De l’aurore au crépuscule voir plus …

Juste une photo, aujourd’hui, pas bien le temps de faire un autre post !

Cette photo est une photo, tirée d’une diapo prise en Nouvelle- Calédonie. Pas formidable comme photo, mais c’est mieux que rien !!

Voilà, à plus tard !! Rectification, les poissons sont des chirurgiens- bleus !!

PS: je vous évite tout le blablabla et passe à la conclusion.

Il s’agit d’une vieillissement artériel pariétal périphérique relativement banal, sans incident sténotique, qui peut faire discuter un petit traitement à based’aspirine (j’en ai jamais pris de ma vie !!) préventive et une surveillance échodoppler. Il n’y a pas d’indication un contrôle artériographique ou à un geste de désobstruction artérielle.

Autrement dit……….je suis vieux!!!!  :wink:  :wink: 

La facture m’a aussi interpellé: 113 euros 40  :roll: Peut-être pour l’enveloppe les 40 centimes.

Ce mois ci, rien qu’en consultations et lunettes, ma retraite est passée à l’as  :mrgreen: 

Il se laisse houspiller par des plus petits que lui.

Le genre Spazaetus, compte une seule espèce au Nouveau Monde : Elle ressemble assez fortement aux aigles du genre Hiéraetus, mais en diffère par des détails morphologiques. Ses tarses sont couverts de plumes et cela est à l’origine de son nom commun. Il s’agit d’une espèce peu connue, rare, à propos de laquelle on dispose d’observations éparses.

Quand il est perché, ce rapace a vraiment l’aspect d’un aigle, car il se tient très droit (à moins évidemment qu’il ne soit en train de dépecer une proie, comme c’est la cas ici !) ; en revanche, sa silhouette en vol évoque celle d’une buse.

Son régime alimentaire se compose d’oiseaux et de mammifères de taille moyenne, auxquels il ajoute de petits reptiles. Aux Surinam, on l’a vu parfois sur les côtes, mais en général, il se tient dans les forêts de l’intérieur. En Argentine, il parait aimer le bord des cours d’eau et on prétend qu’il s’attaque aux cormorans et aux canards. Alors qu’au Mexique, un sujet qui était perché à la cime d’un arbre, sur le bord d’une étendue défrichée, fut attaqué par des geais qui se mirent à le houspiller.

On peut rapprocher ce comportement de celui qu’on observe parfois en Europe occidentale, où c’est l’épervier qui se fait poursuivre par certains petits passereaux.

En Guyane, l’aigle botté d’Amérique se reproduit en mars ou en avril. Les œufs sont blancs ou crème avec des taches brun- foncé et d’autres, qui sont sous- jacentes, de couleur grise. Les sujets immatures ressemblent aux adultes, mais leurs plumes de couverture des ailes sont à lisérés blancs ; en outre, les rectrices sont traversées par 4 barres, au lieu de 3 chez les adultes. Adulte, il fait 50 cm pour un poids de 750 gr. Envergure 110 à 120 cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & Espèce : Spizastur melanoleucus

Il est le plus petit des rhinocéros africains.

Le rhinocéros noir est la seule espèce appartenant au genre Diceros. Comme son cousin le rhinocéros blanc, il porte deux cornes sur la tête, mais chez lui, la corne postérieure peut atteindre une longueur égale à celle de devant.

La différence principale entre ces deux espèces africaines ne réside pas tant dans la coloration que dans la conformation du museau. En effet, selon qu’il se soit vautré dans la boue rouge ou grise, un rhinocéros ne sera ni noir, ni blanc. Cette différence de coloration ne peut se voir que sur des spécimens naturalisés dans les musées.

Alors que le rhinocéros blanc possède un mufle camus et très large lui permettant de brouter l’herbe au sol, le rhinocéros noir a un museau dont la lèvre supérieure est allongée et pointue, en forme de doigt préhensible. Cette particularité permet à l’animal de cueillir des rameaux et des feuilles sur les arbres et les buissons.

