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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2006» avril

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Ennot 8 ans.

avril 30th, 2006


Ennot 8 ans., originally uploaded by patriarch38.

Qu’est le chien Eurasier ?

C’est à partir de 1950, que l’ethnologue konrad Lorentz décida de recréer un chien qui allait devenir l’Eurasier.

Il y a quelques siècles, entre l’Ob et l’Ienissei, des éleveurs avaient domestiqué un chien d’apparence Spitz, issu de croisements naturels et dont le descendant direct serait le « Laika de Nemetz » russe. Lorentz voulait recréer cette race équilibrée et fidèle, dont ce servait les anciens éleveurs comme gardiens de troupeaux.

Deux races furent d’abord sélectionnées pour cette création. Le Spitz-loup, chien européen des régions nordiques, comme ascendant maternel, et le chow-chow, chien asiatique comme géniteur. C’est cette double filiation qui va justifier son nom.

En 1970, il va s’avérer nécessaire de faire intervenir une 3ème race, pour stabiliser et assouplir le caractère de cette première « bouture », et ce fut le chien samoyède, chien Esquimau, proche aussi du loup, qui va le permettre. 20 ans seront nécessaire pour que le standard de la race soit enfin présenté à la Fédération Cynologique Internationale et le 27/02/1973, cette race pouvait figurer parmi les races reconnues. En 1974, il n’y avait que 26 Eurasiers homologués en France et 169 inscrits fin 1989, dont Ennot des Terres de L’Ardilleux (03/02/1989)

Tout d’abord, c’est un chien avec un look terrible.
De taille moyenne, bien proportionné et une ossature solide. Une fourrure à poil long, particulièrement : sur la gorge, le train postérieur, la queue et la face dorsale des pattes. La couleur va du tout noir, au gris-beige en passant par le roux, le fauve etc. D’ailleurs, tout au long de sa vie, Ennot est passé par des teintes différentes selon son âge.

La tête triangulaire présente une analogie certaine avec le type loup, mais son regard : yeux sombres et légèrement en amande, franc et direct en atténue le type.
C’est un chien vigoureux qui s’adapte à toutes les conditions de vie, y compris en appartement, quoique son atavisme et sa fourrure l’amènent à se sentir plus à son aise en climat frais.
Son élégance, son allure racée sont un atout supplémentaire.

Fidèle à son maître, attaché à toute sa famille, doux et patient avec les enfants. Il garde cependant uns certaine indépendance et ne veut pas être un chien de cirque ou un toutou à sa mémère. Après éducation, vif et intelligent, il comprend vite ce que l’on attend de lui. De plus n’aboie qu’à bon escient. Un exigence toute fois, il réclame une vie de famille, et ne supporte pas le chenil ou la chaîne. Il aime vivre au milieu des « siens », sachant (grâce à l’éducation reçue) ce qui lui est permis et non permis. Il n’entre jamais dans les pièces interdites.

A part les vaccins et parfois de l’eczéma, il est rarement malade et ne se plaint jamais. La position de sa queue vous indique, sa forme et son humeur. Son entretient demande un brossage 2 fois par semaine, et 3 fois en période de mue, ainsi qu’un à deux bains par ans. (Comme j’avais tout mon temps, il avait le droit à plus de brossage). Sorti régulièrement et aux mêmes heures (3 à 4 fois par jours selon le temps), il est d’une très grande propreté et en cas d’ennui intestinal, il sait très bien vous demander la porte, même en pleine nuit,si nécessaire.

Chien de caractère stable, affectueux, caressant sans jamais être servile, il attend de son maître la même affection et le même équilibre.

C’est bien le même chien que vous voyez, mais à des âges différents. Hier à 3 ans, en médaillon au dessus des liens, à 1 an et demi, ici 8 ans et sur la bannière 13 ans !

Ennot 3 mois

avril 29th, 2006


Ennot 2 mois, originally uploaded by patriarch38.

Je vous mets une photo de notre chien, de race eurasier, prénommé Ennot, alors qu’il n’avait que 3 mois ! Bonne fin de semaine et 1er mai à tous !

Mangouste rouge

avril 28th, 2006


Mangouste rouge, originally uploaded by patriarch38.

