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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2008» décembre

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Murène des Antilles.

décembre 21st, 2008

Murène des Antilles

Sans être la terreur des plongeurs sous-marins, ils s’en méfient tout de même.

Elle est sûrement le poisson qui jouit de la plus mauvaise réputation. On lui attribue les méfaits les plus invraisemblables, et on lui impute la noyade de maints plongeurs, qui seraient restés prisonniers entre l’étau terrible de ses puissantes mâchoires. En fait, il semble que cette triste réputation soit nettement surfaite. Sa morsure venimeuse n’est somme toute qu’un mythe, car se poisson est dépourvu d’appareil venimeux.

Quand à son irascibilité, elle, est bien réelle, et il est vrai que la murène cachée dans une fente de rocher sous- marin, n’apprécie guère de voir s’approcher la pointe d’une flèche et encore moins la main d’une explorateur imprudent, qu’elle peut d’ailleurs confondre avec quelque proie. On connaît plus de 120 espèces de murènes, dont la longueur varie de 15 cm à plus de 3 mètres. La majorité d’entre elles habite les mers chaudes, et ces poissons, au corps d’anguille, abondent dans les récifs de corail.

Cette murène- chenille, représentée ici, vit dans la mère des antilles. Ce sont des poissons peu actifs, qui passent leur vie à demi- cachés dans un trou de rocher. Elles sont très voraces et avalent leurs proies entières. Son régime alimentaire consiste en crustacés, mollusques, pieuvres et poissons. Aucune créature marine, morte ou vive, n’est à l’abri des murènes.

Pendant la saison du frai, ces poissons peuvent être un danger réel pour les baigneurs imprudents, car ils sont alors particulièrement agressifs et se livrent des combats acharnés. Parmi les espèces tropicales, plusieurs sont parés de couleurs très belles et de dessins en forme de zébrures. Sa peau est épaisse, un peu comme du cuir et dépourvue d’écailles. Donc pas de dents venimeuses, sa chair est comestible et sa longévité est de 26 ans, si les pêcheurs lui prêtent vie !!

Classe : Ostéichtyens ; Ordre : Anguilliformes ; Famille : Murénidés ; Genre & Espèce : Echidna catenata.

La boite aux “images”……

décembre 20th, 2008

Compagnons en 1929-  1930

Il a fallu que je replonge le nez dans cette sacrée boite à images !!!!

Et, j’y ai découvert cette ‘’ photo- carte ‘’ faites assez souvent dans les années 30. Sur cette photo, des compagnons et manœuvres et sûrement l’architecte (le cravaté avec pochette). Juste à côté, à main gauche, mon paternel avec sa gapette claire et la chemise foncée. Le ‘’bas du cul ‘’ sur la photo.

Mais voilà, les hommes, même les meilleurs compagnons, sont tous des machos ! Zieutez la bien, cette gravure de mode, à droite les trois gus aux bras croisés à l’air innocent, sont tous les trois rehaussés avec des talons- parpains, ainsi que le ‘’ malabar ‘’ derrière l’architecte, (du moins je le suppose). Sur la gauche, ils sont plus modeste et se servent du tas de sable comme ‘’monte-en-l’air ‘’, le seul qui est dans un trou, c’est mon daron.

Regardez le matériel utilisé, presque celui de la préhistoire. Brouette toute en fer, y comprit la roue, pleine de béton, de gravier ou de pierres, il fallait avoir des bras de ‘’fort de halles ‘’ pour la manœuvrer. Il n’y avait pas de malaxeurs pour faire le mortier, ni de bétonnière et bien sûr encore moins de camions- toupies. Pas d’échafaudage en tube, mais en perches et cordes, et ça aussi, il fallait savoir faire, car les compagnons doivent toujours faire confiance à sa coterie.

Pas de grues, ni d’élévateurs, tout se montait à bras d’homme, soit d’échafaudage à échafaudage, ou par poulies ou encore par des échelles‘’maisons ‘’, comme celle que l’on voit à droite, mais plus utilisée, puisque déjà démembrée, et que l’un des ses membres se trouve, peut-être sous les fesses des ‘’3 gisants ‘’. Ce qui m’étonne chez ces ‘’fiers à bras ‘’, est le manque de moustache. 4 ou 5 seulement en arborent, alors que 20 ans avant, la moustache était encore un signe de’’ virilité ‘’. Dans le mitan, avec sa longue ‘’raclette ‘’, ce devait être le compagnon ou l’aide chargeait de faire le mortier et cet engin me fait supposer que c’était peut-être encore du mortier de chaux.

