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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2010» juillet

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

l’Aigle & la Pie..

juillet 21st, 2010

L'aigle-et-la-pie

L’Aigle et la Pie.

L’Aigle, Reine des airs, avec Margot la Pie,
Différentes d’humeur, de langage, et d’esprit
Et d’habit,
Traversaient un bout de prairie.
Le hasard les assemble en un coin détourné.

L’Agasse eut peur ; mais l’Aigle, ayant fort bien dîné,
La rassure, et lui dit : Allons de compagnie ;
Si le Maître des Dieux assez souvent s’ennuie,
Lui qui gouverne l’Univers,
J’en puis bien faire autant, moi qu’on sait qui le sers.
Entretenez-moi donc, et sans cérémonie.
Caquet bon-bec alors de jaser au plus dru,
Sur ceci, sur cela, sur tout. L’homme d’Horace,
Disant le bien, le mal, à travers champs, n’eût su

Ce qu’en fait de babil y savait notre Agasse.
Elle offre d’avertir de tout ce qui se passe,
Sautant, allant de place en place,
Bon espion, Dieu sait. Son offre ayant déplu,

L’Aigle lui dit tout en colère :
Ne quittez point votre séjour,
Caquet bon-bec, ma mie : adieu. Je n’ai que faire
D’une babillarde à ma Cour :
C’est un fort méchant caractère.

Margot ne demandait pas mieux.
Ce n’est pas ce qu’on croit, que d’entrer chez les Dieux :
Cet honneur a souvent de mortelles angoisses.
Rediseurs, Espions, gens à l’air gracieux,
Au cœur tout différent, s’y rendent odieux,
Quoiqu’ainsi que la Pie il faille dans ces lieux
Porter habit de deux paroisses.

PS: je passerai demain chez vous, le “vieux” est un peu fatigué…..

1823-Colonel Denfert-Rochereau-1878

juillet 20th, 2010

1823-Colonel Denfert-Rochereau-1878

1823-Colonel Denfert-Rochereau-1878

Pierre Marie Philippe Aristide Denfert-Rochereau, né à Saint-Maixent-l’École le 11 janvier 1823 et mort à Versailles le 11 mai 1878, est un militaire français. Il est resté célèbre pour avoir dirigé la résistance de la place forte de Belfort durant la guerre franco-allemande de 1870, ce qui lui a valu le surnom de « Lion de Belfort ».

Né dans une famille protestante de moyenne bourgeoisie, marié à Pauline Surleau-Goguel (vieille famille de Montbéliard), il est diplômé de Polytechnique (X1842). Il se distingue lors de l’expédition de Rome de 1849 et participe ensuite à la guerre de Crimée en 1855, puis est en poste en Algérie de 1860 à 1864.

Nommé gouverneur de la place de Belfort en 1870, il est confronté dès novembre 1870 à l’attaque puis au siège des armées allemandes, menées par Werder. Il mène alors avec sa garnison et la population de la ville une résistance héroïque qui dure 103 jours. Ce n’est que le 18 février 1871, sur un ordre du gouvernement de la Défense nationale, présidé par Louis Adolphe Thiers, qu’il accepte de quitter librement et invaincu Belfort avec ses troupes et ses armes évitant ainsi l’humiliation d’une défaite[1]. Partisan de la guerre contre l’Allemagne et du refus de l’armistice, il sollicite devant Thiers la grâce du jeune officier Louis-Nathaniel Rossel — lui aussi protestant — qui avait rejoint la Commune de Paris après la défaite française. Ce dernier est pourtant exécuté le 27 novembre 1871.

La résistance de Pierre Philippe Denfert-Rochereau sauve l’honneur d’une France humiliée par la défaite de Mac-Mahon à Sedan et la reddition de Bazaine à Metz. Il offre aussi la possibilité à Thiers de négocier la conservation de l’arrondissement de Belfort au sein de la France, alors qu’il faisait auparavant partie de l’Alsace, désormais revendiquée par les Allemands.

