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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2007» mars

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Tomy

mars 31st, 2007


Tomy, originally uploaded by patriarch38.

Ci-dessus, photo prise aujourd’hui du pensionnaire “Tomy”de ma fille !

Un fermier sursaute en apercevant par terre, une demi- douzaine de préservatifs usagés. En levant la tête, il voit qu’un de ses employés est couché dans le fenil, avec une fille du village.
- Qu’est ce vous faites là haut ? Crie le fermier.
La fille répond :
-Nous goûtons les fruits de l’amour !
-En ce cas, dit le fermier, cessez d’en jeter les pelures par terre. C’est mon troisième canard qui s’étouffe en avalant une de vos sacrées capotes.

Un garçon très naïf fait part de ses inquiétudes à sa belle mère :
-Voilà trois mois que nous sommes mariés, comme vous me l’aviez conseillé avec insistance, j’ai épousé votre fille dont vous vantiez la virginité.
-En effet, où est le problème ? demande la belle-mère.
-Elle vient de donner le jour à un bébé.
-Vous devez être content d’être papa ? Non !
-Oui, mais j’ai toujours entendu dire que cela ne pouvait se produire que neuf mois après la conception. D’où je déduis que je ne suis pas le père de ce bébé.
-Ce n’est pas ainsi qu’il faut raisonner, répond la belle-mère. Reprenons tout à Zéro. Depuis combien de temps êtes vous marié avec ma fille ?
-Trois mois !
-Bien. Depuis combien de temps ma fille est-elle mariée avec vous ?
-Trois mois.
-Parfait. Et depuis combien de temps êtes vous mariés tous les deux ?
-Trois mois.
-Eh bien, faites l’addition : les neuf mois y sont.

L’arrivée de nouvelles étoiles de la politique a entraîné la relégation de bien des vieilles lunes. Dans ce milieu où le machisme règne, cela n’a pas toujours été facile. Comme l’a noté une jolie blonde, débutante dans le métier de ministre :
-Quand une femme, fait le même travail qu’un homme, elle doit le faire deux fois mieux, simplement pour être considérée.
Un temps, puis elle ajoute avec malice :
-Heureusement, ce n’est pas trop difficile !

En tout cas, c’est promis, c’est juré ! Demain on rasera gratis. Et cela….sans impôts nouveaux pour acheter la mousse.
Il est vrai, que selon le mot d’un député, doublé d’un poète, l’avalanche des prélèvements sur nos feuilles de paie montait vers des sommets digne de l’Everest. Dieu merci, certaines catégories de contribuables ont, à la fois, la possibilité et l’art de dissimuler plus de 50% de leurs revenus au fisc.
Un inspecteur des contributions directes affirme :
-Huit non- salariés sur dix nous mentent quand ils établissent leur déclaration !
-Qu’est ce qui vous permet de dire cela ?
-Un sondage de l’IFOP, où, quatre sur dix de ces contribuables avouent tricher en cette circonstance.
-Et de quatre sur dix, vous passez à huit sur dix ?
-Oui ! En tenant compte d’une autre enquête de l’institut BVA celle là, selon laquelle la moitié des personnes, constituant un échantillon représentatif, ment quand on les interroge pour un sondage.

Un leader politique ricane en lisant que son adversaire a connu un grand succès d’audience, la veille à la télévision.
-Moi, dit-il, j’affirme qu’il a fait un bide, et je le prouve, sans avoir besoin de la Sofres pour ça !
-Et quelles sont vos sources d’information ?
-La grande Lola est ses copines qui tapinent près de la Madeleine. D’ordinaire, à elles toutes, entre 20 heures 30 et 22 heures, elles ont en moyenne, 27 clients. Le soir où ce malheureux a fait son numéro, elles en ont eu 89.
-Comment le savez vous ?
-Facile, je m’emmerdais tellement que j’ai été le 90ème !

Cycloptère

mars 30th, 2007


Cycloptère, originally uploaded by patriarch38.

Il jeûne pendant plusieurs mois, le temps qu’il élève ses petits !