Il est aussi moins sociable que son cousin blanc, et il préfère vivre seul ou par couples, plutôt qu’en groupes. On observe fréquemment des femelles accompagnées de leur petit. Le mâle se tient à l’écart et surveille son territoire, qu’il défend contre les intrusions d’autres mâles voisins. Le mâle dépose des amoncellements d’excréments et urine régulièrement en des endroits précis, en guise de balisage visuel et olfactif de son domaine privé.

Doué d’un assez mauvais caractère, le rhinocéros noir peut charger sans provocation et sans avertir. C’est surtout à lui que sont imputables les accidents qui se produisent dans les parcs nationaux, surtout lorsqu’il s’aventure à venir caresser une véhicule.

Après une gestation de 530 – 550 jours, la femelle met bas d’un seul petit. Adulte il fera 3 à 3 mètres 75 de longueur de corps, 70cm pour la queue, et la corne antérieure 50 cm à 1 mètre 30(et oui !!). La hauteur à l’épaule est de 1 mètre 40 à 1 mètre 50. Le poids varie entre 1 000 et 1 800 kg. Et la maturité sexuelle s’en vient vers 5 ans.

Classe : Mammifères ; Ordre : Périssodactyles ; Famille : Rhinocérotidés ; Genre & Espèce : Diceros bicornis.

Il devient gris en dormant.

L’agame du Transvaal, appelé aussi parfois agame à tête plate, est l’un des petits sauriens les plus vivement colorés qui soient. Il est commun et même souvent extrêmement abondant dans le veld (prairies tempérées d’Afrique du Sud) et les savanes d’Afrique australe et orientale.

Particulièrement sociable, l’agame du Transvaal se tient toujours en groupe pouvant rassembler des dizaines d’exemplaires sur un très petit espace. De telles congrégations résultent du fait que notre agame à tête plate occupe un territoire individuel des plus restreints, qui souvent ne dépasse pas quelques décimètres carrés. Loin de se montrer très agressif envers ses congénères, il tolère au contraire des incursions dans son périmètre personnel. Ce n’est que pendant la reproduction que les mâles deviennent méchants et agressifs.

L’une des particularités de l’agame du Transvaal, passant le plus souvent inaperçue, et la faculté incroyable que possède ce reptile de changer de couleur. Un seul et même individu peut arborer 3 voire 4 phases de coloration. Plus cet agame est excité, plus il devient d’un rouge vif et bleu ; au contraire, lorsque son tonus diminue et que le soleil s’abaisse vers l’horizon, l’agame prend une coloration de plus en plus terne.

Curieusement, lorsqu’il s’enfouit dans le sol sec et meuble, dans le sable ou la poussière d’un chemin pour y passer sa nuit, à la fois abrité du froid et de la vue direct des prédateurs nocturnes, sa couleur devient absolument grise. Peut-être est-ce là une sorte de coloration cryptique ayant, ou ayant eu autrefois, un rôle à jouer dans la protection de l’animal. L’agame du Transvaal est insectivore. Ovipare la femelle pond 10 à 18 œufs et l’incubation dure de 2 à 3 mois. Au moment de l’éclosion, l’œuf pèse 5 fois plus que lorsqu’il est pondu. Un adulte fait entre 23 et 27 centimètres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Sauriens, Famille : Agamidés ; Genre & Espèce : Agama planiceps.

Voici Henri- Joseph- Alphonse, le grand-père à Eliane, né à Notre- Dame- d’Aspres, canton de Moulin- la- Marche (Orne) numéro 27 de tirage dans ce canton, incorporé le 15 novembre 1900 au 9ème Régiment de Dragons, puis au 10ème Escadron du Train le 10 août 1901, puis retour au corps (9ème Dragons), le 8 octobre 1901, en qualité d’ordonnance. A Chartres : caserne Neigre.