Comme vous voyez, une photo est aussi un élément de la vie, témoignage de ce qu’elle pouvait être pour nos anciens. Je ne l’avais encore pas repéré et je me demandais ce qu’elle faisait dans ce salmigondis de photos. Je pris donc ma plus grosse loupe et reconnus mon paternel au mitan de ces compagnons.

Je crois que déjà se dessinait la disparition de ces derniers ‘’dinosaures ‘’ du bâtiment où tout se faisait à bras d’hommes.

Buse des Galapagos.

décembre 19th, 2008

Buse des Galapagos

Il n’en reste guère que 300 à cette heure au monde.

Comme son nom l’indique, la buse des Galapagos, ne se rencontre que sur quelques une des îles de célèbre archipel, situé à 1 millier de kilomètres de la côte sud- américaine, en plein océan Pacifique. C’est un rapace très proche parent de la buse commune que nous connaissons bien, et qui est l’oiseau de proie le plus répandu en Europe. Les buses sont apparentées aux aigles, qui ne sont en fait que d’énormes buses.

Il existe une trentaine de buses différentes, réparties dans le monde entier. , et leur classification constitue un véritable casse- tête pour les spécialistes, en raison de leur grande ressemblance.

Personnes ne sait au juste d’où provient la buse des Galapagos, ni à qu’elle époque ses ancêtres ont eu l’idée d’aller s’établir en ces lieux reculés. Ce magnifique rapace se nourrit de jeunes iguanes marins, de couleuvres, de tropidures (Lézards) et d’œufs de tortues géantes. C’est une alimentation pour le moins singulière à laquelle cette buse a dû s’adapter. Autrefois les petits rongeurs abondaient en certains endroits, mais la majorité d’entre eux ont été exterminés depuis l’arrivée de l’homme aux Galapagos. Elle se nourrit également des œufs et des poussins d’oiseaux marins, qui nichent en colonies nombreuses sur les falaises.

Malheureusement pour elle, cette buse a été pourchassée sans merci par les colons des Galapagos, en raison de ses méfaits dans les basses- cours, tant et si bien qu’il en subsiste que 2 ou 3 centaines, depuis que de sévères mesures ont été prises pour assurer sa protection et il est souhaitable qu’elles permettent la survie de ce beau rapace. La femelle pond de 1 à 3 œufs, qu’elle couvera pendant 28 à 35 jours. Son envergure adulte est de 1 mètre 30 pour un poids de 700 à 1000 grammes. Et sa longévité est de 22 ans.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & Espèce : Buteo galapagoensis.

Civette palmiste.

décembre 18th, 2008

Civette palmiste

Un petit carnivore qui aime la sève des palmiers.

Les civettes palmistes forment un petit groupe d’espèces apparentées aux genettes, et comportant de nombreuses races géographiques dont l’identification précise reste du domaine des spécialistes. Leur pelage peut-être uni, rayé ou ponctué de taches sombres. Les 3 espèces asiatiques du genre ‘’Paradoxurus ‘’ comptent parmi les mieux connues ; outre leur nom général de civettes palmistes, ces 3 espèces sont appelées paradoxures, ou encore ‘’musangs ‘’, nom que leurs donnent les Malais.

Toutes ces civettes palmistes ont des mœurs nocturnes et ne quittent leur gîte qu’à la nuit tombée. Elles passent les heures diurnes profondément endormies au fond de leur nid situé dans un tronc d’arbre creux. Elles grimpent et sautent avec adresse. Il arrive parfois que l’une d’elles élise domicile dans le toit de palmes d’une case indigène. En effet, la présence de rats et souris attire les civettes palmistes dans les hameaux et villages forestiers.

Le régime alimentaire de la civette palmiste consiste en de petits animaux de toutes sortes, mais la sève des palmiers, autant que le jus de leurs fruits constitue une friandise dont elle raffole, aussi la trouve t-on souvent parmi les frondaisons des palmiers, à la saison des fruits. La durée de gestation et de développement m’est inconnue. La femelle met bas de 2 à 4 petits, adulte, elle fait de 45 à 65 cm de longueur de corps, 40 à 66 cm de queue, pour un poids entre 1 kg 500 à 4 kg 500.

