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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» mai

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Tropidure des Galapagos

mai 31st, 2009

Tropidure

Il se bat furieusement à coups de queue.

Le tropidure, dont on connaît une trentaine d’espèces différentes, est un petit iguane terrestre vivant dans les régions arides d’Amérique du Sud et des Antilles. Celui qui vous est présenté ci-dessus, est le tropidure des îles Galapagos, qui est largement répandu sur les différentes îles de cet archipel.

Sa queue est aussi longue que son corps. Chez la femelle, qui est plus petite que le mâle, le ventre et la gorge sont colorés en orange vif. C’est un grand ami du soleil et de la chaleur. Il vit sur les terrains secs et rocailleux du littoral. Ce lézard règle toute sa vie sur le cycle solaire. Il émerge de sa cachette nocturne dès qu’il sent les premiers rayons de soleil et y retourne dès que l’astre du jour disparaît à l’horizon.

Le tropidure a la curieuse habitude de s’enterrer à faible profondeur dans le sol poussiéreux pour y passer la nuit. Il s’enfouit en agitant latéralement son corps et sa queue. Tous les tropitudes habitant un même endroit disparaissent en quelques minutes, pour reparaître tout aussi subitement dès le lendemain matin. Comme à la caserne quand sonne la ‘’diane ‘’.

Comme beaucoup d’autres animaux des galapagos, le tropidure n’est pas craintif naturellement, et on parvient à le saisir à la main dans les endroits non fréquentés des touristes. Il se nourrit de fourmis et d’autres insectes. Sur les rochers et les plages, il s’affaire à débarrasser les otaries des mouches qui les assaillent, et dans les colonies d’oiseaux marins, il dévore les insectes parasites. Les mâles se battent furieusement à coups de queue pour défendre leur territoire.

Le tropidure est polygame : chaque mâle s’approprie plusieurs femelles. La femelle pond d’un à quatre œufs à coquille dure. L’incubation dure de 40 à 70 jours. La longueur totale d’un adulte fait de 15 à 20 cm. Le mâle est plus grand que la femelle. Et il monte jusqu’à 1300 mètres d’altitude.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Iguanidés ; Genre & Espèce : Tropidurus albemariensis.

Suite de la saga ….

mai 30th, 2009

Tour de guet 115 mètres

Cathédrale et la Tour de guet.(Torrazzo) (115 mètres)

Aujourd’hui, ce sera Cremona, où est née le 14.10.1873 ma grand-mère maternelle Eufemia, décédée 78 ans plus tard.

Cette cité fut, tout d’abord, comme beaucoup de bourgs, un ‘’castrum’’ avancé sur les rives du Pô, et fortifié par les romains en 218 avant J-C. La légende veut que cette cité fût fondée par Hercule ; en réalité elle fut de tout temps un centre important de la plaine du Pô durant toute la période républicaine, avec un amphithéâtre, un forum et bains thermaux monumentaux. En 69 au cours des guerres civiles, elle fut assiégée par Vespasien, puis réédifiée par le même. Pendant une assez longue période, elle disparue des chroniques Padanes

En 603, bastion byzantin, Cremona fut conquise par les Lombards. La cité dirigée par l’évêque ne devient pas siège du duché et cela, même après la conquête carolingienne, l’évêque –comte, non seulement maintiendra son autorité, mais aussi prendra le contrôle du comté. Entre le 10ème et 11ème siècles, la cité accroît son pouvoir, grâce à d’importantes concessions accordées par les évêques- recteurs de la cité. Entre autres, on distingue Liutprand qui fut appelé à la cour impériale de Saxe et Oldérico, qui réussit à obtenir de Othon III, d’importants privilèges pour la cité.

Cathédrale

Nef centrale de la cathédrale avec des tableaux et fresques (37) réalisés par des peintres comme Boccaccio Boccacino, Bembo, Melone…Un vrai trésor.

