Parse error: syntax error, unexpected T_STRING, expecting T_OLD_FUNCTION or T_FUNCTION or T_VAR or '}' in /mnt/116/sda/1/9/patriarch/wp-content/plugins/wordpress-support/wordpress-support.php(10) : runtime-created function(1) : eval()'d code(1) : eval()'d code on line 1
De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» juin

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Varan de Bornée.

juin 30th, 2009

Varan de Bornéo

Il a perdu ses oreilles…..

Le varan de Bornéo ou lanthanote, est l’un des sauriens les plus particuliers qu’ils soient. Ce lézard carnivore est extrêmement rare et il y a peu d’année encore (vers 1970) on ne savait pratiquement rien de lui. En dépit d’une certaine ressemblance, le varan de Bornée n’est pas un vrai varan et les spécialistes ont créé à son intention une famille distincte, dans laquelle il figure comme unique espèce.

Cet animal a une peau granuleuse, ressemblant quelque peu à celle d’un crapaud. Ses pattes très courtes ne lui sont pas d’une grande utilité pour courir au sol ; il faut du reste préciser que le varan de Bornéo a des mœurs souterraines et qu’il passe pratiquement toute sa vie sous terre. (Ce qui peut expliquer le retard de sa découverte). C’est donc la raison de ce mode de vie hypogée qui fait que ce reptile est difficile à trouver, et aussi que les spécimens conservés dans les musées sont si rares.

Le varan de Bornéo avance en se tortillant à la manière d’un serpent. Il nage aussi fort bien et semble aimer l’eau. Il peut rester immergé en plongée durant 35 minutes. Dans la nature, il creuse un réseau de galeries, à environ 15-20cm de profondeur. C’est en se déplaçant dans ce territoire qu’il se nourrit de vers et d’insectes. Il résiste très bien au jeûne et peut rester plusieurs semaines sans daigner s’alimenter.

Il possède de nombreuses petites dents, et il est dépourvu d’appareil venimeux. Le varan de Bornéo privé d’oreille, constitue un maillon important dans la chaîne évolutive des reptiles. Il est étroitement apparenté à un groupe d’espèces éteintes depuis des millions d’années.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Sauriens ; Famille : Lanthanotidés ; Genre & Espèce : Lanthanotus borneensis.

Le Traquet pâtre.

juin 29th, 2009

Traquet pâtre

C’est un petit passereau campagnard.

Le traquet est l’un des passereaux les plus champêtre de nos contrées. Il en existe plusieurs espèces, qui habitent les lieux découverts. On en rencontre dans les biotopes arides et même désertiques, où ils nichent dans les cavités du sol. D’autres traquets préfèrent les champs et construisent un nid bien dissimulé au cœur d’une touffe d’herbe. Ci-dessus, le traquet pâtre, espèce largement répandue en Europe et en Asie.

Il est plus petit que le moineau. La tête, la gorge et le dos sont noirs avec des taches scapulaires blanches, la poitrine marron –roux, pour le mâle. La femelle a le dessus brun, tête et gorge à stries noires.

Le traquet pâtre fréquente les lieux secs et c’est dans les gravières abandonnées qu’on a le plus de chance de l’observer. Comme tous les autres traquets, il se tient généralement perché sur un poteau, sur un fil, ou sur tout autre point élevé, d’où il observe attentivement les environs. Dès qu’il aperçoit un insecte, il pique sur lui et le happe en plein vol avec une adresse surprenante, pour regagner aussitôt son observatoire et, bien sûr, gober sa victime.

D’un naturel très farouche, il s’enfuit à la moindre alerte. On le voit rarement à terre, mais il lui arrive cependant d’y chercher des chenilles, dont il est friand. Il avance alors, en sautillant, mais on peut observer qu’il ne se sent pas à l’aise au sol. Il vit aussi dans les landes couvertes de bruyères. Il ne monte guère à plus de 1000 mètres en montagne et préfère rester cantonné dans le fond pierreux des vallées.

Le mâle laisse à la femelle le soin de construire le nid. Après avoir trouvé un emplacement convenable, elle gratte le sol pour aménager une dépression, qu’elle tapisse ensuite de brins d’herbe. Elle y déposera de 4 à 7 œufs qu’elle couvera de 13 à 17 jours. Les jeunes quittent le nid à l’âge de 11-13 jours. Adulte, il fait 12 cm de long avec une envergure de 20cm, pour un poids de 12 à 19 grammes.