La civette palmiste a la faculté de projeter une sécrétion pestilentielle de ses glandes anales, comme le font les mouffettes américaines. C’est là, une mesure de protection efficace contre ses ennemis.

Classe : Mammifères ; Ordre : Carnivores ; Famille : Viverridés ; Genre & Espèce : Paradoxurus hermaphroditus .

Pseudis paradoxal.

décembre 17th, 2008

Pseudis paradoxal

se nanifie avec l’âge.

Le pseudis est en fait la grenouille la plus extraordinaire découverte à ce jour, d’où son appellation de grenouille paradoxale. Ce nom insolite lui vient du fait que le têtard est infiniment plus grand que la grenouille ayant achevé sa métamorphose.

Il y avait là de quoi surprendre au plus haut degré les zoologues ; on a ainsi considéré autrefois, les têtards et les grenouilles adultes comme appartenant à deux espèces distinctes. La diminution de la taille entraîne obligatoirement une réduction des dimensions des organes internes, ce qui est proprement inexplicable sur le plan anatomique. A vrai dire, ce pseudis paradoxal est encore bien loin de nous avoir livrer tous ses secrets. Le pseudis paradoxal existe, en plusieurs sous-espèces géographiques, dans différents systèmes fluviaux sud- américains. Sans doute découvrira t-on d’autres espèces lorsque l’exploration zoologique de ces contrées aura encore progressée.

Cet animal est entièrement aquatique et l’adulte ne se rend jamais sur la terre ferme. On repère sa présence à des croassements qui ressemblent quelque peu à des grognements de porc, mais il devient rarement possible de voir l’animal même, car il ne laisse apparaître que ses narines et ses yeux, effleurant la surface de l’eau. A la moindre alerte, il gagne le fond d’une nage rapide où il s’enfonce dans la vase.

C’est aussi là, qu’il recherche sa nourriture composée de vers et de larves. Les proies sont saisies avec les « mains », dont le doigt interne est opposable aux autres doigts. Son épiderme est visqueux, ce qui rend presque impossible la capture manuelle. Quand on connaît l’évolution en centimètre du têtard : 25 cm ; de la grenouille petite : 4 cm, puis adulte : 8 cm maximum, c’est assez effarant !!!

Classe : Amphibiens ; Ordre : Anoures ; Famille : Pseudidés ; Genre & Espèce : Pseudis paradoxa.

Cap’taine Io

décembre 16th, 2008

Io et Bug

Pour ceux qui n’ont pas connu son blog, je vous présente ‘’Cap’taine Io ‘’.

De son nom : Ioana Nantel, qui à 19 ans, belle et sportive a été atteinte d’une maladie similaire à la (SLA) : Sclérose latérale amyotrophique, et qui s’est donné la mort à 25 ans.

Elle a rédigé un manuscrit sur une clé USB, qu’elle a envoyé à Georgina Falcon, qu’elle avait chargé de le faire imprimer, puis publier après sa mort. Grâce aussi à ‘’ Thiphaine ‘’ qui a pris en charge les frais d’édition, à Hélène Burgi, qui a illustré, à titre gracieux la couverture, le livre qui lui tenait tant à cœur, durant tous ces mois et années de doute et de souffrance, vient de voir le jour.

Qui m’a tuée ?

‘’Je m’appelle Ioana Nantel, j’ai 25 ans, et quand vous me lirez….je ne serai déjà plus là !! ‘’ (Sur la couverture)
Et elle termine son livre, comme elle terminait toutes ses journées sur son blog, par : ‘’Prenez soin de vous et pensez à allumer vos rêves ! A vite !!! ‘’

Je ne vais pas vous conter ce livre, pour comprendre cette ‘’gamine ‘’ (pour moi) qui a su partir comme une ‘’grande dame ‘’, il faut lire son livre. Simple d’écriture, plein d’amour et sans rancœur. Elle voulait vivre sa maladie comme une personne et non comme un légume. Elle regrette simplement de ne pas avoir été comprise, par l’administration, avec ses lenteurs et ses réserves, par le corps médical, et bien d’autres personnes. Et puis à quoi bon commencer à expliquer, elle l’a très bien fait elle-même.

