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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» février

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Hétérodon.

février 18th, 2009

Hétérodon

Appelé aussi : serpent- cochon.

L’hétérodon est, le plus souvent, appelé serpent ou couleuvre- cochon, en raison de la forme curieusement retroussée de son museau, offrant quelques analogies avec le groin d’un porc. Il existe 3 espèces d’hérérodon (serpents- groins) en Amérique septentrionale ; elles se distinguent l’une de l’autre par la coloration et n’occupent pas toutes la même aire géographique.

Celui représenté ici, l’hétérodon oriental, est le plus commun et aussi le mieux connu du genre. Il habite des endroits et les milieux naturels les plus variés, mais c’est cependant dans les régions au sol sablonneux qu’il paraît le plus fréquent.

La forme particulière de ce museau redressé est à mettre en relation avec les mœurs de ce serpent. C’est en étudiant son régime alimentaire que les spécialistes ont constaté que l’hétérodon est un fouisseur émérite capable de creuser rapidement le sol au moyen de son museau en forme de pelle. Il va déloger, sous terre, les crapauds et les grenouilles qui s’y sont enfouis, car on a pu mettre en évidence qu’il est un grand consommateur desdits amphibiens. Il dévore aussi une grande quantité de salamandres et de tritons, ce qui constitue une alimentation assez peu commune chez les serpents.

L’hétérodon a un cycle d’activité diurne ; c’est donc avant tout, à l’aube et en fin d’après midi qu’on l’observe, rampant en quête de proies. Vraisemblablement incapable de capturer grenouilles et crapauds lorsqu’ils sont en activité, car ils sont très agiles, le roublard a trouvé l’astuce de les saisir pendant leur repos, moment où ils sont enterrés. Il a donc un odorat très fin !!
Ovipare la femelle pond de 6 à 60 (moyenne 25) œufs, qui incubent dans le sable pendant 40-56 jours selon la température. Adulte, il fait 76 cm.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Colubridés ; Genre & Espèce : Heterodon platyrhinos.

Oursin.

février 17th, 2009

Oursin.
Oursin ! Juste pour la vue. Photo scannée d’une diapositive. !!

Je n’ai aucune documentation sur celui-ci !! Faites travailler votre imagination !!

Pygargue vocifère.

février 16th, 2009

Pygargue vocifère

Il est beau, mais son cri est affreusement discordant.

Ce magnifique rapace porte bien son nom, qui lui a été donné pour les cris discordants qu’il pousse de façon répétée à tout moment de la journée.

Cet aigle de petite taille (63 à 70 cm et son envergure peut atteindre 2 mètres) vit par couple et s’adonne à la pêche. Son régime alimentaire comprend toutes sortes de poissons. Le Pygargue vocifère hante les cours d’eaux africains. Il dispose tout au long de son territoire étendu, de plusieurs perchoirs d’élections, qu’il visite une ou deux fois par jour. Il ne se pose jamais ailleurs que sur ces perchoirs, qui sont généralement de grosses branches mortes ou dégarnies de feuilles, placées bien en évidence et surplombant l’eau.

C’est de là qu’il repère ses proies. Gare au poisson qui s’aventure trop près de la surface ! D’un rapide coup d’aile, le pygargue vocifère arrive sur les lieux, pour se laisser tomber comme un projectile, toutes serres dehors. Ce rapace ne craint pas l’eau, et on l’a vue parfois y disparaître presque complètement, puis faire surface et reprendre son vol en emportant un poisson de belle taille. Il lui arrive de chasser en planant inlassablement au-dessus du fleuve. Il vole lentement et ses coups d’ailes sont pleins de majesté.

Pendant la saison de nidification des oiseaux aquatiques africains, le pygargue vocifère s’attaque parfois aux nids et détruit pas mal de jeunes aigrettes, hérons et flamants.

Les parades nuptiales du pygargue vocifère constituent un spectacle passionnant à observer : les deux partenaires se livrent à toutes sortes de vols acrobatiques et se laissent parfois tomber en se tenant mutuellement les pattes, pour ne se séparer que cent ou deux cents mètres plus bas. Le nid est une aire spacieuse, construite de bâtons, branches et rameaux dans les cimes de grands arbres La femelle y déposera 2 œufs qu’elle couvera environ 38 jours. Les petits restent au nid, jusqu’au 65ème jour.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & Espèce : Haliaetus vocifer.

