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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2006» juillet

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Le Coliou strié

juillet 31st, 2006


Le Coliou strié, originally uploaded by patriarch38.

Le Coliou mérite son surnom « d’oiseau souris »

Le Coliou est un singulier oiseau de la taille d’un petit passereau, portant un plumage terne. Il est caractérisé par sa longue queue de perroquet et son bec court et un peu recourbé, il a reçu le nom anglais de « mousebird »=oiseau souris en raison de sa manière de courir sur les branches à vive allure, ce qui le fait ressembler à une souris, d’autant plus que sa coloration grise ou brunâtre n’offre aucune teinte vive. Le coliou aime à se tenir sur ses tarses, ce qui pourrait faire croire qu’il n’a pas de pattes. Sa longueur de corps adulte est de 15 cm, et celle de sa queue de 23 cm.

Par son allure générale, le coliou dont on connaît une vingtaine d’espèces, fait encore penser à un faisan en miniature. C’est un oiseau sociable, qui vit en bandes. On chercherait vainement un coliou isolé. Les volées se déplacent d’arbres en arbres et lorsqu’ils sont au repos, ces oiseaux se livrent à un toilettage réciproque, se lissant mutuellement les plumes, avec, semble t’il, une satisfaction évidente. Ce comportement est assez peu répandu chez les oiseaux, alors qu’on le trouve chez maintes espèces de mammifères.

Le coliou a de puissantes griffes qui lui permettent de véritables acrobaties sur les arbres, ainsi on peut voir des bandes de colious perchés en ligne sur des branches, certains individus l’étant normalement, d’autres sens dessus dessous.

Il est presque exclusivement frugivore. Il représente un véritable fléau en maintes régions agricoles où les vergers reçoivent leurs visites indésirables à l’époque de la maturation des fruits. Lorsqu’il ne trouve pas de fruits, le coliou s’accommode de bourgeons : en quelques heures, une volée parvient ainsi à détruire complètement les pousses d’un arbres. Ils « habitent » en Afrique du Sud, principalement : Le Cap. La femelle dépose 2 à 4 œufs, suivi d’une incubation de 15 à 18 jours. Les jeunes quittent le nid à l’âge de 21 jours environs. Inutile de vous dire qu’ils ne sont pas vraiment appréciés des hommes.

Class : Oiseaux ; Ordre : Coliiformes ; Famille : Coliidés ; Espèce : Colius striatus.

Cascade de glace

juillet 30th, 2006


Cascade de glace, originally uploaded by patriarch38.

Juste un peu de fraîcheur, par ces temps de chaleur.

Il y en a de moins en moins à escalader !

Gaufre à Poches

juillet 29th, 2006


Gaufre à Poches, originally uploaded by patriarch38.

Le gaufre à poches vit solitaire dans son terrier.

La famille compte plusieurs genres et beaucoup d’espèces. Du genre Geomys, on distingue 3 espèces principales, la plus commune est le genre Geomys bursarius. La gaufre à poches est un singulier rongeur d’Amérique septentrionale.

Les gaufres ont un corps trapu, de petits yeux, de petites oreilles, une queue courte et des pattes antérieures munies de grandes griffes recourbées qui lui servent à creuser. La couleur de leur pelage varie du gris au brun, et leurs poils courts sont orientés dans toutes les directions.
Ils transportent leur nourriture ou les matériaux pour construire leur nid, dans des abajoues doublées de fourrure qui s’ouvrent vers l’extérieur, par le jeu de muscles particuliers, la retournant complètement, afin de la vider. Les poches reprennent ensuite leur place et l’orifice en est obturé par le pelage facial. Leur bouche se ferme derrière de grandes dents, qui poussent sans arrêt, ce qui leurs permet de récolter de la végétation souterraine (et même les semis) et de creuser des tunnels dans les prairies et les prés alpins sans avaler de terre. On connaît plusieurs groupes de rongeurs qui ont des poches intérieurs, mais seuls les gaufres à poches ont des poches externes.

La gaufre passe toute son existence solitaire dans son terrier, au système assez complexe de tunnels et de galeries. Ce n’est que pendant la brève période de la reproduction que le gaufre mâle daigne quitter l’obscurité de son gîte et se montrer en plein air pour trouver une femelle qu’il abandonnera après la saillie,(dit-on) pour retourner à sa vie d’ermite.

Animal fouisseur par excellence, le gaufre à poches a les pattes adaptées pour creuser et possède des griffes extrêmement développées, surtout aux pattes antérieures. L’animal est actif toute l’année et ne tombe pas en léthargie hivernale. Ce rongeur est exclusivement végétarien. Il ronge les racines et bulbes souterrains, mais il accumule aussi des graminées et des feuilles, qu’il entasse dans un « garde-manger » , genre de monticule à l’abri des inondations, au-dessus de son souterrain.

