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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2006» février

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Le chien de prairie

février 14th, 2006


Le chien de prairie, originally uploaded by patriarch38.

Autrefois ses colonies formaient des villes entières !

Le chien des prairies porte bien mal son nom, car ce n’est nullement un chien, mais un petit rongeur, très proche parent de notre écureuil. Il y a plusieurs cousins dont l’un vit en Europe centrale, où on l’appelle le spermophile ou souslik. Le chien de prairies a vu son destin très étroitement lié à celui du bison américain.

Les mœurs et la biologie du chien des prairies ressemblent assez bien à la vie des marmottes, à la différence que le premier est un animal grégaire, qui vit en colonies extrêmement nombreuses. Personne ne peut se faire une idée du nombre de chiens de prairies qui existaient avant la conquête de l’Amérique, et qui pullulaient littéralement au sein d’un océan d’herbe. En raison de sa sociabilité, le chien de prairies creusait toujours son ou ses terriers à proximité immédiate de ceux de ses congénères, et le nombre incalculable d’animaux finissait par creuser de véritables villes souterraines s’enfonçant jusqu’à 3 mètres de profondeur, dont la surface n’était qu’un amoncellement de tas de terre rejetée des galeries. En 1901 on a estimé qu’une seule de ses villes mesurait 170 sur 650 Km et hébergerait 40 millions de chiens de prairies.

Il se nourrit de jour, en tondant à raz l’herbe et la végétation des prairies ; il préfère les prairies à herbe rase aux prairies à hautes herbes. En été, il consomme le chiendent, l’herbes aux bisons, les mauves et les asters ; en hiver : les chardons, les plantes grasses (comme des figuiers de barbarie ou Opuntia) les racines et les tubercules. Il est très prolifique : la cellule sociale de base est appelée « coterie » et réunit un mâle, plusieurs femelles et leurs jeunes. Plusieurs coteries se réunissent en quartiers « fortifiés »et défendus par des aboiements et divers signaux. L’ensemble des quartiers qui forme cette « ville » peut couvrir, encore actuellement, 65 hectares et réunir des milliers d’individus.

Les écologistes soulignent le rôle essentiel des chiens de prairies comme fertilisant naturel des sols, car ils creusent et déposent leurs crottes. Qu’ils constituent une espèce parapluie, car ils servent de proies et fournissent un abri ou un habitat à une longue liste d’espèces : le putois à pattes noires, la chouette des terriers, le blaireau d’Amérique, le pluvier des montagnes, la buse à queue rousse, le renard véloce, le crotale, la veuve noire (araignée), sans oublier les crapauds, les lapins, les salamandres, les fourmis et scarabées. Il est aussi, un « gibier », pour le putois à pattes noires, qui se nourrit exclusivement de ces chiens, avec l’extermination massive exercée par les paysans, le putois a quasiment disparu à l’état sauvage et seul l’élevage en captivité a permis de le réintroduire dans le Wyoming. De plus, par leur tonte permanente de l’herbe, ils augmentent la teneur en protéines de l’herbe et la rendent plus digeste : c’est pourquoi les bisons et les antilopes pronghorns préfèrent pâturer sur les « villes » de ces chiens.

Il vit dans les grandes plaines et en altitude entre 1300 et 2000 mètres. Il a le dos brun ou brun-roux, et le ventre blanc. Il porte moustaches et bout de queue : noirs. Chaque portée est de 6 à 8 petits et 1 rarement 2 portées par an ; la gestation est de 27 à 33 jours. Poids de naissance de 40 à 80 grammes et adulte : 1 à 1,6 Kg . Sa longévité est de 9 ans, la longueur du corps de 28 à 35 cm ; longueur de queue de 6 à 10 cm.
Il continue à être l’objet de campagne d’extermination : on l’accuse (souvent de manière exagérée et non vérifiée) de ravager les cultures de céréales, de faire trébucher et de provoquer ainsi des blessures graves aux chevaux et de concurrencer le bétail en mangeant dans son assiette. Ils ont été exterminés sur presque 90% de leur aire de répartition, et on ne le retrouve que dans des parcs ou réserves.

Classe : Mammifères ; Ordre : Rongeurs ; Sous Ordre :Sciuromorphes ; Famille : sciuridés ; Espèce : Cynomys ludovicianus.

Pitta guajana ou Brève rayée azurine.

février 13th, 2006


Pitta guajana, originally uploaded by patriarch38.

Elle cache ses vives couleurs sur le sol de la jungle impénétrable.