En 1872, il est député au Synode des Églises réformées pour le courant libéral. Il s’oppose à François Guizot et à Charles Bois, du courant orthodoxe contre l’adoption d’une confession de foi.

Héros national, il est élu député à l’Assemblée nationale, où il soutient la politique de Léon Gambetta. Il meurt à Versailles en 1878. Sa dépouille repose aux côtés de son épouse, dans le cimetière de Montbéliard.

Provence-Alpe-Côte d’Azur.

juillet 19th, 2010

Provence-Alpes- Côte d'Azur

Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Provence-Alpes-Côte d’Azur (orthographe officielle du Conseil régional) (Provença-Aups-Còsta d’Azur ou Prouvènço-Aup-Costo d’Azur en occitan provençal, prononcé est une région administrative de la République française, au Sud-Est. Elle est souvent désignée par l’acronyme PACA ou Paca.

Elle est limitrophe de l’Italie dont elle est séparée par les Alpes méridionales. Au nord, elle voisine avec la région Rhône-Alpes et à l’ouest avec le Languedoc-Roussillon dont le Rhône marque la limite. La région PACA est baignée au sud par la mer Méditerranée. La Provence-Alpes-Côte d’Azur regroupe six départements issus des provinces d’Ancien Régime de Provence et du Dauphiné. Une partie du Vaucluse est issue de l’annexion du Comtat Venaissin pendant la période révolutionnaire et la rive gauche du Var des Alpes-Maritimes qui constituait le comté de Nice rattaché à la France en 1860 pendant le Second Empire (Le comté de Nice était une ancienne partie du duché de Provence avant 1388, date de la dédition de Nice à la Savoie). Le logo du conseil régional rappelle ces quatre régions en reprenant leur ancien blason dans certaines publicités.

Colonisée déjà par les Grecs, la région faisait partie de la province romaine transalpine dénommée Provincia Romana, d’où dérive son nom actuel, du latin Provincia et, postérieurement, Narbonnaise (en latin Narbonnensis).

La région fut successivement habitée par différentes peuplades germaniques comme celles des Ostrogoths, des Burgondes et des Francs. En l’an 879 apr. J.-C., la région fut incorporée au royaume sous le nom de Provence (quelquefois appelée Bourgogne Cisjurane ou Cisjurásica) et ensuite, au Xe siècle, intégrée au royaume d’Arles.

Au commencement du XIIe siècle, elle fut soumise à la juridiction des comtes de Barcelone sous le règne de Pierre II d’Aragon. Postérieurement, elle perdit toute autonomie, restant soumise à la maison d’Anjou qui gouverna de 1245 à 1482 jusqu’au règne de Louis XI de France et fut définitivement annexée en 1483.

1720-1722 : la grande peste, partie de Marseille, envahit la Provence et la dévaste ainsi que les États pontificaux (comtat Venaissin).

Lors de la Révolution française, la Provence est divisée en départements : Bouches-du-Rhône, Var et Basses-Alpes (futur département des Alpes-de-Hautes-Provence). Le 14 septembre 1791, Avignon et le Comtat Venaissin sont rattachés à la France. Le territoire est temporairement partagé entre Drôme et Bouches-du-Rhône jusqu’à la création le 12 août 1793 du département de Vaucluse.

Parallèlement, la Provence retrouve le comté de Nice et donne naissance au département des Alpes-Maritimes le 31 janvier 1793 avant que celui-ci ne repasse sous le contrôle piémontais. En 1860, suite à un plébiscite, le rattachement du comté de Nice à la France ramène Nice à la Provence. Quelques territoires alpins du comté restent cependant italiens jusqu´en 1947 où un nouveau référendum entraine leur rattachement à la France, mettant un terme à près de sept siècles de division de la Provence, la frontière passant désormais par la ligne de crête.

Région Ile de France

juillet 18th, 2010

Ile de France

Région île de France.

