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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» novembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Calao de Malabar.

novembre 30th, 2009

Calao de Malabar

Il sait ne pas briser les graines toxiques.

Le calao de Malabar possède, avec ses trois sous- espèces, une large distribution qui s’étend de l’Inde à la Birmanie, au sud de la Chine, à l’Indochine, au Siam et à l’archipel malais.

Le plumage noir brillant est soutaché de blanc à la poitrine et au ventre. Les extrémités des ailes et de la queue sont également de couleur blanche. Le menton et les côtes du cou sont dénudés. Le bec jaunâtre est doté d’une protubérance dont la tache noire varie de forme, ce qui permet de différencier les sous –espèces.

Ces oiseaux vivent aux abords des forêts naturelles clairsemées ainsi qu’au sein des plantations forestières. Mais ils affectionnent les berges des rivières et des rizières. Ils vivent en groupes comptant jusqu’à 40 individus qui se déplacent avec aisance dans les arbres et buissons en passant, par petits bons, d’une branche à l’autre, pour y cueillir les fruits.

S’il leurs arrive de dévorer des noix vomiques, fruits du ‘’Strychnos vomica ‘’, il ne s’empoisonne jamais ; car contrairement à d’autres espèces, il ne brise pas les noix qui contienne la strychnine. Il se nourrit également d’insectes, de petits mammifères, de reptiles et de poissons.

A la période de reproduction, les troupes se fractionnent pour former des couples. Les mâles marquent leur intérêt en offrant la becquée aux femelles. Le couple formé choisira un arbre pour y établir son nid dont l’entrée sera barricadée dès le moment où la femelle commencera la ponte. Elle sera alimentée par son partenaire. La femelle ayant déposé de 2 à 3 œufs, les couve durant 29 jours. La période de ponte va de la mi- février à la mi- avril. La longueur d’un adulte est de 48 cm à 70 cm, pour un poids de 570 à 1150 grammes. La durée de vie en captivité est de 12- 13 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Coraciadiformes ; Famille : Bucérotidés ; Genre & Espèce : Antracoceros coronatus.

Boa constrictor.

novembre 29th, 2009

Boa constrictor

Il étouffe ses malheureuses victimes.

Le boa constrictor compte parmi les plus grands et les plus primitifs des serpents. Il possède en effet des vestiges de membres postérieurs, que l’on voit sous la forme de deux petits ergots situés de part et d’autre de son cloaque.

C’et un reptile au corps massif, qui n’a nullement la grâce et l’élégance d’une couleuvre. Sa gueule est armée de nombreuses dents en forme de crochets recourbés en arrière, qui lui permettent de saisir et maintenir sa proie pendant tout le temps nécessaire à son ingestion.

Il existe plusieurs espèces de boas, dont certaines ne mesurent guère plus de 50 cm de long. Le boa est arboricole et passe sa vie, enroulé dans les branches basses des arbres. C’est un grimpeur parfait, et les amateurs qui possèdent des boas en captivité le savent bien. Ce serpent parvient à se faufiler dans les endroits les plus invraisemblables, et on se demande comment il s’y prend pour y parvenir.

Le boa se nourrit exclusivement de mammifères vivants, qu’il tue en les étouffant. Il mort sa proie et l’entoure de ses anneaux avec la rapidité de l’éclair, pour ne desserrer son étreinte mortelle que lorsqu’il sent sa victime inerte.

Il grandit vite, lorsqu’il est bien nourri, et peut devenir un compagnon encombrant après quelques mois de bons soins. La femelle pond de 20 à 50 œufs qui éclosent au moment où ils quittent le corps maternel. Les petits boas ont déjà mauvais caractère dès leur naissance. Ils s’apprivoisent néanmoins par la suite. Le boa constrictor adulte est dangereux par les morsures terribles qu’il inflige. Il ne fuit pas devant l’homme, mais cherche au contraire à l’attaquer.

Sa longueur est de 4 m 50 au maximum, elle est de 40 à 50 cm à la naissance. La maturité sexuelle est vers 3- 4 ans et sa vitesse est de 500 mètres : heure.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Boïdés ; Genre & Espèce : Boa constrictor.

Chantier à Le Mans.

novembre 28th, 2009

Chantier à la ville de Le Mans en juillet 1985.

Un chantier chez Glaenzer- Spicer , usine travaillant aussi pour l’automobile. Je crois qu’aujourd’hui, elle se nomme ‘’GKN Driveline ‘’. Un four du même modèle que celui que je vous ai présenté il y a deux semaines, mais bien plus petit. Si je me souviens de la date, c’est tout simplement parce que c’était la première fois que je faisais travailler le ‘’ petit ‘’ avec moi, pendant ses vacances scolaires.

