De l’aurore au crépuscule voir plus …

Le hérisson d’Algérie., originally uploaded by patriarch38.

Il a le pelage blanc des animaux du désert.

Le petit hérisson d’Algérie est un membre de la famille complexe des Erinacéidés, au sein de laquelle les spécialistes ne savent pas toujours (aussi paradoxal que cela puisse paraître) exactement où s’arrête une espèce et ou commence la suivante ! Il n’en va pas tout à fait de même pour le hérisson d’Algérie ; cet insectivore se reconnaît, à première vue, à son très beau pelage blanc qui recouvre la surface ventrale, la tête et les membres ;

Il habite l’Afrique septentrionale et s’avance dans le Sahara, jusque dans les régions semi-désertiques. On le rencontre également dans la partie méridionale de la péninsule ibérique et sur le littoral méditerranéen de la France, où peut-être été introduit.

Par l’aspect général, il ne peut que ressembler passablement au hérisson d’Europe, mais il se distingue de toute manière par les pavillons des oreilles plus développés et surtout la coloration extrêmement pâle, parfois blanc pur, de son pelage, qui contraste nettement avec la couleur des piquants dorsaux.

Le hérisson d’Algérie se nourrit avant tout d’insectes, mais il livre aussi une chasse active aux petits reptiles de tout acabit, il saccage régulièrement les nids d’oiseaux au sol. Lorsqu’il le peut il tue et dévore des portées de rongeurs.

En 1405, le cheik Kamaleddin Demiri, auteur d’un traité sur les animaux, y décrivait deux espèces de hérissons : l’un vivant en Egypte, l’autre en Syrie. Cet ancien naturaliste raconte, en les reprenant de Pline, les célèbres histoires du hérisson transportant des fruits sur son dos, après les avoir embrochés sur ses piquants en se roulant dessus. La femelle met bas de 3 à 7 petits après une gestation de 33 à 48 jours. La longueur du corps d’un adulte est de 22 à 23 cm, et la longueur de la queue de 3 cm. Son poids va de 560 à 720 grammes.

Classe : Mammifères ; Ordre : Insectivores ; Famille : Erinacéidés ; Espèce : Aethechinus algirus.

Héron de Malaisie, originally uploaded by patriarch38.

Il habite les mangroves.

Si le héron cendré est pratiquement cosmopolite et se trouve dans tout l’hémisphère boréal, le héron de Malaisie est, lui, comparativement beaucoup plus localisé. Cela ne veut pas dire pour autant que l’oiseau reste cantonné dans une zone strictement limitée, loin de là, mais il se montre nettement moins vagabond que son proche cousin qui nous est familier. Le héron de Malaisie est, dans la plus grande partie de sa distribution, un oiseau sédentaire. Ce n’est qu’en quelques régions qu’il entreprend de courtes migrations saisonnières de peu d’importance.

On le confond parfois avec le héron cendré. Il est cependant moins grégaire et il préfère la vie en couple ou même en solitaire durant la plus grande portion de l’année.

Le héron de Malaisie niche dans les mangroves, qui sont son milieu naturel préféré. Il construit un nid assez rudimentaire sur les cimes élevées des arbres. La femelle y pond 2 œufs. On ne sait pas si elle assume seule l’incubation de sa nichée ou si le mâle l’assiste dans cette longue corvée. La saison de reproduction varie localement. On a trouvé des œufs, en juin, en Malaisie et, en août, dans la région de Singapour. C’est un oiseau caractéristique des plages boueuses, des mangroves et des côtes des petites îles d’Asie tropicale.

Comme le héron cendré, cet oiseau pêche des poissons et se nourrit aussi de crustacés, de mollusques et d’autres animaux marins. En eau douce, où on le rencontre le long des fleuves, il s’alimente de poissons et de grenouilles, mais ne dédaigne pas quelques serpents ou lézards. La longueur d’un adulte est de 1 mètre et son envergure de 1 mètre 70.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ciconiiformes ; Famille : Ardéidés ; Espèce : Ardea sumatrana.