L’Île-de-France est une région historique et administrative du nord de la France métropolitaine. C’est une région très fortement peuplée qui représente à elle seule 18,5 % de la population de la France métropolitaine ce qui en fait la région la plus peuplée (11,6 millions d’habitants) et la plus densément peuplée (966 hab./km²) de France. Ses habitants sont appelés franciliens et franciliennes. Elle est fortement centralisée sur l’agglomération de Paris qui s’étend sur 20 % de la surface régionale mais absorbe 90 % de sa population. L’aire urbaine de Paris (qui correspond à la notion de bassin d’emploi) recouvre quant à elle la quasi-totalité de la superficie de l’Île-de-France.

C’était sous l’Ancien Régime une province française relevant directement de l’autorité du roi de France. Comme toutes les autres provinces françaises, sa reconnaissance officielle fut supprimée en 1789 lors de l’instauration des départements. L’Île-de-France retrouva à nouveau un statut officiel avec la loi de décentralisation de 1982 impulsée par Gaston Defferre. Aujourd’hui elle regroupe huit départements : l’Essonne, les Hauts-de-Seine, Paris, la Seine-Saint-Denis, la Seine-et-Marne, le Val-de-Marne, le Val-d’Oise et les Yvelines.

Avec un PIB de 480 870 millions d’euros et un PIB/habitant de 42 712 euros, c’est sans conteste la région qui produit le plus de richesse en France. L’Île-de-France est également un pôle européen de premier ordre, c’est la 2e région européenne en termes de PIB PPA , juste derrière la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et la 6e région d’Europe en termes de PIB par habitant PPA, derrière la région métropolitaine de Prague en République tchèque mais devant les Southern and Eastern (Dublin) de la République d’Irlande.

L’avare qui a perdu son trésor…

juillet 17th, 2010

L'avare qui a perdu son tresor

L’AVARE QUI A PERDU SON TRESOR

L’usage seulement fait la possession.
Je demande à ces gens de qui la passion
Est d’entasser toujours, mettre somme sur somme,
Quel avantage ils ont que n’ait pas un autre homme.
Diogène là-bas est aussi riche qu’eux,
Et l’avare ici-haut comme lui vit en gueux.

L’homme au trésor caché qu’Esope nous propose, servira d’exemple à la chose.

Ce malheureux attendait,
Pour jouir de son bien, une seconde vie ;
Ne possédait pas l’or, mais l’or le possédait.
Il avait dans la terre une somme enfouie,
Son cœur avec, n’ayant autre déduit, que d’y ruminer jour et nuit, et rendre sa chevance à lui-même sacrée.

Qu’il allât ou qu’il vînt, qu’il bût ou qu’il mangeât,
On l’eût pris de bien court, à moins qu’il ne songeât, à l’endroit où gisait cette somme enterrée.
Il y fit tant de tours qu’un Fossoyeur le vit,
se douta du dépôt, l’enleva sans rien dire.
Notre avare, un beau jour ne trouva que le nid.

Voilà mon homme aux pleurs : il gémit, il soupire. Il se tourmente, il se déchire.
Un passant lui demande à quel sujet ses cris.
‘’C’est mon trésor que l’on m’a pris !’’.
Votre trésor ? où pris ? Tout joignant cette pierre.

Eh sommes-nous en temps de guerre. Pour l’apporter si loin ? N’eussiez-vous pas mieux fait de le laisser chez vous en votre cabinet, que de le changer de demeure ?
Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure.

A toute heure, bons Dieux ! ne tient-il qu’à cela ? L’argent vient-il comme il s’en va ?
Je n’y touchais jamais.

Dites-moi donc, de grâce, reprit l’autre, pourquoi vous vous affligez tant,
Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent : mettez une pierre à la place.

Elle vous vaudra tout autant .