Il y a peu d’autres créatures dans le monde animal, aussi entièrement dévouées à élever leur progéniture que le cycloptère. C’est la raison pour laquelle on appelle plus généralement ce poisson : « poule de mer ». C’est véritablement une mère poule, dont le dévouement, surtout celui du mâle, envers ses œufs, puis les alevins est absolument digne d’intérêt. En période nuptial, le mâle, habituellement bleu- gris devient rouge.

Le cycloptère vit dans les mers froides où il se tient près des côtes rocheuses, au sein des herbes marines. Il a besoin des rochers pour s’y fixer, car il passe une bonne partie de sont temps immobile, attaché à un support par sa singulière ventouse, placée sous son ventre. Ses nageoires pelviennes se sont modifiées de façon à former une ventouse. La force de succion de cette ventouse perfectionnée est considérable, il est aisé de soulever un cycloptère avec la pierre sur laquelle il s’est fixé, même si elle pèse plusieurs kilos.

On a découvert que durant toute la période d’élevage des petits, le cycoptère cesse de s’alimenter. Il jeune donc d’avril à novembre, ce qui est absolument extraordinaire. Au cours de cette période, son estomac est complètement remplit d’eau, et n’y a aucune autre trace d’aliment. Il se nourrit d’échinodermes, de crustacées, de mollusques. L’instinct « maternel » est en fait développé uniquement chez le mâle, qui assure l’oxygénation de la ponte tant que dure l’incubation. On a affirmé autrefois, que le cycloptère défendait sa progéniture. Il n’est est rien pourtant, car ce poisson inoffensif et désarmé serait bien incapable de tenir tête à un ennemi. Ovipare : La ponte est de 136 000 œufs. L’adulte femelle mesure environ de 35 à 45 cm, alors que le mâle fait de 35 à 40 cm. Le poids étant de 6 kg environ. S’il n’est pas pêchait tellement pour sa chair, peu appréciée, il l’ait pour ses œufs, qui constituent un substitut au caviar.

Classe : Ostéichthyens, ordre : Scorpéniformes, famille : Cycloptéridés ; Genre & espèce : Cyvcopterus lumpus.

Dendrocygne fauve

mars 29th, 2007


Dendrocygne fauve, originally uploaded by patriarch38.

Son nom signifie « cygne des arbres » (Du grec : dendron=arbre et kuknos= cygne)

Le dendrocygne, que l’on connaît sous le nom de canard siffleur, est un oiseau quelque peu intermédiaire entre les cygnes véritables, les oies, et les canards. Plus arboricoles que bien d’autres canards, il passe une partie de ses journées, perché sur une branche. Il est surtout actif durant la nuit.

Le dendrocygne fauve a une allure fière et hautaine. Son plumage est brun- roux, avec des raies noires sur les ailes et les épaules. Le cou porte de fines rayures noires, chamois et blanches. De longues plumes blanches sur les flancs font penser à des zébrures. Le bec est long, étroit et gris foncé. Les pattes aux larges palmes sont gris- bleu. Les deux sexes sont semblables. C’est pratiquement l’unique espèce du groupe à pouvoir se reproduire naturellement dans les deux hémisphères.

Celui-ci est très bavard, autant quand il se nourrit qu’en vol. Les cris sont différents entre le mâle et la femelle. C’est la meilleure méthode pour les distinguer. Cri haut et bref, assez proche de ceux des limicoles, suivi d’un double sifflement discordant : « houi o’ ». En vol, c’est un mince sifflement « k-weoo », habituellement répété.

Il vit dans les zones bases des marécages d’eau douce et au bord des lacs en terrain découvert. Il adore les zones humides avec des bordures d’arbres. On le trouve en Afrique, Asie, sud des USA, Amérique du Sud et Mexique.

Il se rend chaque jour à l’eau où il se monte très à l’aise, même s’il ne plonge pas, ou alors, qu’occasionnellement. Il broute la végétation sur la terre, ou arrache des plantes aquatiques en eau peu profonde. Certains s’en prennent même aux champs de céréales, décortiquant les épis, ce qui lui a valu en Amérique le nom de « canards des blés ». Il se nourrit aussi de fleurs, de feuilles. Il semble aussi aimer particulièrement le riz, ce qui fait que cette espèce n’est pas très appréciée autour des rizières.

