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De l’aurore au crépuscule voir plus … » 2009» mai

De l’aurore au crépuscule voir plus …

De l’aurore au crépuscule voir plus …

Rascasse rouge.

mai 21st, 2009

Rascasse -rouge

Rascasse rouge, appelé aussi chapon.(Elle n’est pas belle à voir,mais savoureuse en bouillabaisse)

Un corps massif dans sa partie antérieure, recouvert d’écailles rugueuses, une tête volumineuse ; des lambeaux cutanés, très caractéristiques de cette espèce, assez nombreux sous la mâchoire inférieure et quelques fois bordant la lèvre supérieure. Les yeux sont proéminents et surmontés de deux tentacules charnu, plus gros, mais similaires aux excroissances qui entourent la bouche.

Le dos et les flancs sont rouge orangé avec de grosses plaques de différents tons, entre brun et gris vert, qui forment de larges bandes transversales. Elles s’estompent sur les bas flancs et le ventre qui sont rouge à orange vif. Les nageoires sont bariolées de brun rouge, d’orange et de noir. Les ventrales et les pectorales sont plus vives. La dorsale est unique, elle présente une partie épineuse allongée et une partie molle plus petite. L’anale est pourvue de 3 épines et la caudale est arrondie.

Ce sont des poissons benthiques côtier ou de profondeur, de 10 mètres à 300 mètres. Répandus largement, dans toutes les mers du globe, et sont particulièrement diversifiés dans l’Indo- Pacifique. Ils se cantonnent de préférence sur les fonds rocheux auxquels ils s’intègrent grâce à leur mimétisme. Ainsi dissimulés, ils chassent à l’affût les petits poissons et les crustacés passant à leur portée. Les épines des rascasses possèdent à leur base, une glande à venin rendant leurs piqûres dangereuses mais pas mortelles, du moins chez les espèces atlantiques. Leur chair est comestible et très appréciée pour la préparation de soupes de poissons. Elles ont des périodes d’activité diurnes avec peu de déplacements, elles sont par contre plus actives la nuit pendant laquelle elles absorbent l’essentiel de leur nourriture. La femelle pond jusqu’à 200 000 œufs pendant la période de reproduction de mai à août.

Classe : Osteichthyens ; Classe : Scorpaeniforms ; Famille : Scorpaenidés ; Genre & Espèce : Scorpaena scrofa.

Fauvette à tête noire.

mai 20th, 2009

Fauvette à tête noire

Ce chanteur est difficile à observer, car il se cache bien.

Les fauvettes forment une famille d’oiseaux très nombreuse. On en compte près de 300 espèces différentes, qui presque toutes sont extrêmement difficiles à identifier. En effet, la grande ressemblance de la majorité des fauvettes cause des problèmes aux ornithologues. Ces passereaux sont caractérisés par un plumage peu voyant, brun ou gris, ornée parfois de noir, de verdâtre ou de roux.

La fauvette noire, est reconnaissable par sa calotte d’un noir brillant, nettement délimitée, s’arrêtant à l’œil, la femelle à une calotte rousse. Si le plumage n’offre rien de bien particulier chez les fauvettes, leur chant mélodieux, en revanche, les place parmi les meilleurs oiseaux chanteurs du monde. Les variations de la tonalité et les modulations infinies de leur répertoire sont absolument extraordinaires. Chaque espèce a son chant propre, mais seuls quelques spécialistes chevronnés parviennent à les identifier toutes en les écoutant chanter.

Tout comme le rossignol, les fauvettes mènent une existence très discrète au plus profond des fourrés et des haies vives. Elles n’aiment pas se faire voir à découvert, mais recherchent la tranquillité en se cachant sous le feuillage. Il existe un certain nombre de fauvettes sédentaires, mais d’autres espèces préfèrent quitter nos contrées lorsque survient la mauvaise saison et que les insectes se font rares. Elles migrent alors vers les pays chauds et nous reviennent au printemps.

Toutes les fauvettes ont le bec mince caractéristique des oiseaux insectivores ; leur alimentation consiste exclusivement en insectes de toutes sortes. Ses oiseaux nichent généralement près du sol, où ils se sentent à l’aise en général.