(Lexique)

Diogène vivait dans un tonneau. Là bas= chez les morts.
Ici Haut (sur terre)
Déduit : distraction.
Chevance : richesse.
Bien court : il y songeait sans cesse
Fossoyeur : terrassier
Tout joignant : près de
Tout autant : autant de valeur.

L’oiseau blanc enfin retrouvé….

juillet 16th, 2010

Nungesser & Coli

Disparition - L’Oiseau-Blanc de Nungesser et Coli enfin retrouvé

Disparu en 1927 en tentant de rallier New York depuis le Bourget, l’Oiseau blanc, l’avion mythique de Charles Nungesser et François Coli, reposerait en mer non loin de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le mystère sera bientôt levé ! D’après les derniers indices livrés par le Fulmar, un patrouilleur équipé d’un magnétomètre ratissant les fonds marins, l’Oiseau-Blanc, disparu le 8 mai 1927, ne se serait pas écrasé dans les forêts du Maine. Immergée entre 30 et 50 mètres de profondeur, l’épave du biplan se trouverait non loin de son point d’arrivée, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le dernier témoignage en date et considéré comme crédible serait celui d’un pêcheur, M. Chevalier, parti de bonne heure dans la brume du cap Noir avec son labrador, un matin de mai 1927, à bord de son doris à moteur.

Selon Bernard Décré, marin et pilote passionné de Nungesser, « le secteur où a été entendu pour la dernière fois l’Oiseau-Blanc est maintenant bien identifié ». Un périmètre de trois kilomètres a été établi par des vétérinaires… à partir de l’acuité auditive du labrador, qui subitement s’était mis à vivement aboyer, sans raison apparente.

Nungesser l’aventurier

Surnommé « l’as de la Première Guerre mondiale » ou encore « le hussard de la mort » par son général, Charles Nungesser est avant tout connu pour ses exploits personnels. Plus de 21 décorations, une vie riche en émotions et en expériences, il demeure un aventurier dans l’âme.

En 1927, bien décidé à se surpasser, il décide avec François Coli d’entreprendre la traversée de l’Atlantique Nord. Sans même s’inscrire au prix Raymont Orteig, qui récompense de 25.000 dollars le premier à réaliser cet exploit, il décolle le 8 mai 1927 à bord d’un prototype du PL 8 fourni par le constructeur Levasseur, avant de disparaître au large.

L’Oiseau-Blanc est signalé pour la dernière fois au-dessus de l’Irlande, d’après le carnet de bord d’un officier britannique. Finalement, la carcasse d’un avion est découverte dans les forêts du Maine, elle sera par la suite attribuée à l’appareil de Charles Nungesser et François Coli.

Un invité dérangeant

Selon certaines sources, l’avion de Nungesser et Colis aurait été abattu en plein vol par des trafiquants d’alcool en transit à Saint-Pierre-et-Miquelon, une base arrière de la contrebande durant la prohibition. Al Capone aurait même séjourné sur l’île au moment du raid à l’hôtel Robert. Encore plus troublant, une peinture de la même époque, mettant en scène l’Oiseau Blanc piquant en pleine mer sous des rafales de balles, a été mise à jour récemment dans les caves de la représentation de Saint-Pierre-et-Miquelon à Paris.

Une toile jugée sûrement trop dérangeante au moment des faits et cachée en raison de l’omerta liée à la prohibition. Le Fulmar compte bien y répondre, en mettant le doigt sur les restes de l’avion et détecter si des impacts balles y sont présents. Le patrouilleur, équipé d’un énorme détecteur de métaux, ne devrait pas avoir de mal à repérer le moteur du biplan, un Lorraine Dietrich 12 EB en W de 450 chevaux, principale masse métallique de l’Oiseau-Blanc.

Cordes-sur-Ciel.

juillet 15th, 2010

Cordes (Tarn)

Cordes-sur-Ciel

Cordes-sur-Ciel (en occitan, Còrdas) est une commune française située dans le département du Tarn et la région Midi-Pyrénées.
Bastide construite en 1222 par le comte Raymond VII de Toulouse, haut lieu de l’hérésie cathare, c’est un site médiéval touristique au début du XXIe siècle. C’est l’un des Plus beaux villages de France et un lieu de passage du Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Ses habitants sont appelés les Cordais et Cordaises.