Tatou à neuf bandes.

février 15th, 2009

Tatou à neuf bandes

On fabrique des guitares avec sa carapace.

Le tatou à 9 bandes, ci-dessus, est la plus commune et la plus répandue des quelque 15 espèces de tatous. C’est un mammifère des plus singuliers, dont le corps est recouvert dans sa partie dorsale et sur les flancs d’un bouclier de plaquettes osseuses. La forme et l’extension de cette armure varient selon l’espèce ; certains tatous sont mieux protégés que d’autres et il en existe même qui peuvent se rouler en boule, ne présentant que leur blindage à l’extérieur, ce qui les rend pratiquement invulnérables.

Le plus grand des tatous est le tatou géant, qui peut atteindre 1 mètre 65 du museau à l’extrémité de la queue et avoir un poids de 60 kg, c’est un animal très rare et difficile à trouver. Le tatou à 9 bandes a des mœurs nocturnes. Il trottine lentement lorsqu’il est tranquille, mais peut courir assez vite en cas de danger. C’est un sapeur de première force, qui creuse un trou dans le sol le plus dur en un rien de temps. Il s’abrite dans un terrier qu’il construit lui-même et au fond duquel il passe la journée. Le régime alimentaire du tatou, varié, se compose d’insectes, de vers, de lézards et même de charogne.

Les tatous sont des mammifères primitifs, dont les ancêtres atteignaient de grandes tailles et pesaient plusieurs centaines de kilos. Cette famille a évolué en Amérique du Sud, mais se troue sur son déclin à l’heure actuelle. Avec la carapace du tatou à 9 bandes, les indigènes confectionnent un instrument de musique ressemblant à une petite guitare. Le tatou se reproduit lentement et tous les petits d’une même portée sont des jumeaux identiques du………. même sexe !

La gestation va de 160 à 240 jours, la femelle met bas de 4 petits, maximum. La longueur du corps adulte, va de 37 à 43 cm, celle de la queue : de 25 à 37cm avec un poids de 3 kg 5 à 8 kg. Ils sont matures sexuellement à 1 an.

Classe : Mammifères ; Ordre : Edentés ; Famille : Dasypodidés ; Genre & Espèce : Dasypus novemcinctus.

De ma boite à “images” 4

février 14th, 2009

Et....un mariage !!

De ma boite à …images …..

Voici une autre ‘’image ‘’ que j’ai extirpée de ma boite à trésor. Je connais presque tous ces gens et entre eux, c’est une amitié qui a perdurée quelques années, puisque je pense que ce mariage a eu lieu, en 51-52. Ce sont tous ou presque, d’anciens carriers ou ouvriers de fours à chaux et tous des italiens immigrés.

Quand à ces dames, leurs épouses, à l’exception de la mère à la mariée, toutes ont dû me tenir dans leurs bras, lors de ma naissance ou les jours suivants. Deux d’entre elles, ont même aidées ma mère à l’accouchement.

Le marié est un de leurs enfants, et la mariée est de ma paroisse, puisque cette église est l’Eglise St Victor. Où j’ai souvent servi la messe, puis fait parti de la chorale. Derrière les mariés (le photographe est vraiment un amateur !), sont les parents de la mariée. Suivi par ceux du marié. L’homme à lunettes fumées et ‘’borsalino’’, ainsi que sa femme dont on entre- aperçoit juste le ‘’bibi ‘’ étaient les gérants du prieuré, qui servait de cantine- dortoir- logement pour les ménages, en attendant qu’ils trouvent un appartement. C’est là où je suis né. Sa femme Assunta faisait d’excellents gâteaux. Derrière eux, l’oncle et la tante du marié. Ils avaient une fille, Nara.