La femelle dépose dans le nid, 4 à 6 œufs, qu’elle couvera pendant 12 à 15 jours. Les petits restent au nid, de 10 à 11 jours. La femelle fait deux couvées par an. Adulte, cette fauvette fait 14 cm de long, pour une envergure de 23 cm et un poids de 15 à 25 grammes.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Passériformes ; Famille : Muscicapidés ; Genre & Espèce : Silvia atricapilla.

Gerboise du désert.

mai 19th, 2009

Gerboise du désert

Comme les kangourous, la gerboise du désert, se tient debout sur ses pattes postérieures, en se servant de leur queue comme 3ème pied.

Grâce à des pattes postérieures quatre fois plus longues que les antérieurs, ce joli petit rongeur (mais oui !!!!) est aussi un remarquable sauteur. Il se déplace par bonds successifs qui peuvent atteindre plusieurs mètres de long et jusqu’à un mètre de haut, voire beaucoup plus. Sa queue plus longue que son corps et à la fois, son balancier au cours de ses sauts et de trépied, quand il reprend son souffle ou admire le paysage, tout en surveillant ses arrières. De plus, cette queue lui évite lorsqu’ il s’assied sur ses pattes postérieures, de basculer en arrière.

Pour se protéger des fortes températures, elle vit dans un terrier. Ses pattes antérieurs munies de fortes griffes et ses longues incisives, lui servant de machines – outils. Situé à une profondeur variant de 40 à 50 cm, ce terrier conserve une température constante tout au long de la journée. En été, elle en bouche l’entrée avec de la terre, pour y maintenir fraîcheur et humidité. La nuit venue, la gerboise en sort pour chercher son repas. Elle aime déguster des feuilles gorgées d’eau des arbustes. Elle complète son menu avec des herbes sèches et des racines.

A l’époque de la reproduction, on assiste à une parade surprenante du mâle. Il se dresse devant la femelle est lui……tambourine le museau, puis quand il juge qu’elle est bien informé de son désir, à demi courbé, il sautille devant elle, pour lui indiquer que le moment de l’accouplement est venu.

De cette union, qui à lieu 2 fois l’an, naissent de 2 à 6 petits dépourvus de poils. Allaités dans le terrier maternel, les jeunes ont une croissante assez lente. Leurs pattes postérieures commencent à se développer vers 8 semaines et à l’âge de 11 semaines, ils ont l’autorisation d’aller gambader hors du terrier et de commencer leurs premiers bonds.

Bien qu’elle chaparde de temps en temps du grain et des légumes aux nomades du désert, la gerboise n’est plus considérée comme une espèce nuisible.

Classe : Mammifères ; Ordre : Rongeur ; Famille : Dipodidés ; Genre & Espèce : Jaculus jaculus.

Eumèce d’Algérie.

mai 18th, 2009

Eumèce

Un scinque largement répandu en Afrique du Nord.

L’euméce, dont on connaît une 10ème d’espèces, est un scinque au corps volumineux et trapu, caractérisé par une grosse et large tête, dont la gueule est armée de nombreuses dents pointues, qui lui permettent de maintenir solidement ses proies, autant que d’occasionner des morsures douloureuses à l’imprudent qui veut le saisir sans aucune précaution. Son corps est orné de bandes transversales orangées, sur un fond plus ou moins cuivré.

L’eumèce d’Algérie, ‘’Eumèce algériensis ‘’ dont vous pouvez voir une famille ci-dessus, et le mieux connu. On le capturait en quantités importantes pour le vendre en Europe, aux amateurs de reptiles. L’habitat naturel de ce scinque est le désert, non pas le désert absolu, de sable ou de pierres, mais les zones arides où croît une végétation xérophile (plantes adaptées au milieu sec) rabougrie.

Malgré ses membres proportionnellement courts et insuffisamment développés, il sait faire preuve d’agilité lorsqu’il le faut : alarmé, il s’enfuit rapidement pour gagner un trou ou un abri sûr sous une pierre. Grand ami du soleil, il passe de longues heures à s’exposer aux rayons matinaux. On le rechercherait vainement en plein midi, car alors la température et trop élevée et il se teint au frais dans le sol ou sous les rochers, pour n’en ressortir qu’en fin d’après midi.