La femelle niche au sol au milieu des roseaux et de la végétation, dans un nid fait d’herbes en forme de coupe. Elle utilise aussi des cavités naturelles dans les arbres parfois. Elle pond de 8 à 15 œufs par couvée et l’incubation dure de 24 jours à 26 jours. Les deux parents s’occupent des jeunes qui peuvent voler au bout de 60 jours, ayant alors leur plumage complet. Adulte, il fait de 48 à 58 cm, avec une envergure de 85 à 93cm et un poids de 600 à 770 grammes. Sa longévité est de 20ans.

Les chasseurs ne le prisent guère ; sa capture n’a rien de sportive, en raison de la lenteur de son vol, et de son manque de peur caractéristique ; en outre, sa chair passe pour être médiocre. Ses prédateurs sont surtout, les rapaces nocturnes, les mouffettes, renards, et coyotes. Cependant les populations de cette espèce restent stables.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anatidés ; Genre & espèce : dendrocygne bicolor.

Petit Koudou

mars 28th, 2007


Petit Koudou, originally uploaded by patriarch38.

Son cri ressemble étrangement à un aboiement.

Le petit koudou est bien le plus petit représentant du groupe des koudous et des nyalas, constituant le genre Tragelaphus. Sa distribution géographique est restreinte, il ne se rencontre qu’en Afrique orientale.

C’est en fait, une antilope élégante et vive, caractérisée par une courte crête ou crinière sombre de la tête au garrot. Sa robe est de couleur fauve brun gris, avec 9 à 12 bandes claires verticales sur tout le corps. Deux demi- colliers blancs sous la gorge et à la base du cou. Elle ne possède pas de frange de sous la gorge et sa queue est relativement courte. Son poil est court et régulier. Ce qui fait l’ornement du mâle, ce sont ses cornes, longue et effilées qui décrivent habituellement deux à trois tours d’une spirale fermée. Elles peuvent atteindre exceptionnellement 90 cm de long.

Dans l’ensemble, le petit koudou ressemble à son parent, le grand koudou. Il diffère surtout par la taille 1 mètre seulement au garrot et le poids qui varie de 60 à 100 kg. Il habite le brousse dense et affectionne les fourrés d’acacias épineux, d’accès malaisé aux prédateurs. Il ne se rencontre pas dans les espaces entièrement découverts. S’il se tient régulièrement dans les régions broussailleuses, il évite les zones humides, c’est un sol dur qui lui convient le mieux.

C’est une espèce assez solitaire, qui vit généralement par couples ou en famille, le couple restant accompagné, durant quelques mois, par un ou deux jeunes d’âge diffèrent. Les hardes sont rares et lorsqu’on observe l’une de celles-ci, ce sont généralement des femelles qu’il s’agit. Pendant les heures chaudes de la journée, inutile de le rechercher, il se teint couché, tapi à l’ombre d’un buisson, parfois très enfoui au cœur d’un fourré. Il rumine tranquillement, attendant que le soleil veuille bien disparaître pour entrer à nouveau en activité. La femelle, après une gestation de 195 à 210 met au monde un seul petit.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; famille : Bovidés ; Genre & espèce : Tragelaphus imberbis.

Poisson-scie

mars 27th, 2007


Poisson-scie, originally uploaded by patriarch38.

Sa scie lui sert à assommer ses proies.

Le poisson- scie, ou plus simplement la scie est une créature très particulière, véritable fantaisie de la nature et caprice de l’évolution. On en connaît six espèces, qui se ressemblent beaucoup.

C’est un poisson marin, quoiqu’on puisse le rencontrer dans les fleuves et les lacs, souvent fort loin de l’océan. On a signalé des scies dans le Zambèze en Afrique, et en Amérique centrale. En Inde, la scie indienne hante les fleuves à des centaines de kilomètres de leur embouchure. Il ne faut pas confondre le poisson- scie avec le requin- scie, qui est un animal tout à fait différent et nullement apparenté, de la famille des Pristiophoridés.