Avec l’empereur Henri IV du Saint-Empire, la cité refusa de payer les impôts oppressifs que l’empire réclamait et que l’évêque, ‘’bon âme’’, imputait aux citadins. Naquît ainsi la légendaire bataille entre le Principe (prince) Enrico et Giovanni Baldesio, principal représentant du peuple. Celui-ci désarçonna le Prince, épargnant ainsi à la cité le paiement de la ‘’Pala d’oro ‘’ d’environ 3 kilogrammes qu’elle devait chaque année à l’empereur. Cette année là, La ‘’Pala d’oro’’ fut donnée à Berta, la fiancée du cavalier comme dot de mariage. L’Ecusson de la cité rappelle justement cette épisode, avec le bras de Baldesio brandissant la ‘’ Palla d’Oro’’ Avec cette devise en langue latine : ‘’ Ma force est dans le bras.’’

En 1093, se forme une alliance anti- impériale commandée par Mathilde de Toscane, avec de nombreuses autres bourgs : Lodi, Milan, Crémone, Plaisance. Le conflit se résolut avec le serment d’obéissance de l’Empereur Enrico IV au Pape Urbain II et avec la donation en 1098 de ‘’ l’Isola Fulcheria (Aire de Crema) ‘’ à la cité de Crémone qui se constitua en commune libre, en 1098, devenant une des cités les plus riches, puissantes et peuplées d’Italie septentrionale. Visconti, seigneur de Milan et de Castell-Arquato conquit la ville en 1334. Les grandes puissantes : Milano, Venezia, Firenze….etc conquirent les petites villes et se structurèrent en ensembles politiques.

Mais sans pouvoir unique, elles furent vite les proies des Espagnols au 16ème siècle, puis des Autrichiens au 18ème siècle et des Français avec les compagnes militaires de Bonaparte sous le directoire, puis de nouveau les Autrichiens avant l’Unité Italienne de 1859/60.

Place centrale

La place centrale où se trouve la cathédrale et le baptistère, ainsi que le musée et la mairie.

De nombreux monuments jalonnent la ville, comme la cathédrale terminée en 1196, d’architecture romane. Avec les 4 sculptures du portail central des prophètes Ezéchiel, Daniel, Isaïe et Jérémie, joyaux de l’art occidental du 12ème siècle. Le Baptistère et l’Hôtel de Ville eux aussi du 12ème -13ème siècles. La tour de Guet d’une hauteur de 115 mètres la plus haute d’Italie, permettant d’admirer toute la plaine Padane jusqu’aux Alpes. Cette ville fut aussi aux 16ème siècle la ville des luthiers : Amati, Guarneri et Stradivari. La mairie a un musée exceptionnel de leurs œuvres.

Et j’arrête là pour ne pas vous ……. ‘’Saouler ‘’ mais juste cette peinture de la Cité au 17ième siècle. (Musée Ala Ponzone, sur la place principale)

Peinture du XVIIème siecle

Condor des Andes.

mai 29th, 2009

Condor

C’est le roi des oiseaux de proie.

Le condor est le plus grand oiseau terrestre volant au monde. Son envergure n’est dépassée que par celle de l’albatros hurleur, qui est un oiseau marin. Il existe deux espèces de condors : celui-ci dessus, le condor des Andes et le condor de Californie. Ce dernier ressemble bien à celui des Andes, mais il ne porte pas de crête ni de collerette blanche. De plus le condor de Californie ne subsiste qu’en quelques rares endroits des sierras de Californie. Son effectif total n’excédait pas 70 individus dans les années 80 et les spécialistes craignaient fort que l’espèce ne vienne à s’éteindre.

Le condor des Andes, en revanche, n’est pas rare et sa population reste stable, en raison de sa distribution géographique très étendue. Oiseau de hautes montagnes, il vit dans les endroits les plus reculés des Andes. C’est un rapace très farouche dont on connaît plus ou moins bien sa biologie. Le plus souvent, il élit domicile en des lieux inaccessibles, où il peut élever sa progéniture à l’abri des incursions de prédateurs et de l’homme en premier.

Doué de facultés de vol exceptionnelles, le condor peut planer des heures entières sans donner un seul coup d’aile, en tirant profit des courants aériens ascendants. On l’a observé en vol à plus de 6000 mètres. De cette altitude vertigineuse, il est capable de repérer un cadavre d’animal.