Je n’ai pas eu besoin de faire de longue recherche, j’ai tout simplement son livret militaire, chez nous, comme celui de mon beau- père. Je me suis amusé à lire ce livret, car il n’est pas du tout comme ceux de notre époque. Les nôtres, n’avaient que nôtre fiche d’état civil en page 1, au verso : le signalement (Yeux, cheveux et taille), puis date de l’arrivé au corps, les différents grades et affectations s’il y a, puis la date du renvoi dans nos foyers. Les périodes que vous faites (2 pour moi) y sont aussi consignées. Une petite page pour la visite médicale, juste la vue sur le mien et les dates des 4 vaccinations que nous recevons. Et en fin, les pages pour l’inscription de changement de domicile, rédigé à chaque fois par la gendarmerie du lieu. Et …..basta .

Sur celui d’Henry- Joseph, il y a tout, mais tout, écrit avec non pas une plume, mais une patte de mouche.
Cheveux : châtain ; Sourcils : châtain clair ; Front : ordinaire ; Menton : rond. Taille : 1 mètre 67. (S’il voyait ses petits enfants, et ses arrières petits – enfants, il aurait mal au cou à les regarder.)
Et puis, vous voyez un gars avec les yeux croisés, le front bombé ou fuyant et le menton en galoche, pas besoin de passer à l’habillement, il l’est déjà !!

En dessous : A l’arrivé au corps : sait lire et écrire. Ne sait pas nager.
Puis : à son renvoi dans ses foyers : sait lire et écrire. Ne sait pas nager.
Pour nager, c’est malheureux, mais le savoir lire et écrire, encore heureux.

Puis ensuite, vient le détail de tout ce qu’il touche pour remplir son service. L’habillement : tout y est, même les mouchoirs, caleçons, serviettes et gants de toilettes, gants d’uniforme, veste et dolman. Brosses à bottes et cirages. Brosses à habits. Dragonne pour sabre et courroie pour révolver. Etc ; etc.

Mais aussi tout ce qui a rapport au cheval, de l’étrille au sac à foin, en passant par les brosses, l’outillage pour faire des réparations sur l’harnachement (aiguilles et fils) Etc etc.

Tous les ans, l’ensemble de ces éléments est contrôlé et jugé en état ou non ; et remplacé ou non ! Voilà ! Après 3 ans, il sera renvoyé dans ses foyers en septembre 1903.

Cette photo est une relique de cette époque !!

Requin typique mais tout à fait inoffensif.

Ce nom commun qui lui a été attribué par les Anglo- saxons, s’explique par la présence de deux barbillons cutanés ou cirres, à rôle sensitif (détection de la nourriture), placés à proximité de la bouche, ventrale et en forme de fer à cheval, et par la présence de bandes ventrales sur les flancs.

Le sillon qui va des narines aux barbillons, la tête aplatie, plus large que haute, les petits yeux, les fentes branchiales étroites, les deux dernières étant placées au dessus de la base de la pectorale, les deux dorsales sans épines comptent également parmi les caractères communs de la famille des Orectolobidés.

Comme de nombreuses autres espèces de requins et de raies, le requin – chat à bandes possède, à proximité de chaque œil, un évent permettant la circulation de l’eau à travers la cavité branchiale, même lorsque le bouche reste fermée. Ce dispositif est particulièrement précieux pour les espèces dont la bouche est ventrale et qui vivent à proximité du fond. La respiration peut ainsi s’effectuer sans risque, les branchies ne seront pas encombrées de sable ou de vase.

D’autre part, les bandes plus sombres qui ornent les flancs de couleur gris- beige des jeunes sont aussi les bienvenues. Elles rompent en effet le profil du corps, contribuent avec la coloration plus ou moins mimétisme de la robe à camoufler le requin parmi les rochers, le sable et les algues qui constituent son environnement. De plus , elles justifient ainsi le nom de requin –tapis donné à l’ensemble de la famille. La plus part des espèces sont benthiques (relatif au fond des mers), indolentes, mimétiques et homochromiques. Adulte, il ne dépasse guère les 80 centimètres ;

Classe : Chondrichthyens ; Ordre : Pleurotrèmes ; Famille : Orectolobidés ; Genre & Espèce : Chiloscyllium colas.