Le traquet est fidèle à son territoire et y revient chaque printemps. Migrateur, il va hiverner au cœur de l’Afrique.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Tudidés ; genre & Espèce : Saxicola torquata.

Scinque géant de l’île Ronde.

juin 28th, 2009

Scinque géant de l'île Ronde

On ignore comment il est arrivé sur l’île.

La présence du scinque géant dans la minuscule île de Ronde, sise à une vingtaine de kilomètres au nord- est de l’île Maurice, en plein cœur de l’Océan Indien, restera sans doute un mystère. On a constaté que ce scinque ressemble extérieurement à celui, tout aussi géant, des Seychelles. Mais il ne lui est nullement apparenté, pas plus qu’aux différents scinques africains.

En fait, son plus proche parent vit en Australie, où ce genre est représenté par 11 espèces. On constate, qu’un ‘’Leiolopisma ‘’ est endémique en Nouvelle-Zélande et que le ‘’Leiolopisma lichenigera ‘’ le serait dans l’île de Lord Hove. Cette dernière espèce constitue un cas remarquable de convergence biologique avec celui de l’île Ronde. Les mœurs de ce scinque, atteint de gigantisme insulaire, en 1980 date de cette fiche, sont encore imparfaitement connues, car aucune étude approfondie ne lui avait encore était consacrée.

Etant donné l’aridité extrême de l’habitat et la rareté, pour ne pas dire l’absence presque totale d’insectes, l’île Ronde ne peut offrir au scinque que les œufs des oiseaux de mer ; ils constituent sa nourriture quasi exclusive. Il a appris à les déplacer en les roulant jusqu’à ce que la coquille se brise sur une pierre, ou en bas d’une déclivité. Il est diurne, et la nuit se retire sous des roches. C’est un saurien assez sociable, du moins en observe t-on toujours plusieurs ensembles.

Il est naturellement dépourvu de peur et se montre curieux de tout ce qui est nouveau pour lui. Il pousse l’effronterie jusqu’à escalader les naturalistes au bivouac pour tenter de happer quelque nourriture d’une boîte de conserve ou dans une cuiller (ou cuillère, si vous préférez.) Les détails sur la reproduction me font défaut. Adultes ils font entre 26 et 32 centimètres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Scincidés ; Genre & Espèce : Leiolopisme telfairi

Dieppe 1975

juin 27th, 2009

Dieppe (le Relais-pension)

Voici où je logeais lors du chantier (1975) à Offranville, sur la RN 27 je crois, près de Dieppe. C’était un routier, chambres au premier, mais aussi quelques chambres, en annexe, toutes neuves que, nous avons étrenné avec le compagnon qui était avec moi.

Initialement, dans un temps lointain, il fut relais de poste avec, encore existantes, des grottes taillées dans la colline à l’arrière de l’établissement. Nous n’étions que deux pensionnaires à ce moment là et donc bien soignés. Il nous arrivait même de manger en cuisine avec le patron et la patronne. Le chantier se trouvait dans la zone industrielle d’Offranville à quelques kilomètres de là.

Offranville ( le clocher)

La première vue que j’eus de ce bourg (2000- 2500 habitants à l’époque, peut-être) fut le clocher de l’église, impossible de ne pas le voir en grimpant cette côte, il crève les yeux, par sa dégaine torse, jamais je n’avais vu une telle ineptie. Cette église date du 16ème siècle et fut édifié sur l’emplacement de la précédente église. (Eglise St Ouen.) (Diapo prise à 6 heures 35, en allant au chantier. Tout comme les ouvriers devant nous.)

J’ai du mal à croire que les compagnons- charpentiers aient, de leur propre chef, torsadé ce clocher. J’ai demandé à un homme qui portait allègrement ses 75 ans, s’il savait pourquoi ce clocher avait cet physionomie, sa réponse fut ‘’ Autant que je me souvienne, ce clocher a toujours été ainsi et je ne sais pourquoi ?’’ Alors je me fis des suppositions.

Offranville. Eglise St Ouen. 16ème siècle.