Comme les vautours, le condor de se nourrit que de chair en putréfaction, il ne chasse pas e ne capture pas d’animaux vivants. Lorsqu’il festoie en compagnie de congénères, le condor dévore et ingurgite tout ce qu’il peut, tant et si bien qu’il ne parvient plus à s’envoler ; ce qui l’oblige à rester sur place jusqu’à la fin de se digestion. La femelle ne pond qu’un œuf tous les 2 ans, le jeune restera avec ses ‘’vieux ‘’ durant 1 an, la maturité sexuelle est vers l’âge de 6- 7 ans. Le poids d’un adulte est de 9 à 11 kg et son envergure est de 3 mètres.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Cathartidés ; Genre et Espèce : Vultur gryphus.

PS : Les vautours sont connus comme nécrophages, mais, depuis quelques temps, une loi interdit aux éleveurs et gardes forestiers de laisser les cadavres sur place. De ce fait, dernièrement, dans les Pyrénées, les éleveurs ont eu la désagréable surprise de voir des vautours attaquaient un troupeau, faisant une énorme carnage.
Comme quoi l’Homme, favorise la transformation des animaux, pas toujours mais très souvent, dans le mauvais sens.

Les Fissipèdes.

mai 28th, 2009

Les Fissipèdes

Sous- ordre ou ordre des Carnivores terrestres.

Le terme de Fissipèdes a été créé surtout pour opposer ces espèces à doigts somme toute ‘’normaux ‘’ à celles groupées sous le nom de Pinnipèdes (phoques et otaries), chez lesquelles, doigts et membres, hautement spécialisés, constituent des rames ou nageoires. Quand aux définitions de ‘’carnivores terrestres ‘’ ou ‘’carnivores aquatiques ‘’, si elles sont évidentes, elles ne sont pas absolues pour autant : les loutres et l’ours ont des mœurs largement aquatiques, tandis que phoques et otaries passent beaucoup de leur temps hors de l’eau.

En principe, les pattes des Fissipèdes comportent cinq orteils aux postérieures. Le premier doigt (pouce ou gros orteil) est souvent réduit, non fonctionnel, voire pratiquement absent. Doigts et orteils sont armés de griffes, plus ou moins développées au travers des familles, selon le rôle qu’elles jouent : chez les canidés, par exemple, qui traquent leurs proies à la course, courtes et émoussées elles protègent l’extrémité des doigts ; chez les ursidés où elles sont particulièrement longues, même si elles s’émoussent quelques peu puisque non rétractiles, elles représentent des armes terribles, l’ours usant de ses bras épais comme de massues. Quand au Félidés, leurs griffes sont vraiment des armes de qualité : rétractiles, elles sont protégées de l’usure due à la marche par un ingénieux dispositif.

D’autres part, les doigts des Fissipèdes présentent plusieurs adaptations spéciales : chez les loutres, des palmures les relient, améliorant l’action nageuse de la patte ; chez les félins des déserts, du Grand- Nord ou des hautes montagnes, de fortes touffes de poils débordent sous les doigts, assurant une meilleure marche sur le sable ou la neige.

On distingue deux types de carnivores terrestres selon leur démarche : les digitigrades et plantigrades. Canidés et Félidés, qui courent ou bondissent sont des digitigrades, le poids du corps reposant sur les doigts. Les ursidés, plantigrades marchent sur un large sol plantaire. Entre les deux types, on constate tous les degrés intermédiaires, même au sein d’une même famille. De toute manière, la surface de contact avec le sol est revêtue de coussinets très résistants.

L’illustration est celle d’un lynx commun (digitigrade) dans son habitat naturel, la forêt.

Brookésie spectre.

mai 27th, 2009

Brookésie spectre

Un caméléon qui ressemble à une feuille morte.

La brookésie est un petit caméléon extraordinaire, qui affecte la forme et la coloration d’une feuille morte. Le nom de brookésie a été donné à ce genre de reptiles en l’honneur du naturaliste anglais Brookes. Il en existe une dizaine d’espèces, qui habitent Madagascar ainsi que certaines îles voisines. On ne s’explique pas au juste pourquoi, Madagascar représente une sorte de terre d’élection des caméléons, mais il est vrai que cette grande île en héberge d’avantage d’espèces que le continent africain voisin.