Certains d’entre vous allaient sur son blog et comprennent très bien, que c’est impossible de le faire à sa place. Sur la photo, c’est elle et son chien Bug, son dernier compagnon.

Ce qui me fait le plus de mal, est qu’elle a du préparé son ‘’départ’’ toute seule et l’exécuté sans aucune aide active et morale. Au nom d’une certaine éthique. Mais que veux dire ce mot ? ‘’ Ethique : Partie de la philosophie qui envisage les fondements de la morale. Ensemble des principes moraux qui sont à la base de la conduite de quelqu’un. ‘’
Mais qui érigent ces principes ? En général, les religieux, les politiques et les corps constitués. Quand je vois comment certains de ces membres respectent l’éthique économique, sociale et humaine, ça fait froid dans le dos. Allons nous continuer à les laisser gérer toute notre vie, y compris sa fin ?

Ce n’est pas mon habitude de promouvoir un livre, surtout un livre comme celui-ci, que j’ai dû lire en 3 fois, alors qu’il ne fait que 123 pages en caractères assez gros. Pendant toute cette lecture, je n’ai aucunement eu besoin de ‘’larmabak ‘’.

Yoana Nantel

QUI M’A TUEE ? Aux éditions-Xenia. On le trouve à la FNAC.

Diagramme plectorhynque.

décembre 15th, 2008

Diagramme plectorhynque

Sa livrée se modifie avec l’âge.

Encore appelé clown à grosses lèvres, loche ou happeur à grosses lèvres, ce poisson des récifs coralliens possède en effet, une bouche protractile armée de dents tranchantes (d’où le nom de happeur auquel fait allusion la signification du nom du genre.

Le terme ‘’clown ‘’ se justifie par sa nage ondulante, très curieuse, de ces poissons, des jeunes individus surtout, et qui rappelle celle des poissons- clowns. Une autre caractéristique à retenir est la modification importante du dessin de la robe au cours de la croissance. Jeune le poisson a la robe brune, parsemée de grosses taches claires liserées de bruns foncé, comme ci-dessus. Avec l’âge, par extension des zones blanches et fractionnement des zones brunes, la robe prendra un aspect, de plus en plus, mouchetée. Sans pouvoir rivaliser avec les véritables métamorphoses que subissent certaines autres espèces, ces modifications de la robe sont suffisamment spectaculaires pour être soulignées.

C’est un gros mangeur, et il va se transformer en quelques mois en un beau poisson de 30cm. Atteignant jusqu’à 50cm dans la nature, ils sont activement pêchés et consommés par les autochtones, même si pour certains, ce n’est qu’un met de 2ème choix.

En ce qui concerne le classement de ces poissons, l’unanimité n’est pas réalisée parmi les scientifiques, le genre lui-même étant contesté. Aussi, on les retrouve tantôt parmi les happeurs (Lutjanidés), tantôt parmi les loches (Pomodasyidés), tantôt ils forment un groupe à part !!

Classe : Ostéichthyens ; ordre : Perciformes ; Famille : Lutjanidés ; Genre & Espèce : Plectorhynchus chaetodonoïdés

Aigle belliqueux.

décembre 14th, 2008

Aigle belliqueux

C’est le plus grand des aigles africains.

L’aigle belliqueux est vraiment un rapace impressionnant. Il a une expression féroce, en raison surtout de la fixité de ses grands yeux jaunes. Sur l’arrière de la tête, il porte une petite huppe, qu’il érige lorsqu’il est colère, à la manière de la harpie.

Malgré son apparence hostile, l’aigle belliqueux est un oiseau assez timide et craintif. Il recherche les régions isolées où il mène une existence solitaire, ou plus exactement par couples. Comme chez l’aigle royal, les couples restent unis pendant de longues années. Chaque couple occupe un vaste territoire de chasse, qui s’étend sur 125 KM 2 à peu près.