La bastide de Cordes, verrou militaire nord du comté de Toulouse, est construite entre 1222 et 1229 sous l’impulsion de Raymond VII pour rallier les populations éparses, chassées notamment de la forteresse de Saint-Marcel incendiée par les troupes de Simon de Montfort en 1215, lors de la première croisade des « Barons du Nord » contre les Albigeois. Car on ne parlait pas à l’époque d’hérésie « cathare » dans ce pays de langue d’oc. Lors de la seconde croisade contre les Albigeois, la magnificence et la solidité des remparts de Cordes font reculer Humbert de Beaujeu qui renonce à la conquérir.

Conformément à la paix de Paris (1229), Jeanne, fille unique de Raymond VII de Toulouse, épousait en 1241 Alphonse II de France, comte de Poitiers, frère du roi Louis IX (Saint Louis). Le comté de Toulouse, jusqu’alors autonome, est rattaché à la Couronne de France à la mort d’Alphonse II et de Jeanne en 1271. Jamais conquise, Cordes devient ainsi terre de France en 1370. Une charte est octroyée aux Cordais leur permettant de construire des maisons protégées par les remparts. Ainsi furent bâties quelques magnifiques demeures entre la fin du XIIIe et le milieu du XIVe siècle, dont les façades ont résisté aux outrages du temps. L’unité architecturale de la bastide, dans le plus pur style gothique, lui valut le surnom de « Cité aux Cent Ogives ». Son âge d’or dure du XIVe siècle au XVIe siècle avec un maximum de 6 000 habitants. Son économie est basée sur le commerce et le tissage.

Cordes, fidèle à « l’Église de Dieu » bien après le bûcher de Montségur en 1244, résista à l’Inquisition jusqu’en 1312, date de sa soumission officielle à l’Église catholique. Les guerres de religions de la fin du XVIe siècle occasionnent peu de dommage à la Cordes : elle est attaquée le 9 septembre 1568 par le baron de Paulin ; elle repousse l’assaut du vicomte Peyrole de Bruniquel, dans la nuit du 22 au 23 mai 1574.

Prosper Mérimée, alors chargé par Napoléon III d’établir un inventaire du patrimoine architectural français, la visita. La cité s’éveilla à nouveau à partir du milieu du XXe siècle, lorsque des artistes la redécouvrirent. Albert Camus après l’avoir visité dans les années 50, disait « À Cordes, tout est beau, même le regret ». La cité est officiellement devenue “Cordes-sur-Ciel” en 1993.

Source: Wikipédia

15 Août 44 débarquement des forces Françaises en Provence.

juillet 14th, 2010

1944-Débarquement français en Provence

Le débarquement de Provence

Le débarquement du sud de la France avait pour but d’appuyer les troupes débarquées en Normandie et de prendre les Allemands en tenaille. Cela aurait pour effet d’ouvrir deux fronts en France et de disperser les troupes blindées allemandes.

De Lattre arriva avec la Première Armée française (Armée B). Le 15 août 1944, les Alliés débarquèrent en Provence (l’opération fut baptisée Anvil, puis renommée Dragoon). Il s’agissait de prendre les Allemands en tenaille et de les obliger à combattre sur deux fronts.

Les deux opérations - Normandie et Provence - auraient dû avoir lieu le même jour, mais les Alliés manquaient de barges de débarquement. Beaucoup de celles du 6 juin 1944 resservirent le 15 août sur les plages du Midi.

L’équipement de cette armée française avait bien donné lieu à quelques frictions. Le commandement français voulait jeter le plus grand nombre possible de soldats dans la bataille ; les Américains exigeaient au contraire que soit “endivisionnées” seulement des unités dotées de services de soutien très étoffés. Les Français cédèrent pour éviter des retards. En définitive, la 1ère Armée française comptait 260 000 hommes répartis en sept divisions, dont deux blindées ; elle était entièrement motorisée.

