiat, principes extrêmement variables selon les pays et les civilisations.

Les techniques culinaires sont, pour l’essentiel, celles de la cuisine ordinaire, mais exécutées à la perfection (choix des produits, température et temps de cuisson, assaisonnements), et demandent pour certaines un long apprentissage.

La notion de dégustation varie avec le contexte (convivialité joyeuse ou réunion d’experts s’érigeant en juges). De façon courante, il s’agit d’apprécier et de pouvoir analyser les accords de saveurs, les nuances de préparation, les harmonies entre mets et boissons d’accompagnement, la présentation même des mets, la qualité du service. Le « gastronome averti », parfois autoproclamé tel, est supposé capable de juger du respect des traditions ou de l’intérêt des innovations.

L’exercice de la gastronomie requiert donc un savoir, tant pour préparer que pour déguster et, en principe, le sens de la convivialité.

On affirme que l’art de préparer un repas gastronomique est celui du cuisinier, et que l’art de bien le déguster ….celui du gastronome.

Le Gland et la Citrouille.

juin 14th, 2010

Le gland & la citrouille

Le Gland et la Citrouille

Un bon pécor’ de la cambrouse,
Voulant piquer un roupillon,
Un jourdé se cloqua en douce
Sur un comaco potiron.
Oh ! bonit-il en vrai pétzouille,
La naturliche a du retard,
D’coller cette mastar’ citrouille
A la hauteur de mes panards.
Au lieu d’la laisser à la traîne
A s’faire amocher d’un coup d’flan,
Mézigue l’aurai pendue au chêne,
Dont j’aurai balancé les glands.
Mais voilà, mézigue est mariol,
Et la naturlich’ manque de toc;
Tout c’qu’ell’ fabrique est tartignolle,
Faudrait chanc’tiquer tout en bloc.
…………………………………..
Tandis qu’il pétarde et ramène
Sa fraise, en s’arrachant les tifs,
D’un coup d’zef, décarrant du chêne,
Un gland lui dingue sur le pif.
Se filant la pogne aux narines,
Le glaiseux reste tout dingo;
Bafouillant: « dans cette combine,
Mézigue doit s’estimer vergeot.»
La naturlich’, quoi qu’on débloque,
Bien gambergé son boulot;
Ceux qui charrient sont des cinoques;
Ce gland vient d’ m’ouvrir les callots.
Car je bigle déjà ma bouille,
Comment qu’jaurai été marron;
Si c’avait été la citrouille
Qui m’soit tombée sur l’carafon.

moralité
Ne charriez jamais avec des boniments,
Ça vous retombe un jour sur le coin du tournant.

Le Santal…

juin 13th, 2010

le santal

Le Santal…

Le bois de santal est le bois d’arbres appartenant principalement au genre Santalum, de la famille des Santalacées. Les arbres des espèces produisant ce type de bois poussent naturellement en Inde, au Népal, en Australie et à Hawaii. Ce bois est utilisé comme encens, en aromathérapie, et en parfumerie, plutôt que comme bois de construction ou de charpente, bien que des temples aient été construits en santal en Inde et conservent leur arôme depuis des siècles.

Des boîtes à bijoux précieuses ont également été façonnées en santal.

Tomé Pires, un apothicaire portugais qui de 1512 à 1515 a habité la ville de Malacca sur la péninsule Malaise, note dans sa Suma Oriental que le bois de santal provient des îles de Sumba et Timor dans l’actuelle Indonésie.

En parfumerie, le santal est utilisé comme note de fond, excellent fixateur qui permet de capturer les arômes de tête des autres huiles essentielles.

Principales espèces

Santalum album ou santal népalais, est une espèce végétale en danger[1], dont l’exploitation est très régulée par le gouvernement du Népal. Cela en fait une essence très chère, et en dépit des peines encourues des centaines d’arbres sont abattus illégalement chaque année. L’huile essentielle de santal qu’on en tire atteint des prix de 1 000 à 1 500 dollars par kilogramme. Le commerce de ces huiles est considéré par certains pays comme représentant un risque écologique, dans la mesure où il encourage l’exploitation de ces arbres. Le santal de la région de Mysore en Inde du Sud est considéré comme constituant la meilleure qualité disponible. De nouvelles plantations ont été mises en place avec l’aide de la communauté internationale au Tamil Nadu.