L’as du Bonneteau !!!!

Je ne vais pas vous apprendre ce qu’est le bonneteau. Nous en avons tous vu dans les rues, sur les foires et même sur les champs de course. Il n’y a qu’à la porte de l’Elysée, qu’il n’y en a pas, puisqu’il y est déjà hébergé. L’art du Bonneteur est de soulager le pigeon des quelques piécettes qu’il couve précieusement dans son gousset. Pour ce faire, celui-ci à besoin de beaucoup de bagout, mais aussi de rabatteurs et de ‘’ barons ‘’ pour appâter le corniaud, puis d’être un manipulateur hors pair.

C’est ce qui se passe actuellement, chaque jour sur nos chaînes qui servent de ‘’parapluies ‘’. Depuis des mois, on nous abreuve de réformes blings-blings, élaborées à la sauvette entre le fromage et la poire. Mais voilà, aucune annonce de financement n’est avancé et quand ce l’est, c’est assez flou.

Je viens de lire la prévision du budget 2009 du conseil général de l’Isère annonçant que l’Etat est en train de les étrangler financièrement avec les moins perçues.

1°) Personnes âgées
Pour l’APA : (allocation personnalisée d’autonomie : personnes âgées) l’Etat a versé, à peine 30% de ce qu’il devait. - 17 millions € + 16 millions € pour le personnel soignant des maisons de retraite médicalisées. Total : – 33 millions €
2°) Personnes handicapées.
Pour le PCH : Prestation de Compensation du Handicap pour adultes, créé par l’Etat et confiée au département sans en assurer la totalité du financement : - 2 millions 500 €. Puis en 2008, cette prestation est élargie aux moins de 20 ans : - 1 million 100 €. Total : - 3 millions 600 €
L’Etat a aussi voulu que chaque département est une ‘’ MDPH’’ Maison Départementale pour Personnes Handicapées, mais là aussi l’Etat ne finance pas son dû. :- 1 million 900€.
3°) Rmistes.
En 2004, l’Etat transfère aux Départements le versement de la prestation pour les Rmistes, en s’engageant à compenser à hauteur des charges qu’il assumait au 31 décembre 2003. Depuis le nombre de Rmistes est florissant, mais l’Etat ne verse pas le complément : - 11 millions €
4°) Fonds sociaux.
En 1990 l’Etat et les départements cogéraient le ‘’FSL ‘’ Fond de Solidarité Pour le Logement et le ‘’FAJ ‘’ Fonds d’Aide aux Jeunes. En 2005, la gestion de ces fonds est transférée en totalité aux départements : -3 millions 600€
5°) Routes & Collèges.
La loi d’août 2004 a transféré aux départements, une partie du réseau des routes nationales et la gestion des personnels techniques des collèges. 550 km de routes et 750 ‘’TOS ‘’ pour les collèges, plus 389 agents de la direction départementale de l’équipement :- 10 millions € pour le réseau routier et – 10 millions € 400 pour les charges du personnel. Total : 20 millions 400 €
Je vous laisse faire le total ! Et bien sûr la droite va annoncer que la gauche augmente les impôts !!!!!
6°) CMU.
Pour financer le CMU (Couverture Maladie Universelle) l’Etat taxe les mutuelles. Les mutuelles avaient demandé que cette taxe soit exceptionnelle, pour ne pas la répercuter sur les cotisations des adhérents ; le gouvernement ayant refusé, il faut alors prévoir que nos cotisations seront augmentées de 3,5 à 4 % pour les mutuelles et pour les sociétés privées ça reste à définir.
Déjà, 5 millions de Français n’ont pas les moyens d’avoir une complémentaire santé, il est même à craindre, qu’avec cette taxe, de plus en plus de gens, n’aient plus les moyens de prendre une mutuelle. Ca, c’est du bonneteau gouvernemental, avoir les caisses vides et faire des annonces à tout va, tout en spoliant ceux qui ont fait et font encore la richesse de ces gens !!!