La brève est un oiseau bien caractéristique. Outre la brève rayée azurine, représentée ici, il existe 22 autres espèces, surtout répandues dans les régions tropicales de l’Asie et de L’insulinde. Toutes les espèces de brèves se ressemblent par leur forme typique, et les spécialistes les ont toutes réunies dans le seul genre Pitta. Elles se trouvent isolées dans la classification des oiseaux, n’ayant pas de parents directs, on considère comme les survivantes d’un groupe d’oiseaux primitifs aujourd’hui disparu.

Toutes les Brèves sont caractérisées par leur coloration très vive, malheureusement, on ne peut guère les observer, car elles se tiennent au sol, dans les forêts, où elles sont bien cachées. La plus part des espèces sont de mœurs sédentaires. Insectivores, les brèves s’alimentent surtout de termites et de fourmies. Active la journée, elle passe la nuit à dormir sur une branche d’arbre, sur laquelle elle grimpe le soir en sautillant.

Difficile, sinon impossible à voir, la brève signale sa présence par des cris très stridents, qu’elle pousse fréquemment. Ce sont des oiseaux très bruyants, qui se répondent l’un l’autre, car elles vivent par couple. Les sons qu’émettent les brèves varient d’une espèce à l’autre. Quelques espèces poussent des grognements ne ressemblant en rien à des cris d’oiseaux. Le nid des brèves est confectionné en graminées et tapissé de mousse. Il a une forme de grosse boule et se trouve à même le sol ou dans la fourche de branches très basses. Sa biologie dans la nature est encore mal connue.
Une couvée par an, de 4 à 6 œufs, le durée d’incubation serait de 18 jours. Longueur adulte : 20 cm ; Envergure : 33 à 38 cm ; Court rapidement sur le sol.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Pittidés ; Espèce : Pitta guajana. ( brève rayée)

Triste nouvelle: Jean FERRAT a été de nouveau hospitalisé dimanche au CHU de Grenoble. Tous ceux qui me suive depuis presque 2 ans, savent que c’est un de mes chanteurs préfèrés. Si je pouvais et savais mettre ici des chansons, je vous aurais mis une de ses chansons très peu connue : “Si je mourais là bas, sur le front des armées” Si quelque l’a dans sa” discothèque” et peut la mettre: merci !!

Le Sifaka

février 12th, 2006


Le Sufaka, originally uploaded by patriarch38.

Il anime les forêts de Madagascar.

Il existe deux espèces de sifakas, ou propithèques, le propithèque de Verreaux et le propithèque diadème. L’une et l’autre ont évolué différemment selon la région et le biotope qu’elles habitent. Aussi les populations sont de coloration fort différentes les unes des autres. Tous les Sifakas sont forestiers et ils remplacent le singe véritable, absent de l’île de Madagascar. La faune malgache diffère profondément de celle du continent africain et bien des formes animales archaïques y survivent.

Les « Sifakas » en langage malgache, font parti des lémuriens les plus évolués. Leur museau est plus court que celui des autres lémuriens. Ce sont des animaux de grande taille, pesant près de 4 Kg. Leur déplacement à la verticale se fait par petits sauts, les bras écartés pour assurer leur équilibre. Il est sociable, et évolue en petites bandes de 6 à 10 individus, constituant une ou deux familles alliées. Il se meut dans les arbres épineux de la forêt sèche. Il peut faire des sauts de 6 mètres au travers des arbres pieuvres du Sud et de l’Ouest. C’est un primate très ami du soleil, alors, on peut le voir prendre son bain de soleil, chaque matin, sur les hautes branches, en position assise, les bras écartés pour accumuler le maximum de chaleur.

Dans les heures chaudes de la journée, il fait la sieste en attendant la fin de la journée pour pouvoir s’alimenter de fruits et de feuilles ainsi que de bourgeons. Il ne boit pas d’eau mais absorbe uniquement le jus des feuilles. Les jeunes plus actifs passent des heures à jouer dans les branches, sous l’œil attentif et attendri de leurs parents. Alors qu’ils se taisent pendant les fortes chaleurs, lorsqu’ils se trouvent en activité, ils maintiennent un contact acoustique entre eux. Ils émettent des sortes de gloussements, mais parfois lancent de brefs aboiement. Ce sont de formidables acrobates. Contrairement au singe, le Sifaka utilise rarement ses « mains »pour prendre de la nourriture. Les Antandroy : (ethnie malgache du sud) les considèrent comme de lointain ancêtres car leur position assise au soleil, les fait penser à un homme qui prie. Pour les même raisons, ils protègent également l’autre espèce commune de Sud, le lémurien Catta à queue annelée, encore appelé « Maki ».