C’est la mangouste la plus répandue en Afrique.

Il n’existe pas d’autre espèce de mangouste aussi largement distribuée sur le continent africain que celle-ci. On la rencontre presque partout au sud du Sahara, sauf dans l’extrême sud-ouest. La mangouste rouge est un animal très variable dans sa coloration : il en existe de toutes tonalités. Les variations sont nombreuses, mais il n’est peut-être pas utile d’attribuer un rang spécifique à des formes étrangement voisines qui n’ont sommes toutes qu’un valeur approximative. Il ne faudrait les considérer à chaque fois que comme une représentation local, tant leurs mœurs sont identiques. La coloration des robes de la mangouste rouge varie du rouge au gris-roux, mais toutes ont le bout de la queue : noir.

Les mangoustes « rouge » sont solitaires mais certains mâles peuvent s’associer (3 à 4) pour défendre un territoire. Ces coalitions servent à se constituer un domaine sur lequel vivent des femelles qui seront séduites à la période des amours. Cela assure aux mâles de la coalition une bonne chance de descendance. Pour autant, ces mâles ne vivent pas ensembles et même font « chambres à part », ils chassent en solitaires. Ils ne font que partager et défendre un territoire en commun. Elle s’alimente de rongeurs, oiseaux, reptiles etc. C’est une espèce exclusivement diurne, grande amie du soleil, mais on a également pu l’observer en activité durant les nuits éclairées par la pleine lune.

Toute l’année, mais plus particulièrement à la saison pluvieuse, les femelles s’accouplent avec 1 ou 2 mâles et donnent naissance à 1 ou 3 petits après une gestation de 2 mois. Elles peuvent avoir 2 portées par ans. Les jeunes mâles quittent la mère vers l’âge d’un an alors que les jeunes femelles restent encore associées avec leur mère quelques temps. La longueur du corps d’un adulte est de 28 à 34 cm, et la queue de 26 à 29 cm, avec un poids 575 grammes pour la femelle et de 715 grammes pour le mâle. La longévité est de 10 ans environ.

C’est l’une des plus petites espèces, qui s’apprivoise parfaitement lorsqu’on la prend jeune ; adulte, elle reste sauvage et agressive. On a coutume en Afrique, de la laisser courir librement, car elle débarrasse la maison et les dépendances des blattes et toute autres vermines.

Classe : Mammifères : Ordre : Carnivores ; Famille : Viverridés ; espèces :Herpestes sanguineus.

Faucon pèlerin

avril 27th, 2006


Faucon pèlerin, originally uploaded by patriarch38.

Il risque de disparaître en raison de la pollution.

Ce faucon est l’espèce la plus répandue dans le monde, parmi la famille des Falconidés. On le trouve facilement sur tous les continents, et c’est aussi le favori des fauconniers. Bien qu’il vive dans les régions boisées, les plaines découvertes et les landes, il a une préférence pour les zones rocheuses des collines et montagnes, et en particulier les falaises bordant la mer. Il vit par couples et se tient sur un vaste territoire de chasse, dont il défend l’accès aux autres oiseaux de proie.

C’est un petit oiseau de proie de 34 à 39 cm, avec une envergure de 95 à 115 cm et un poids de 900 à 1300 grammes pour le mâle et de 600 à 750 pour la femelle. Il a un bec court et recourbé dès la base, avec des ongles en forme de faux (d’où son nom) Facile à identifier en vol par sa silhouette d’ancre formée par ses longues ailes et sa queue. Son plumage est variable : de foncé au gris clair.

Il ne chasse qu’au vol et percute sa proie avec le bréchet après avoir effectué un long piqué quasi vertical (ailes fermées). Le buffetage est une technique de chasse typique du faucon pèlerin. Malgré la supériorité de ses armes, il n’est pas rare de voir le grand corbeau lui livrait bataille, où ce dernier n’a pas toujours l’avantage. C’est l’oiseau le plus rapide au vol dans le monde, avec des piqués qui peuvent atteindre 320km/heure et même plus. Ses ailes longues et pointues lui permettent un vol puissant, rapide et agile tout à la fois. Le vol battu est lent, raide avec des battements peu amples. En vol à voile, les ailes sont à l’horizontale avec la main légèrement relevée.