Voilà ce qu’est le Bonneteau !! Soulager les pauvres des quelques picaillons qu’ils ont économisé avec peine, pour leurs vieux jours, quand c’était possible. Tout en ouvrant une autre porte dans le vent : le permis de conduire par exemple, ou l’ouverte des musées ….ça ne coûte rien à l’Etat. De plus, ses déplacements incessants (qui eux nous coûtent chers), couverts par tous les médias, sont des leurres. Pendant que nous dégoisons sur ces voyages, ou autres manipulations, pendant qu’il nous gonfle le mou, nous ne pensons pas à le juger sur sa politique et les lois qu’avec ses ‘’barons’,’il est en train de mettre en place, et à pas forcés, car le temps urge ; moins de 4 ans pour pérenniser son trône. Vous avez pu, comme moi, voir ce midi, l’intronisation de l’Aiglon, sur les chaînes.

Faites comme moi, quand arrive dans le fenestron, lui ou ses barons…..zappez !!!

Comme un chef d’orchestre, elle bat constamment la mesure, avec…..sa queue.

D’ailleurs, on la connaît aussi sous le non de ‘’ hochequeue ‘’, qui lui sied fort bien en raison de son habitude, de mouvoir constamment celle-ci de haut en bas. Il existe plusieurs espèces de bergeronnettes, dont les mœurs se ressemblent.

La bergeronnette grise est bien connue pour ses dessins noirs et blancs contrastés. En hiver, elle a la gorge blanche et non noire. Sa tête est panachée de noir et de gris.

Ces petits passereaux vivent le plus souvent auprès de l’eau et c’est sur les pierres bordant les ruisseaux que nous avons le plus de chance de la repérer. Cependant, on voit également des bergeronnettes dans les campagnes arides, car ces oiseaux s’adaptent très bien à une variété de milieux naturels.

Il existe des espèces migratrices, d’autres sont plus ou moins sédentaires. Généralement les bergeronnettes qu’on observe en hiver chez nous, viennent du nord et de l’est de l’Europe, quelles désertent durant la mauvaise saison, lorsque la nourriture commence à manquer. Celles que nous voyons en été par chez nous, sont sûrement déjà parties, passer l’hiver dans les ‘’palaces ‘’ nord-africain.

Les bergeronnettes sont insectivores et se nourrissent de toutes sortes d’animalcules, qu’elles happent adroitement en vol ou à terre. Il est aisé d’identifier une bergeronnette en vol, car sa trajectoire ondulante est absolument caractéristique. Dès qu’elle se pose, elle agite rapidement sa queue, comme si elle cherchait à rétablir l’équilibre de son corps. Su le sol, la bergeronnette se déplace en courant rapidement, contrairement aux autres passereaux qui sautillent à pieds joints. On les voit souvent aussi, en compagnie du bétail au pâturage, attirés, qu’ils sont, par l’abondance de mouches.

A l’époque de la reproduction, l’instinct territorial se développe chez les mâles. Le nid est construit à même le sol, soigneusement dissimulé parmi les hautes herbes. La femelle y dépose de 2 à 7 œufs, qu’elle couvera de 12 à 14 jours. Les jeunes quittent le nid à l’âge de 15 jours. Adulte ils feront 20cm de longueur pour une envergure de 30 à 32cm, et un poids entre 18 et 27 grammes.

Classe : Oiseaux : Ordre : Passériformes ; Famille : Motacillidés ; Genre et Espèce : Motacilla alba.

L’animal domestique indispensable aux Tibétains.