Le femelle met bas, d’un seul petit et la gestation dure 4 mois ½. La longueur du corps va de 0,50 à 1 mètre, et la longueur de la queue de 43 à 53 cm.

Classe : Mammifères ; Ordres : Primates ; Sous Ordre : Prosimiens ; Famille : Indriidés ; Espèce : Propithecus verreauxi.

Le Vautour moine

février 10th, 2006


Le Vautour moine, originally uploaded by patriarch38.

C’est le plus grand vautour de l’ancien monde.

Adulte, il a la tête chauve et de couleur gris-clair avec des repris de peau bleuâtres et de marques sombres autour des iris. Juvénile, sa tête est recouverte d’un duvet brun. Le bec est brun-noir. La transition avec le corps s’effectue par un collier de plumes brun-sombre, qu’il arbore autour du cou. Le plumage corporel est entièrement brun sombre, les pattes sont gris-clair. Le juvénile est plus sombre, il s’éclaircit et atteint son plumage adulte vers 6 ans.
Solitaire, peu commun dans la bande de terrain qu’il occupe entre l’Europe occidentale et l’Asie centrale, le vautour moine est le plus puissant, sinon le plus fort de tous les charognards. Les autres s’écartent devant lui quand il arrive près d’un cadavre, même s’il est bon dernier. Bien qu’il soit sédentaire dans la majeure partie de son aire de répartition, il manifeste une certaine tendance à la migration, il atteint ainsi le bord de la mer Rouge et le sud de la Chine.

Sa répartition en Europe se trouve surtout en Espagne, Majorque, Sicile, sur la péninsule Balkanique jusqu’en Asie centrale, en Inde et en Chine. En France où il avait totalement disparu, il a été réintroduit dans les falaises des Grands Causses ainsi que dans les Baronnies en Drôme. Il affectionne plus particulièrement les flancs des collines ou les falaises escarpées, les espaces rocailleuses qui sont plus propices à la nidification. Il n’est guère sociable, vivant en solitaire ou en très petits groupes. La nidification est particulièrement précoce en péninsule Ibérique puisque le couple fréquente son ancien nid dès le mois de janvier ou février. Cette énorme construction, faite de branches, de morceaux d’écorce, devient, au fil des ans, de plus en plus volumineuse pouvant atteindre 2,4 mètres de diamètre et 2 mètres de hauteur. Le couple participe à sa construction ou sa remise en état. Le plus souvent à une hauteur respectable et en montagne, on le trouve vers 1200 mètres.

L’œuf est pondu entre février et mars en Espagne, février à avril dans l’inde et son incubation de 52 à 54 jours est assurée par le couple. Le séjour au nid du jeune dure 100 à 120 jours, mais même après l’envol, le jeune reste dépendant des adultes pour ce qui concerne le couvert. (Par régurgitation bien sûr). Il se nourrit presque exclusivement de charognes mais il ne s’interdit pas de s’attaquer à un animal lent ou handicapé par la maladie. Il pratique souvent le vol plané circulaire. En vol battu, sa cadence de battement est lente et les mouvements sont amples. D’autre part, c’est un adepte de la parade nuptial : les deux adultes s’envolent ensemble, celui qui est au dessus, tapote le dos de son partenaire avec ses serres pendantes avant de se séparer. Il est bien sûr protégé.

Longueur adulte : 1,10 mètre ; Envergure : 2,6 à 2,8 mètres ; Poids : 7 à 12,5 Kg. Longévité 6 ans.
Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Espèce : Aegypius monachus.

La Genette

février 9th, 2006


La Genette, originally uploaded by patriarch38.

La genette tient à la fois du chat et de la fouine.

C’est un des carnivores les plus intéressants d’Europe. En fait, s’il en existe une espèce dans nos régions, l’Afrique, qui est le berceau des genettes, en héberge une demi-douzaine d’espèces. La plus grande est la genette de Victoria, qui atteint la taille d’un petit chien et qui mène une existence extrêmement discrète au cœur de la forêt d’Afrique centrale. La classification des genettes est encore très mal définie, car aucun zoologue n’a jamais entrepris de recherches précises à leur sujet. Il est difficile, pour ne pas dire impossible, d’identifier avec précision un spécimen dont on ignore la provenance. De plus, on suppose que les différentes espèces s’hybrident entre elles, ce qui ne simplifie pas le problème.

C’est un viverridé apparenté à la mangouste. Elle est pourvue d’un corps allongé 47 à 58 cm, d’une longue queue 41 à 48 cm, et d’oreilles assez longues. Son pelage est gris fauve, tacheté de brun noir sur les flancs et sur le dos. Les parties inférieures sont grises sans taches. Autour de la queue, il y a des anneaux de couleur brun-noir, sa tête est grise et son museau est cerclé de noir. On la trouve en France (sud ouest), Péninsule Ibérique, Baléares, et Afrique.