Sa proie préférée est le pigeon biset, mais il consomme aussi une grande variété d’espèces, notamment des oiseaux. Il niche sur des falaises et pans rocheux dans les collines, montagnes, landes, arbres de vastes bosquets. Parfois même dans de vieux nids. La plupart des pontes en Europe occidentale ont lieu vers la mi mars. La femelle y dépose de 3 à 5 œufs, l’incubation dure de 28 à 30 jours, par la seule femelle nourrie par son mâle. Les jeunes quittent le nid à l’âge de 35 à 40 jours, nourris jusque là, par les deux parents.

Depuis 1955, on assiste à une régression de l’espèce dans toute l’Europe et même au-delà, comme tous les oiseaux de proie qui se nourrissent d’autres oiseaux insectivores ou même de rongeurs, pâtissent des produits pesticides ingérés par leurs proies. On peu même se demander,s’il n’est pas appelé à disparaître définitivement un jour.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Falconidés ; espèce Falco peregrinus.

Wallaby à courte queue

avril 26th, 2006


Wallaby à courte queue, originally uploaded by patriarch38.

Il est bel et bien d’un genre particulier !

Ce petit wallaby, seul de son espèce, possède un corps lourd (3 à 3,5 Kg, parfois 5kg) et sa queue courte (25 à 35 cm, pour un corps de 48 à 60 cm), est incapable de supporter son poids et ne peut être utiliser comme point d’appui. Sa fourrure soyeuse est de couleur brun roux.

Essentiellement nocturne, ce wallaby vit dans les broussailles épaisses et les herbes marécageuses où il se fraie des passages. Au crépuscule, il sort de son terrier et s’en va brouter dans les espaces découverts riches en végétation. Il mange une variété de végétation, mais l’un de ses aliments préférés est constitué de feuilles d’acacias, arbres qu’il parvient à escalader jusqu’à une hauteur de 2 mètres, même si sa constitution ne les y prédispose pas ; ensuite ils se déplace de branches en branches. Il détecte la présence de l’eau jusqu’à 2,5km de distance. Il a appris à se nourrir sur les décharges en périodes de sécheresse et se procure un complément de protéines en utilisant l’urée composant de l’urine.

Même si la femelle est dotée de 4 tétines, il n’y a toujours qu’un seul petit à la fois. Après une gestation de 17 jours, la femelle met bas d’un petit ne mesurant guère que 25 mm. Et celui-ci va directement dans la poche, pour finir sa « croissance ». Elle s’accouple le lendemain même ; l’embryon résultant de cet accouplement est retenu dans l’utérus, mais s’il s’y fixe, il ne commence à s’y développer que lorsque le premier jeune a quitté la poche maternelle. Les jeunes sont sexuellement mûrs à 2 ans.

Autrefois abondant dans les régions côtières de l’Australie occidentale, ce wallaby a vu sa population s’amenuiser du fait de la chasse dont il a été l’objet et aussi des prédateurs introduits par l’homme. Il subsiste en plus grands nombres sur l’île de Rottnest, près de Perth et à proximité d’Albany, sur l’île de Bald où il est protégé et hors d’atteinte des renards.

Il faut espérer que la transformation de l’île de Rottnest en site de loisir pour les habitants de Peth se soit réalisé en respectant leur habitat naturel, sinon ce sera la disparition de ce marsupial.

Classe :Mammifères ; Ordre : Marsupiaux ; Famille : Macropodidés ; espèce : Setonyx brachyurus.

Quiscale bronzé

avril 25th, 2006


Quiscale bronzé, originally uploaded by patriarch38.

Un fléau pour l’agriculture.

Il existe plusieurs espèces de quiscales, qui sont des passereaux américains, vivant du Canada au Pérou. Ce quiscale commun, ne se distingue guère par un plumage coloré : uniquement noir, il est cependant paré de reflets métalliques, particulièrement mis en évidence par le soleil. Il a une longue queue en forme de cuillère, et un grand bec légèrement incurvé vers le bas. Le mâle adulte a un fort reflet métallique violet sur la tête et le cou, et bronze ou violet sur le reste du plumage. Il a d’étonnants yeux jaune pâle. Les pattes sont foncées. La femelle est plus petite que le mâle, et ses couleurs sont plus ternes. Le juvénile est plutôt brun charbonneux et il a les yeux foncés. L’albinisme existe aussi, mais d’une façon très partielle.