Quand j’ai demandé au bureau, si c’était possible, le boss accepte tout de suite, mais c’était sans compter avec une des secrétaires, avec qui j’ai toujours été en bisbille . Yannick n’aura 16 ans  que le 28 juillet et tout de suite, celle-ci de dire ‘’ Impossible, car il n’aura pas ses 16 ans fin juin, début du chantier’’.- ‘’ Très bien, dis-je au boss, à partir de lundi je suis en congés payés, et comme ça j’emmène mon gars avec moi. J’ai quelques cheminées et fours à Pizza à faire.’’ Le Mammouth regarde sa secrétaire et me dit ‘’Bon d’accord, on se ‘’démerdera’’, mais vous n’allez être que 2 compagnons, Jean-Paul et vous, et lui devra faire tout le travail d’un aide, non seulement vous approvisionner, mais aussi faire les coupes (scier les briques) etc etc….’’-‘’Vous en faites pas ça ira bien, je lui fais confiance‘’.

Façade-hotel

Voici l’hôtel- restaurant où nous étions ;
Nous avons pris une pension à La Suze sur Sarthe. Très bonne pension que vous pouvez voir ci-dessus. Pas le St Louis, mais celui qui est derrière avec la terrasse devant. Nous y étions comme des rois, chambres confortables et une bonne table. Je me souviens y avoir vu une escouade de chinois qui allaient dans les élevages de poules pour séparer les femelles des mâles parmi les petits poulets. Jean-Paul allait de temps en temps au ciné avec le ‘’petit.’’

Sur le chantier, la première semaine, ce sont Jean- Paul et Yannick qui ont fait la démolition, puisque moi je n’en faisais plus. Pour ses 1ers jours de travail, le petit était servi. (Souvenez vous de la photo du casse-croûte !!! ) Par la suite, Jean- Paul lui a montré comment se servir de la scie clipper (Sciage avec jet d’eau), préparer le coulis, etc etc. Jean- Paul étant le responsable, je n’ai jamais empiété sur sa fonction, même pour mon fils. Le chantier s’est bien passé et mon dieu le ‘’petit ‘’ s’est comporté comme un chef. Mais rentré à la maison, il a dis à sa mère : ‘’ les premiers jours, j’avais peur de ne pas pouvoir me lever le matin. Et, puis papa ne m’a jamais félicité. ‘’- (Ce qui est vrai, pour aucun de nos enfants…. Je n’ai su faire !)

La Suze- le pont.

Le pont, juste avant La Suze sur Sarthe.
L’année suivante, il est de nouveau venu avec nous, mais sur un four comme celui que vous avez vu précédemment. 5 compagnons, 3 aides et les mécanos, à Blainville (RVI : Renault Véhicules Industrielles) et nous logions à Ouistreham. Jean-Paul était en camping avec sa famille.

Et la troisième année, il est resté sur un chantier à Grenoble, alors que moi, j’étais ailleurs. Chaudières pour chauffage urbain. Où il a eu un accident, un tendon de l’index coupé. Hôpital Sud, opération, puis accident du travail. (Il a eu le doigt coincé dans une poulie). Ca ne lui a pas donné l’envie de mieux travailler au lycée, mais au moins, il a acquit un très bon ‘’doigté’’ pour travailler. Et maintenant, il est casé, aussi dans une entreprise, où il s’est fait une petite place au soleil !!

Martin Luther.

novembre 27th, 2009

Martin Luther

Martin Luther, né en 1483 à Eisleben[1] et mort le 18 février 1546 dans la même ville, est un moine augustin allemand, théologien, professeur d’université, père du protestantisme et réformateur de l’Église dont les idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de là civilisation occidentale.

Il défia l’autorité papale en tenant la Bible pour seule source légitime d’autorité religieuse. Selon Luther, le salut de l’âme est un libre don de Dieu, reçu par la repentance sincère et la foi authentique en Jésus Christ comme le Messie, sans intercession possible de l’Église.

Il reçut, le 3 janvier 1521, la bulle Decet romanum pontificem qui lui signifiait son excommunication. Suite aux nombreux débats théologiques du Haut clergé, l’empereur du Saint-Empire romain germanique et roi d’Espagne, Charles-Quint, convoqua Martin Luther en 1521 devant la diète de Worms (Rhénanie-Palatinat, Allemagne). Un sauf-conduit lui fut accordé afin qu’il puisse s’y rendre sans risques.