Antilope cervicapre, originally uploaded by patriarch38.

Elle se raréfie de façon alarmante.

L’antilope cervicapre, connue aussi sous le nom d’antilope indienne se raréfie dangereusement. En effet, elle est assez localisée (en Inde au sud de l’Himalaya) et pendant longtemps on l’a massacrée par une chasse dite sportive, que lui ont faite les colons et les indigènes. L’extension de la colonisation agricole la prive d’autre part de vastes étendues où elle vivait paisiblement autrefois, ce sui fait, qu’en 1976, elle figurait déjà parmi les animaux rares de l’Inde. Fort heureusement, le gouvernement indien a créé quelques réserves naturelles, à l’intérieure desquelles un certain nombre de ces antilopes a trouvé refuge. Il n’est pas rare non plus, d’en voir quelques spécimens dans des zoos ou parcs animaliers.

Indubitablement, l’antilope cervicapre est l’un des plus beaux bovidés. Mâle et femelle portent des cornes magnifiquement torsadées, bien plus longues et plus grosses chez le mâle. Ces ornements sont malheureusement recherchés comme trophées par les « amateurs de chasse sportive »La couleur du pelage est aussi un signe distinctif. Le mâle a le cou et le dessus du dos : brun, et noir lorsqu’il est dominant, alors que la femelle et les jeunes sont de couleur fauve. Les cornes peuvent atteindre 68cm. C’est peut être parce qu’elle est extrêmement agile : (c’est en fait l’un des animaux les plus rapides, atteignant des vitesses de l’ordre de 80Km/h) qui permet d’appeler cette chasse sportive. (Je pense qu’elle doit se faire en voiture ! Tu parles d’un sport !) Elle est capable de faire des bonds de 6 mètres de long mais aussi de 2 mètre en hauteur.

L’antilope cervicapre vit en hardes, bien réduites de nos jours. C’est un mâle adulte qui dirige chaque harde et qui donne l’alarme lorsqu’un danger se précise. Elle est très craintive et fuit au moindre dérangement. Le marquage du territoire s’effectue, grâce à des sécrétions produites par le « larmier », glande développée et située en avant de l’œil. La femelle donne naissance à un seul petit. La gestation est de 180 jours. La longueur d’un adulte est de 1 mètre 20, une queue de 18cm, la hauteur au garrot, de 0 mètre 80, poids de 35 à 40 Kg et la longévité en captivité de 16 ans. En tant que bovidés, son alimentation est composée d’herbes et de cultures céréalières.

Dans la nature, après l’homme, son plus grand prédateur était jadis le guépard, mais ce prédateur a disparu de l’Inde depuis presque 50 ans.

Ordre : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Espèce : Antilope cervicapra.

NB : La photo n’est pas très belle, mais c’est celle de la fiche.

Chevalier arlequin, originally uploaded by patriarch38.

Le seul limicole qui a, au printemps un plumage foncé.

En plumage nuptial, il ne peut être confondu avec nul autre en raison de son plumage presque entièrement noir fuligineux ponctué de blanc sur le dessus. Les pattes sont rouges noirâtre, les sous caudales rayées de blancs. En plumage hivernale, sa livrée est gris pâle et ses ailes finement barrées de noir peuvent le faire confondre avec le Chevalier gambette. Cependant, il est plus grand et plus élancé, avec des pattes plus longues et une tache rouge à la base du bec, qui est également plu long, plus mince et plus incurvé. Quand on le voit passer en automne, il est nécessaire de faire attention pour le distinguer du chevalier gambette, car il porte une livrée très claire (le dessus est gris cendré et le dessous blanc).

Le chevalier arlequin niche dans les marais boisés à la limite de la toundra et de la taïga. Il n’atteint le bord des mers polaires qu’au niveau de certains estuaires. Il va passer l’hiver dans la région méditerranéenne (en petit nombre) et surtout en Afrique au nord de l’équateur, par exemple sur les côtes du Ghana. En Asie, il séjourne dans le sud, sur les îles de la Sonde et en Indochine.