Son régime alimentaire consiste en insectes et larves, mais il dévore parfois des œufs et des oisillons nouvellement éclos, qu’il découvre dans les nids de passereaux terrestres. En captivité, l’eumèce s’apprivoise assez bien et il fait preuve d’une bonne longévité, pour autant qu’il reçoive les soins et l’alimentation appropriés.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Famille : Scincidés ; Genre & Espèce : Eumeces algeriensis.

Rascasse volante.

mai 17th, 2009

Rascasse Volante

La rascasse volante est venimeuse. (photo tirée d’une diapositive)

Les épines dorsales de la rascasse volante sont venimeuses. Elles sont pourvues de muscles spéciaux qui leurs permettent de se hérisser instantanément et sont reliées à des glandes chargées de neurotoxique. Les piqûres occasionnées provoquent une douleur aigue suivie d’un engourdissement, des nausées et des sensations de vertiges. Pour soulager la douleur, il suffit d’exercer un choc thermique en approchant du point de piqûre une source de chaleur, puis d’y appliquer ensuite de la glace. La coloration varie selon l’habitat, plus rouge, parfois noire dans les estuaires.

La rascasse volante chasse de nuit, à l’affût : des poissons, des crevettes, des crabes. Elle déploie ses grandes nageoires pectorales afin de rassembler et de rabattre ses proies. La bouche protractile (qui se projette vers l’avant) et la capacité de dilatation de son estomac, lui permettent d’avaler des proies aussi grosses qu’elle mais aussi d’énormes quantité d’aliments.

La femelle rascasse est ovipare, elle expulse des milliers d’œufs englobés dans une masse gélatineuse, leurs permettant de flotter à la surface. Quelques jours après, les larves de quelques millimètres naissent, il leurs faudra 3 semaines pour devenir alevins. Adulte, cette espèce peut atteindre 38 cm de long. On la trouve dans le Pacifique- Sud, du sud du Japon jusqu’aux îles de la Polynésie Française.

Classe : Osteichtyens ; Ordre : Scorpaeniformes ; Famille : Corpaenidés ; Genre & Espèces : Pterois volitans.

Abbaye-Alseno

mai 16th, 2009

L’abbaye conserve encore, dans ses lignes générales, la physionomie romane lombarde dans laquelle se révèlent les premiers éléments gothiques mêlés à d’autres éléments locaux. Le matériau majoritaire utilisé est la brique rehaussée par la pierre claire utilisée pour les détails décoratifs et l’enduit blanc qui cache l’appareillage des briques de l’édifice, comme sur la voûte du promenoir.

La Nef Centrale

Nef Centrale : (Jour de la ‘’Fête- Dieu ‘’ ou ‘’Corpus – Christi ‘’

La superficie de l’église est plutôt vaste : 65 mètres de long, 20 mètres de hauteur et 20 mètres de large. L’architecture romane de la triple nef, annonce un signe précoce de la transition vers le gothique. (Style qui se répand en Europe du 12ème au 16ème siècles). La nef centrale se compose de 4 grandes travées menant au Saint- Autel, en conformité aux normes abbatiales, avec cœur et transepts. Dans le cœur se trouve un retable de l’école raphaélique, dans la partie capitulaire. Dans les montants du chapiteau du transept, sont encastrés dans le mur, les portraits de 4 saints : San Benedetto, Santo Stefano, Santi Pietro et Paolo, et Santa Maddalena. Du transept monte un escalier qui communique directement au dortoir des moines choristes.

Coeur et Transept- sud

Cœur et Transept- sud.

Le cœur, typiquement bernardin, est flanqué de six chapelles. Les deux, adjacentes au cœur, ont une hauteur de voûte égale à celle de la nef, alors que les 4 autres sont nettement plus basses. Dans l’abside s’ouvre une rosace à 5 oculus, couronnée de 2 fenêtres à plein cintre placées en dessous.