C’est un oiseau très sociable, qui vit en bandes nombreuses, pouvant compter plusieurs milliers d’individus. Les agriculteurs ne l’aiment guère, car c’est un fléau des cultures. Les vols s’abattent sur les vignes, les vergers et les cultures maraîchères, à la manière des vols d’étourneaux en Europe. Il est vorace et dévore avidement les fruits et graines qu’il trouve à sa disposition. Ne se contentant pas de piller les cultures, il gâche une grande partie des récoltes, piquant ça et là en un gaspillage incroyable. Il est particulièrement redouté dans les cultures de ruz et de maïs au début de la croissance des plantules, étant capable de détruire des hectares en peu de jours.

Il se déplace en un vol ondulant comme celui de la pie. Sa longue queue constitue un certain handicap par temps venteux, car ce n’est pas un excellent voilier. Outre les produits végétaux, il s’en prend aussi à un grand nombre d’animaux : insectes, petits reptiles et jeunes oiseaux. Il s’est acquis une triste réputation en se livrant au pillage des nids de passereaux. Il tue les oisillons à coups de bec répétés sur le crâne, et abandonne, parfois, ses victimes sans même les dévorer. Les bandes se dispersent à la saison de nidification

Il est généralement monogame, et c’est la femelle qui choisit l’endroit pour bâtir son nid, qu’elle construit d’ailleurs elle-même. En général dans un conifère. Parfois, elle utilise des nids anciens d’autres oiseaux, de pics ou de petits rapaces. C’est une grande coupe volumineuse, faite avec des tiges de bois, des feuilles et des brins d’herbes, mais aussi des fils de pêche, des plumes, du fumier et des rubans. Le nid est tapissé de boue, et ensuite d’herbe et de crins de cheval, qu’elle s’en vient piquer directement sur l’animal. Elle y dépose de 4 à 7 œufs très variables de couleur. L’incubation dure environ de 12 à 14 jours, toujours assurée par la femelle. Environ la moitié des mâles « désertent » à ce moment là, alors que certains participent à l’élevage des poussins qui sont nidicoles. Ils abandonnent le nid au bout de 12 à 15 jours, après la naissance tout en restant au alentours, nourris par les adultes pendant encore plusieurs semaines. Taille adulte : 28 à 34 cm ; Envergure : 36 à 46 cm ; Poids de 75 à 140 grammes. Longévité : 22 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; famille : Ictéridés ; Espèce Quiscalus quiscula.

Le muscardin

avril 24th, 2006


Le muscardin, originally uploaded by patriarch38.

C’est le plus joli rongeur de nos campagnes.

Le muscardin, qui est apparenté au loir, est l’un des plus jolis rongeurs de nos bois et campagnes. Son pelage est d’une douceur extraordinaire. C’est uns sorte de petite souris de 6 à 9 cm de long et sa queue mesure de 7 à 7,7 cm. Son poids est de 15 à 40 grammes et sa longévité de 3 à 4 ans. Il a de petites griffes et ses pattes antérieures, composées de quatre doigts, sont plus courtes que ses pattes postérieures à cinq doigts.

Après avoir sommeillé pendant quatre mois, le muscardin s’éveille au printemps et se met à chercher une compagne pour fonder une famille. Comme le font les oiseaux, le muscardin construit un nid en forme de boule, pourvu d’une ouverture latérale. Ce nid rivalise de perfection avec ceux des meilleurs bâtisseurs parmi les oiseaux. Ce rongeur peut produire une ou deux portées de petits par an, selon les régions tempérées ou froides (à cause de l’hibernation). Les parents construisent un nouveau logis à chaque fois. Ce travail les occupe pendant 8 à 12 jours. On a trouvé des nids de muscardins parmi l’amas de branches des aires de rapaces diurnes, en particulier les milans noirs. Il peut avoir 3 à 7 petits et la gestation est de 22 à 14 jours. Son territoire est d’environ de 1000 à 2000 mètres carrés.