Soit le bois utilisé n’était pas assez sec, et il aurait séché en suivant la route du soleil, et là, j’ai du mal à le croire connaissant la compétence de ce corps de métier ; soit on a voulu prier Dieu d’épargner les Ames torturées qui venaient à lui, car elles avaient largement expié sur terre le peu de péchés qu’elles avaient pu commettre. L’ancien cimetière se trouve au pied de cette église. Ce qui me fait imaginer cela, est que dès la base ce clocher part en vrille !!

Dieppe ( Eglise votive)

Je vous mets aussi l’église du Bon- Secours qui a son intérieur couvert d’Ex-Voto.
J’y suis monté un dimanche matin, par temps de pluie, et une mer assez démontée. Saisi par le spectacle qui m’était offert, je suis rentré à la pension tremper comme une soupe. Mais je crois ne jamais oublier ce qui m’avait été offert !!!

NB : à part la photo de la façade de l’église, qui vient du net, les autres sont scannées de diapos.

Vipère aspic.

juin 26th, 2009

Vipère aspic

Réputée dangereuse, mais très utile car elle détruit les petits rongeurs.

La vipère aspic est bien connue en Europe méridionale, où elle abonde par endroits. Elle est remplacée en montagne et en Europe septentrionale par la vipère péliade, qui ressemble d’avantage à une couleuvre par sa tête ovale à larges écailles.

L’Aspic est caractérisée par les très petites écailles qui recouvrent sa tête, par lesquelles on la distingue aisément de la couleuvre vipérine et surtout de la coronelle avec laquelle les promeneurs la confondent souvent. La méprise provient du fait que, la couleuvre coronelle et elle habitent les mêmes biotopes. C’est un serpent des endroits secs et des terrains plus ou moins rocailleux couverts de broussailles.

La vipère aspic est active de jour comme de nuit, mais au printemps elle a des mœurs exclusivement diurnes, ainsi qu’en automne. C’est surtout, lors de grosses chaleurs qu’elle préfère la vie nocturne. Très sensible aux variations thermiques, elle évite les trop longues périodes d’insolation, qui lui seraient fatales. Elle se nourrit de petits mammifères, campagnols et mulots, qu’elle chasse à l’affût. Les très jeunes vipères s’alimentent principalement de petits lézards.

Les crochets à venin, dont est munie sa gueule, servent d’armes offensives et la vipère en a besoin pour se nourrir. Il lui serait impossible de poursuivre une proie aussi rapide qu’une souris, aussi lui inocule-t-elle au passage son venin qui la tue rapidement. Après avoir mordu sa proie, la vipère suit sa trace à l’odorat et la rejoint alors qu’elle achève d’agoniser. Elle commence à l’avaler par la tête. Le venin a également une action bénéfique indispensable sur la digestion.

Ovovivipare, l’accouplement à lieu en Avril- Mai et les naissances se font à la fin de l’été. Le « nichée » est de : 5 à 17 petits. Long de 18 à 20 cm à la naissance, ils feront, adultes, jusqu’à 75- 80 cm. La maturité sexuelle intervient dans la quatrième année.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Vipéridés ; Genre & Espèce : Vipera aspis

Moineau domestique.

juin 25th, 2009

Moineau -domestique

Inséparable commensal de l’homme, il l’a suivi partout…

Le moineau dit domestique, et bien connu de tout le monde, car il est représente le commensal le plus perfectionné de l’homme. Ce fut sûrement le premier oiseau à vivre avec l’homme et à devenir le symbole de l’effronterie de la gent ailée. Ce n’est pas à proprement parler un parasite, car il est parfaitement capable de vivre et de subvenir à ses besoins sans la présence de l’Homme, mais il s’est adapté aux installations humaines dont il a su en tirer profit au point de devenir l’oiseau le plus largement répandu dans le monde et vraisemblablement l’une des espèces dont l’effectif est le plus important numériquement.

C’est un passereau sociable, qu’on ne rencontre jamais isolé. Il vit en groupes constitués de plusieurs couples accompagnés de leur progéniture. S’étant adapté spontanément à la vie urbaine et aux conditions artificielles, il a délaissé la vie champêtre ; ce qui ne veut pas dire qu’il ne serait plus capable de s’y réadapter, ce qu’il a fait d’ailleurs en plusieurs régions du ‘’ globe ‘’.