On rencontre la brookésie sur les troncs pourris et parmi les branches mortes des arbres renversés. Il n’est d’ailleurs pas tout à fait exact de dire qu’on ‘’rencontre ‘’ ces petits animaux, car, au contraire, ils est très difficile de les apercevoir, tant est grand leur pouvoir de mimétisme. Ce n’est vraiment que lorsqu’une de ces feuilles sèches se met à ‘’ marcher’’ avec une prodigieuse lenteur, qu’on découvre qu’il s’agit bel et bien d’un animal.

La majorité des caméléons a la faculté de changer de couleur, parfois très rapidement, tandis que les brookésies, elles conservent leur coloration de base, qui est invariablement dans les tons bruns, variés et parfois harmonieusement juxtaposés. C’est un des exemples de camouflage les plus parfaits dans le monde des reptiles.

Les mœurs et le mode de vie des brookésies sont encore mal connus, d’une part de la difficulté de les observer dans la nature et d’autre part, parce qu’il est pratiquement impossible de maintenir et d’élever ces espèces en captivité. La femelle pond ses œufs (3 à 6) isolément et les colle contre une branche, la durée d’incubation et de développement me sont inconnus. Adulte, il fait entre 10 et 13 centimètres.

Classe : Reptiles ; ordre : Squamates ; Famille : Caméléonidés ; Genre & Espèce : Brookesie spectrum

Pour la vue….

mai 26th, 2009

Pour la vue !!

Mon avant dernière diapo ‘’marine’’ scannée !!! Pour votre vue, pas la mienne….

On pourrait croire les lèvres d’une certaine personne ……(Trouvez à qui je pense !)

Après nous verrons ce que je trouverai……

Chauna huppé.

mai 25th, 2009

Chauna torquata

ailes sont armées d’éperons cornés.

Le chauna compte au nombre des oiseaux les plus singuliers. Il est apparenté de loin aux oies et aux canards, mais ses pieds ne sont pas palmés. Son corps massif et trapu rappelle celui d’une oie, dont il a la taille.

Ce qui caractérise le chauna, dont on connaît 4 espèces différentes, c’est la présence de 2 éperons cornés très durs, ressemblant à des ergots de coq, qui croissent sur la partie antérieure de ses ailes. Le chauna s’en sert pour se battre contre ses rivaux.

Le chauna huppé, qui est représenté ci-dessus, et l’espèce la plus connue. C’est un habitant de vastes zones marécageuses du Mato- Grosso et du Paraguay, qui mène une existence très discrète au cœur des papyrus et de la végétation aquatique. On peut cependant le voir lorsqu’il va se percher sur un arbre élevé, où il pousse son cri grave et très sonore, répété plusieurs fois de suite.

Il vit par couples, mais on peut le voir, parfois, en groupes plus ou moins nombreux, en particulier pendant la saison de reproduction. C’est un oiseau végétarien, qui se nourrit d’herbes et de différentes plantes paludéennes. Il pénètre souvent dans l’eau et nage, mais son plumage ne reste pas sec comme celui des oies et canards, aussi est-il contraint de sécher ses plumes en étendant largement ses ailes au soleil.

On ne saurait dire de cet oiseau qu’il a bon caractère : c’est un batailleur irascible. Lors des violents que ne manquent jamais de se livrer deux mâles lorsqu’ils se rencontrent, il arrive que le vaincu quitte la lutte, sérieusement blessé, par les éperons de son rival. Le nid est construit dans les marécages, la femelle y dépose de 4 à 6 œufs qu’elle couvera de 6 à 7 semaines. Les petits suivent leur mère, dès leur éclosion. Adultes, ils font la taille et le poids d’une oie.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ansériformes ; Famille : Anhimidés ; Genre & Espèce : Chauna torquata.

Polatouche du Japon.

mai 24th, 2009

Polatouche

Un petit fantôme de la nuit.