Dès sa nomination, De Lattre s’était considéré comme un généralissime français et non comme un subordonné dans le commandement allié. Un accord interallié se fit pour que, après le débarquement, le quartier général français assumât le commandement tactique de la 1ére Armée.

C’était donc une armée française modernisée, mais aussi une armée autonome relevant directement du gouvernement français qui allait libéré Toulon (20-27 août) et Marseille (23-28 août) et faire dix-sept mille prisonniers allemands dans la première ville, trente-sept mille dans la seconde. Lyon fut atteint le 3 septembre. La jonction avec les troupes venues du Nord-Ouest se réalisa le 12 septembre 1944 à Langres.

L’insurrection des Forces Françaises de l’Intérieur avait également été préparée. Le général Cochet avait été nommé, à Alger, pour les commander sur le théâtre d’opérations Sud ; la 1ère Armée française comprenait un service de liaison avec elles ; de plus un bureau FFI était en service au ministère de la guerre. Tous ces services étaient coiffés par le Comité d’action au sein du gouvernement provisoire par l’intermédiaire de la direction général des services spéciaux.

Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es…

juillet 13th, 2010

Paloma

Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es !!!!!

Voilà que depuis ce jour, le gouvernement pavoise en annonçant que Woerth est ‘’lavé’’ de tout soupçon d’ingérence dans l’affaire Bettencourt. Nous devons constater que l’enquête a été conduite par l’I-G-F (inspection général des finances) qui a mon avis est aussi aux ordres. Encore une fois, le gouvernement nous prends pour des ‘’niards’’ et des ‘’courges’’.

J’ai en mémoire un article lu sur le Marianne du 10 au 16 juillet 2010, bien que je sois déjà au courant par le Canard-Enchaîné. Depuis 2004, soit depuis que Sarkozy est élu à la tête de l’UMP, est fondé un cercle ou club, qui sera la machine de guerre pour la conquête du pouvoir. Woerth est conforté comme trésorier de ce club en tant que trésorier de l’UMP. Il a déjà un bon carnet d’adresses et s’adjoint les services d’une femme, présidente du bureau français de l’American Jewish Committee, qui monte alors des charrity dinners à la française.

Le principe est simple : tout gros donateur (la somme est plafonnée à 4 500€ en période de campagne) est récompensé par un accès privilégié aux huiles du parti. Les premiers adhérents sont les meilleurs recruteurs. Pendant la campagne de 2007 Woerth et Devedjian font la tournée des places boursières mondiales. En Janvier : New-York, 3 mois plus tard : Genève où deux diners de gala sont organisés au Crowne Plaza puis au Caviar House, avec les plus grosses fortunes françaises exilées en Suisse, etc…… Remarque d’un banquier à la tribune de Genève :’’ Woerth ne cherchait pas alors à savoir si les chèques qu’on lui remettait, étaient prélevés sur des comptes suisses non déclarés au fisc français.’’ La méthode a payé, puisqu’ils ont empoché quelques 9 millions d’euros de dons privés contre 700 000 € pour Ségolène Royal !

Devant un tel succès, ce club si lucratif a perduré après l’élection présidentielle. N-Sarkozy paye de sa personne en réunissant les ‘’happy few’’ et en les gratifiant d’un petit discours. Il sait d’ailleurs très bien y faire :’’Je vous donne des infos que vous n’aurez pas dans le journal ‘’ lance t-il aux donateurs, réunis il y a un an au Bristol. En décembre dernier, les gentils donateurs ont été récompensés par la promesse que le chef de l’Etat ne reviendrait jamais sur le bouclier fiscal. La dernière réunion qui devait se tenir il y a peu, a été annulée par le dernier ‘’avatar’’.