La façade est à tympan brisé, séparée longitudinalement en 3 zones par des contreforts, ornée de petits arcs suspendus montant avec cadre intérieur en dents de scie. Dans la partie centrale s’ouvre la rosace de marbre à petites colonnes et 10 ouvertures qui remontent probablement au 13ème siècles, tout comme le petit portique adossé à la façade qui répète la structure à tympan brisé avec 4 contreforts et flanqué de deux ailes ouvertes avec baies tri- jumelles à plein cintre surmontées de petits arcs suspendus. Le portail d’accès à l’édifice est surmonté d’une lunette dans laquelle est peinte, à la mode du 15ème siècle, l’Adoration de l’Enfant par la Vierge.(Voir la photo de dimanche dernier)

Salle Capitulaire.

Salle Capitulaire : (Extérieur.)

Le cloître est construit entre la fin du 13ème siècle et le début du 14ème. Il est considéré comme l’un des meilleurs exemples cisterciens conservés, par la richesse des sculptures qui l’ornent, exécutées en brèche rose et en pierre claire. Il est divisé en travées avec toiture à voûtes d’arêtes, qui retombent à l’intérieur du cloître sur des consoles ornées de crochets et autres motifs végétaux et géométries. A chaque fenêtre correspond une fenêtre bigéminée vers l’extérieur.

La salle capitulaire, écroulée en 1892 et restaurée en 1917 est divisée, à l’intérieur, en 3 travées. A l’extérieur, elle est dotée d’un portail à douilles multiples avec motifs géométriques en terre cuite et pierres blanches et deux amples baies tri- jumelles. Celle de gauche est caractérisée pas des arcs trilobés encadrés de deux arcs aigus dont, le plus intérieur a 5 lobes.

Intérieure de la salle capitulaire.

Salle capitulaire (Intérieur)

PS: Une grande partie de cette restauration a été exécutée alors que mes parents avaient déjà émigré en France.

Ibis rouge.

mai 15th, 2009

Ibis rouge

Il déteint s’il n’est pas correctement alimenté.

L’ibis rouge est l’un des plus merveilleux oiseaux de l’Amérique tropicale. On le rencontre surtout dans les régions marécageuses du nord de l’Amérique du sud. Son allure et sa morphologie ne diffèrent pas de celles des autres ibis, son plumage uniformément rouge vif mis à part. C’est un oiseau très sociable qui se réunit en colonies nombreuses à l’époque de la reproduction.

Rien n’est plus extraordinairement beau qu’un vol de ces ibis rouges quittant les frondaisons vertes ou traversant le ciel pour se rendre à la pêche. Malheureusement pour cet oiseau, sa parure tente les chasseurs et surtout les collectionneurs, qui en capturent un grand nombre pour les vendre à des amateurs ou aux jardins zoologiques.

Curieusement, la couleur rouge vif, qui est produit par un pigment assez fugace, disparaît rapidement chez les individus captifs, qui pâlissent au point de n’être que faiblement rosés après quelques mois. Il est absolument indispensable de les nourrir correctement et d’adjoindre des substances à base de carotène à leur menu, si l’on veut leurs conserver leur aspect naturel.

L’ibis rouge se nourrit de vers et surtout de certains petits crustacés d’eau douce, qu’il trouve en fouillant la vase de son bec recourbé. Il fréquente aussi les estuaires et les mangroves, où les proies qu’il recherche abondent dans l’eau saumâtre. Il est malaisé de se rendre auprès des colonies nicheuses, car l’ibis rouge s’installe en des lieux éloignés des cours d’eau et souvent inaccessibles, où il se sent en sécurité. La femelle dépose 2 ou 3 œufs dans le nid, qu’elle couvera pendant 19-23 jours. Les jeunes quittent le nid au bout de 3 à 4 semaines. La longueur d’un adulte est de 55- 60cm.

Classe : Oiseaux ; Ordre : Ciconiiformes ; Famille : Threskionithidés ; Genre & Espèce : Eudocimus ruber.