Face à l’empereur, il refusa à nouveau de se plier aux exigences de l’Église, il proclama notamment: « Votre Majesté sérénissime et Vos Seigneuries m’ont demandé une réponse simple. La voici sans détour et sans artifice. À moins qu’on ne me convainque de mon erreur par des attestations de l’Écriture ou par des raisons évidentes - car je ne crois ni au pape ni aux conciles seuls puisqu’il est évident qu’ils se sont souvent trompés et contredits - je suis lié par les textes de l’Écriture que j’ai cités, et ma conscience est captive de la Parole de Dieu ; je ne peux ni ne veux me rétracter en rien, car il n’est ni sûr, ni honnête d’agir contre sa propre conscience. Me voici donc en ce jour. Je ne puis autrement. Que Dieu me soit en aide. »

Il fut mis au ban de l’empire mais accueilli au château de son ami l’Électeur de Saxe Frédéric le Sage, la Wartburg, là où il composa ses textes les plus connus et les plus diffusés grâce, entre autres, à l’imprimerie à caractères mobiles et en alliage de Gutenberg.

Sa traduction de la Bible en allemand, langue vernaculaire, rapprocha le peuple des Saintes Écritures et eut un impact culturel primordial, en permettant la large diffusion d’un standard de la langue allemande et en donnant des principes généraux sur l’art de la traduction. Elle eut notamment une large influence sur la traduction anglaise connue sous le nom de Bible du roi Jacques.

Le reste de sa biographie sur Wikipedia.

Cacatoès soufré.

novembre 26th, 2009

Cacatoès soufré

Il dresse sa huppe en signe de contrariété.

Le cacatoès soufré compte parmi les perroquets les plus populaires. On l’élève fréquemment en volière ou en appartement et il n’existe pas de jardin zoologique ne possédant pas un ou plusieurs de ces oiseaux.

On connaît très espèces distinctes de cacatoès arborant une huppe jaune. La 1ère, la plus répandue, est le grand cacatoès soufré (Kakatoe galeria), originaire d’Australie et des régions basses de la Nouvelle -Guinée. Il a les joues blanches, ainsi que la peau nue qui entoure l’œil. Le 2ème est le cacatoès à yeux bleus, qui ressemble au précédent, mais dont la peau nue entourant l’œil est bleue. Le 3ème cacatoès du groupe est le petit cacatoès soufré, qui vit dans plusieurs îles de la Sonde. Il est plus petit que les 2 précédents et en diffère par ses joues, qui portent une tache jaune.

Les cacatoès soufrés vivent dans les forêts et les savanes boisées. Ils sont principalement actifs tôt le matin et la nature retentit alors de leurs cris rauques que ces oiseaux lancent en volant ou pour s’appeler. Frugivores avant tout, ils se régalent aussi d’inflorescences et de graines, ainsi que de bourgeons.

Ce sont des sédentaires, qui évoluent dans un périmètre certes assez étendu, mais qu’ils ne quittent pas. Ils se déplacent en petites bandes ou par couples. On a observé qu’ils sont aussi très fidèles à leurs dortoirs. Comme les autres cacatoès, ces oiseaux établissent leur domicile dans des cavités d’arbres, dont ils élargissent l’entrée au besoin. Les couples reviennent pondre d’année en année, dans le même trou, qu’ils considèrent comme leur propriété. La femelle y dépose de 2 à 3 œufs, qu’elle couvera de 24 à 28 jours. Les jeunes restent au nid pendant 2 mois. La longueur d’un adulte est de 34cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Psittaciformes ; Famille : Psittacidés ; Genre & Espèces : Kakatoe sulphurea

Cacatoès rosés.

novembre 25th, 2009

Cacatoès rosés

Ce magnifique perroquet atteint un âge avancé.

Il existe 18 espèces différentes de cacatoès, magnifiques perroquets d’origine australienne et indonésienne. Celle- ci-dessus vit dans l’archipel des Moluques.

Le cacatoès se distingue par la huppe de plumes blanches ou colorées qui surmonte leur tête et qu’ils peuvent à volonté coucher en arrière ou redresser en éventail. Ils le font quand ils ressentent une émotion : joie aussi bien qu’anxiété ou fureur.

On affirme que la longévité des cacatoès dépasse celle de tous les autres oiseaux et bien des personnes sont persuadés que leur cacatoès est pour le moins centenaire. En fait, l’âge le plus avancé connu avec certitude est celui d’un cacatoès à huppe jaune qui a vécu 69 ans, ce qui est vraiment pas mal pour un oiseau. Ce record est partagé avec un grand corbeau et immédiatement suivi par un grand-duc (68 ans)

Dans leur patrie, les cacatoès vivent aussi bien en forêts que dans les bois ou les savanes arborées. Ils sont très sociables et se tiennent en groupes composés de plusieurs couples. Comme la majorité des autres perroquets, ils forment des couples unis pour la vie. On constate parfois des rassemblements importants de cacatoès, sur les arbres chargés de fruits mûrs. L’envol d’une bande de cacatoès est surprenante et constitue un spectacle inoubliable.