On sait peu de chose sur la vie et les mœurs de la scie, en dépit du fait qu’elle peut abonder en certaines régions. On la trouve en grand nombre sur les fonds fangeux. Elle nage peu et ne le fait que pour se déplacer et trouver un nouveau lieu adéquat pour s’alimenter.

On s’est longtemps demandé à quoi pouvait bien lui servir ce rostre démesurément allongé, portant de part et d’autre une rangée de dents recouvertes de dentine. Cette arme offensive lui sert en fait à fouiller le fond de vase pour y découvrir les mollusques et autres créatures dont elle se nourrit. Elle attaque aussi les poissons passant à sa proximité et les assomme littéralement à coups de scie. Chez le petit, à la naissance, le rostre est mou, il durcit en quelques heures.

Les véritables dents du poisson se trouvent au fond de sa bouche et sont aplaties pour broyer ses proies. On a parfois affirmé, mais à tort, que le poisson- scie était capable de tuer un homme. En réalité, il s’agit d’un animal pacifique, qui évite la présence humaine dans la mesure du possible. Il est ovovivipare et sa « ponte » est de 10 à 30 « œufs ». Adulte il peut faire, selon l’espèce, jusqu’à 10 mètres et peser 2 500 kilogrammes. Le rostre représente le quart ou le tiers de sa longueur totale.

Classe : Chondrichthyens ; Ordre : Hypotrèmes ; Famille : Pristidés ; Genre & espèce : Pristis pectinatus.

Garrot albéole

mars 26th, 2007


Garrot albéole, originally uploaded by patriarch38.

Le « petit garrot » des Canadiens.

Ce petit canard, de la taille d’une sarcelle, est reconnaissable à sa coloration contrastée et à la forme de sa tête. Le mâle adulte possède un manteau noir, une poitrine blanche et des pattes d’un rose vif. Il arbore une tache blanche triangulaire à l’arrière de la tête et chaque aile est couverte par une large bande transversale blanche. La femelle et le juvénile de moins d’un an ont des teintes plus ternes. Les zones sombres sont gris noirâtres ou brunâtres au lieu d’être franchement noires, alors que les zones blanches ont moins d’éclat et une superficie plus restreinte. Le petit n’acquiert son plumage définitif qu’au cours du deuxième hiver.

Comme les autres membres du genre Bucephala, cet oiseau niche dans des grands troncs d’arbres, ou dans des troncs restés debout, mais dont la cime a été abattue par le vent. Il fuit en général, les côtes dégagées. Pendant la saison de reproduction, il choisit des étangs de taille modeste situés au cœur de zones forestières. Il niche rarement à proximité des rivières ou de vastes pièces d’eau, parce qu’il sait qu’y habite le « grand brochet » prédateur qui s’attaque volontiers aux nichées de canetons.

La parade nuptiale atteint son paroxysme au début du printemps, car la plupart des canards qui parviennent sur les lieux de nidification, sont déjà appariés. Au cours de la parade nuptiale, le mâle multiplie les mouvements vifs et saccadés consistant surtout en des hochements de tête. Mais le clou du spectacle intervient, quand le mâle, tête et queue baissées, survole rapidement la femelle en battant des ailes et atterrit en glissant comme s’il faisait du ski nautique, pour mieux exhiber ses pattes rose vif et son plumage.

L’emplacement adopté pour le nid, est fréquemment in nid de pic chevelu, mais le garrot y ajoute des plumes en son fond. Il est d’ailleurs le seul de ce genre, à exploiter des nids de pics. La femelle y dépose sa ponte, de 5 jusqu’à 14 œufs. Il peut arriver que plus d’une femelle pondent dans le même nid, ce qui fait une couvée à assurer, parfois, de plus de 20 œufs. L’incubation dure environ 19 à 31 jours. Les poussins gardent le nid entre 24 et 36 heures, puis leur mère les mène à la mare la lus proche. La femelle s’en occupe pendant un mois environ, qu’elle couvera constamment, car le moindre temps froid et humide peut occasionner d’énormes pertes parmi les petits.