Pour trouver ses proies, ce rapace s’élève très haut et plane des heures durant tout en scrutant le terrain de son regard perçant. Dès qu’il a repéré un petit animal, il replie à demi ses ailes et pique en direction du sol, perdant rapidement de l’altitude. Avant d’arriver à terre, l’aigle freine brusquement et fond sur sa victime, avant même que celle-ci n’ait eu conscience du danger mortel qui allait s’abattre sur elle. Le régime alimentaire de l’aigle belliqueux comporte toutes sortes de petits mammifères et d’oiseaux vivants vivant en terrain découvert. Francolins, outardes et pintades figurent parmi ses proies préférées. Pour lui, c’est presque Noël, chaque jour. Il va même jusqu’à s’attaquer aux chacals et aux petites antilopes.

Au moment de la reproduction, les deux partenaires s’accouplent, puis entreprennent de réparer leur aire, ou d’en construire une autre. Le mâle va chercher les matériaux, qu’il rapporte à sa femelle, le compagnon qui va bâtir l’habitation. Une telle construction peut durer plusieurs semaines. La femelle y déposera 1 seul œuf, qu’elle couvera pendant 45 jours, et le pond que tous les deux ans. Le jeune prend son essor vers le centième jour. Adulte, il fera 2,20 à 2,40 mètres d’envergure. La femelle plus grande que le mâle, peut atteindre 2 mètres 60, elle pèsera 6 kg pour 5 kg pour le mâle.

Classe : Oiseau ; Ordre : Falconiformes ; Famille : Accipitridés ; Genre & espèce : Polemaetus bellicosus.

Recherche de mes racines.

décembre 13th, 2008

Massimino & Eufemia

Recherche de mes racines !!

Ci-dessus, mes grands- parents maternels. Cette photo doit être des années 1913-15, et ils avaient déjà leurs 9 enfants. Je remercie Brigitte de ‘’ goutte-de-soleil’’ de me l’avoir restaurée, car elle était en triste état, et c’est la meilleure que j’ai de mes grands -parents

Quand j’ai été mis en retraite, je me suis décidé à rechercher mes racines. Les parents n’en ayant jamais parler à la maison, je me suis lancé à cette recherche avec un minimum de base. Juste le nom de mes parents, leurs lieux de naissance et les quelques autres lieux où je savais qu’il y avait de la famille.

J’avais aussi un document ‘’Livre des Z…… du monde entier ‘’, avec prénom et adresse. Livre commandé le 2 décembre 94, à Family Héritage. USA (Mormons, je pense.) Mes homonymes - homographes sont assez nombreux.
Italie : 4 402 ; France : 353 ; USA : 136 ; Suisse : 80 ; Australie : 15 ; Canada : 13 ; Angleterre : 5 ; Allemagne : 8 ; Afrique du Sud : 3. Il y a en face de chaque nom, le prénom et le lieu de résidence.

Comme nous avions un homonyme dans la cité où mon père était né, je lui ai envoyé un mot. Mon italien (surtout écrit) étant plutôt succinct, je l’ai fait en Français. Et j’ai reçu une réponse en Français d’un ‘’Docteur Angelo C…..’’ voisin de cet homme ‘’, qui me donnait les premiers éléments de mes recherches. Il s’est donné la peine de faire une quarantaine de kilomètres, pour aller à l’Etat Civil de la commune où mes parents se sont mariés et m’a envoyé quelques renseignements sur mes grands parents en me signalant où je pouvais m’adresser pour plus amples informations. (Un prof de littérature française en université, là bas, a le titre de Docteur)

A l’état civil de la Commune d’Alseno, ou j’écrivis aussi en Français, j’ai eu à faire à un officier d’état- civil, Madame Vanna Or….., d’une très grande obligeance, qui m’envoya,tout d’abord, l’était civil de mes aïeux maternels (ci-dessus) et de leurs 9 enfants.
V- Massimino & B- Eufemia. Dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que du mariage.
De même pour les 9 enfants. Luigi, Giulio, Guido, Adolfo, Antonio, Primina (maman) Massimo, Alberto et Mario.
En plus de ces dates, il y avait celles de leur départ de la commune et le lieu où ils se rendaient. Par exemple, pour mes parents : ‘’Emigrés en France le 09-08-1930 ‘’.

Le deuxième envoi fut l’état civil de la famille de mes Bisaïeux :
V- Antonio & R- Angela. Et de leurs 5 enfants. Camilla, Luigi, Massimino (grand-père), Agostino et Letitia.. Comme pour la première fois, avec tous les renseignements de l’état civil.