La femelle met bas de 1 à 3 petits, après une gestation de 18 à 19 jours, poids de naissance 2 à 3 grammes ; et la maturité sexuelle est à 3 mois. La longueur du corps d’un adule est de 13 à 20 centimètres, la queue est de 6 à 8 centimètres, et le poids de 300 à 400 grammes.

Classe : Mammifères ; ordre : Rongeurs ; Sous-ordre : Schiuromorphes ; famille : Géomyidés ; Espèce : Geomys Bursarius

Tyran écarlate

juillet 28th, 2006


Tyran écarlate, originally uploaded by patriarch38.

Il se construit un joli petit nid douillet et bien camouflé.

Le Tyran écarlate appelé aussi moucherolle vermillon, est un joli petit oiseau, familier des vallées basses des zones désertiques, au sud de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. La végétation qui borde les canaux d’irrigation représente également un de ses habitats et on le voit perché sur les saules et les peupliers. En Arizona, il n’est qu’un estivant nicheur à partir du mois de mars, il est sédentaire au Mexique.

Au cours du vol nuptial, le mâle monte en décrivant des cercles, tout en faisant, de temps en temps, entendre son chant ; il ne s’élève d’ailleurs guère plus de 6 à 8 mètres. Le nid construit dans une enfourchure horizontale d’un saule ou d’un sycomore, se trouve entre 2,5 à 6 mètres de haut. On en a aussi découvert dans des chênes et des arbres du genre Cercidium. Bien camouflé, il se compose de petits rameaux morts qui ne mesurent que quelques centimètres de long; puis de tiges, d’herbes, de racines, de fibres, de morceaux d’écorce et de toiles d’araignées. Les parois extérieures sont même décorées de lichens ; la coupe interne est tapissée de duvet végétal, de poils, et de plumes (celles de tourterelles ou d’autres tyrans), son diamètre est de 7 centimètres 50 et sa hauteur de 5 centimètres. Il abrite des œufs blancs ou crème, marqués de taches brunes et grises. Les oeufs sont au nombre de 3 et l’incubation, assurée par la femelle dure 12 jours.

L’alimentation de se Tyran, se compose d’insectes pris en vol ou au sol (criquets, coléoptères, mouches, etc.) à la façon des gobe-mouches. Peu farouche, remuant, le mâle ne craint pas d’attaquer les intrus qui viennent près du nid. Parmi les ennemis de ce charmant oiseau on compte un autre tyran, beaucoup plus gros que lui, qui se fait assaillir s’il passe trop près de son petit cousin. Le départ pour les quartiers d’hiver a lieu au mois de septembre.
La longueur totale d’un adulte est de 12 centimètres 50

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Tyrannidés ; Espèce : Pyrocephalus rubinus.

Galago de Demidoff

juillet 27th, 2006


Galago de Demidoff, originally uploaded by patriarch38.

C’est un hôte minuscule de la forêt vierge.

Le galago de Demidov représente une des plus petites espèces du sous-ordre des Prosimiens. Il occupe la zone forestière tropicale qui s’étend de l’Afrique occidentale au cœur de l’Afrique orientale.

De la taille d’un rat, il possède une large tête pouvant effectuer une rotation de 180°, un museau court et des yeux particulièrement développés. Les oreilles minces et nues peuvent être repliées à volonté, comme les ailes d’un scarabée, en se plissant soit par la base, soit en se rabattant par la pointe. A peine visible alors, elles peuvent être redressées au moindre bruit. Comme tous les galagos, l’animal utilise ce moyen pour atténuer le bruit provenant de l’environnement et pouvoir dormir tranquille, lorsqu’il fait jour.

Arboricole et très actif, il vit généralement à l’étage supérieur de la voûte forestière, alors que les autres galagos préfèrent les étages inférieurs. Ses déplacements dans les arbres se font verticalement et ce petit animal grimpe même plus rapidement qu’un écureuil. Il utilise également la position érigée et progresse alors par bonds, comme les kangourous. Certains sauts peuvent atteindre une longueur de 1 mètre 80.

Bien qu’essentiellement nocturne, le galago de Demidov peut être actif durant les heures diurnes. Au repos, ces animaux dorment en petits groupes, serrés les uns contre les autres, dans un creux d’arbre, un nid abandonné ou confectionné par leurs soins et garni des matériaux les plus divers. Leur vocabulaire semble assez étendu et les cris variés qu’ils émettent ont , à première vue, des significations différentes quand à leur comportement.