Voici certaines réflexions de ces gens du 1er cercle qui sont peu connus (des banquiers, chefs d’entreprise, avocats, médecins, héritiers de bonnes familles et de vieille noblesse), mais ils sont riches, très riches même pour certains.

‘’Si je suis proche du ministre du budget, l’administration fiscale ne sera pas trop regardante.’’ (Peut- être qu’un vœu pieux ?) L’un deux va jusqu’à dire :’’ la double casquette de Woerth, a fait qu’il a de plus en plus d’ampleur au sein du club. C’est un mélange des genres plus que malsain de faire en sorte qu’en payant 5 000€ on se retrouve à faire table commune avec le ministre du Budget, mais c’est une réalité. Nous payons une cotisation à un parti et on se crée une relation avec le pouvoir, ce n’est pas cher payé !! ‘’

Pour quand une enquête réelle sur ces agissements !!!!

Il me semble, selon ce que je lis, que Woerth démissionnerait de la fonction de trésorier de l’UMP, ces jours ci, mais le cercle, lui va continuer, il faut juste en changer le ‘’banquier’’ !!!!

Quelle source de revenus pour un parti au pouvoir !!!

Montpellier 34

juillet 12th, 2010

Monpellier 34

Montpellier

Montpellier (Montpelhièr en occitan) est une ville du sud de la France, chef-lieu du département de l’Hérault et de la région Languedoc-Roussillon. Montpellier se situe entre Nîmes et Béziers, à proximité de la Mer Méditerranée. La commune intra-muros, est peuplée plus de 250 000 habitants et l’agglomération de 320 000 habitants. Elle est donc la 8e commune la plus peuplée de France et la 17e en therme de population contenue dans son agglomération. Montpellier est au centre d’une aire urbaine de 510 000 habitants ce qui montre son emprise sur le territoire et la classe au 15e rang national. Montpellier se situe sur l’axe entre l’Espagne à l’ouest et l’Italie à l’est. Les habitants de Montpellier sont appelés les Montpelliérains.

Montpellier viendrait du nom romain “Montepestelarius” transformé en “Montepestelario” (parler roman et populaire) signifiant le Mont du Pastel, francisé en Mont Peslier, et en occitan Montpelhièr.

Au Moyen Âge, le pastel était une plante indispensable pour la teinture des étoffes de laine, en bleu. C’est ce qui faisait toute l’importance de ce lieu.

Cette appellation se trouve dans l’acte conservé aux archives municipales de Montpellier (situées à la B.M.). Il s’agit de l’acte de donation de ce mont, situé entre Lez et Mosson, par le Comte et la Comtesse de Mauguio, à Guilhem Ier de Montpellier, en 985, date où déjà quelques mas de cultivateurs sommairement implantés y formaient une manse (propriété agricole).

Cette donation sera d’ailleurs l’acte fondateur de la dynastie des Guilhem.

La ville se situe à 10 km de la mer Méditerranée (Palavas-les-Flots) par voie express et à 75 km du point montagneux le plus proche (Mont Aigoual 1 567 m, situé dans le département du Gard) (station de ski de Prat Peyrot). Montpellier est à 52 km de Nîmes (Gard), 30 km de Sète, 61 km de Béziers, 168 km de Marseille (Bouches-du-Rhône), 248 km de Toulouse (Haute-Garonne) ou encore à 350 km environ de Barcelone. Elle est également à 750 km de Paris.

Aujourd’hui huitième ville de France par sa population intra-muros et troisième ville française de l’axe méditerranéen (derrière Marseille et Nice), elle est l’une des rares villes de plus de 100 000 habitants dont la population a augmenté de façon ininterrompue depuis une cinquantaine d’années. Elle a plus que doublé sur cette période pour atteindre 253 712 habitants au 1er janvier 2007 selon le recensement de l’INSEE. Avec 55 000 étudiants, c’est également la seconde ville universitaire de France après Poitiers en considérant la proportion d’étudiants à la population totale (21%).

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