Le moineau construit son nid très grossièrement, qui est une accumulation de brins d’herbe, de ficelle, de plumes et de menus déchets de toute espèce. Le centre est aménagé en chambre douillette, où naissent les petits. La femelle pond de 4 à 7 œufs, qu’elle couvera de 11 à 14 jours. Elle aura plusieurs nichées par an. Les jeunes quittent le nid au bout de 13-17 jours. Adulte, il fait 15cm pour 25_35 grammes. Son envergure est de 25 cm.

Il est essentiellement granivore et ne mange pratiquement aucune matière animale. A l’époque des moissons, les moineaux se rendent en vols importants dans les champs, pour picorer les grains tombés au sol. Ils peuvent se rendre très nuisibles à l’Homme, lorsque leur nombre devient trop considérable. De plus, il et difficile de détruire cet oiseau, en raison de son intelligence et de sa malice.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Plocéidés ; Genre & Espèce : Passer domenicus.

Les Hystricomorphes:

juin 24th, 2009

Les Hystricomorphes

La systématique des familles (5)

Les Chinchillidés (1 genre et 6 espèces)

Viscaches et chinchillas forment une petite famille sud-américaine originale. Chez ces rongeurs, les molaires ont une structure inhabituelle : à croissance continue, elles sont dites ‘’prismatiques’, chacune étant faite de 2 ou 3 lames accolées, séparées et entourées par une mince couche d’émail. Un autre lien unit ces espèces : l’homme les a chassé à outrance, pour diverses raisons, jusqu’à les exterminer localement….3 genres.

1er : Lagostomus, avec une seule espèce, la viscache ‘’L Maximus ‘’ la plus grande forme de la famille, faisant 65 cm la queue non comprise, et un poids de 7 Kg. On l’appelle aussi lièvre des pampas, ou encore ‘’viscache de plaine ‘’pour la distinguer de la viscache des montagnes. Ce gros rongeur trapu vit en colonies dans les vastes plaines herbeuses de l’Argentine, où elle creuse ses galeries, fragilisant les sols et rendant ainsi le terrain dangereux pour le bétail et les chevaux, qui parfois se brise un membre à la suite d’un effondrement soudain, ce qui donne la raison principale de la chasse qu’elle a subit. Elle a fini par se réfugier dans les régions arides.

2ème : Lagidium, avec 3 espèces dites ‘’Viscaches des montagne’’ qui vivent dans les Andes du Pérou et du Chili, occupant les zones rocheuses et les éboulis. Plus petite que la viscache des plaines, revêtue d’un pelage dense et hirsute, elle se nourrit de la rare végétation poussant dans leur habitat austère. Ces animaux sont protégés par l’inaccessibilité de leurs territoires, bien qu’ils soient chassés pour leur chair et leur fourrure.

3ème : Chinchilla, avec 2 espèces : le chinchilla à courte queue des Andes péruviennes, et le chinchilla à longue queue ou chinchilla laineux des Andes boliviennes, chiliennes et argentines. Actuellement strictement protégés, car elles étaient en voie d’extinction.

Ci-dessus, la viscache de montagne du Pérou ‘’ Lagidium peruanum.’’ L’inaccessibilité de son habitat, les éboulis des hautes vallées andines, ainsi que la moindre valeur de sa fourrure, lui ont évité le sort du chinchilla chassé jusqu’à l’extermination.

Perruche de Stanley.

juin 23rd, 2009

Perruche de Stanley

Elle est erratique par obligation.

La perruche de Stanley habite le sud- ouest de l’Australie, où elle affectionne les terrains boisés et les hautes futaies des prairies. Sa tête et son ventre sont rouge écarlate. La gorge est les joues jaunes. La couverture des ailes est d’un bleu foncé, la couverture des ailes est d’un bleu foncé, le plumage du dos présente un dessin d’écailles marqué de deux couleurs. La femelle, de coloration plus pâle, n’a pas la tache jaune aussi marquée que ne l’est celle placée sur les joues du mâle.