Santalum ellipticum, ou santal hawaiien (en hawaiien : ‘iliahi alo‘e), est également utilisé et est considéré comme étant de haute qualité.

Santalum spicatum, ou santal australien est utilisé en aromathérapie et en parfumerie. La composition chimique de son huile essentielle, donc son arôme, est très différent de celui des autres espèces de santal.

Le bois de l’Amyris balsamifera, parfois appelé « santal du Népal », n’appartient pas au genre Santalum. Le santal indien (S. album) est maintenant très rare et donc très cher. Quelques ‘’aromathérapistes’’ et parfumeurs utilisent le santal australien (S. spicatum) comme substitution. Les deux espèces diffèrent en concentration de constituants chimiques et donc en odeur. Le santal ouest-indien n’est ni santal ni indien ; c’est une Rutacée.

La broderie….

juin 12th, 2010

La broderie

Broderie .

Il s’agit de reproduire le dessin d’une grille (« le diagramme ») sur une toile à trame régulière (étamine de lin, de coton, canevas ou toile Aïda).

Les débutants préfèrent généralement une toile Aïda pour commencer, car elle offre la trame la plus régulière parmi les autres toiles.

Les toiles Aïda sont disponibles en plusieurs couleurs, la plus commune étant le blanc et l’écru, mais elles existent aussi en divers couleurs. Certaines marques proposent aussi des toiles pré-imprimées pour réaliser le point de croix, ou pré-imprimées pour faire office de fond de broderie afin de remplir l’espace blanc (petites étoiles, lunes, oursons, etc…)

Le lin quant à lui est réservé aux brodeurs expérimentés, car elle offre la trame la moins régulière. On la trouve principalement de couleur brunâtre.

Pour les grands travaux, un cadre de broderie sera un atout, maintenant la toile tendue afin de garder une qualité et une tension constante.

On peut également broder sur un tissus standard, on s’aidera alors d’une toile “Tire-fils” qui reproduit une trame légère. On la fixe sur le tissus ou à l’aide d’une colle en bombe pour tissus. Une fois la broderie terminée, on tire sur les fils verticaux et horizontaux de la toile “Tire-fils” pour les en extraire. La broderie est alors régulière sur une toile très fine qu’est le vêtement.

Pour broder le point de croix, on dispose de coton mouliné, généralement composé de 6 fils. Les bobinettes de coton sont appelées échevettes et comportent en général 8 mètres de fil. Plus de 500 coloris sont disponibles et certains effets spéciaux, comme l’effet lumière (fil brillant) et l’effet variation (variation de teinte le long du fil pour créer un effet) existent.

Les marques principales, dont DMC et Anchor, proposent tout une gamme de fils et de kits à broder, au point de croix ou autre.

De nombreux livres et magazines proposent des diagrammes qu’il suffit de reproduire. Les kits contiennent le diagramme, la toile, les fils et l’aiguille. Les kits ne contiennent généralement pas tous les fils, il faut se fournir en échevettes supplémentaires. Mais au moins chaque couleur est contenu dans le kit, en plus ou moins grande quantité.

1989:Bi-centenaire de la Révolution Française.

juin 11th, 2010

Bi-centenaire de la Révolution

Bicentenaire de la Révolution

Le bicentenaire de la Révolution est un évènement festif organisé en 1989 en France pour la célébration du 200e anniversaire de la Révolution, plus particulièrement de la prise de la Bastille le 14 Juillet 1989, ainsi que de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen le 26 août 1789.

De très nombreuses communes, écoles et organismes publics ou privés divers ont organisé des manifestations culturelles à l’occasion de cette commémoration hors normes, qui fut souvent à l’origine de témoignages permanents et originaux : illuminations, création artistiques, spectacles, constructions…

Sur les Champs-Élysées un immense défilé a été organisé, supervisé par Jean-Paul Goude.

La trente-neuvième promotion de commissaires de police issue de l’École nationale supérieure de la police, entrée en fonction en 1989, porte le nom Bicentenaire de la Révolution.

PS : demain je serai moins sur le net, car c’est nôtre journée grands- parents !!!

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