Il serait vain de vouloir observer cet animal de jour, car son activité est exclusivement nocturne. La présence de la Genette en Europe méridionale est assez inattendue, car il s’agit d’un des rares éléments de la faune Africaine ayant émigré si loin vers le nord. On a tout lieu de croire que la genette, tout comme le hérisson d’Algérie, a colonisé notre continent au cours de l’une des nombreuses obstructions du détroit de Gibraltar. Comme les félidés, la genette a des griffes rétractiles qui lui permettent de grimper avec une aisance extraordinaire. Elle se nourrit de petits mammifères, d’invertébrés et de végétaux. Elle vit dans les troncs d’arbres ou autres cavités naturelles, ainsi que dans les nids de rapace ou d’écureuil.

Les accouplements ont lieu de janvier à février et de mai en juin. La gestation dure 68 à 71 jours, la mise bas d’avril à juin et de septembre à novembre. Elle allaite ses petits pendant 17 à 18 semaines. Ils s’émancipent entre 6 et 9 mois. L’ouverture des yeux se fait entre 8 et 12 jours, nombre de petits : de 2 à 3 ; poids de naissance 100 à 110 grammes. La maturité lui vient vers 1 an, sa longévité est de 10 à 15 ans. Son poids adulte : 1 à 2 kg.

Classe : Mammifères ; Ordre : Carnivores ; Famille ; Viverridés ; Espèce : Genetta ganetta

Les prédateurs connus : la destruction de son habitat et le trafic routier.
Protection : En Europe par la convention de Berne (annexe III) et la directive habitat (annexe V)

Ballet aérien de buses !!

février 8th, 2006


Ballet aérien de buses !!, originally uploaded by patriarch38.

J’ai trouvé cette photo de ballet aérien de ces Buteo buteo vulpinus, si belle,que je la mets en sus du sujet d’en dessous. Merci de faire le voyage de lecture !!

PS: c’est deux photos ne sont pas de moi, bien sûr.

La Buse des steppes 1

février 8th, 2006


Buse des steppes 1, originally uploaded by patriarch38.

De l’espèce à la sous espèce…………cas limite.

La buse des steppes est une sous espèce de la buse variable, espèce extrêmement répandue en Europe. Elle se distingue par sa morphologie ainsi que par ses habitudes. Ses ailes sont un peu plus étroites et pointues, et leurs battements sont plus rapides. Le vol paraît donc plus léger, ce qui est difficile à apprécier dans la nature. Ce sont surtout les grandes variations dans les teintes qui plaideraient en ce sens. En effet, la buse de Russie revêt des formes grises, brunes ou brun roux. Les formes très pâles sont totalement exclues et les formes brunes extrêmement rares.
La buse de Russie possède un corps et des couvertures alaires roux vif, une queue rousse avec des bandes sombres et une zone pâle sur les primaires. La femelle adulte paraît plus petite que la buse variable. Sa taille est comparable à celle de la juvénile de la race « Buteo buteo ». Son corps est plus court et moins trapu, ses ailes sont plus minces et le bord postérieur en « S » a une plus grande amplitude. Ce n’est pas vraiment un dimorphisme sexuel mais il y a davantage de différences entre les sexes que chez la Buse variable.

Ces espèces sont répandues en Suède, Courlande, ancienne Prusse Orientale, Volhynie , Podolie, et l’Ukraine. Localement, il peut y avoir cohabitation de deux sous espèces. Migratrice, la buse des steppes va surtout en Afrique tropicale (ouest) et plus au sud, au Gabon, Congo, et même Rhodésie. On l’observe également en Arabie et au Pakistan. La buse des steppes piaule. La voix est plus rauque que celle de sa cousine Variable.

Son alimentation est composé : de petits mammifères rongeurs (campagnols, musaraignes, sousliks.) qu’il complète de jeunes oiseaux et d’insectes. Dans les steppes semi désertiques, la part des reptiles (couleuvres, vipères et lézards) peut être importante. Le nid est bâti dans un arbre. La femelle y pond de 2 à 4 œufs qui sont couvés de 32 à 35 jours. Le premier envol se fait au bout de 7 semaines. Les renseignements sont lacunaires et insuffisants pour affirmer qu’elle se reproduit uniquement au sein de sa propre sous espèce. Le couple est adepte de la parade nuptial : il s’élève en altitude où il exécute figures et arabesques, plongeant l’un vers l’autre, jusqu’à, parfois se prendre (s’enlacer) les pattes..