Le troisième envoi fut l’état civil de la famille de mes Trisaïeux.
V- Pietro & P- Giulia. Mais là, pas de date de naissance, ni de mariage. Ni de décès.
Puis viennent leurs 9 enfants. Antonio ( bisaïeul), Gaetano, Teresa, Giaccomo, Giovanna, Luigi, Maria, Michele et Filippo. (Tous, avec les renseignements complets.)

Elle termine ainsi
Mi spiace communicarVi che non ho trovato alcun dato relativo ai signori V- Pietro e P- Giulia. Per queste informazioni Vi consiglio di rivolgerVi ai Monaci dell’Abbazia di Chiaravalle della Colomba di Alseno dove esiste un archivio storico.
Vi trasmetto in allegato un elenco con i dati dei Vs. Familiari, che ho potuto reperire dall’archivio di questa Anagrafe.

Cordiali saluti ed auguri di Buone Feste. (J’ai reçu ce mot, avant des fêtes de fin d’année.)
Grosso-Modo, elle me communique n’avoir aucunes dates relatives à V- Pietro & P- Giulia et me conseille de m’adresser directement à l’Abbaye cistercienne, où devait exister des archives ‘’disons anciennes ‘’. (L’église faisait souvent, à cette époque, fonction d’état ‘’civil’)’.Puis elle m’écrit m’avoir transmis la totalité des événements datés relatifs à ma famille et qu’elle avait pu relever des archives de l’Etat Civil.

Le prieur de l’Abbaye cistercienne, ne m’a jamais répondu, mais ayant lu l’historique de cette abbaye, je sais qu’un certain Buonaparte, a fait brûler toutes les archives et piller les œuvres qui si trouvaient. Et même si ces archives existent encore, comme les voies du seigneur sont impénétrables, je n’ai pas insisté de peur de le fâcher. (A moins que ce prieur et aucune de ces ouailles ne connaissent le français !! Qu’en pensez vous ???)

Mes grands- parents étaient de petits fermiers et des gens très simples.
Lui né le 29/03/1871 et décédé le 17/05/1952.
Elle né le 14/10/1873 et décédée le 15/02/1951
Leur mariage a eu lieu le 15/12/1891
Le 1er enfant est né le 24/03/1892 (Et oui, les registres d’état- civil font tomber certains secrets de famille.)
Le dernier enfant le 06/11/1912.

Markhor.

décembre 12th, 2008

Markhor

La plus belle et la plus imposante des chèvres sauvages.

Apparenté au bouquetin, le markhor en diffère Par l forme de ses longues cornes, torsadées de le plus élégante manière en deux ou trois spires complètes. Chez le mâle, les cornes deviennent plus longues que chez les femelles. Sous le menton, mâle et femelle portent une barbiche pouvant atteindre 20 cm de longueur, tandis qu’un très long pelage habille le poitrail du mâle.

Le markhor est un animal de hautes montagnes de l’Asie central, où il vit exclusivement parmi les rochers escarpés, à la façon du bouquetin des Alpes. Il est à l’aise dans les gorges et falaises abruptes, car il a le pied extrêmement sûr. Il est sociable et se tient généralement en petites hardes comptant 6 à 15 têtes. En été les troupeaux montent très haut à la recherche de pâturages, mais lorsque vient la mauvaise saison avec ses chutes de neiges répétées, les markhors redescendent pour se cantonner dans leurs falaises riches en surplombs et en abris, où ils peuvent se protéger des intempéries.

Au début de l’époque des amours, les mâles rivaux se battent à grands coups de cornes. Ce sont avant tout des combats rituels et symboliques, mais il arrive cependant que des rixes dégénèrent, prenant un caractère plus sérieux : alors, un des combattants trébuche parfois et va s’écraser au fond d’un abîme. La femelle met bas d’un seul petit. Adulte, il mesurera 90 cm à 1 mètre au garrot pour le mâle et aura un poids de 80 à 100 kg pour le mâle également. La femelle est plus petite et pèse moins. La longueur des cornes va de 50 cm à 1 mètre. Son principal prédateur est l’Once

Classe : Mammifères ; ordre : Artiodactyles ; Famille : Bovidés ; Genre & Espèce Capra falconeri.

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