Bovidé remarquablement adapté à la vie en haute altitude, il compte parmi les mammifères qui sont capables de vivre le plus haut dans une atmosphère raréfiée en oxygène. C’est le bœuf domestique des Tibétains, qui l’ont domestiqué il y a plusieurs millénaires.

On trouve encore des yacks sauvages, mais leur nombre ne cesse de décroître. Le yack sauvage vit en troupeaux de 20 à 200 têtes, qui sont essentiellement composés de femelles et de jeunes. Les mâles se tiennent solitaires ou se groupent en petits troupeaux, à l’écart de leurs compagnes

Du faits des conditions climatiques rigoureuses de leur habitat, les yacks sont contraints d’effectuer des migrations saisonnières, montant vers les crêtes et les sommets en été, lorsque l’herbe reverdit, puis descendant vers les vallées en automne, pour trouver des pâturages moins enneigés. Ces grands animaux, recouverts d’une toison très longue et chaude, résistent à des températures de -40° C sans dommage. Ils ressemblent en cela eu bœuf musqué, qui vit dans les solitudes glacées de l’Arctique.

Les Tibétains et les paysans des provinces occidentales de la Chine utilisent le yack domestique pour leur vie quotidienne, qui serait impensable sans cet animal. C’est un animal de trait et de bât, fort prisé pour son endurance incroyable. Les femelles fournissent un lait très riche ; on mange sa viande et sa peau entre dans la confection d’objets divers. Avec sa toison, les femmes tissent et filent. Le beurre que l’on fait avec son lait sert en alimentation et aussi de carburant pour l’éclairage, tandis que la bouse séchée est un excellent combustible de chauffage.

Après 255 à 270 jours de gestation, la femelle n’aura qu’un petit. Adulte sa hauteur au garrot sera de 1 m 70 à 2 m 10, la longueur du corps de 3 mètres, et celle de la queue est de 60cm. Il peut atteindre plus de 23 ans.

Classe : Mammifères ; Ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; genre & Espèce : Bos grunniens

Il a le ventre doré.

Le sonneur à ventre jaune, illustré ci-dessus, est l’une des 2 espèces vivant en Europe. L’autre est le sonneur à ventre rouge. Par la forme de sa langue, ce petit amphibien (4 à 5 cm) entre dans une famille particulière, les ‘’Discoglossidés ‘’.

Remarquable par la coloration exceptionnellement vive de sa face ventrale, le sonneur dispose pourtant d’un excellent camouflage, car son dos est d’un gris brunâtre terne , ce qui lui permet de se confondre parfaitement avec la boue des flaques et étangs qu’il habite.

On s’est longtemps demandé à quoi pouvait lui servir cette couleur jaune vif, si voyante. Il s’agit d’un moyen de défense original : lorsqu’il se sent dangereusement menacé, le sonneur se jette brusquement sur le dos en arquant le corps et expose ainsi son ventre éclatant, ce qui ne manque pas d’intimider l’oiseau ou la carnassier s’approchant pour le dévorer. Il accompagne cette parade par une abondante sécrétion d’un mucus laiteux qui coule des glandes cutanées. Extrêmement venimeux, ce liquide protège parfaitement notre sonneur, car il suffit de quelques milligrammes de ce poison pour faire mourir un chat.

Le sonneur a mérité son nom à cause de son chant mélodieux et plaintif, qui ressemble à un tintement de clochette. Sa voix semble venir de nulle part et de partout à la fois, tant et si bien qu’il est difficile de localiser ce chanteur. C’est un animal flegmatique, qui bouge peu, surtout de jours. Il se nourrit de petits insectes qu’il happe le soir et la nuit, lorsqu’ils viennent voler au ras de l’eau. Il s’enterre dans le sol pour hiverner. Sa longévité maximale est de 36 ans. Ah oui, déjà pas mal pour un si petit sonneur.

Classe : Amphibiens ; Ordre : Anoures ; Famille : Discoglossidés ; Genre & Espèce : Bombina variegata