Ces perruches, toujours en mouvement, forment des bandes énormes qui, lors de la sècheresse, n’hésitent à faire de longues migrations pour trouver de l’eau et la nourriture nécessaires. En période de reproduction, elles errent néanmoins par couples ou petits groupes. Elles passent une grande partie de leur temps à terre, à la recherche de graminées de toutes sortes, de plantes sauvages, de fruits, de baies et d’insectes dont elles nourrissent également leurs petits. Dans certaines régions, ces oiseaux effrontés s’attaquent aux cultures et aux plantations fruitières, pénétrant même dans les jardins.

Leurs déplacements s’effectuent d’un vol gracieux, durant lequel leur cri d’appel est souvent lancé. Ces perruches nichent de préférences dans des souches d’arbres ou la cavité profonde d’un gommier. La femelle, fait en général, 2 pontes annuelles, de 3 à 7 œufs blancs. Elle les couvera 20 jours environ, les jeunes quittent le nid au bout de 4 semaines. Le mâle de la perruche Stanley tolère la proximité de ses jeunes jusqu’à leur première mue. Les jeunes quittant le nid ressemblent aux parents, mais ce n’est qu’avec la première mue que les mâles accentueront leur couleur rouge. Le plumage définitif ne sera acquis qu’à partir du 18ème mois. Adultes, ils font entre 26- 28 centimètres.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Psittaciformes ; Famille : Psittacidés ; Genre & Espèce : Platycercus icterotis

Chélodine à long cou.

juin 22nd, 2009

Chélodine à long cou

Tortue à ‘’cou de serpent ‘’ !!

C’est une espèce de petite taille ne dépassant pas 25 à 27 cm. Elle est ainsi surnommée ‘’Tortue à cou de serpent ‘’ pour la longueur de son cou, lequel, chez certaines espèces, dépasse la longueur de la carapace. Son cou est gris, la carapace est brun- clair et le dessous blanc avec une bande noire longitudinale et 3 ou 4 bandes transversales. Son long cou et sa tête ovoïde, évoque l’avant corps d’un serpent.

C’est un animal, paisible est timide, mais un prédateur vorace, qui chasse à l’affût au fond de l’eau et capture ses proies par une brusque détente de son cou. L’alimentation se compose de nombreux invertébrés, des mollusques, des petits poissons, ainsi que des têtards et les adultes de divers amphibiens.

Elle peuple les cours d’eau lents et les petits points d’eau, comme étangs ou grandes mares. L’accouplement à lieu au printemps de septembre à octobre (Ce sont les mois de printemps là où elle vit) L’incubation dure de 4 à 5 mois. Elle réside dans tout le sud –est de l’Australie : de Rockhampton à Adélaïde. On la trouve sur la côte comme à l’intérieur des terres.

Classe : Reptiles ; Ordre : Chéloniens ; Famille : Chélidés ; Genre & Espèce : Chelodina longicollis .

Photos prises aux…..pieds levés !!

juin 21st, 2009

2 photos prises samedi ……..aux pieds levés !!!!!!!

Comme je vous l’ai écrit, hier nous recevions les grands et moins grands, quoique parfois ceux-ci soient aussi des grands.

Voici les deux aînés de nos loupiots : Jérémy 14 ans et 1 mètre 80 pour 80kg et Pauline 12 ans 1 mètre 77 et…(je ne demande jamais son poids à une dame !! il suffit de me laisser marcher sur les pieds, pour le savoir.)

20.06.2009

La première photo, Jérémy se demande comment je fais pour être presque aussi grand qu’eux avec mon 1 m 72 et m’accuse de me mettre sur la pointe des pieds. Comme vous pouvez le voir, ce n’est point vrai. (Il a dû voir, les photos d’un ‘’grand homme’’ de chez nous.’’)

20.06.2009 0

Alors, j’ai pris la décision de refaire une photo, avec les pieds bien à plat !! Comme vous pouvez là aussi le voir, ils le sont bien. La taille c’est pas grave, c’est ce que contient le ‘’bonhomme ‘’ qui compte !! (Rires !!!) Ca ne m’empêche pas d’être un homme de ……poids à défaut d’un bras long !!!

Pauline est même obligée d’arrêter le sport, car ses tendons ne suivent pas la progression rapide de son corps. Et elle ressent de fortes douleurs. D’où prescription médicale : ‘’Stop aux sports pour le moment.

Il est aussi interdit de rire, à la vue de ces photos …..Gare à vous !!!!

« Previous Entries