Ces oiseaux sont diurnes. Ils dorment la nuit sur une haute branche souvent dénudée et attendent le lever du soleil pour commencer leur journée. Très bruyants, ils sont faciles à repérer, mais beaucoup plus difficiles à apercevoir, malgré leur coloration souvent blanche ou rose.

La femelle pond 2 ou 3 œufs qu’elle couvera pendant 30-31 jours. Les jeunes quittent le nid dès l’âge de 6 semaines. La maturité sexuelle est vers 4-5 ans. La longueur adulte de 30-33 cm. Et la longévité la plus longue connue est de 69 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Psittaciformes ; Famille : Psittacidés ; Genre & Espèce : Kakatos moluccensis.

Courlis corlieu.

novembre 24th, 2009

Courlis corlieu

Du grand Nord aux îles de l’océan Indien…..

Les courlis corlieu qui longent les côtes de l’Europe occidentale au cours de leurs migrations diffèrent des courlis cendrés par leur taille nettement inférieure, leur bec relativement plus court et enfin la couleur du dessus de la tête qui est foncée avec un trait clair au milieu. En vol, l’oiseau a des battements d’ailes plus rapides.

Le corlieu est un grand migrateur puisqu’il gagne les côtes africaines et celles de Madagascar et des îles de l’océan indien. Au banc d’Arquin, en Mauritanie, les effectifs des hivernants se sont élevés à environ 3500 oiseaux au cours d’une période de 7 ans. La migration vers le sud commence très tôt, puisque les oiseaux qui n’ont pas trouvé de conjoint ou dont la ponte ou les petits ont été dévorés par un prédateur, se mettent en route dès la mi-juin à partir du Grand- Nord. Sur les côtes d’Europe occidentale, on les voit avant la fin du même mois. Le passage de printemps commence à la mi- avril.

Le courlis corlieu niche dans la toundra et dans les landes dépourvues d’arbres, en montagne (par exemple en Scandinavie) ou au niveau de la mer. Les tourbières représentent aussi un habitat favori. Localement, sa densité est assez forte et en Estonie on a recensé deux couples nicheurs par km2, dans certaines régions. Le nid est une petite dépression naturelle, ou creusée par un des membres du couple. Il est garni de lichens, de linaigrettes, d’herbe et de feuilles qui forment une couche de plusieurs centimètres d’épaisseur. (Un vrai matelas). Les œufs verdâtres tachés de brun, 4 œufs en général, sont couvés pendant 27 à 28 jours, surtout par la femelle. Son alimentation se compose surtout d’insectes, de petits fruits qu’il trouve dans les prés, les marais et à la surface du sol. La longueur d’un adulte est de 40 cm pour un poids entre 400 et 600 grammes. Sa longévité en nature est de 11 ans et de 16 ans en captivité.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Charadriiformes ; Famille : Scolopacidés ; Genre & Espèce : Numénius phaesopus.

Autour variable.

novembre 23rd, 2009

Autour variable

Sa coloration insolite peut largement tromper l’observateur non averti.

L’autour variable mérite bien ce nom, puisque la coloration des différents oiseaux, varie selon qu’ils appartiennent à l’une ou l’autre des 3 phases reconnues. Dans la 1ére phase : le plumage est entièrement blanc (c’est le cas le plus fréquent en Tasmanie, tandis qu’en Australie et en Nouvelle-Guinée une partie seulement de la population est immaculée.) 2ème phase : le dessus du corps est gris et le dessous brun ; la 3ème phase : il a le dessus gris et le dessous blanc. Les oiseaux des deux sexes sont semblables s’ils appartiennent à la même phase.

On a suggéré que les oiseaux blancs, par leur ressemblance avec les cacatoès, pouvaient s’approcher plus facilement de leur proie, mais cette assertion n’a jamais été prouvée. Les femelles, plus grandes, capturent surtout des mammifères et des reptiles, tandis que le mâle s’empare d’oiseaux (petits mégapodes) et de gros orthoptères.

On a pu le voir poursuivre des pigeons. Il chasse à l’affût ou directement à vue. Son vol est rapide, mais il est capable de se maintenir sur place, comme suspendu, pendant quelques instants, comme notre faucon crécerelle. Selon la région, qu’il ait été persécuté ou non, il fait indifféremment preuve de familiarité ou de méfiance.