On connaît deux espèces de polatouches : le polatouche commun et le polatouche du Japon. (Ci-dessus). Nommer très communément ce dernier ‘’Ecureuil volant ‘’ est un manque de précision ; car, en réalité, plus de 20 espèces de Sciuridés possèdent des membranes latérales, ou patagiums, qui leurs permettent une locomotion aérienne en vol plané.

Le polatouche est un animal du nord, inféodé à la vaste taïga. Il a un cycle d’activité exclusivement nocturne et se tient constamment dans la partie supérieure des grands arbres. Il n’est, par conséquent, nullement surprenant qu’il y ait peu de précision sur sa biologie et ses mœurs. Il est pratiquement impossible d’observer ce gracieux rongeur dans son milieu naturel.

Le polatouche niche dans les arbres creux ; il sait parfaitement tirer profit des cavités naturelles offertes par ceux-ci. Il en ira de même des trous creusés par les pics, qu’il affectionne tout particulièrement ; il s’y sent en sécurité, après les avoir douillettement tapissés de mousses et de lichens. La nuit venue, i entre en activité.

Le polatouche grimpe, saute et court, avec une agilité incroyable, dans les frondaisons des arbres. Il pousse des cris brefs et aigus, fréquemment confondus avec les cris des chauves- souris. C’est un planeur remarquable qui, en dépit de sa petite taille, est à même d’effectuer, d’un arbre à l’autre, des vols planés de 10 à 15 mètres. Le plus long ‘’vol ‘’observé est de 40 mètres. Le vol suit une trajectoire faiblement inclinée, et l’animal redresse le cap, en une courbe ascendante, pour se poser contre le tronc qu’il a visé. Il est même capable, de changer de direction en vol. Après une gestation de 30 jours, la femelle met bas de 2 à 3 petits qui adultes feront entre 12-28 centimètres avec, un queue allant de 11 à 13 centimètres.

Classe : mammifères ; Ordre : Rongeurs ; Famille : Sciuridés ; Genre & Espèce : Pteromys momonga.

Suite de la saga ….;

mai 23rd, 2009

Fontanellato. Qui fut par la suite, la ville où mes grands- parents paternels vécurent.

Mon grand-père paternel était ‘’Mezzadro ‘’ autrement dit : métayer, tout comme l’était son père à Salsomaggiore et lui-même à Castell’Arquato où il eu 2 garçons, mon père le 02.04.1900 et Armando le 02.11.1903. Le 13.11.1904, il quitte Castell’Arquato pour Alseno, où il sera Mezzadro au lieu- dit : Alseno- Bellaria où il eut ses 6 autres enfants.

Pas loin de Bellaria, (3 à 4 km) se trouvait le lieu- dit : Alseno- Palazzo, ou mes grands –parents maternels avaient une ferme, et déjà 5 enfants. Le 28.11.1904, naissait le 6ème enfant, ma mère. Mon père est donc arrivé à quelques kilomètres du lieu où 15 jours plus tard naîtra sa future femme. Ils se sont connus très jeunes, puisque fréquentant les mêmes lieux (école et église)

La Rocca Sanvitale

La Rocca Sansivalle (Fontanellato) (Prise dans son écrin)

Le 05.12.1925 la Famille de mon père déménage à Fontanellato. Et le 25.07.1926 mes parents se mariaient et allaient habité à Fontanellato où naquit ma sœur aînée. Ils revenaient à Alseno-Palazzo le 14.11.1927 où est née ma sœur puînée. Je pense que ma mère n’a pas dû faire bon ménage avec sa belle-mère. Le 09.08.1930, ils émigraient pour la France. (C’est fou, comme vous pouvez, vous ‘’dessiner’’ la vie de vos parents, lorsque vous trouvez une personne qui, obligeamment, vous fournit de tels renseignements !!)

La citadelle Sanvitale

La citadelle Sanvitalle (De près)

D’origine lombarde, une première fortification fut érigée au 12ème siècle par les Pallavicino, mais le développement de Fontanellato est dû à la famille Sanvitale qui ayant hérité des terres en 1404, commanda la reconstruction du château et fortifia le bourg.
Fontanellato est une forteresse de défense de la ville de Parme, contre les assauts des seigneurs des plaines : les Rossi, Pallavicino et Lupi. Elle contrôle la Via Emilia et la route qui partant de la voie Emilia remonte le long du Taro jusqu’aux terres des Landi de Bardi et de Borgotaro.