Puis à droite, la femme avec le sac : Maria, aussi une tante du marié. Chez qui j’allais passer quelques jours de vacances, quand j’étais gamin. Celle qui me trouvait gringalet et me faisait prendre tous les matins, un jaune d’œuf avec du miel, le tout battu avec un peu de cognac. Son homme, me faisait rire, par ses mimiques. Il mettait, entre autre, sa main ouverte sous son aisselle et abaisser brusquement le bras. Alors ….surgissait un bon gros pet, et moi, j’essayais de l’imiter. (Je m’en suis toujours souvenu, même si à l’époque, je devais avoir 3-4 ans.) Ils avaient un garçon : Bruno. Elle devait être présente à ma venue au monde. Son homme est décédé bien jeune.

A la droite de Maria, Le costaud un peu chauve est un des frères du marié et je suppose que l’autre était le photographe. Derrière Maria, l’homme à la cigarette est mon oncle Jules, avec à côté de lui, ma mère, et à côté d’elle mon autre oncle et parrain, Mario. (Tous 3, frères et sœur). La femme à lunettes, je ne vois pas qui elle est. La femme contre la porte à gauche est ma tante et marraine, femme de Jules. Elle je suis sûr qu’elle a aidé à l’accouchement, car mon cousin m’a un jour dit : ‘’ Tu sais, quand Prima (Primina) a accouché, j’ai entrebâillé la porte, pour voir qui criait ainsi !!! ‘’ Il devait avoir 4 ans à l’époque. L’homme entre ma mère et Jules, je le connais, mais je ne peux le situer.

Ce qui est formidable avec une boite à images, est le fait, qu’elle vous mène souvent à des épisodes de votre vie, par des visages, des situations ou des événements. Ciao……….

Ameive

février 13th, 2009

Ameive

C’est un des plus chatoyants lézards sud- américains.

L’Ameive ondulée, ci-dessus, n’est qu’une des quelques deux cents espèces composant la merveilleuse famille des Téiidés. Ce sont des lézards habitant le Nouveau- Monde, dont le plus petit ne mesure guère plus de 9cm, tandis que le plus grand, qui est le lézard- caïman du Venezuela, excède parfois 1 mètre 20 du museau à l’extrémité de la queue.

Les Ameives sont relativement peu connues chez nous, sauf par quelques amateurs de reptiles, qui parviennent à en élever dans les terrariums. On rencontre plus fréquemment les beaux Téjus, qui ressemblent autant à des iguanes qu’à des crocodiles, et qui vivent dans les savanes du Mato- Grosso, au Brésil.

Les mœurs des Téiidés sont fort diverses selon les groupes, et en accord avec les particularités morphologiques de chaque genre. Le lézard- caïman, par exemple, possède des dents extrêmement fortes, qui lui permettent d’écraser les coquilles des mollusques. Les Ameives, elles, ont des dents arrondies et bosselées, adaptées au régime insectivore. Leur vitesse et leur agilité en font d’incomparables chasseurs d’insectes. Sa vue excellente doublée d’un odorat très fin, lui permet de découvrir les insectes et leurs larves, même enfouies sous quelques centimètres de terre.

Tous les Téiidés creusent très bien et s’enfouissent dans le sol pour y déposer leur ponte. Le Téju éventre même les termitières pour y pondre ses œufs à l’intérieur. La plupart des Téiidés sont très lestes et les Améives arrivent à courir à près de 20 km/h, ce qui est remarquable pour de si petits animaux. Ovipare, la femelle pond de 7 à 15 œufs, l’incubation dure de 50 à 60 jours et la croissance est lente. De 5 à 8 cm à l’éclosion, ils font, adultes de 27 à 30 cm.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Téiidés ; Genre & Espèce : Ameiva undulata.

Poisson- clown d’Allard

février 12th, 2009

Poisson-clown d'Allard

Un des rares poissons des récifs à pondre facilement en aquarium.

C’est parmi les poissons- clowns que l’on compte les poissons d’ornement d’eau de mer les plus appréciés. Leur petite taille (maximum 15 cm), leurs couleurs souvent très vives, tranchées et contrastées et leur nage dandinant très caractéristique, au cours de laquelle leur corps décrit une sorte de « S » dans un plan plus ou moins vertical, leurs à valu le nom de poisson- clown.