C’est un canard plongeur, qui utilise toujours cette technique, même en cas d’existence de bas-fond. Ses plongées sont plus ou moins longues, en fonction de la profondeur des pièces d’eaux. En eau douce, il se nourrit principalement d’arthropodes, en particulier de larves d’insectes. En eau salée, de petits crustacés, tels que crevettes, crabes et amphipodes. En automne, se sera des graines et plantes aquatiques. A cette époque, il emmagasine jusqu’à 120 grammes de réserves de graisse, en prévision de la migration. En hiver, il se goinfre de petits escargots de mer et des myes,( petits mollusque bivalves), qu’il extrait du sable des plages et de l’argile des côtes. Sa taille adulte est de 37cm ; son envergure de 55 cm et son poids : mâle 450 gr et femelle 340 gr. Sa longévité est de 14 ans.

C’est un des canards les plus rares d’Amérique du Nord. Le défrichage et le débroussaillage des forêts détruisent une bonne partie de son biotope.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anatidès ; Genre & espèce : Bucephala albeola.

Bouquetin des Alpes

mars 25th, 2007


Bouquetin des Alpes, originally uploaded by patriarch38.

Ce champion de la varappe était presque éteint au début du siècle.

Qui n’a jamais admiré l’extraordinaire développement des cornes d’un bouquetin ? Chez le mâle adulte, ces attributs peuvent atteindre plus d’un mètre de long. Les cornes s’allongent chaque année, et il est possible d’estimer l’âge du bouquetin en comptant les bourrelets qui se forment à raison d’un par an.

Chèvre sauvage, le bouquetin a un corps puissant et trapu. Les cornes recourbées vers l’arrière pouvant être de 1 mètre 30 chez le mâle et plus courtes chez la femelle de 20 à 25cm et faiblement recourbées. Son pelage est fauve clair, ventre blanc, pattes et queue noirâtres. La longueur du corps est de 1 mètre 30 à 1 mètre 50, dont une queue de 13-15 centimètres, pour un longévité va de 15 à 20 ans.

Le bouquetin est un animal de haute montagne, dont l’habitat est la région des rochers, au dessus de la limite des arbres. Il aime les pentes rocheuses escarpées, un adulte pouvant franchir une paroi verticale de 3 mètres 70. Il a le pied plus sûr que n’importe quel autre mammifère, fut il le chamois lui-même. Il vit en troupeaux comprenant de 5 à 30 mètres. On ne rencontre que très rarement un, de ces animaux, solitaire et alors, c’est un vieux mâle. En hiver le bouquetin demeure en général entre 2000 et 2800 d’altitude. Il se nourrit de plantes herbacées, jeunes pousses, lichens et rameaux.

Les bouquetins s’accouplent de décembre à janvier, avec parfois des combats très violents entre les mâles. La femelle met au monde un seul cabri, rarement 2, qu’elle va allaiter environ 6 mois. A la naissance le cabri pèse de 2 kg 900 à 4 kg 200. Les femelles restent avec la horde maternelle, les mâles la quittent dans leur deuxième année. La maturité sexuelle est dès 3 ans.

A la fin du XIX ème siècle, le bouquetin avait disparu des Alpes Françaises. Des individus, originaires du massif de Grand Paradis en Italie, entre la vallée d’Aoste et la plaine du Pô, s’installèrent en Maurienne en 1934 et furent exterminés en 1947. D’autres firent leur apparition en Vanoise, où la création du parc en 1963 leurs a permis de se maintenir. Par la suite, d’autres bouquetins venant également d’Italie se répandirent dans d’autres régions des Alpes. Depuis quelques temps et surtout janvier 2007, des pressions sont exercées pour que la chasse aux bouquetins reprenne. Or, le taux d’accroissement de la population est peu élevé. La motivation première est la recherche du trophée. Cette pratique (trophée) favorise le tir d’une catégorie d’individus (Les « gros » mâles) et elle contribuera à la destruction des populations.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Genre & espèce : Capra ibex.

Nous n’avons pas de pétrole,mais nous avons des idées.

mars 24th, 2007

Histoires !