La femelle a une ou deux portées par ans de 1 ou 2 petits. La gestation est de 4 mois. La longueur d’un adulte va de 13 à 16 centimètres, sa queue de 18 à 20 centimètres et son poids de 100 grammes environ.

Classe : Mammifères ; Ordre : Primates ; Sous-ordre : Prosimiens ; Famille : Galagidés ; Espèce : Galago demidovi.

Diduncule strigirostre

juillet 25th, 2006


Diduncule strigirostre, originally uploaded by patriarch38.

Un bon cas d’adaptation et une morphologie étrange du bec.

Ce pigeon aberrant se distingue immédiatement par la forme de son bec que l’on a comparé à celui de « Dodo », oiseau qui vécut sur l’île Maurice et qui disparut vers 1681. En effet, il est très épais, nettement crochu et possède deux encoches et trois pointes de chaque côté de la mandibule inférieure. On estimait autrefois que l’oiseau se nourrissait au sol, mais des études assez récentes (Beichie :1987-1991) ont montré qu’il s’agissait d’in oiseau arboricole, mangeant directement les fruits sur l’arbre.
Son bec unique constitue une adaptation pour se nourrir de ses fruits préférés : le crochet au bout du bec lui sert à extraire la graine dure, tandis que sa mandibule inférieure à trois « dents » lui permet de retirer la pulpe visqueuse du fruit.

Il a la tête, le cou, poitrine et manteau vert noirâtre, avec une nuance bleu argenté sur la nuque. Les parties inférieures sont sombres avec une nuance grise plutôt que verte ou bleue. Le dos, le croupion, le dessus de la queue et les plumes secondaires internes sont brun châtain. Les primaires, les secondaires externes, et le dessous des ailes sont noir grisâtre. L’iris est brun sombre, le cercle oculaire et les lores sont rouges. Les femelles sont beaucoup plus ternes. Les juvéniles ne montrent pas de vert iridescent sur la tête, le cou et la poitrine, ont les plumes bordées de brun châtain.

Il semble que ces oiseaux soient assez proches des « Treron », les pigeons verts su Sud-est asiatique. Sa distribution est limité à deux îles de l’archipel des Samoa : Upolu et Savaii, où il fréquente les forêts primaires à « Dysoxylum » (famille des acajous) qui produisent les fruits constituant la source principale de sa nourriture, avec, entre autres, les figues. Comme les perroquets, il maintient sa nourriture avec les pattes, pour la déchiqueter avec le bec.

Au XIXème siècle, on voyait encore des groupes d’une dizaine, mais actuellement, l’espèce est en danger, car non seulement sa distribution est très limitée, mais aussi, son habitat forestier diminue de plus en plus. De plus, il souffre des effets des cyclones qui frappent régulièrement l’archipel. On estime que sa population a diminué de 50% au cours de la dernière décennie,suite aux catastrophes naturelles (en 1990 et 1991, la canopée de la forêt a été réduite de 100% à 27,8% du fait des cyclones. La chasse constitue aussi une autre menace : ainsi, jusqu’en 1985, 400 oiseaux étaient tirés chaque année. Maintenant, bien que cette chasse soit illégale, ces oiseaux sont encore tirés (accidentellement : hum !) . (Confusion avec d’autres columbidés non protégés.) Faut il le croire !!Le parc national ‘’ O Le Pupu Pu’e’’ sur l’île d’Upolu bien que récemment choisi comme site pilote de l’espèce, subit encore des coupes illégales et le développement de l’agriculture.

Classe : Oiseaux ; Famille : Columbiformes ; Famille : Columbidés ; Espèce : Didunculus Strigirostris.

La nature est si belle.

juillet 23rd, 2006


La nature est si belle., originally uploaded by patriarch38.

Elle est si belle, préservons la.

Juste pour un peu de fraîcheur.

Cette photo n’est pas de moi,puisqu’elle me vient d’ Hawaï. Soit de ma nièce, soit d’un amie de ma soeur. Je ne me souviens plus. Carte postale, ça c’est sûr !! Bon Dimanche à tous:cool:

Cascade de la Sauffaz. Sixt (Haute Savoie)

juillet 22nd, 2006

Il fait trop chaud pour travailler…alors un peu de fraîcheur pour tous !

L’Eland.

juillet 21st, 2006


L’Eland., originally uploaded by patriarch38.

C’est peut être maintenant un nouvel animal domestique.

L’éland, dont on distingue deux espèces, est la plus grande des antilopes et ressemble énormément à un bœuf sauvage. Il est curieux de constater que l’un de ces éland (l’éland du Cap illustré ici) est un animal de savane, alors que son cousin : l’éland de Derby vit exclusivement en forêt tropicale.