Insensibles à l’égard du venin des anémones, ils peuvent, grâce à leur immunité, se vautrer entre les tentacules de celles- ci alors que d’autres espèces y seraient foudroyées. Sans être parfaitement élucidé le mécanisme de cette protection est à rechercher au niveau du mucus des poissons qui proviendrait, en partie de l’anémone. Essuyé avec un chiffon et placé au contact de l’anémone, le poisson clown est immédiatement dévoré. Autrement, il commence par se frotter prudemment contre les tentacules de l’anémone. Ce commensalisme lui a valu le nom de poison d’anémone.

Il trouve un refuge efficace entre ces tentacules ; entre contrepartie, il repousse avec vigueur d’éventuels prédateurs. En fait, ce mutualisme est en faveur du poisson ; car, dans la nature, on ne rencontre jamais un poisson –clown sans anémone, alors que l’inverse est fréquent.

La femelle dépose environ un millier d’œufs, de 2mm de long sur 1mm de large, sur un substrat préalablement nettoyé par le couple. L’incubation dure 6 à 8 jours, c’est le plus souvent le mâle qui surveille, protège et entretient et ventile la ponte. L’éclosion a toujours lieu de nuit.

Classe : Ostéichthyens ; Ordre : Perciformes ; Familles : Pomacentridés ; Genre & Espèce : Amphiprion allardi.

Aigle royal.

février 11th, 2009

Aigle royal

Ce rapace n’a de royal que le nom.

L’aigle royal, qui n’est en fait qu’une énorme buse, n’a de royal que le nom. Il n’a rien de la férocité des faucons, pourtant beaucoup plus petits que lui. Contrairement à ce qu’on affirme parfois, l’aigle royal n’est pas courageux, c’est au contraire un couard, qui se laisse mettre en fuite par quelques corbeaux.

Adulte, il est brun- foncé uni avec la racine de la queue blanchâtre. La tête et la nuque avec des reflets jaune d’or. Svelte de corps, une queue longue, sombre et arrondie, avec un bec cornu. L’extrémité des ailes est digitée par 5 rémiges secondaires. Le juvénile est brun noirâtre, le dessous des ailes a des grandes taches blanches à la base des primaires. Il a la queue blanche à large bande terminale noire.

Peu actif et même paresseux, ce grand rapace passe le plus clair de son temps à planer et à survoler son immense territoire de chasse, en quête de quelques proies. Lorsqu’il ne chasse pas, il reste posé sur un rocher. Pour trouver suffisamment de nourriture, l’aigle royal est obligé de couvrir un territoire de chasse, appelé aussi domaine vital, très étendu, car ce rapace ne dévore que des proies qu’il tue lui-même.

Ses victimes favorites sont les marmottes, qui lui assurent une excellente subsistance. Pour saisir un de ces animaux, aussi méfiants que prompts à disparaître dans leur terrier, l’aigle recourt alors à un stratagème dûment éprouvé : volant d’abord à haute altitude, il repère sa proie, puis descend et survole la montagne à base altitude sur le versant opposé, pour fondre soudain à l’improviste sur une marmotte par trop éloignée de son trou.

On a beaucoup exagéré le poids qu’un aigle est capable d’emporter dans ses serres ; en fait, il lui est impossible de s’envoler avec une marmotte pesant plus de 3 kg 500, ce qui relègue toutes les histoires d’enlèvements d’enfants au royaume des fables.

L’aigle royal vit par couples et ils restent unis pour la vie. Généralement la femelle ne pond que tous les deux ans, sauf dans les régions où la nourriture est abondante. La femelle pond 2 œufs, puis s’en suivent 43-44 jours d’incubation. En général, un seul aiglon survit. L’envol du jeune se fait entre ses 77- 81 jours. Adulte, il fera 80 à 95 cm de longueur pour un poids de 2 à 6 kg. L’envergure est de 1 mètre 88 à 2 mètres 27.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & Espèce : Aquila chrysaetos.

PS: Ca a été plus vite que je ne croyais. Demain je passerai chez vous !! :wink:

Lamantin.

février 10th, 2009

Lamantin
On l’appelle aussi la vache marine.