Il prend sa nourriture dans les eaux douces aux rives plates, dans les vasières et assez souvent, se jette dans l’eau jusqu’à la poitrine, enfonçant la tête sous la surface pour saisir une proie. La quête de la nourriture se fait en petits groupes serrés qui se déplacent rapidement, en courant souvent et en nageant, tenant la tête très bas, par rapport à la surface de l’eau, ainsi que le font aussi les chevaliers aboyeurs. Son régime alimentaire est à bas d’insectes aquatiques et de leurs larves (hémiptères notamment) de têtards, de petits alevins et de mollusques comme les limnées et les planorbes.

Le nid se trouve en un lieu sec (dans la toundra sur un petit monticule). C’est un simple creux garni de quelques herbes sèches, feuilles et parfois d’une ou deux petites plumes. La femelle y dépose 4 œufs (pas 3 ni 5 ?) olives, tachés de brun. La ponte a lieu à la fin du mois de mai ou début juin. L’incubation dure environ 21 jours, certains disent par le couple et d’autres : par le mâle seul. La longueur adulte est de 30cm, celle du bec de 6cm et l’envergure de 55cm. Son poids de 140 à 160 grammes. Sa longévité serait de 6 ans.

Comme d’autres chevaliers, il a l’habitude de se percher sur une branche quand il est effrayé.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Charadriiformes ; Famille : Scolopacidés ; Espèce : Tringa erythropus.

NB : Je m’excuse auprès des dames, mais, même en fouillant partout, je n’ai trouvé aucun « Chevalier servant ». La race a complètement disparue !!

Raton laveur, originally uploaded by patriarch38.

Il donne l’impression de laver ses aliments.

Le raton laveur est un bien sympathique compère, que nous connaissons surtout pour sa curieuse habitude de laver sa nourriture en la trempant dans l’eau, pour la frotter ensuite vigoureusement entre ses pattes antérieures.

Le raton laveur est un mammifère omnivore originaire d’Amérique. Au Québec, on l’appelle aussi « chat sauvage », dénomination qui date des premiers colons européens. C’est un animal, essentiellement nocturne, qui grimpe facilement aux arbres, grâce à ses doigts agiles et ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel, avec de légères teintes de roux et porte autour des yeux un masque noir bordé de blanc. Sa queue est rayée de blanc et de noir.

Sa longueur totale est de 655 à 960 mm avec sa queue de 200 à 275 mm. Les adultes pèsent entre 5 et 12 Kg pouvant aller jusqu’à 28 kg, car le poids fluctue selon la saison, atteignant un maximum à l’automne. Le mâle est plus gros que la femelle. Les nouveaux-nés pèsent de 57 à 85 grammes. La maturité sexuelle est à 2 ans, et leur longévité de 12 à 16 ans.

Il fréquente la forêt mixte, de feuillus et les régions agricoles. On le retrouve en bordures de forêts, le long des cours d’eau et dans les marécages. Il peut même aller, jusqu’à vivre dans les parcs urbains et les banlieues. Il s’abrite dans les arbres creux, une caverne, un terrier de marmottes abandonnés, une grange ou un hangar et change souvent d’abris. En hiver, il passe de longs moments en état de torpeur, somnolant, résistant au froid grâce à sa graisse sous-cutanée. Omnivore, il préfère néanmoins de petits animaux aquatiques : palourdes, moules, écrevisses, poissons et grenouilles et même tortues. Il s’alimente aussi de petits mammifères (rat musqués, mulots etc.), mais aussi d’œufs, de fruits, de baies sauvages, de maïs et de déchets. La croyance populaire selon laquelle le raton laveur lave sa nourriture avant de la manger, vient surtout du fait qu’il se nourrit en grande partie de petits animaux aquatiques et qu’il frotte sa nourriture entre ses pattes comme pour la pétrir. Sa présence est souvent signalée par des amas de coquilles de palourdes sur les rives des cours d’eau.