-Papa, demande le fils d’un député, qu’est ce que c’est que l’inflation ?
-Je vais te donner un exemple très simple : Il y a 5000 ans de cela, il a suffi à Moïse de dix commandements pour définir ce qu’est le bien et ce qu’est le mal, dans toutes les activités humaines. Alors que de nos jours, la Commission de Bruxelles a dû rédiger, successivement, 12 directives de dix pages chacune, pour réglementer la vente des haricots en boite.

Un homme politique, dont tous les commentateurs s’accordent à faire le prochain président de la République, raconte :
-Quand j’étais petit, je voulais être marin, mais je n’ai pas pu, parce que j’étais myope.
-Plus tard, j’ai décidé de devenir journaliste, mais j’ai dû renoncer parce que je n’avais pas d’orthographe.
-J’ai alors ouvert un commerce, mais j’ai rapidement fait faillite.
-Et c’est après m’être rendu compte que je n’étais pas très doué pour le travail manuel et les affaires que je me suis décidé à me lancer dans la politique.

Finalement, remarque un commentateur, il n’y que deux grandes familles politiques : les conservateurs et les libéraux.
-A quoi les reconnaît on ?
-Un conservateur invite ses électeurs à dîner et, à la fin du repas, il leurs demande : « Sortez vos cartes de crédit pour régler la note. »
-Le libéral, lui, ramasse les gens dans la rue, il leurs offre à dîner et à la fin du repas, il leurs dit : « Ne vous tracassez pas surtout pour la note. On va l’envoyer, pour qu’ils la règlent à ceux qui sont assez bêtes pour voter conservateur ! »

-Hier soir, raconte un employé de bureau à un collègue, je rentre chez moi, prêt à me tordre de rire, pendant une heure et demie, en regardant « hellzappopin »sur la 1.
-Et alors, c’était bien ?
-Tu parles. Ils n’ont pas diffusé hellzappopin. Au dernier moment, le ministre- candidat s’était invité pour défendre son programme présidentiel.
-Tu devais être furieux ?
-Au début, oui ! Mais, après cinq minutes, je me suis rendu compte que, finalement, pour ceux qui le connaissent, c’est beaucoup plus hilarant qu’un film comique.

-Pour qui vas-tu voter aux prochaines élections ? demande un homme à un ami.
-Vois-tu, je procède par élimination, en prenant pour modèle, le permis à points des automobilistes. A chacun des principaux partis, j’accorde, au départ un crédit de 20 points. Après quoi, à chaque grosse connerie ou mensonge dit par un de leurs représentants officiels, je leur enlève 2 points. Avec ce système, l’équipe actuellement au pouvoir est en déficit de 4300 points. Et son allié de toujours de 2400 points. Encore heureux que je ne compte que les représentants officiels, sinon……

-Quelle est, demande un journaliste au porte- parole de l’Elysée, la partie la plus difficile de votre job ? (Avez-vous remarquez comme journalistes et présentateurs aiment montrer leur érudition en langue étrangère, au point d’en oublier la langue officielle de leur pays ?)
-Sans aucun doute, faire admettre le bien- fondé de la politique européenne du Président !
-Le faire admettre à l’opinion publique ? - Non. Au président.

L’Archer

mars 23rd, 2007


L’Archer, originally uploaded by patriarch38.

L’archer abat ses proies en crachant de l’eau.

Quel curieux poisson que cet archer ! Il a par un caprice mystérieux de l’évolution animale, appris à capturer ses proies d’une manière fort originale et unique parmi les 30 000 espèces de poissons.

En effet, non content de chasser les animalcules (animal microscopique) aquatiques, qui abondent pourtant, l’archer se met à l’affût très près de la surface, tenant son corps incliné, la tête vers le haut. Il observe la végétation de la berge et dès qu’un insecte insouciant du danger qui le guette s’y pose, le poisson lui crache un jet de gouttelettes d’eau ; sous l’impact, l’insecte perd pied et tombe dans l’étang pour y être immédiatement happé.

Ce qui a le plus intrigué les zoologues, c’est la précision avec laquelle l’archer parvient à diriger son « tir », en tenant compte de la diffraction et en corrigeant l’angle formé par la lumière entre le liquide et l’atmosphère, car, pour viser, le poisson conserve sa tête au-dessous de la surface de l’eau.