Grotesque, difforme et laid, tel apparaît le lamantin, qui constitue l’une des curiosités du monde des mammifères. Le lamantin est sans doute le plus inoffensif de tous les grands animaux. De son côté, il ne demande qu’une chose, de vivre en paix et sécurité. Curieusement adapté à la vie aquatique, il ne ressemble ni à un phoque, ni à un cétacé et encore moins à un hippopotame. Aucun autre animal n’a de points communs ou d’affinités avec le lamantin, dont les deux espèces constituent, avec le Dugong, leur cousin marin, un groupe distinct et isolé au sein des mammifères.

L’une des particularités les plus frappantes du lamantin est qu’il a les membres postérieurs soudés ensemble et formant une sorte de large gouvernail horizontal, en prolongement du corps. Les membres antérieurs, grêles et courts, ne servent que de nageoires et ne seraient d’aucune utilité à terre.

Un lamantin échoué est aussi désemparé qu’un dauphin et il n’a aucune chance de s’en tirer. Habitant des grands cours d’eau, tranquilles et calmes, des régions tropicales du Nouveau- Monde, le lamantin américain mène une existence sans histoire et passe sa journée à somnoler ou à brouter la végétation aquatique, car il est essentiellement herbivore. Son cousin, le lamantin d’Afrique a des mœurs identiques.

Le lamantin nage lentement et plonge très bien. Il peut rester plusieurs minutes en plongée et dors souvent couché sur le fond de la rivière. Donc son observation est assez difficile à effectuer. Après une gestation de 152 à 180 jours, elle met bas, d’un petit qui pèse entre 18 et 27 kg à la naissance et il est d’une longueur de 1 mètre. Le jeune reste un an avec sa mère. Adulte, il peut atteindre 4 mètres 50 pour 680 kg de poids. L’épaisseur de la peau est de 4 à 5 cm. Et la maturité sexuelle vient vers 3-4 ans.

Classe : Mammifères ; Ordre : Siréniens ; Famille : Trichéchidés ; Genre & Espèce : Trichechus senegalensis.

PS : EN CE MOMENT, NOUS AVONS DES PROBLEMES DE CONNEXION.
ELLE S’EN VA ET ELLE REVIENT CONTINUELLEMENT. (Comme dans la chanson, mais moi, ça m’énerve.)
ALORS, EXCUSEZ MOI SI JE NE PASSE PAS PENDANT CE TEMPS LA. Espérons que ce ne sera pas encore pour plusieurs jours !!

Gecko du désert.

février 8th, 2009

Gecko du désert

Au désert comme ailleurs, chacun à sa niche écologique.

Le désert du Namib et le vaste bassin aride du Kalahari représentent l’habitat de ce petit gecko nocturne et terrestre. L’examen de la face plantaire de ses pattes montre d’ailleurs qu’il s’agit d’une espèce qui se déplace par terre et non pas sur des surfaces plus ou moins verticales : les doigts sont très épais et dépourvus de coussinets facilitant la marche sur les murs ou parois de rochers. Ils paraissent plutôt adaptés en raison de leur largeur à la locomotion en terrain meuble.

Une étude, effectuée dans les années 70- 75, par des écologistes, dans le Kalahari, a montré que le gecko du désert y vit en sympathie (en compagnie) d’une douzaine d’autres espèces de lézards, au minimum. L’habitat de ce petit monde se caractérise par un climat à pluviométrie très faible (moins de 200 mm par an.), au terrain sablonneux, où ne pousse que des touffes de graminées et quelques buissons (surtout des acacias). Malgré cette densité surprenante, les différents lézards ne se concurrencent pas, car chacun occupe une niche écologique particulière.

On remarque, tout d’abord, que 3 espèces seulement sont nocturnes et terrestres ; les autres sont diurnes et arboricoles, ou nocturnes mais aussi arboricoles. De cette façon, le stock de proies qui est à leur disposition (invertébrés essentiellement) n’est pas exploité de façon permanente et uniforme. A titre comparatif, le nombre des espèces nocturnes rappelle celui que l’on trouve dans les déserts Australiens ; par ailleurs, celui des espèces diurnes est comparable à celui que l’on observe dans les déserts de l’Amérique du Nord. La longueur d’un adulte est de 15 cm.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Gekkonidés ; Genre & Espèce : Chondrodactilus angulifer.

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