Le muscardin est avant tout un arboricole. C’est un acrobate sans pareil, qui se déplace avec autant d’aisance sur une branche que suspendu à une ramille à la façon des paresseux. Il est naturellement nocturne et dort tout le jour. Son régime alimentaire est très complexe, il est à la fois insectivore, herbivore, frugivore et se nourrit parfois de noix, graines etc. Pour se nourrir, il cherche surtout dans les broussailles. Il mange surtout des noisettes, glands, graines ou fruits, bourgeons et baies. Bien que végétarien, au début de l’été, il mange aussi les insectes. Par contre, il ne boit pratiquement jamais.

Il habite les forêts de toutes sortes composées de taillis denses. On le retrouve dans les montagnes, ou collines, parcs et bosquets d’arbres dans les prés. Ils sont surtout répandus dans le nord et l’Asie mineure. En Europe leur territoire s’étend jusqu’à l’est et en France, on le retrouve surtout dans la moitié est. Ses ennemis sont les belettes, hermines et même les chouettes.

Classe : Mammifères ; Ordre : Rongeurs ; Sous ordre : Myomorphes ; Famille : Gliridés ; Espèce : Muscardinus avellanarius

1941-Ecole des Frères

avril 23rd, 2006


1941-Ecole des Frères, originally uploaded by patriarch38.

Hier, en lisant le post de Maévina, je me suis décidé à mettre,cette photo de ma dernière année, avant mon entrée en internat. Il y a aussi mon ami de toujours.Bientôt 72 ans que nous nous connaissons !! Où suis je ? Je suis dans le dernier rang et mon ami juste devant moi.

Allez au travail :razz::lol:

Un petit coin de paradis !!!!!

avril 22nd, 2006


Un petit coin de paradis !!!!!, originally uploaded by patriarch38.

Pour une journée relaxe .
Chut: silence, je………… “fainéantise” :cool:

Griffon de l’Himalaya

avril 21st, 2006


Griffon de l’Himalaya, originally uploaded by patriarch38.

Il chasse au dessus des terrains découverts.

Le genre Gyps compte 6 ou 7 espèces de vautours bien connus pour leur régime charognard. Le griffon de l’Himalaya est le plus grand de tous, avec une longueur de 1 mètre 20, pour une envergure de 2 mètres 60 à 3 mètres, avec un poids entre 8 et 12 Kg. Il a été considéré parfois, comme une sous espèce du vautour fauve que l’on peut observer en Europe. Mais, si les aires des deux oiseaux se recouvrent partiellement en Asie centrale, on a toujours constaté que chacun restait de son côté : pas de familiarité entre eux !! Le griffon de l’Himalaya possède, en outre, un plumage beaucoup plus pâle, avec moins de roussâtre.

Cet oiseau ne niche pas au dessous de 1200 mètres ; il est cependant parfois observé, en hiver rigoureux, à plus basse altitude, surtout dans le nord de l’Inde. La plus grande partie de son existence se déroule en haute montagne, où il peut s’élever jusqu’à 6 000 mètres et même parfois davantage. Abondant au Tibet, il est, comme ses cousins, assez sociable, en ce sens qu’il dort, mange et niche en groupe.

On a constaté qu’une petite troupe réussissait à dépecer un cadavre de yack en 2 heures. Agressif quand il se repaît sur une carcasse, il ne recule que devant le loup ou un vautour moine. On le voit généralement venir après le grand corbeau ou le gypaète qui repèrent les cadavres en premiers.

Le nid, de faible taille, est un amas de branchettes plus ou moins collées par des excréments ; avec le temps, il devient plus gros, mais n’atteint jamais des dimensions impressionnantes. L’œuf (unique) est blanc ou plus ou moins taché de marron. La ponte a lieu de la fin décembre jusqu’au début de mars. Incubation dure 54 jours. L’ensemble du cycle reproduction, de la ponte jusqu’à l’envol du jeune griffon, dure entre 6 mois ½ et 7 mois.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes, famille : Accipitridés ; Espèce : Gyps himalayensis !

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