Le jet est produit par la brutale fermeture des branchies et c’est l’eau contenue dans les chambres branchiales qui est violemment expulsée par la bouche, largement ouverte. On a mesuré des jets atteignant plus d’1 mètre de 50, ce qui représente une performance remarquable pour un si petit poisson.

L’archer fréquente les eaux saumâtres des rivages marins et abonde dans les mangroves des estuaires d’Australie, de Malaisie et d’Indonésie. Mais il peut vivre tout aussi bien dans l’eau salée que dans l’eau entièrement douc

Condor de Californie Photo Terra Nova.

mars 22nd, 2007

La femelle pond un œuf tous les deux ans.

C’est le plus grand oiseau terrestre américain, mais aussi le plus rare. En effet, les effectifs sont très faibles. 60 oiseaux en 1963, 42 en 1963 dont 20 adultes non nicheurs, 51 en 1966.

La tête et le cou sont recouverts d’une peau nue rouge- orange, excepté en ce qui concerne le front qui porte quelques plumes éparses noires. Le corps est noir dans son ensemble avec quelques taches blanches sur le dessous des ailes. Une collerette de plumes noires encercle la partie inférieure du cou. Les pattes et l’extrémité du bec sont grises.

Les condors ne vivent pas en bandes mais possèdent une organisation sociale. L’oiseau effectue de très longs déplacements pour trouver à manger. Il plane de 7 à 8 heures par jour et été et s‘éloigne de plus de 50km de son nid. Il est capable de voler, sans battre des ailes, pendant plus d’une heure et de parcourir des distances de 160 kilomètres dans la journée. Utilisant les courants ascendants, il peut s’élever à des altitudes dépassant les 450 mètres et lorsqu’il poursuit un congénère, il peut atteindre une vitesse de 90km/h.

Il passe aussi beaucoup de temps à la toilette. Dès le matin, il essaie de capter la chaleur en déployant ses ailes en direction du soleil. Puis lise soigneusement son plumage et les parties, du cou et de la tête, sont nettoyées après chaque repas. Ces pratiques sont très importantes, compte tenu du régime particulier du condor, constitué principalement de charognes et aliments en décomposition étant des facteurs possibles d’infection.

La reproduction est tardive puisque ce condor atteint sa maturité sexuelle que vers l’âge de 6- 7 ans. Dès qu’il se sent en condition, le mâle accomplit les rituels nuptiaux ; déploie ses ailes largement et agite sa tête pour conquérir une femelle. Dès que celle- ci a accepté, les deux oiseaux forment un couple inséparable pendant toute la durée de leur vie.

Il n’y a pas de nid et l’œuf unique est déposé dans un creux d’une falaise, là où la végétation montagnarde comprend des pins et des chênes, entre 500 et 2000 mètres. La ponte à lieu en mars et surtout avril. L’incubation dure 56 jours. Les deux parents s’occupent du jeune qui restera avec eux, jusqu’à l’âge d’un an, puis il quittera le nid. Le petit commence à voler vers 6 à 7 mois. En raison de la longue période d’élevage du petit, la femelle ne reproduit que tous les deux ans.
La longueur d’un adulte est de 1 mètre 20 et son envergure de 2 mètres 90 à 3 mètres 20. Le poids varie de 9 à 14 kg.

Les condors de Californie sont surtout des charognards qui consomment des chèvres, moutons, cerfs, chevaux et coyotes, mais ils sont aussi capables de capturer des lapins, écureuils, etc.

Son seul prédateur est l’homme. La pression des chasseurs qui continuent à le massacrer illégalement (de 1947 à 1964 : 20 ont été abattus ou empoisonnés.) Alors que maintenant, quelques 60 à 80 oiseaux ne peuplent que l’Etat de Californie (et encore que sur les chaînes de Santa- Barbara et de Ventura), il était en 1850 considéré comme fréquent dans tout le nord, jusqu’à l’Etat de New- York et la Floride.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Cathartidés ; Genre et espèce: Gymnogyps californianus.

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