Les femelles s’accouplent en janvier ou février, et n’ont qu’une seule portée par an. Les petits au nombre de 1 à 7, naissent en avril-mai après une gestation de 63 jours. Les femelles s’occupent seules de l’élevage de la nichée.

Classe : Mammifères ; Ordre : Carnivores ; Famille : Procyonidés ; Espèce : Procyon lotor.

FLamant-rose, originally uploaded by patriarch38.

Un bec énorme pour des proies microscopiques.

Le flamant rose et ses trois cousins constituent une famille d’oiseaux remarquables. Ce sont ni des oies, ni des cigognes, en dépit de leurs caquetages d’oies et de leur allure d’échassiers. On a découvert vers 1980, qu’en fait les flamants sont assez proches parents des anatidés, soit des oies et des canards. La ressemblance se trouve cependant au niveau des protéines du sang ! Deux choses sont dignes d’intérêt chez le flamant rose : d’une part son plumage rose, tirant parfois sur le rouge, ou au contraire pâlissant pour devenir presque blanc ; et d’autre part son bec arqué et démesurément grand.

La coloration du plumage dépend du régime alimentaire, car le flamant se teinte de rose en tirant la substance colorante des minuscules crustacés dont il se nourrit. En captivité, il est indispensable de lui procurer une quantité de crevettes, sans quoi son beau plumage perdra tout l’éclat, pour devenir blanc. Le bec curieux du flamant fonctionne comme un peigne fin ou un filtre, grâce à des milliers de lamelles, qui laissent passer l’eau, mais retiennent les créatures infiniment petites qui pillulent dans la vase.

Le flamant rose est un oiseau côtier lié aux eaux saumâtres : son habitat privilégié est constitué par les lagunes et étangs littoraux, notamment dans les deltas des grands fleuves comme le Rhône. Les groupes de flamants rose en « gagnage » sondent simultanément l’eau à la recherche d’invertébrés : le tête dans l’eau et les pattes remuant pour mettre en suspension la vase. Au repos, ils se tiennent souvent sur une patte et la tête fourrée dans les plumes. Il est capable de nager. Ce grand oiseau vole généralement en groupes : sa silhouette est typique avec le cou et les pattes allongés. Malgré la masse de l’oiseau, le vol reste direct et énergique. La quasi-totalité de la population française nicheuse se localise en Camargue dans un secteur de salins.

Le flamant niche en vastes colonies pouvant atteindre, parfois, plusieurs milliers de couples. Elles se situent sur les îlots vaseux. Les deux adultes construisent une coupe surélevée en terre où la femelle déposera l’œuf unique annuel. L’incubation est assurée pendant 28 à 31 jours par les deux partenaires. Les jeunes quittent le nid après dix jours et sont rassemblés comme dans une « crèche » sous la surveillance des adultes. Les parents les nourrissent d’un liquide nourrissant qu’ils versent dans le bec des rejetons. Ses derniers prennent leur envol au bout de 10 à 11 semaines. Après leur émancipation, ils réalisent une migration, généralement directe via la Méditerranée, vers l’Afrique du Nord. Le poids d’un adule va de 2 à 4 kilogrammes ; sa taille de 125 à 127 centimètres ; l’envergure de 135 à 155 centimètres.

La population nicheuse semble stable dans l’UE et serait de l’ordre de 25 000 couples. La destruction ou la transformation des zones humides, dues notamment à la pression urbanistique est la menace principale pour l’espèce. Il est aussi très vulnérable au dérangement. Ainsi, une unique perturbation peut occasionner l’échec reproductif de toute une colonie. Exemple : passage d’un hélicoptère à base altitude, oui même simplement un ballon gonflable d’enfant « dérivant » dans les airs. Considérant qu’une colonie peut compter parfois 20 000 couples (en Camargue par exemple) on comprendra aisément l’impact biologique de telles négligences.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Phoenicoptériformes ; Famille : Phoenicoptéridés ; Espèce : Phoenicopterus ruber ;

Castell’Arquato, originally uploaded by patriarch38.