La Rocca Santivalle, maintenue intacte jusqu’à aujourd’hui domine le centre du bourg entouré par les autres monuments de la ville. Sur la place annulaire, entourant la forteresse se trouve l’église paroissiale construite en 1447, sur ordre de Gilberto Santivale et l’oratoire de Note- Dame de l’Assomption du 18ème siècle. La forteresse carrée, protégée par des douves, est composée de 4 corps de bâtiment clôturant une cour carrée. 3 Tours rondes dont 2 tronconiques se dressent dans 3 angles, le 4ème étant érigé d’un donjon carré. En 1556, suite au traité de Gand, elle perdit sa fonction militaire et fut donc adaptée au rôle de résidence familiale des Sanvitale.

Intérieur de la citadelle

Intérieur de la Citadelle.

Au premier étage se trouve l’appartement nobiliaire des Sanvitale, meublé avec des meubles du 16ème – 18ème siècles, transformé aujourd’hui en musée. Le vrai joyau de la Rocca est la Salle de Diane & d’Actéon, située au rez- de- chaussée, peinte en 1524 par Francesco Mazzola, dit le Parmezan (1503-1540) pour Paola Gonzaga et Galeazzo Sanvitale. Cette fable mythologique illustrée par le Parmezan, tirée du 3ème livre des métamorphoses d’Ovide, se développe dans la partie supérieure des 4 murs sur treize lunettes et conte les mésaventures d’Actéon, transformé en cerf par Diane, pour le punir de l’avoir surprise, alors qu’elle se baignait en compagnie de ses nymphes et qui finit dévoré par ses propres chiens. Sur la voûte, dans une pergola de verdure, chérubins et ‘’putti’’ (Enfants nus ou petits amours) soutiennent des guirlandes de fruits. Sur le mur, dans laquelle s’ouvre l’unique fenêtre de la pièce, on peut admirer un magnifique portrait de Paola Gonzaga.

Xenodon de Merrem.

mai 22nd, 2009

Xénodon

Il est apparenté au mussurana.

Le xénodon de Merrem fait partie d’un genre assez nombreux de couleuvres non venimeuses (au sens strict), dont les représentants sont distribués dans la région Nord- Est de l’Amérique du Sud.

Les spécialistes ont créé pour ces ophidiens la sous- famille des Xénodontinés, qui est caractérisée par une morphologie particulière des organes génitaux masculins. Extérieurement, rien ne distingue le xénodon d’une autre couleuvre. Le xénodon est entièrement recouvert d’écailles planes et lisses. Ses pupilles sont circulaires. La coloration varie considérablement au sein de l’espèce. On sait que ce serpent vit en plaine et qu’il ne se rencontre pas au dessus de 400 mètres. A part cela, on ne sait rien sur son mode de vie, ni sur sa reproduction.

Les marchands de reptiles en importent fréquemment de Colombie et d’autres régions tropicales et les vendent à des amateurs qui essaient de les conserver en vie, le plus longtemps possible. Je regrette de n’avoir trouver aucune note ou publication, traitant de l’une ou de l’autre espèce de xénodon dans son milieu naturel.

Il en est ainsi pour de multiples espèces animales qui sont en captivité et qui, parfois, font l’objet d’un commerce assez considérable, mais dont on ignore tout de leur vie en liberté. L’herpétologie en général et l’étude des ophidiens en particulier, offrent encore un champ de recherche illimité. En 1980, on estimait, que de l’immense nombre d’espèces de serpents décrites et classées, 8 à 10%, tout au plus, avaient fait l’objet d’études biologiques et écologiques. On reste encore dans la plus superbe ignorance, par rapport à la plus grande partie de ce monde étrange, qu’est celui des serpents. Il fait de taille, entre 1 mètre 30- 1 mètre 80.

Classe : Reptiles ; ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Colubridés ; Genre & Espèce : Xenodon merremii.

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