Les canidés.

mai 14th, 2009

Les canidés

Parlons canidés…

Du genre canis il y a 6 espèces.
Le Canis lupus : le loup illustre au mieux les tendances évolutives de cette famille de carnivores. Puissant, intelligent, résistant mais refoulé par l’homme et sa civilisation, le loup n’est encore nombreux que dans les régions les plus vierges et naturelles de son immense aire de distribution primitive ; il suffit d’un hiver rigoureux pour le voir réapparaître ici ou là, en zone tempérée.

On en distingue un bon nombre de formes, sous –espèces ou races géographiques, peut-être 20 ou 30, dont plusieurs se sont éteintes dans les siècles en cours ou sont en voie de l’être : ces races adaptées à leur type d’habitat, varient en taille et en poids (de 17 à 80 kg) et par les teintes dominantes de leur pelage, d’où les divers noms qu’on leurs donne : loup des forêts, des steppes, des roseaux, loup gris, noir roux, blanc du Grand-Nord……

Puis son cousin, le canis familiaris, autrement dit le chien domestique. On admet près de 400 races actuelles de chiens domestiques, issues d’hybridations savantes de la part d’éleveurs spécialisés. Il s’agit en fait de races dérivant d’autres races…. Quand au ‘’chien domestique ‘’ de base, le premier compagnon de l’homme, voici peut-être 15 000 ans, on s’accorde actuellement à lui voir pour unique ancêtre…le loup, ce qui arrive à lui donner le nom scientifique de ‘’canis lupus familiaris’’.

Et pour finir, le canis dingo, le dingo. C’est le ‘’chien sauvage australien ‘’, dont l’origine est encore discutée : on l’a considéré comme une espèce bien définie, mais il semble qu’il représente un chien domestiqué (peut- être issu du ‘’dohle ‘’ (Cuon alpinus), le chien sauvage asiatique introduit en Australie par les aborigènes et retourné à la vie libre, d’où le nom scientifique précis qu’on lui donne : ‘’Canis familiaris dingo ‘’

Le célèbre hurlement du loup n’est qu’une des manifestations vocales de l’animal, pour communiquer avec ses compagnons de meute ou avec d’autres meutes.

Urutu.

mai 13th, 2009

Urutu

C’est l’un des plus beaux des crotales.

L’urutu est à la fois l’une des plus belles et l’une des plus dangereuses espèces de crotales. On déplore potentiellement, plus de victimes humaines mordues par des urutus, que par les autres espèces de serpents venimeux sud-américains. Si un empoisonnement est rarement mortel, des altérations locales d’une réelle gravité subsistent. L’action du venin de l’urutu porte : principalement sur les tissus musculaires ; des nécroses et des plaies presque inguérissables résultent de ces morsures.

Il convient de préciser que l’urutu est très abondant et qu’il aime à se tenir parmi la végétation voisine de l’eau, où il recherche la fraîcheur, ce qui fait que les rencontres avec l’Homme sont fréquentes. Extrêmement sensible aux vibrations du sol, l’urutu se met immédiatement sur la défensive dès qu’il perçoit le moindre indice d’une vibration ou d’un ébranlement insolite. Prompt à l’attaque, il projette sa tête en avant sur plusieurs décimètres. Gare alors au pied nu d’une porteuse d’eau ou d’un baigneur.

La coloration et l’ornementation du corps permettent de l’identifier facilement, pratiquement impossible de le confondre avec une autre espèce de crotale. La grande beauté de ce serpent en fait un favori des amateurs de reptiles, mais il faut déconseiller à tout débutant de vouloir tenter l’élevage d’un si dangereux serpent. Au demeurant, l’urutu est placide et se meut rarement, si ce n’est lorsqu’il éprouve une sensation de faim. Il recherche alors une proie, dont il détecte la présence grâce à ses organes thermosensibles dont l’ouverture se présente sous formes de cavités en arrière des narines. Sa longueur va de 0 mètre 80 à 1 mètre 15.

Classe : Reptiles ; Ordre : Squamates ; Sous- Ordre : Ophidiens ; Famille : Crotalidés ; Genre & Espèce : Bothrops alternatus.

Une merveille !!

mai 12th, 2009

Une merveille !!

Juste pour la vue…..et mes yeux !!

Encore une fois, pour la vue et le plaisir !!! ciao !

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