Il me semble avoir déjà parler de ce bourg où mon père est né,le 04/04/1900 .( Du temps où j’étais chez 20six.)

Ce n’est pas mon passé, mais celui de mes racines. Ce bourg, Castell’Arquato, figure déjà dans la chronique de Piacenza dès 566. Il était habitait par le peuple Ligure. En 772, les seigneurs et maîtres de ce bourg sont les Vescovi di Piacenza, mais en 1220 le peuple s’insurge et crée une commune libre. Ce bourg connaît une grande prospérité, jusqu’en 1290, ou le capitaine du peuple,Alberto Scoto s’approprie tous les pouvoirs

Par la suite, elle fut sous l’autorité de Gian Galeazzo Visconti jusqu’en 1317, où après de violents combats avec Milan, elle fut soumise à la famille Sforza et dirigée : par les capitaines Nicollo Piccinino, Bartolomeo Colleoni et Tiberio Brandolino da Forli.. Un grande période de paix et de prospérité sous la férule des Sforza di Santa Fiora, qui dura jusqu’en 1707, avant de passer sous l’autorité de la Chambre Ducale Parmesane jusqu’à l’Unité Italienne en 1861.

Cette plaine de l’Arda est une des plus belle région de l’Italie du Nord, où on y trouve énormément de châteaux, abbayes et autres Castels. Castell’Arquato est la cité médiévale, la mieux conservée de cette région italienne : L’Emilie- Romagne.

Voilà encore des souvenirs des soirées. Je crois encore entendre mon père chantait : « Romagna, Romagna mia ….. »

Lion de l’Atlas (Zoo d’Amnéville), originally uploaded by patriarch38.

Le lion de l’Atlas, a disparu de son milieu naturel. Le dernier a été tué en 1922, par un français qui se prenait pour Tartarin de Tarascon. Tout comme le lion iranien en 1923 et celui du Cap déjà dès 1868.

Il en existe encore quelqu’uns dans des Zoo ou parcs animaliers, comme celui de Tempra en Algérie et celui du Cap. Celui représenté ici, est « Bougli » né en 1988 (année de la création du Zoo d’Amnéville (Moselle) et nourri au biberon. Depuis, 3 lionceaux de souche marocaine y sont nés.

Sa robe va de l’ocre argenté à brun foncé, le ventre blanchâtre. Seul le mâle porte crinière. C’est un mammifère carnivore de la famille des félidés, tout comme le chat et le tigre. Il a un odorat peu développé, ses griffes sont rétractiles, comme celle du chat. La longueur du corps d’un mâle va de 2mètres60 à 3mètres30, la femelle de 2mètres40 à 2mètres70. La longueur de queue est de 0,60 centimètres à 1 mètre. Le mâle pèse de 150 à 250 Kg et la femelle de 120 à 185 kg. La maturité sexuelle vers 3-4 ans, La gestation est de 100 à 119 jours, pour une fratrie de 2 à 6. Le sevrage vers 6 mois. La longévité en liberté était de 15 ans, elle peut aller jusqu’à 30 ans en captivité.

Il vivait en tribu de 5 à 6 animaux, composés de plusieurs femelles adultes avec leurs petits. Les mâles défendaient la tribu et le territoire, mais c’est une lionne dominante qui régnait sur toute la famille.

Je vais être absent sur la toile, quelques heures ou quelques jours, suivant que la nouvelle Freebox v5 HD est arrivée ou non. Car pour la recevoir, il faut déconnecter celle-ci et l’apporter au relais Kiala. Mon fils pense qu’elle est déjà arrivé, sinon on ne peut pas se reconnecter avec celle-ci, puisque la connexion ne peut plus se refaire avec celle-ci.

Alors : Ciao et à +++