L’aire est construite dans un arbre, mais l’oiseau se sert parfois d’un ancien nid de corbeau. L’intérieur est garni de feuilles vertes. Entre août et septembre, la femelle pond 2 œufs bleuâtres qu’elle couve en alternance avec son concubin. Sédentaire, l’autour variable, se montre parfois dans les forêts sèches, mais évite toujours les déserts. Il est solitaire ou se tient, tout au plus, par couple. Le nid placé entre 18 et 30 mètres de haut, est construit en 6 à 8 semaines. Le mâle fait 42 cm alors que la femelle fait 52 cm. (Je vais lui passer au mâle, nos anciens bottins, car nous avons reçu les nouveaux. Ne me demandez pas pourquoi !!!)

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & Espèce : Accipite novaehollandise

Couleuvre vipérine.

novembre 22nd, 2009

Couleuvre vipérine

Malgré sa ressemblance avec la vipère, elle est inoffensive.

La couleuvre vipérine est l’une des espèces européennes les moins connues. Lorsqu’on la rencontre par hasard, on la confond généralement avec une véritable vipère, mais bien à tort.

Moins longue et beaucoup moins répandue que la couleuvre à collier, la couleuvre vipérine, même une existence discrète dans les endroits marécageux, au bord des cours d’eau et des lacs. On la rencontre spécialement dans les régions méridionales.

Elle passe une grande partie de la journée dans l’eau, où elle nage et plonge avec aisance. Elle est difficile à apercevoir, car il lui arrive de rester très longtemps immobile au fond de l’eau, sans remonter à la surface pour respirer. Le matin elle aime se chauffer en s’exposant aux rayons du soleil parmi les pierres du rivage, ou sur un touffe de végétaux.

C’est un serpent assez sociable, qui se rencontre parfois en groupes, en particulier au printemps, à l’époque de la reproduction. Les couleuvres vipérines se rassemblent alors en véritables paquets dans des frayères bien définies, où elles reviennent chaque année, parader et s’accoupler, après elles se dispersent et regagnent chacune leur territoire propre.

Elle se nourrit d’animaux à sang froid, de grenouilles et de petits poissons en particulier. Elle guette le passage d’un poisson pour l’attaquer d’une façon foudroyante et le saisit avec ses dents recourbées en arrière dont sont garnies ses mâchoires. Elle mange aussi bien sur l’eau que sur terre. Comme la majorité des couleuvres de nos contrées, elle est totalement dépourvue de crochets à venin, et de fait, elle est totalement inoffensive. La femelle pond de 4 à 20 œufs en juin. L’incubation dure de 60 à 70 jours selon le temps. A la naissance le petit fait 18 cm, pour faire 60 cm, parfois 70cm ; la femelle est plus longue que le mâle.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Colubridés ; Genre & Espèce : Natrix maura.

Il y a 48 ans….

novembre 21st, 2009

Il y a 48 ans !!

Que serions nous, sans les anniversaires ?

Il y a quelques années, le 22 novembre 61 je suis passé devant ce bouquet de fleurs et je n’ai pu passer devant, sans cueillir la plus belle d’entre elle. Je me suis mis à envier ce chaton qu’elle pressait sur son sein.

48 ans ont passé, et ce jour là nous est, à tous deux, gravé dans notre mémoire, puisque c’était le jour anniversaire de cette fleur. 26 ans….. la fleur de l’âge. Depuis elle a pris des années, mais le jardinier aussi. Elle a changé de terroir en suivant les sabots du vagabond qui l’avait emporté. A chaque parterre, ils ont eu un bourgeon. St Dizier…. en premier ; puis …..Hayange et enfin Grenoble où le ‘’chemineau’’ changea ses sabots, pour des mocassins et posa enfin son sac.

Il était temps pour les ‘’bourgeons’’ de s’épanouir dans un entourage stable et définitif. Petit à petit, les meubles en plaqué sont remplacés par du solide, puisque l’ancre s’est accrochée de plus en plus profondément. Et puis, les oisillons s’en sont allés, les uns après les autres, chacun forgeant sa vie, son avenir. Nous les avons laissé faire ; puisque, selon notre expérience, c’est la seule façon de réussir sa vie et surtout de l’assumer.

Cette ‘’fleur’’, ce jour, fait ses 74 ans, les cheveux sont blancs, les douleurs sont là et quelques autres problèmes ici ou là. Mais les yeux sont toujours aussi pétillants et elle a toujours son petit….’’chaton’’ auprès d’elle, même s’il est moins mignon qu’il y a 48 ans. (Rires)

Nous vous faisons, ………une révérence et à…l’année prochaine !

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