Longueur adultes : 51 à 57 cm ; Envergure : 113 à 128 cm ; Poids : Femelle 700 à 1200 grammes, Mâle : 550 à 850 grammes. Longévité : 25 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Espèce : Buteo buteo vulpinus.

Le Surmulot

février 7th, 2006


Le Surmulot, originally uploaded by patriarch38.

L’un des plus dangereux ennemis de l’homme.

Le surmulot, appelé aussi rat d’égout, constitue un fléau dont l’homme ne pourra vraisemblablement jamais se débarrasser. Originaire d’Asie centrale, le surmulot a envahi l’Europe et tous les continents, par l’intermédiaire des transports maritimes. C’est un rongeur plus ou moins amphibie, qui nage et plonge à merveille. Il peut fort bien vivre dans la nature et creuse alors de profonds terriers au voisinage de l’eau. Dans les villes, il vit aux dépens de l’homme et s’installe dans les caves et les parties basses des maisons, ainsi que dans les égouts et canalisations, où il pullule dangereusement.

Plus grand et plus fort que le rat noir, le surmulot évince son rival partout où il abonde, et certaines villes n’hébergent pratiquement que des surmulots. Ce rat est un animal sociable, qui vit en colonies plus ou moins nombreuses. Les sociétés du surmulot sont extrêmement bien structurées et les liens sociaux très étroits leurs permettent d’assurer leur survie et leur sécurité. Les différents membres d’une colonie s’entraident et se prêtent assistance en cas de péril. Ce genre de vie communautaire constitue une difficulté presque insurmontable pour la dératisation.

On a employé avec un certain succès des produits chimiques anticoagulants contre ces rongeurs, mais depuis quelques années, les spécialistes ont constaté que les surmulots deviennent progressivement résistants à ces poisons. On estime généralement qu’il existe 3 à 4 surmulots pour chaque habitant du monde et que 3 à 4 rats consomment autant de nourriture qu’un être humain. En outre, le surmulot constitue un dangereux agent de propagation de maladies, telles que la peste.

Gestation : 20 à 24 jours ; nombre de petits : 4 à 12 (maximum connu : 23), 5 à 6 portées par an. Supporte une plongée de 3 minutes sans respirer.

Longueur : 25 à 80 cm ; Poids adulte : 400 à 700 grammes ; Longévité : 3 ans.

Classe : Mammifère ; Ordre : Rongeurs ; Sous Ordre : Myomorphes ; Famille :Muridés ; Espèce : Rattus Norvegicus

Humeur du moment …………….J’en ferai pas un ragout:mrgreen:

Flamme Olympique

février 6th, 2006


Flamme Olympique, originally uploaded by patriarch38.

Avec plus d’une heure de retard, le Flamme Olympique pour Turin, a fait escale à Grenoble, et y a rallumé, « celle » de 1968 dans sa vasque de l’époque. Elle passera aussi, par Albertville, et Chamonix. .

Question : de combien de villes, ayant organisé les JO d’hivers, vous souvenez vous ?

Tu vois, M’elle heure_bleue, qu’il est facile de « combler les trous »
Remuez vous un peu les méninges !! :roll:

humeur du moment :cool:

Histoires de rire !!

février 5th, 2006

Un politicien Français, se rend en visite dans une de ces éphémères républiques d’Amérique du Sud . Sans illusion, le chef de l’Etat l’accueille en lui disant :
-« Je vais vous présenter mon bikini. »
-« Votre bikini ? »
-« Oui ! C’est le peuple qui a surnommé ainsi mon gouvernement. Parce que tout le monde se demande comment il tient et que chacun n’a qu’une idée : de le voir tomber ! »

Un spécialiste des hiéroglyphes, vient de dévaler les deux cents marches de l’escalier intérieur d’une pyramide qu’il est en train d’explorer, sur les reins. En sortant de son évanouissement, il s’écrit, frappé, comme Archimède, d’une illumination :
-« Ca y est ! J’ai trouvé ce que devait signifier l’inscription qui m’intriguait là haut ! »- « Ah oui ! Quoi donc ? »- « Attention à la marche ! »

-« C’est dégoûtant ! » Hurle un pharmacien. « Votre chien vient de lever la patte contre ma vitrine ! »
-« Ca ne m’étonne pas du tout » répond le propriétaire de l’animal. –« Voyez vous, c’est une bête très intelligente, depuis hier soir, il ne se sent pas bien. Et précisément, sur votre vitrine, vous annoncez :< < Ici, analyse d’urine !!!>>

Quelques histoires « gentillettes » pour passer les vacances « avé le sourire » :lol::lol::lol::lol:

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