L’éland est sociable et vit en troupeaux de 10 à 25 tête, dont les membres sont placés sous la protection du mâle dominant. Constamment en alerte, celui-ci se met soudain à pousser des beuglements, graves et puissant, répétés à courts intervalles. Se faisant, il s’écarte du troupeau, puis s’arrête et recommence ce manège jusqu’à ce que tous les membres du troupeau l’aient remarqué. Toute la bande fuit alors à vive allure. Malgré sa corpulence, l’éland peur atteindre 65 Km/ heure.

Il n’est pas rare de voir une de ces antilopes, sauter par-dessus une de ces congénères, car elle peut faire des sauts de plus de 2 mètres de haut ! Elle doit cette faculté à la forme particulière de son astragale, os du talon, dont les extrémités supérieures et inférieures sont, comme chez toutes les antilopes, en forme de « poulie » (ressort) D’ailleurs les chasseurs indigènes savent repérer les élands pendant la nuit, au bruit étrange qu’ils font en marchant. On a d’abord cru que ce bruit sec et bref de castagnette provenait des sabots s’entrechoquant, mais on a découvert, par la suite, que c’est l’articulation du genou qui craque lorsque l’animal marche. Un bruit analogue se produit chez le renne. (Drôle d’ossature).

Les représentants des deux sexes, portent de fortes cornes spiralées pouvant atteindre 1mètre20, mais le mâle, pour paraître encore plus grand et montrer ainsi sa force et sa supériorité, n’hésite pas à y enfourcher du branchage. La longueur du corps d’un adulte peut aller jusqu’à 3mètres, sa queue de 80 à 90 cm. Sa hauteur au garrot de 1 mètre50 à 1mètre 80 et son poids peut atteindre 1000kg. La femelle met bas son petit, après une gestation de 255 à 270 jours.

Depuis plusieurs années, des essais sont entrepris par les Russes et les Sud Africains en vue de domestiquer l’éland. Cet animal présente absolument toutes les caractéristiques et dispositions pour être converti à brève échéance en un « précieux auxiliaire » de l’homme (Hum ! comme c’est joliment dit), tant pour la fourniture de sa viande et de son lait. (Ben : voilà la raison). La raison est qu’il est capable de prospérer dans des savanes pauvres, où périrait toute vache domestique.

En Afrique de l’Est, il rencontre très peu de prédateurs naturels. Même le lion, préfère des proies plus petites et plus faciles à attraper. Elle est aussi, protégée par l’IUCN

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Espèce : Taurotragus oryx.

Grébifoulque

juillet 20th, 2006


Grébifoulque, originally uploaded by patriarch38.

Ni un grèbe, ni un foulque !…

Cet étrange oiseau rappelle les cormorans et les anhigas par la longueur de son cou et certaines de ses habitudes, les foulques et les grèbes par la forme de ses pattes, mais il diffère des uns et des autres par son incapacité à plonger. Pourtant il mène une vie aquatique et quand il nage, on ne voit plus que la tête et son cou.

La grébifoulque se nourrit de petites bêtes qu’elle capture dans l’eau : crustacées, larves de libellules, mollusques et même petites grenouilles. Elle construit son nid sur une souche émergeant à la surface, souvent parmi les débris entraînés par le courant ou le vent dans une anse tranquille. Il lui arrive quelques fois, de le placer à faible hauteur dans un arbre. La femelle y pond deux œufs tachés de roux et de brun. La grébifoulque africaine vole rarement et en cas de danger, préfère se faufiler dans le fouillis végétal qui entoure les lacs et les cours d’eau où elle vit. Elle peut grimper dans les arbres peu élevés et à terre se déplacer rapidement, malgré ses courtes pattes. En vol, elle ressemble bien aux foulques ; si on la fait fuir elle court sur l’eau en battant des ailes.

Elle fait partie d’une famille comprenant seulement deux autres espèces qui habitent, l’une l’Amérique centrale et le nord de l’Amérique du Sud, l’autre la péninsule Malaise et Sumatra. La grébifoulque appartient au vaste groupe dans lequel on place : les râles, les poules d’eau, les foulques, les outardes et les grues. Très silencieuse, elle manifeste rarement sa présence par des cris. Toutes sont sédentaires et mènent une existence en dehors de la période de reproduction. Sa longueur adulte est de 60cm.
Selon ma fiche de 1977, sa biologie et son mode de reproduction sont encore mal connues. Je suis allé voir sur le « net », mais les « renseignement » s’il y en a, sont en anglais.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Gruiformes ; Famille : Héliornithidés ; Espèce : Podica senegalensis.

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